Pour moi, dans la schizophrénie, ce n'est pas l'inconscient qui est défaillant, mais les voies d'accés à cet inconscient.
L'éducation et la pédagogie classique ne conviennent pas.
Il fonctionne en circuit fermé et n'alimente pas le conscient en retour.
D'autres techniques d'accés sont nécessaires
Des techniques virtuelles, non classiques sont indiquées.
L'hypnose permet d'entrer dans le monde du schizophrène, de communiquer avec son inconscient, et d'établir l'équilibre entre son inconscient et le conscient.
Dans l'alzheimer, c'est peut être aussi le cas et on amène la personne à travailler sur des affects du passé pour développer des suppléances aux voies bloquées par les substances amyloïdes.
sauf que les "retours dans le passé" chers aux psy et ericksoniens ramènent au moyen âge où l'on ne connaissait pas encore la neuroplasticité... On fabrique ainsi de bonnes raisons de renforcer le problème..
Travailler sur des affects, des insights, du passé pour reconnaître les visages de ses proches, retrouver des prénoms, des souvenirs...
ce n'est pas de la psy mais de la reconnection.
Les techniques virtuelles sont les techniques d'imagerie vidéo ou des techniques de suggestion mentale pour créer des images mentales et des scénarios éveillants.
Il faut beaucoup d'imagination pour rallumer un imaginaire lorsqu'il s'est éteint...
L'inconscient n'est pas parfait même pour une personne dite "saine".
Il faut aussi se méfier de ce que l'on appelle malade...
Pour alzeimer, il y a création de lésions dans le cerveau.
Si je ne me trompe pas c'est le cas pour pleins d'autre troubles dont les troubles dicossiatifs.
Avant de parler de l'inconscient du modèle dont il est issu (conscient/inconscient ) est conçu sur les bases d'une personne dite "saine".
Il faut donc utiliser les termes conscient/inconscient avec prudence)
Je pense qu'il vaudrait mieux parler de fonctionnement du cerveau et de sa plasticité et de l'action de là méditation ou de l'hypnose