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[QUOTE="castorix, post: 9438, member: 109"] [color=#000080]Bonsoir, Voici un bon moyen de vous éviter un début de migraine : ne lisez pas ce qui suit... (ma remarque en écho à surderien)[/color] [color=#000080]La théorie du Gate control dans la douleur, décrit la possibilité d'inhiber une voie sensorielle (certains neurones transmettant une sensation douloureuse) grâce à l'activation d'une autre voie sensorielle (des neurones spécialisés dans la sensibilité cutanée fine). L'application très simple est bien connue : souffler sur sa main quand on vient de se brûler sur une petite surface (avec le four ou le fer à repasser) : alors que la sensation de brûlure est une douleur assez vive (lésion cutanée -> message transmis par des fibres spécialisées), la sensation légère mais plus large du souffle sur la peau (sensibilité épicritique) réussit à inhiber l'expression du message douloureux. NB : il est possible de frotter doucement, mais frotter fort n'aura pas l'effet espéré. Autre application : les méthodes TENS : stimulation électrique (différents courants sont employés) par des électrodes appliquées dans une région douloureuse (douleurs chroniques). Ne retenez pas cette reformulation trop résumée de la théorie de Melzack et Wall (1965) sur l'effet portillon :[/color] [size=2]Une action inhibitrice présynaptique s’exerce directement sur les afférences qui alimentent ces neurones (fibres A-delta et C, spécifiques de la sensation douloureuse, parvenant à la corne postérieure de la moelle) de telle sorte que les interneurones inhibiteurs (neurones intermédiaires entre ceux qui apportent la sensation et ceux qui montent vers les centres supérieurs ; situés dans la moelle épinière) régulent l’accès des informations au système nerveux central. L’activation des fibres sensitives de gros calibre (sensitives mais pas dévolues à la douleur) augmente l’activité des inter-neurones, fermant ainsi le portillon ; alors que la mise en jeu des fibres sensitives de petit calibre déprime le tonus inhibiteur, entraînant alors l’ouverture du portillon et donc l’activation des neurones convergents puis des structures supra-spinales impliquées dans la transmission du message nociceptif (message douloureux). La fermeture du portillon par la stimulation des fibres myélinisées (donc plus rapides ! que les fibres prévues pour la douleur) de gros calibre, est réalisée dans l’utilisation thérapeutique de la neurostimulation transcutanée. Dans ce cas, la stimulation des fibres A active les cellules T de la corne postérieure de la moelle et inhibe la transmission de la douleur. [/size] [color=#000080]On peut en effet parler pour l'hypnose employée dans la lutte contre la douleur, d'une action située au-delà de ces étapes tissulaire vers médullaire, en fait plutôt au niveau d'un Contrôle inhibiteur descendant : il s'agit d'une sorte de réglage provenant de l'étage cérébral, jouant un rôle modulateur sur le message que la moelle épinière va adresser au cerveau. A titre personnel, je pense donc pouvoir affirmer que dans ce cas d'emploi de l'hypnose (cas d'un emploi efficace tant qu'à faire) le message douloureux ne va pas s'inscrire à l'étage cérébral de la même manière que lors d'une anesthésie générale : à mon sens, dans ce dernier cas il y a bien un message douloureux (au moins : plus fort, plus susceptible de laisser des traces) qui est transmis au cerveau, mais les produits anesthésiants sont amnésiants et le dissimulent. Sauf que... cette amnésie chimique peut à mon sens se lever (au moins partiellement) quelques semaines plus tard. Ce qui me paraît expliquer un certain nombre de syndrômes post-opératoires bizarres et pénibles, je devrais dire post-anesthésie générale ; que l'on ne constate pas lorsqu'est employée l'association anesthésie locale + hypnose (+/- sédatif léger). Conclusion (il en faut une pour résumer) : l'hypnose n'agit en effet pas comme les drogues antalgiques ni anesthésiques habituellement employées.[/color] [/QUOTE]
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