surderien
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Oui, c'est ce que je voulais symboliser avec ma petite histoire de Descartes. Le doute lui a permis des choses, tout comme, à d'autres moments, peut-être aussi parce qu'il était trop intense, le doute l'a probablement desservit. S'il est utile de douter, il faudrait aussi se souvenir que la foi peut déplacer des montagnes (foi en soi... en Dieu, ou en toutes autres choses...)valikor à dit:tout dépend de l'intensité du doute....et de fréquence de sa présence....
Je me permets de vous encourager à vous méfier d’un tel point de vue. C’est un raisonnement qui me semble dangereux. Je comprends bien que le doute dont vous parlez peut jouer le rôle d’un stimulant, toutefois, lorsqu’il ne vous stimulera plus, vous risquez de vous enliser. Un grand auteur avait conseillé dans l’un de ses livres que, pour mieux réussir, il fallait « envisager le pire ». Envisager le pire, en quelque sorte, pour constater le meilleur. Ca aussi, je trouve que c’est dangereux ! Parce que, tout simplement, le jour ou le pire arrive, l’individu qui applique ce genre de technique, sera déjà conditionné à envisager le pire. De fait, puisque le pire est déjà là, non seulement il n'y aura pas de meilleur, mais en plus, il ne pourra envisager que le pire ! Terriblement anxiogène. Combien de temps faut-il pour remettre en cause une stratégie qui a toujours si bien marchée alors qu’aujourd’hui elle achève de vous pousser dans le trou ? Et une fois qu’on est dans le trou, c’est quoi, envisager le pire ?manu19000 à dit:douter te permet d'avancer jusqu'au point de reusite ,et de pouvoir encore douter pour pousser encore plus loin le doute est ton ami .....
oui je comprend le pire d'etre dans le trou c 'est de sortir du trou !!!Ivan.67 à dit:Je me permets de vous encourager à vous méfier d’un tel point de vue. C’est un raisonnement qui me semble dangereux. Je comprends bien que le doute dont vous parlez peut jouer le rôle d’un stimulant, toutefois, lorsqu’il ne vous stimulera plus, vous risquez de vous enliser. Un grand auteur avait conseillé dans l’un de ses livres que, pour mieux réussir, il fallait « envisager le pire ». Envisager le pire, en quelque sorte, pour constater le meilleur. Ca aussi, je trouve que c’est dangereux ! Parce que, tout simplement, le jour ou le pire arrive, l’individu qui applique ce genre de technique, sera déjà conditionné à envisager le pire. De fait, puisque le pire est déjà là, non seulement il n'y aura pas de meilleur, mais en plus, il ne pourra envisager que le pire ! Terriblement anxiogène. Combien de temps faut-il pour remettre en cause une stratégie qui a toujours si bien marchée alors qu’aujourd’hui elle achève de vous pousser dans le trou ? Et une fois qu’on est dans le trou, c’est quoi, envisager le pire ?manu19000 à dit:douter te permet d'avancer jusqu'au point de reusite ,et de pouvoir encore douter pour pousser encore plus loin le doute est ton ami .....
Hum…
Enfin, faites ce que vous voulez…
katia (zoulouk) à dit:Quelle définition du doute avez vous msieur surderien ?
Point n'ai je découvert ce genre de doute qui sécurise
Réfléchir un peu aux conséquences de ses actes, ne serait pas exprime par douter.
Se remettre en question, ou remettre en question une question scientifique par l'experimentation, n'est pas douter non plus. C'est tester si en telle situation, une loi est encore valable.
Douter pour moi entrainerait de l'inaction. Douter = ne pas avoir confiance en soi, douter de ses capacités, être sceptique et risquer de se bloquer.
Devant une feuille vierge, si on
doute, on doute de sa capacité a rédiger correctement, on doute de sa capacité a écrire, si fortement, que la personne n'ecrit plus et jette la feuile et demande a une autre personne de le faire.
On peut douter avant de faire et après avoir fait, mais pendant on travaille avec serenite.
Toujours douter mène au tourment, aux perfectionnisme du jamais satisfait, au mal être.
Un peu ça va et peut stimuler dans l'amélioration, mais beaucoup ça détruit
surderien à dit:Cartésiennement on est obligé d'en avoir peur car sinon on serait aspiré par elle.
Cartésiennement on est obligé de vivre à fond, à fond, à fond, pour l'oublier.
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xorguina à dit:surderien à dit:Cartésiennement on est obligé d'en avoir peur car sinon on serait aspiré par elle.
Cartésiennement on est obligé de vivre à fond, à fond, à fond, pour l'oublier.
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Le secret de la vie, c'est de "mourir avant de mourir" et de découvrir que la mort n'existe pas.
N'est ce pas surderien !
surderien à dit:xorguina à dit:surderien à dit:Cartésiennement on est obligé d'en avoir peur car sinon on serait aspiré par elle.
Cartésiennement on est obligé de vivre à fond, à fond, à fond, pour l'oublier.
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Le secret de la vie, c'est de "mourir avant de mourir" et de découvrir que la mort n'existe pas.
N'est ce pas surderien !
On se situera alors en opposition avec la normalité légale et structurée du système cartésien de référence,
étiqueté, à juste titre, de sectaire et donc condamnable.
:roll:
surderien à dit:Vive les félés, ils laisseront passer la lumière là ou les hermétiques ne le peuvent !!! :twisted:
Entre les félés et les hermétiques, ne suffit il pas de trouver un juste équilibre entre les deux ?