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Blacksun
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curieuse à dit:Le problème, c'est que l'hypnose a déjà du mal a se faire accepter et n'a pas besoin de cette mauvaise pub qui risque de faire hésiter les futurs consultants ....
Métaphore à dit:curieuse à dit:Le problème, c'est que l'hypnose a déjà du mal a se faire accepter et n'a pas besoin de cette mauvaise pub qui risque de faire hésiter les futurs consultants ....
La mauvaise pub ? pas besoin d'aller bien loin, parcourez ce forum... :?
Leo Lavoie à dit:Alors Y'a eu abus, oui... Mais VIOL? Pas sûr du tout... :?: Faudrait savoir les détails.
Leo Lavoie à dit:Si elles étaient consententes alors il peut y avoir eu abus de pouvoir mais viol? Ce n'est pas un viol ça. Un abus sexuel et un viol ce n'est pas la même chose. Ça me fait suer moi cette confusion sur quelque chose qui crie à l'évidence.
Un viol c'est de forcer le rapport sexuel sans le consentement. Le viol est une agression sexuelle mais toutes les agressions sexuelles ne sont pas des viols. Par exemple si un triste sire tatonne les seins des passantes sans préambules alors il les agresse sexuellement sans que ce soit un viol. Si "tonton cochon" passe son temps à mettre ses gros doigts sale sur les fesses de sa nièce, ce n'est pas un viol mais une agression sexuelle.
Un abus, c'est de profiter d'un avantage, d'une position de force ou d'autorité ou, dans le cas des enfants, une simple séduction, pour obtenir un consentement à des actes sexuels qui ne serait pas vraiment consentis, ou dont le consentement n'est pas valide à cause de l'immaturité légale ou psychologique ou de la position psychologique de vulnérabilité. Si "tonton cochon" réussit à séduire sa nièce en carence affective en lui donnant de l'attention pour enfin avoir accès aux fesses tant convoitées par "tonton cochon" et qu'il y réussit avec le pseudo consentement de la nièce alors c'est un abus à moins que la nièce soit en âge de consentir et encore.
Donc il s'agit là d'un abus sexuel. Je ne dis pas que tout ça est une ou des définitions de loi, je dis qu'elles sont les définitions justes et rationelles.
Mais si on essaie de nous faire avaler la couleuvre que le consentement n'était pas valide parce que la personne était sous hypnose et qu'elle n'était donc pas consciente de ce qu'elle faisait parce que "sous hypnose on est pas conscient de ce qui se passe", et que cela équivaut à droguer une personne pour la violer, alors y'a des juges qui devraient s'éduquer sur l'hypnose avant de rendre des jugements basés sur des faussetés véhiculées par l'opinion populaire. Et cela représente une jurisprudence très très périlleuse pour l'hypnose et la société. C'est pour cela que les détails sont importants à savoir.
nate à dit:Leo Lavoie à dit:Si elles étaient consententes alors il peut y avoir eu abus de pouvoir mais viol? Ce n'est pas un viol ça. Un abus sexuel et un viol ce n'est pas la même chose. Ça me fait suer moi cette confusion sur quelque chose qui crie à l'évidence.
Un viol c'est de forcer le rapport sexuel sans le consentement. Le viol est une agression sexuelle mais toutes les agressions sexuelles ne sont pas des viols. Par exemple si un triste sire tatonne les seins des passantes sans préambules alors il les agresse sexuellement sans que ce soit un viol. Si "tonton cochon" passe son temps à mettre ses gros doigts sale sur les fesses de sa nièce, ce n'est pas un viol mais une agression sexuelle.
Un abus, c'est de profiter d'un avantage, d'une position de force ou d'autorité ou, dans le cas des enfants, une simple séduction, pour obtenir un consentement à des actes sexuels qui ne serait pas vraiment consentis, ou dont le consentement n'est pas valide à cause de l'immaturité légale ou psychologique ou de la position psychologique de vulnérabilité. Si "tonton cochon" réussit à séduire sa nièce en carence affective en lui donnant de l'attention pour enfin avoir accès aux fesses tant convoitées par "tonton cochon" et qu'il y réussit avec le pseudo consentement de la nièce alors c'est un abus à moins que la nièce soit en âge de consentir et encore.
Donc il s'agit là d'un abus sexuel. Je ne dis pas que tout ça est une ou des définitions de loi, je dis qu'elles sont les définitions justes et rationelles.
Mais si on essaie de nous faire avaler la couleuvre que le consentement n'était pas valide parce que la personne était sous hypnose et qu'elle n'était donc pas consciente de ce qu'elle faisait parce que "sous hypnose on est pas conscient de ce qui se passe", et que cela équivaut à droguer une personne pour la violer, alors y'a des juges qui devraient s'éduquer sur l'hypnose avant de rendre des jugements basés sur des faussetés véhiculées par l'opinion populaire. Et cela représente une jurisprudence très très périlleuse pour l'hypnose et la société. C'est pour cela que les détails sont importants à savoir.
Je suis d’accord avec vous sur « l’infime nuance » entre l’abus de pouvoir à des fins sexuel et le viol à proprement parlé : « j’te prends de force, j’te viol et tu la ferme !!! », Mais malgré tout, que ce soit tonton cochon qui abuse de son pouvoir pour impressionner sa nièce (tétanisée de peur de honte et de culpabilité), afin d’arrivée à ses fin(e)s (fesses), ou un hypnothérapeute qui joue d’influence auprès de ses patientes, ça n’est peut être pas le même degrés mais pour moi ça reste un VIOL.
surderien à dit:Et s'il y a des juges véreux, il y a aussi des thérapeutes véreux...
C'est évident...
Ils sont rares dans l'une et l'autre discipline...
??? :roll:
et alors si on a plus confiance dans le sommet de la justice c'est qu'il faut aussi flinguer le méta modèle ?
Ben parfois faudrait :? ...
nate à dit:" Pas d'accord... Cependant le sexe sans un consentement valide reste condamnable... Pour un abuseur, il peut y avoir un doute sur la validité du consentement mais il "agit" quand même. Ce serait alors l'équivalent d'une négligence criminelle. "
Négligence criminelle Pardon Léo Lavoie, d’accord sur le fait que le « Violeur Violant » et le « Violeur Abuseur » pourraient ne pas être condamnés à la même peine par rapport au degré de gravité de l’acte… Mais de là à parler de « Négligence » et pourquoi pas les plaindre et leur donner des circonstances atténuantes tant qu’on y est !!!
surderien à dit:Métaphore é dit :
L'hypnose est effectivement un régal pour ce genre d'affaire, car les juges qu'est ce qui y connaissent en hypnose ?
Dans une affaire le juge travaille dans un mode au dessus des deux partis
et se doit de se situer en décadrage du système...
et çà vous rappelle pas une situation en méta position par hasard ?
un avocat et un plaignant d'un côté / un avocat et un accusé de l'autre
A lui de faire la part des choses dans l'équilibre de la justice
L'ambiance des audiences est hautement hypnotique
le juge en est conscient et est formé à cela !
Et s'il y a des juges véreux, il y a aussi des thérapeutes véreux...
Ils sont rares dans l'une et l'autre discipline...
et alors si on a plus confiance dans le sommet de la justice c'est qu'il faut aussi flinguer le méta modèle ?
:shock: