Je dois dire que ça me tape un peu sur les nerfs cette prétention au mystère... Soyez intéressants et on s'interessera à vous... À ceux a qui le chapeau fait... :wink:
Ben oui, par écrit, c'est bien ce que je voulais dire. Mais moi je l'ai fait sans induction intentionelle. Et quand je l'ai fait j'ai été surpris de l'efficacité en me demandant sincèrement ce qui était si spécial dans ce que j'avais écrit. Je ne connaissais pas très bien l'hypnose dans ce temps là.
La transe vient souvent en lisant pour ceux à qui la lecture n'est pas ardue; pour ceux qui lisent de façon fluide. Ben faut aussi savoir écrire de façon fluide, bien sûr.
Mais bon, maintenant je saurais aussi induire une transe au moins légère en même temps que la suggestion dans le même texte.
Le truc de la transe par l'écrit est dans l'évoquation. Savoir évoquer est de savoir induire une transe.
J'évoque toujours la visualisatio ou l'imagerie de l'enfant en soi. Celui qui est resté là à une phase ou l'autre de son développement et, oui, c'est comme ça que la névrose se crée. C'est dans ce discours écrit que j'utilise nécessairement la métaphore... Le concept de l'enfant en soi est une métaphore. La métaphore c'est le langage de la mécanique psychologique... Il est inutile de parler d'échanges entre les neurones pour le fonctionnement de la psyché; on laisse cela aux compagnies pharmaceutiques. La seule façon de parler du conscient et de l'inconscient est nécessairement par la métaphore. Alors allons y gaiement.