Transe-Hypnose
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Niveau de transe.

  • Initiateur de la discussion Anthony17
  • Date de début 6 Février 2012
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Anthony17

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  • 6 Février 2012
  • #1
Je voulais savoir si le niveau de transe jouer sur l’efficacité de la séance, au niveau des suggestions ?

Comme en transe légère, le conscient est toujours présent et le patient à donc plus de contrôle sur les suggestions de l'hypnothérapeute, et est libre de garder celles qui lui convient, alors qu'en transe profonde le conscient est endormi et donc les suggestions vont directement dans l’inconscient sans être filtré par le conscient.

Plus le niveau de transe est profond et plus le patient est suggestible et donc le traitement est t'il plus efficace ?

merci.
 
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papusza

papusza

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  • 8 Février 2012
  • #31
Une interaction non emotionnelle cela existe t'il ?

Maitrisez vous parfaitement vos sourcils par exemple et votre patient ne saura t'il pas detecter un leger tressaillement de vos paupieres, un teint un peu plus pâle ou rouge, une crispation de doigts ?

Certains patients vont être centrés sur vous, ils risquent de remarquer beaucoup de choses.

Certes on ne vous demande pas de pleurer avec les gens (certes pourquoi pas ?); mais de ne pas être affecté au point d'en perdre toute lucidité.

L'emotion ça s'utilise... Evidemment en étant pas prisonnier de celle proposée. Cela nécessite de la souplesse d'esprit, ce qui est aussi important qu'un travail sur soi.

Ou le travail sur soi devrait permettre de l'acquérir.
 
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Intemporelle

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  • 8 Février 2012
  • #32
Sitar à dit:
C'est vrai qu'en parlant de synchronisation avec Hypnomed j'ai soulevé, encore une fois, le sujet de la thérapie individuelle et présupposé que mon interlocuteur n'était pas suivi et ne savait pas de quoi il parlait.

Regardez-vous avant de critiquer. Je vous propose d'éviter de répondre à mes messages, à moins que ce soit constructif et sans présupposition stupide digne d'une cours de maternelle. Suis-je bien clair ?
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IDEM :evil: je me croirais dans une cours de récré, je me demande quel âge vous avez !

Bon j'ai du taf moi...
 
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Sitar

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  • 8 Février 2012
  • #33
Oui, très probablement, sauf qu'avant vous étiez en cours de maternelle et là vous êtes dans la cours des grands. Quand on vous répond, ça fait plus mal. Au début ça choque, puis on comprend vite et on fait moins la maline en prenant les gens de haut. Je pense qu'au moins les choses sont bien claires entre nous, c'est déjà ça.
 
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Intemporelle

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  • 8 Février 2012
  • #34
Sitar à dit:
Oui, très probablement, sauf qu'avant vous étiez en cours de maternelle et là vous êtes dans la cours des grands. Quand on vous répond, ça fait plus mal. Au début ça choque, puis on comprend vite et on fait moins la maline en prenant les gens de haut. Je pense qu'au moins les choses sont bien claires entre nous, c'est déjà ça.
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Effectivement, nous n'avons rien en commun... :2: mais vraiment cela ne me pose aucun problème :lol:
 
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Oratorioo

Oratorioo

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  • 8 Février 2012
  • #35
papusza à dit:
Une interaction non emotionnelle cela existe t'il ?

Maitrisez vous parfaitement vos sourcils par exemple et votre patient ne saura t'il pas detecter un leger tressaillement de vos paupieres, un teint un peu plus pâle ou rouge, une crispation de doigts ?

Certains patients vont être centrés sur vous, ils risquent de remarquer beaucoup de choses.

Certes on ne vous demande pas de pleurer avec les gens (certes pourquoi pas ?); mais de ne pas être affecté au point d'en perdre toute lucidité.

L'emotion ça s'utilise... Evidemment en étant pas prisonnier de celle proposée. Cela nécessite de la souplesse d'esprit, ce qui est aussi important qu'un travail sur soi.

Ou le travail sur soi devrait permettre de l'acquérir.
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Message très intéressant Papusza.

En effet, comme le faisait remarquer Valikor, il ne s'agit pas de devenir une espèce d'éponge, dans ce cas le thérapeute ne tiendrait pas longtemps, mais l'empathie est autre chose que ça.
L'empathie, c'est comprendre ce que vit la personne, mais certainement pas de ressentir les mêmes émotions. Si c'est le cas, il s'agirait plutôt alors de "sympathie". Rogers parlait également d'identification, et bien sûr tout ça n'est pas très bon pour le thérapeute.

Je suis bénévole depuis plus de deux ans maintenant dans un centre de crise et de prévention du suicide. On reçoit des appels de tous ordres.
C'est une école extraordinaire pour apprendre à désamorcer rapidement une situation difficile avec comme outil principal l'écoute active, l'écoute centrée sur la personne.
On apprend aussi rapidement, si l'on veut continuer à faire ce travail sans ruiner sa santé, à ne pas pratiquer cette fameuse identification tout en restant empathique et authentique...
 
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Marc1963

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  • 8 Février 2012
  • #36
oratorioo à dit:
En effet, comme le faisait remarquer Valikor, il ne s'agit pas de devenir une espèce d'éponge, dans ce cas le thérapeute ne tiendrait pas longtemps, mais l'empathie est autre chose que ça.
L'empathie, c'est comprendre ce que vit la personne, mais certainement pas de ressentir les mêmes émotions. Si c'est le cas, il s'agirait plutôt alors de "sympathie". Rogers parlait également d'identification, et bien sûr tout ça n'est pas très bon pour le thérapeute.
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Salut Oratorio,

Cela indique une non implication de l'affect du thérapeute.

La thérapie ne saurait-elle pas beaucoup plus efficace avec l'implication de l'affect du thérapeute durant la séance ?

Bien entendu, pour éviter l'épuisement du thérapeute, les patients ne devraient s'enchaîner les uns derrières les autres. De plus, les magnétiseurs avaient un rituel qui consiste à se laver les mains aussi bien physiquement que psychiquement à la fin de la séance.
 
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valikor

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  • 9 Février 2012
  • #37
Marc1963 à dit:
oratorioo à dit:
En effet, comme le faisait remarquer Valikor, il ne s'agit pas de devenir une espèce d'éponge, dans ce cas le thérapeute ne tiendrait pas longtemps, mais l'empathie est autre chose que ça.
L'empathie, c'est comprendre ce que vit la personne, mais certainement pas de ressentir les mêmes émotions. Si c'est le cas, il s'agirait plutôt alors de "sympathie". Rogers parlait également d'identification, et bien sûr tout ça n'est pas très bon pour le thérapeute.
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Salut Oratorio,

Cela indique une non implication de l'affect du thérapeute.

La thérapie ne saurait-elle pas beaucoup plus efficace avec l'implication de l'affect du thérapeute durant la séance ?

Bien entendu, pour éviter l'épuisement du thérapeute, les patients ne devraient s'enchaîner les uns derrières les autres. De plus, les magnétiseurs avaient un rituel qui consiste à se laver les mains aussi bien physiquement que psychiquement à la fin de la séance.
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non la thérapie ne serait aps plus efficace, au contraire, en s'impliquant beaucoup, le thérapeute se met la pression piètre modèle pour les patients qui se la mettent déjà bien trop..... et qui souvent ont trop d'empathie....
 
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Molaco

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  • 9 Février 2012
  • #38
Pour donner mon avis, je pense que l'"effet éponge" cher à Valikor '(et véridique !) n'est pas vraiment ....

Pour avoir connu des états d'empathie modifiés (lol); une empathie pathologique(qui en général trouve son origine qqpart) en qque sorte, je pense que c'est dommageable même si c'est le terreau d'une grande qualité : la compréhension de l'autre.

Toutesfois je suis pour ma part passé par diffèrentes phases :-/

Pour moi il est évident que la méditation en trôtre m'eut été salvateur ...

C'est comme tout, si on donne de manière maladive, ce don a peu de valeur, et on se retrouvera vite dépouillé.
Si en revanche on contrôle ça, c'est à dire qu'on peut donner dans une réelle démarche de choix, et équilibrée, savoir donner et savoir ne pas donner (meme si ça pique encore (et je m'en réjouis, j'ai eu peur à un moment donné de ne plus avoir ces émotions ... question de contraste)); et par là même ça devient un vrai don; tout comme l'attention indivisée accordée à l'Autre.
 
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Anthony17

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  • 9 Février 2012
  • #39
trop d'empathie tue le thérapeute....
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l'empathie n'est pas la sympathie, on comprend le sujet sans pour autant adhéré à ses idées, ses pensées, et ses émotions, il faut savoir faire le tri sur l'autre tout en restant professionnel et respecter le savoir être ericksonien pour les praticien en hypnose ericksonienne...
 
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surderien

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  • 9 Février 2012
  • #40
Anthony17 à dit:
trop d'empathie tue le thérapeute....
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l'empathie n'est pas la sympathie, on comprend le sujet sans pour autant adhéré à ses idées, ses pensées, et ses émotions, il faut savoir faire le tri sur l'autre tout en restant professionnel et respecter le savoir être ericksonien pour les praticien en hypnose ericksonienne...
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oui, il faut savoir être dans le savoir faire, tout en restant dans le savoir être !

et dans l'inverse simultanément.

Là est peut-être le secret de l' ericksonisme !

 
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Ivan Schmitt

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  • 9 Février 2012
  • #41
Concernant la synchro et l'empathie...
Il y a peut-être quelques précisions qu'on pourrait apporter...
D'abord, il faut distinguer la synchro de la synchro-conduite. De fait, on pourrait peut-être donner un autre nom à la synchro : la synchro-suiveur ? syncho-suivance ? Synchro-suivage... Bref, je ne suis pas sûr qu'une synchro authentique existe... et même, je me demande si deux personnes totalement en synchro n'en viendrait pas, tout simplement, à se figer (c'est horrible...)
Ensuite, pour l'empathie. La PNL nous dit quelque chose comme : voilà enfin un truc pour être empathique : la synchro ! Bon... Mais c'est quoi l'empathie ? Comprendre l'autre ? Se mettre à sa place ? Ressentir ce qu'il ressent ? Carls Rogers, le grand spécialiste de l'empathie faisait autre chose que cela. Je crois qu'il était capable de bien suivre et de bien comprendre les émotions de l'autre... mais sa visée première était autant de recadrer les personnes qu'il suivait... peut-être par un trop plein de compréhension.... Etait-il, de fait, complètement empathique ?
Je ne sais pas ce que vous en pensez mais mon avis sur la question se résumerait plutôt par ce que j'appelle la "gestion de la distance"... Parfois plus près, parfois plus loin. Parfois au-dessus, parfois en dessous... Centré sur les émotions, ou pas... Ici ou là... et ailleurs parfois...
En fait, ça dépend surtout du moment. L'art de la thérapie, est de bien savoir, à quel moment, il faut utiliser quelle bonne manière... d'entrer et de rester en relation avec l'autre... ou au contraire, s'éloigner.
Ce que j'appelle "gestion de la distance" évite d'ailleurs bien des conflits. Voilà de quoi méditer pour certains...
 
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Ivan Schmitt

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  • 9 Février 2012
  • #42
Triggermind à dit:
Anthony17 à dit:
Est ce plus efficace?
Oui pour les suggestions directes, mais ce sera le plus souvent limité dans le temps et on assistera aux mêmes problèmes d'échappement que lorsque l'on traitait ainsi les névroses hystériques au 19ème siècle.
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@triggermind Les suggestions indirects en transe profonde auraient donc plus d'efficacité sur un traitement réussi dans le temps, que des suggestions direct?
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On ne peut plus se permettre de raisonner sur l'hypnose simplement en opposant les suggestions directes ou "indirectes".

En hypnose, on s'adresse directement à l'inconscient, et partant du principe que toute expérience vécue dans l'inconscient est validée comme si elle était réelle, on peut aller très vite en thérapie.

En une séance d'une heure et demie à deux heures, vous pouvez utiliser les théories psychanalytiques, comportementale, cognitive, qui s'affrontent habituellement dans les diverses écoles mais qui contiennent toutes pourtant une part de vérité.

On y ajoute aussi les fameuses suggestions directes et, une spécificité qui nous vient d'Erickson, la possibilité de laisser à l'inconscient la chance de découvrir sa propre solution au problème, la solution étant en nous, par l'orientation de l'inconscient vers ce problème et la métaphore.

Pour être plus clair, en pratique, sur une phobie on peut commencer par une régression pour en découvrir la cause (Approche psychanalytique),
qu'on la retrouve ou non on peut aussi travailler sur le principe d'inhibition réciproque (Approche comportementaliste) en dissociation, c'est le principe de la projection sur un écran de cinéma, pendant qu'un double regarde le film de la phobie, l'autre double vit des émotions incompatibles,
on peut aussi utiliser la régression dissociée et la remodélisation de l'histoire de vie (Approche cognitive)...

Et enfin les suggestions directes et la projection dans l'avenir...
Qui consolident si nécessaire le changement immédiat.

Cerise sur le gâteau, on peut proposer de façon Ericksonienne à l'inconscient de ne garder que ce qui lui est adapté ou utile.

Tout ceci est évidemment très incomplet et réducteur, mais permet de comprendre pourquoi l'hypnose est un outil rapide (Thérapie brève) et performant.

J'en profite pour répondre à une question de Castorix qui,dans un autre topic, demandait combien de temps et quelles techniques cognitivo comportementalistes étaient enseignées dans une école d'hypnose.

Je pense que peu importe que l'on y passe 10 heures ou 300 heures,
l'important est d'en connaître les bases et de savoir adapter ces théories au travail en état d'hypnose.
La connaissance est nécessaire et indispensable, elle sera toujours limitée, mais en hypnose la créativité et l'imagination sont des qualités primordiales, qui elles sont illimités.
En hypnose on utilise bien sur les avancées que les théories cognitivo comportementalistes ont permis dans la compréhension de notre fonctionnement psychique, mais les techniques sont évidemment sensiblement différentes. Le fameux "contrat" avec le patient, par exemple, n'est pour ma part quasiment jamais utilisé.
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Excellent post trigger, effectivement.
Reste la vraie question : je commence avec quoi, à quel moment et dans quel cas ?
Mais c'est ainsi qu'au fil du temps, l'expérience fabrique de bons thérapeutes. L'essentiel, est souvent d'avoir plus d'une corde à son arc, non ?
;-)
 
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Intemporelle

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  • 9 Février 2012
  • #43
Ivan.67 à dit:
Triggermind à dit:
Anthony17 à dit:
Est ce plus efficace?
Oui pour les suggestions directes, mais ce sera le plus souvent limité dans le temps et on assistera aux mêmes problèmes d'échappement que lorsque l'on traitait ainsi les névroses hystériques au 19ème siècle.
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@triggermind Les suggestions indirects en transe profonde auraient donc plus d'efficacité sur un traitement réussi dans le temps, que des suggestions direct?
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On ne peut plus se permettre de raisonner sur l'hypnose simplement en opposant les suggestions directes ou "indirectes".

En hypnose, on s'adresse directement à l'inconscient, et partant du principe que toute expérience vécue dans l'inconscient est validée comme si elle était réelle, on peut aller très vite en thérapie.

En une séance d'une heure et demie à deux heures, vous pouvez utiliser les théories psychanalytiques, comportementale, cognitive, qui s'affrontent habituellement dans les diverses écoles mais qui contiennent toutes pourtant une part de vérité.

On y ajoute aussi les fameuses suggestions directes et, une spécificité qui nous vient d'Erickson, la possibilité de laisser à l'inconscient la chance de découvrir sa propre solution au problème, la solution étant en nous, par l'orientation de l'inconscient vers ce problème et la métaphore.

Pour être plus clair, en pratique, sur une phobie on peut commencer par une régression pour en découvrir la cause (Approche psychanalytique),
qu'on la retrouve ou non on peut aussi travailler sur le principe d'inhibition réciproque (Approche comportementaliste) en dissociation, c'est le principe de la projection sur un écran de cinéma, pendant qu'un double regarde le film de la phobie, l'autre double vit des émotions incompatibles,
on peut aussi utiliser la régression dissociée et la remodélisation de l'histoire de vie (Approche cognitive)...

Et enfin les suggestions directes et la projection dans l'avenir...
Qui consolident si nécessaire le changement immédiat.

Cerise sur le gâteau, on peut proposer de façon Ericksonienne à l'inconscient de ne garder que ce qui lui est adapté ou utile.

Tout ceci est évidemment très incomplet et réducteur, mais permet de comprendre pourquoi l'hypnose est un outil rapide (Thérapie brève) et performant.

J'en profite pour répondre à une question de Castorix qui,dans un autre topic, demandait combien de temps et quelles techniques cognitivo comportementalistes étaient enseignées dans une école d'hypnose.

Je pense que peu importe que l'on y passe 10 heures ou 300 heures,
l'important est d'en connaître les bases et de savoir adapter ces théories au travail en état d'hypnose.
La connaissance est nécessaire et indispensable, elle sera toujours limitée, mais en hypnose la créativité et l'imagination sont des qualités primordiales, qui elles sont illimités.
En hypnose on utilise bien sur les avancées que les théories cognitivo comportementalistes ont permis dans la compréhension de notre fonctionnement psychique, mais les techniques sont évidemment sensiblement différentes. Le fameux "contrat" avec le patient, par exemple, n'est pour ma part quasiment jamais utilisé.
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Excellent post trigger, effectivement.
Reste la vraie question : je commence avec quoi, à quel moment et dans quel cas ?
Mais c'est ainsi qu'au fil du temps, l'expérience fabrique de bons thérapeutes. L'essentiel, est souvent d'avoir plus d'une corde à son arc, non ?
;-)
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Oui Triggermind excelle dans son art, mais surtout celui de le communiquer de façon claire et pertinente.

Ivan vos commentaires sont également très justes, car l'expérience et plusieurs cordes à son arc font qu'on ne se pose plus ce que vous appelez la vraie question...
 
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Ivan Schmitt

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  • 9 Février 2012
  • #44
Pour répondre à Anthony17,
combien de temps le conscient est t'il occupé ?
Il n'y a pas scission nette entre le conscient et l'inconscient. On occupe le conscient pour l’empêcher de résister... On pourrait aussi dire : relâche toi, détend toi, laisse toi aller...
Si le truisme n'était pas bon le conscient filtrerai et l'inconscient ne recevrais pas la suggestion qui suit ?
L'inconscient reçoit toujours la suggestion, mais la conscience garderait le contrôle sur ce qui se passe. Il n'y aurait donc pas d'hypnose
L'inconscient reçoit toute la phrase ou seulement la suggestion qui suit le truisme, vu que vous n'avez pas l'air d'accord sur ce détail.
L'inconscient reçoit toujours toute la phrase. Mais si l'objectif est de faire que l'inconscient prennent les rennes, alors c'est plutôt la deuxième partie de la phrase qui va provoquer cela. Dans ce sens, la deuxième partie de la phrase est la suggestion qui vise l'inconscient.
A la fin du compte, votre question renvoie à une autre que j'avais déjà abordé : les distinctions fines entre conscient et inconscient ....mais c'est une autre histoire
Je voudrai bien le liens
Une bonne partie était résumée ici :
https://www.transe-hypnose.com/sujet/et-si-linconscient-nexistait-pas.4445/

@Triggermind Les suggestions indirects en transe profonde auraient donc plus d'efficacité sur un traitement réussi dans le temps, que des suggestions direct?
Vous pouvez aider quelqu'un à changer en lui collant une baffe
Ou alors lui expliquer ce qui ne va pas. A la fin du compte, qu'est-ce qui sera le plus efficace ?
 
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Ivan Schmitt

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  • 9 Février 2012
  • #45
Intemporelle à dit:
Ivan vos commentaires sont également très justes, car l'expérience et plusieurs cordes à son arc font qu'on ne se pose plus ce que vous appelez la vraie question...
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Certainement... ;-)
 
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Triggermind

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  • 9 Février 2012
  • #46
Ivan.67 à dit:
Reste la vraie question : je commence avec quoi, à quel moment et dans quel cas ?
Mais c'est ainsi qu'au fil du temps, l'expérience fabrique de bons thérapeutes. L'essentiel, est souvent d'avoir plus d'une corde à son arc, non ?
;-)
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Un des problèmes pour l'évaluation de l'hypnose et de ses techniques c'est que l'on ne dispose pas d'études randomisées en double aveugle contre placébo, j'y reviendrai dans un autre topic dès que j'en aurais le temps,
et comme chacun travaille de façon très différente et sur un éventail de pathologies plus ou moins large (Souvent plutôt étroit!), il est assez difficile de proposer une stratégie thérapeutique...

Pour ma part, je tente le plus souvent possible une hypnoanalyse en début de séance, et je termine par des suggestions directes.
Entre les deux, c'est selon les cas mais j'utilise fréquemment plus d'une technique.
 
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valikor

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  • 10 Février 2012
  • #47
Triggermind à dit:
Ivan.67 à dit:
Reste la vraie question : je commence avec quoi, à quel moment et dans quel cas ?
Mais c'est ainsi qu'au fil du temps, l'expérience fabrique de bons thérapeutes. L'essentiel, est souvent d'avoir plus d'une corde à son arc, non ?
;-)
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Un des problèmes pour l'évaluation de l'hypnose et de ses techniques c'est que l'on ne dispose pas d'études randomisées en double aveugle contre placébo, j'y reviendrai dans un autre topic dès que j'en aurais le temps,
et comme chacun travaille de façon très différente et sur un éventail de pathologies plus ou moins large (Souvent plutôt étroit!), il est assez difficile de proposer une stratégie thérapeutique...

Pour ma part, je tente le plus souvent possible une hypnoanalyse en début de séance, et je termine par des suggestions directes.
Entre les deux, c'est selon les cas mais j'utilise fréquemment plus d'une technique.
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attendu que le thérapeute fait partie de l'expérience, c'est effectivement plutot difficile...
Il faut juste le prendre en compte et plutot valider des stratégies de thérapies...
 
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jeangeneve

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là bas,
  • 10 Février 2012
  • #48
de là a faire des robots thérapeutes...
 
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Triggermind

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  • 10 Février 2012
  • #49
valikor à dit:
attendu que le thérapeute fait partie de l'expérience, c'est effectivement plutot difficile...
Il faut juste le prendre en compte et plutot valider des stratégies de thérapies...
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Effectivement, c'est pour cela qu'il était difficile de répondre à la question soulevée par Yvan sur la technique à employer en premier et quand l'employer.

La dictature des études en double aveugle contre placébo ne se justifie déjà pas pour les molécules, même l'industrie pharmaceutique commence à être gênée par ce carcan qu'elle a pourtant imposé:
https://www.transe-hypnose.com/foru... topic: [URL]https://www.transe-hypnose.com/

L'hypnose est un moyen extraordinaire de stimuler les mécanismes d'auto guérison, bien plus puissant que l'effet placébo, et il faudrait que l'on démontre que ses indications ne se limitent pas aux problèmes psychiques, ou psychosomatiques quand le terme est employé dans un sens réducteur.
 
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Molaco

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  • 10 Février 2012
  • #50
des thérapeutes robots
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Oui ce serait horrible, et c'est pareil pour plein de domaine (des domaines techniques, au pilotage d'avion en passant par les arts martiaux), plus on applique des protocoles sans adaptivité, plus on risque de se détacher de la situation réelle.

Sentir.

Une synchro consciente ne mènerais nulle part je pense. Dire qu'elle existe ou non me semble hors de propos.

Juste à regarder autour de nous.

Pour moi en être partiellement (et de moins en moins) consciennt permet juste de poser des jalons, de moins se laisser happer par qqchose qui nous échappe sinon; de devenir à un niveau supplémentaire plus acteur encore. C'est sur que de jouer le mime au lieu d'investir pleinement la communication serait plus dommageable que d'agir sans y penser..; même s'il faut probablement passer par là pour une bonne maitrise.
 
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Intemporelle

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  • 10 Février 2012
  • #51
Triggermind à dit:
L'hypnose est un moyen extraordinaire de stimuler les mécanismes d'auto guérison, bien plus puissant que l'effet placébo, et il faudrait que l'on démontre que ses indications ne se limitent pas aux problèmes psychiques, ou psychosomatiques quand le terme est employé dans un sens réducteur.
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Et bien je ne trouve pas cela réducteur, bien au contraire, car si on met de côté l'aspect psychique et psychosomatique, que reste t-il ? puisque pour moi tout symptôme est déclenché par l'un de ses aspects.
 
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valikor

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  • 10 Février 2012
  • #52
Intemporelle à dit:
Triggermind à dit:
L'hypnose est un moyen extraordinaire de stimuler les mécanismes d'auto guérison, bien plus puissant que l'effet placébo, et il faudrait que l'on démontre que ses indications ne se limitent pas aux problèmes psychiques, ou psychosomatiques quand le terme est employé dans un sens réducteur.
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Et bien je ne trouve pas cela réducteur, bien au contraire, car si on met de côté l'aspect psychique et psychosomatique, que reste t-il ? puisque pour moi tout symptôme est déclenché par l'un de ses aspects.
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développer ses capacités, se débarrasser des allergies...
stimuler son système immunitaire contre une maladie...
exemple : en formation, en 2006, qqn a fait de l'autohypnose contre le chikungunya... (il avait été piqué par le moustique) il s'en ai bien mieux sorti que ses voisins....
 
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Intemporelle

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  • 10 Février 2012
  • #53
valikor à dit:
Intemporelle à dit:
Triggermind à dit:
L'hypnose est un moyen extraordinaire de stimuler les mécanismes d'auto guérison, bien plus puissant que l'effet placébo, et il faudrait que l'on démontre que ses indications ne se limitent pas aux problèmes psychiques, ou psychosomatiques quand le terme est employé dans un sens réducteur.
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Et bien je ne trouve pas cela réducteur, bien au contraire, car si on met de côté l'aspect psychique et psychosomatique, que reste t-il ? puisque pour moi tout symptôme est déclenché par l'un de ses aspects.
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développer ses capacités, se débarrasser des allergies...
stimuler son système immunitaire contre une maladie...
exemple : en formation, en 2006, qqn a fait de l'autohypnose contre le chikungunya... (il avait été piqué par le moustique) il s'en ai bien mieux sorti que ses voisins....
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A qui répondez vous Valikor, je suppose à moi, puisque vous reprenez mon texe, si c'est le cas, je ne comprends pas votre réponse ... :shock:

Car il est évident que l'auto hypnose fonctionne... je n'ai jamais dit le contraire ou alors je me suis mal exprimée dans mon message... d'ailleurs pour moi les allergies sont très souvents psychosomatiques... sauf bien sûr si on est exposé à un produit toxique de façon prolongée, à la longue on peut développer une déficience pulmonaire voire plus...
 
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Triggermind

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  • 11 Février 2012
  • #54
Intemporelle à dit:
Triggermind à dit:
L'hypnose est un moyen extraordinaire de stimuler les mécanismes d'auto guérison, bien plus puissant que l'effet placébo, et il faudrait que l'on démontre que ses indications ne se limitent pas aux problèmes psychiques, ou psychosomatiques quand le terme est employé dans un sens réducteur.
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Et bien je ne trouve pas cela réducteur, bien au contraire, car si on met de côté l'aspect psychique et psychosomatique, que reste t-il ? puisque pour moi tout symptôme est déclenché par l'un de ses aspects.
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Et voila, quand le temps manque on écrit trop vite, et cela peut mener au contresens...

Il fallait lire les indications ne se limitent pas aux problèmes psychosomatiques, quand le terme psychosomatique est employé dans un sens réducteur.
C'est un terme fréquemment employé en médecine, notamment dans des services hospitaliers très techniques, pour négliger un symptôme ou une plainte du patient qui semble sortir du cadre de sa pathologie: "Oh ce n'est rien, cela doit être psychosomatique."
Bien au contraire, il me semble évident que les mécanismes psychosomatiques sont au premier plan tant au niveau des facteurs de risque de maladie que des processus de guérison.
 
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Intemporelle

Invité
  • 11 Février 2012
  • #55
Triggermind à dit:
Intemporelle à dit:
Triggermind à dit:
L'hypnose est un moyen extraordinaire de stimuler les mécanismes d'auto guérison, bien plus puissant que l'effet placébo, et il faudrait que l'on démontre que ses indications ne se limitent pas aux problèmes psychiques, ou psychosomatiques quand le terme est employé dans un sens réducteur.
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Et bien je ne trouve pas cela réducteur, bien au contraire, car si on met de côté l'aspect psychique et psychosomatique, que reste t-il ? puisque pour moi tout symptôme est déclenché par l'un de ses aspects.
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Et voila, quand le temps manque on écrit trop vite, et cela peut mener au contresens...

Il fallait lire les indications ne se limitent pas aux problèmes psychosomatiques, quand le terme psychosomatique est employé dans un sens réducteur.
C'est un terme fréquemment employé en médecine, notamment dans des services hospitaliers très techniques, pour négliger un symptôme ou une plainte du patient qui semble sortir du cadre de sa pathologie: "Oh ce n'est rien, cela doit être psychosomatique."
Bien au contraire, il me semble évident que les mécanismes psychosomatiques sont au premier plan tant au niveau des facteurs de risque de maladie que des processus de guérison.
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Vous avez raison parfois il faut reformuler car le contresens ou l'incomréphension est vite arrivé... :wink:

J'ai souvent entendu dire que les généralistes "c'est psychosomatique", oui et alors ...justement, que se cache t-il derrière tout ça...

Un truc aussi qui me met hors de moi, que ce soit personnellement, ou bien ceux qui me parlent de leurs souffrances, et qui me disent oui le médecin m'a dit que : " ma mère ou mon père a eu tel problème à tel âge, alors c'est hériditaire, et j'aurais la même chose, mais quelle erreur gravissime... le psychisme ancre cette idée qu'il est condamné, alors vous connaissez la suite...

J'ai un ami actuellement qui a une poussée d'hypertension, (le père de cet ami est mort jeune d'un problème cardiaque, je ne connais pas exactement les conditions), depuis que son médecin lui a dit en sous entendu que c'est hériditaire, la santé de mon ami se dégrade, il se trouve des tas de symptômes, voilà le travail !!! :?
 
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surderien

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  • 11 Février 2012
  • #56
ce qui est héréditaire, inscrit dans la généalogie familiale éducationnelle, c'est de négliger son hypertension familiale en n'adoptant pas une hygiène de vie et les propositions d'éducation thérapeutique de la médecine !

si la majorité des gens sont conditionnés par le génétique et l'héréditaire, c'est la faute des médias qui s'en sont persuadés

mais les médias sont là pour rendre malade et imposer aux médecins leur vision des choses !

Difficile d'aller contre l'avis des médias

c'est le risque que celui ci l'emporte aussi sur les forum publics...

mais vous direz que ce sont les médecins qui s' imposent aux médias...

un système sans fin, comme d'hab !

:cry:
 
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Intemporelle

Invité
  • 11 Février 2012
  • #57
surderien à dit:
ce qui est héréditaire, inscrit dans la généalogie familiale éducationnelle, c'est de négliger son hypertension familiale en n'adoptant pas une hygiène de vie et les propositions d'éducation thérapeutique de la médecine !

si la majorité des gens sont conditionnés par le génétique et l'héréditaire, c'est la faute des médias qui s'en sont persuadés

mais les médias sont là pour rendre malade et imposer aux médecins leur vision des choses !

Difficile d'aller contre l'avis des médias

c'est le risque que celui ci l'emporte aussi sur les forum publics...

mais vous direz que ce sont les médecins qui s' imposent aux médias...

un système sans fin, comme d'hab !

:cry:
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J'ai obligé de préciser que mon ami a une bonne hygiène de vie, alimentation saine, sportif, une vie familiale normale, pas de problème d'argent, bref des soucis banals comme tout un chacun je dirais.... à moins que cette hypertension le ramène inconsciemment à l'époque où son père se trouvait malade, (âge actuel de mon ami) alors on pourrait dire que des émotions refoulées agiraient comme une alerte de qqchose non réglée émotionnellement... (il est vrai que mon interprétation personnelle va dans ce sens)...

Et pour répondre à votre message, oui si seulement, l'individu pouvait seulement réfléchir par lui même, oui mais pour cela il faut être un adulte responsable... :roll:
 
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xorguina

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  • 11 Février 2012
  • #58
Et s'il n'y a pas de problèmes sur l'hygiène de vie mais que la maldie est là pourquoi rejeter la faute aux médias, aux médecins, aux croyances ?

Dans mon reportage on peut voir que certains traumas, stress sont photographiés et donc identifiés dans les générations, c'est donc un fait.


Il nous faut donc maintenant nous concentrer à comment faire réagir le médecin intérieur de l'individu en l'aidant à retrouver ses propres ressources intérieures.
 
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castorix

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  • 13 Février 2012
  • #59
Bonsoir,

HYPNOMED à dit:
Personnellement je préfère la thérapie psychodynamique qui permet de se laisser conduire plus globalement par ses pensées et ses sentiments, que la TCC dirigée vers des résultats pré-définis.
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Je me permets de proposer ma vision : ce serait un préjugé que cette opinion sur les TCC...

Je peux en parler, je l'avais attrapé moi aussi dans le passé, et ça ne fait pas si longtemps que cela que j'en suis guéri :wink:

En effet tant que l'on ne connaît pas bien, on peut entendre beaucoup de choses infondées.

A présent je vois cela comme une boîte à outils (image banale et usée certes) dont je n'emploie chaque accessoire, que lorsque cela me convient ; mais j'ajoute que l'étude des TCC m'a donné des éclairages que je n'avais pas, alors même que je tenais compte de mes acquis en psychanalyse et (surtout) en thérapie systémique, en thérapies brèves solutionnistes en général.

C'est dans la prise en charge des psychoses que les TCC m'apportent finalement le plus de soutien (que je ne trouvais pas par ailleurs), par des modélisations novatrices, tenant compte au passage des évolutions scientifiques acquises ces 40 dernières années...

Et pour illustrer encore, dans un autre domaine, mentionnons la prise en charge de l'autisme sévère : les méthodes des hypnothérapeutes n'y ont pas beaucoup d'apport (au-delà de la connaissance de la communication), mais les TCC ont permis de structurer de grandes voies désormais incontournables.
(je n'ose pas mentionner la psychanalyse freudienne ou lacanienne, de Winnicott et Bettelheim, dans ce domaine, d'autres l'ont fait).

Non rien de "prédéfini" heureusement, rien de "mécanique" ni "réducteur" dans ce que j'ai trouvé dans ces TCC...
 
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