Bonjour,
La puissance des questions est enseignée en pnl et peut-être ailleurs, je ne sais pas, mais comment ça fonctionne au niveau du subconscient ? Lorsque l'on se pose des questions vis à vis d'une pensée ou autres que ce passe t-il de différent dans notre cerveau ?
Il y a aussi les afformations ? mieux que l'auto suggestion ?
Se poser trop de questions fait arriver à un moment à un survoltage cérébral de cogite trop, de surcogitation pète les plombs.
Là est en psy la rupture de pattern.
La rupture liée à cet excès de cogitation qui amène alors à tout remettre en question, suite à ce surdosage-disjonctage de sa cognitition..
Et on repart sur de nouvelles bases,
avec une feuille blanche, un dossier vide, avec le choix de commencer une nouvelle histoire, un nouveau voyage, de nouvelles aventures, en ayant mis à la poubelle tous les anciens patterns inutiles,
Alors pour faire plus simple, si on est dans une politique de transformation de problématique en question positive (à l'inverse), on peut vite en cumuler quelques unes...
Ce n'est effectivement pas la recherche du nombre de questions mais de la question puissante, celle qui va provoquer la déstabilisation nécessaire pour sortir du schéma de pensée automatique et récurrent
Je suis d'accord, je me trompe peut-être mais je fais une distinction entre une question puissante et la question tout court que l'utilise de deux façons:
- Je prend le contrôle en m'interrogeant face à un problème : "là maintenant, je suis face à ce problème, quelle stratégie je peux mettre en place pour m'en sortir au mieux ?"
et parfois j'utilise des afformations sur un point faible avant une épreuve, une situation délicate, exemple : pourquoi je me sens aussi détendu maintenant, pourquoi je me concentre aussi facilement en ce moment ?
On voit qu'il est très facile d'empiler de nombreuses questions.
C'est là toute la question, est-il plus judicieux d'empiler ces questions sommes toutes positives plutôt que d'en cumuler à l'inverse des négatives plus inconscientes ?
Pour ma part j'essaie d'évaluer et j'avoue avoir du mal car parfois ça semble assez bien fonctionner et d'autres fois pas du tout...
Dans la question puisssante, on est plutôt dans la question unique qui va "révolutionner" ton point de vue et créer du changement. Celle qui au début laisse sans voix parce qu'on y avait jamais pensé de la sorte ou oser penser de la sorte. C'est une question fort inhabituelle pour la personne, où il y a comme un petit effet de sidération (un blanc)
Quelle stratégie adopter, c'est une bonne question, une question tout court, les afformations aussi (pourquoi je me concentre aussi facilement en ce moment reste pour moi une bonne question, mais pas question puissante comme cité plus haut)