[align=justify]Autre croyance, ma croyance : le bonheur n'est qu'un mot tapi, transi, agonisant.. en attente de ressuscitation. A celui ou à celle qui le désire d'aller à sa découverte, de le débusquer et de lui donner (en)vie. Le bonheur ne s'apprend pas, il se prend (sur soi)... et se reprend.
Et celui qui ne le prend pas sur lui, il fait quoi ?
Comment acceder à quelque chose que l'on est ou a, alors que certains ont oublié qu'ils l'avaient ou ne l'ont pas ?
Et celui qui a cette aptitude, il a alors de la chance ?
J'ai donc l'impression que cette aptitude est tres inegalement répartie, et que si on va bien, on n'y comprend rien à ceux qui vont mal, parce que l'on va bien.
pas de zone dans le cerveau mais des éléments extérieurs au cerveau qui s'agencent de manière virtuelle pour créer un ressenti tout aussi virtuel et transitoire
mais qu'on peut intérioriser et garder dans son météostat mental
rester dans la joie ou dans la tristesse
ou alterner sa météo émotionnelle en fonction de la météo extérieure
et que c'est bonheur aussi, de vivre au rythme du temps...
bon, je sors, profiter de la pluie, c'est si bon pour mes salades...
Faire ce que l'on aime= liberté
Aimer ce que l'on fait=bonheur.
Le bonheur je le vois comme la sève qui nourrit l'arbre .
L'amour étant les racines .
Le bonheur ne peut couler librement sans l'amour .
C'est une profondeur plus ancrée, déjà innée, à retrouver.
Pas a apprendre car déjà là et en tout le monde .
Je pense que la profondeur vient de l'attention que l'on porte à l'intention .
Si l'intention est de faire ce que l'on aime alors l'attention que l'on porte à cet intention doit être intègre ...c'est à dire qu'elle se doit d'être honnête sur son intention : faire que ce que l'on aime .
Alors qu'aimer ce que l'on fait c'est comprendre que l'attention qui est porté sur l'intention est aimer tout ce que l'on fera, dira, pensera, donc pas que ce que l'on aime , pas de jugement, pas de division, dualité ,mais le tout .
La différence est donc dans l'attention que l'on porte à la profondeur de l'intention qui doit être honnète (intègre) et qui est bon pour l'éthique de l'être de tout être .
Je sait pas si c'est plus clair expliqué comme ça :wink:
En fait tout dépend du "self" de l'heureux aventureux. Une personnalité bien dans son être au monde partagera avec les autres ses habilités à débusquer le bonheur.
Toute thérapie réussie, consiste, fondamentalement, à augmenter la propension à être heureux.
La joie, c'est un instantané du bonheur, c'est un bonheur qui n'a pas duré. De fait, se poser la question du bonheur, c'est se demander comment faire pour faire durer la joie plus longtemps.
Rendre la joie plus intense ? Hum, c'est pas ce qui va la faire durer, au contraire... Elle ne fait que s'essouffler plus vite.
En profiter avec modération ? Moui, ça peut aider... mais parfois, quand elle repart, elle n'est plus là et on aurait mieux fait de l'accepter telle qu'elle se présente.
Qu'est-ce qui provoque une joie durable ? Alors que tout passe, tout lasse, comme le disent certains... Comment faire pour avoir, ne serait-ce que de petites joies, sans cesse renouvelées ? Comment faire pour maintenir ce sentiment, sans qu'il s’essouffle ? Comment faire pour entretenir la permanence du bonheur dans un monde ou tout change constamment ? Comment faire pour avoir du changement, tout en conservant toujours le même sentiment (de bonheur)... et surtout, sans que celui s’essouffle...
C'est surement vrai, Katia, coté bonheur on est vraiment pas tous logés à la même enseigne. Certains n'ont pas besoin de se poser ces questions, ignorent la réponse et sont heureux. D'autres ne trouveront jamais la réponse, et d'autre encore la trouveront.