antoine lagorce
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xorguina à dit:Oui, deux personnes par exemple vivent même traumatismes, ben il y en a un avec qui celà n'aura aucune incidence sur sa vie, alors que l'autre restera traumatisé et aura du mal à avancer, changer....
Mias je suis sûre que tu auras un lien ladessus que quelqu'un te partagera avec plus d'explication....surderien, valikor, intemporelle autres ? :wink:
Leo Lavoie à dit:xorguina à dit:Oui, deux personnes par exemple vivent même traumatismes, ben il y en a un avec qui celà n'aura aucune incidence sur sa vie, alors que l'autre restera traumatisé et aura du mal à avancer, changer....
Mias je suis sûre que tu auras un lien ladessus que quelqu'un te partagera avec plus d'explication....surderien, valikor, intemporelle autres ? :wink:
Voilà ce qu'est, pour moi, le vrai sens de la résilience. C'est simplement un état d'être inné... Parfois une sensibilité à la vie qui permet une grande intelligence, une facilité de connexion avec autrui, permettra aussi une grande névrose si l'enfant est dans un milieu le moindrement toxique ou juste disfonctionnel.
Oups, pardon léo, je t'ai oublié dans mes écrits, pas dans mes demandes :wink:
Un autre, parfois dans la même famille et le même milieu n'aura pas autant souffert de la toxicité familiale ou environnementale tout simplement par le fait d'avoir moins de finesse, de sensibilité, de facilité de connexion aux autres. Ceci dit, même juste sur le plan neurologique, on a pas tous la même "grande forme" en venant au monde aussi.
Tout cela juste pour dire que la résilience de l'adulte est très différente de celle de l'enfant... Même qu'une apparente résilience chez l'enfant peut vraiment être douteuse. C'est et ça sera toujours du cas par cas.
Ce que Métaporelle dit est aussi vrai au sujet de l'enfant intérieur... Ais-je dit "Métaporelle"??? Je voulais dire "Intemphore"... Euh non... "INTEMPORELLE"... Voilà... :roll: :lol: et oui elle dit pas QUE des conneries.
Il faut que vous aimiez et que vous écoutiez l'enfant intérieur en vous. Et c'est peut-être ce que vous faites un peu en venant ici chercher des ébauches d'aide.
Mais de vous dire cela comme ça, ne sert pas à grand chose. Il faut que ce soit répété en thérapie ou que ce soit répété en hypnose.
Mais il faut surtout que vous saisissiez bien le concept... On ne vous a pas bien expliqué on dirait.
Vous êtes arrivé à un certain équilibre bien relatif en le faisant taire... Mais on ne fait pas taire l'enfant intérieur indéfiniment. C'est impossible. Il faut, un jour ou l'autre, l'écouter et en prendre soin pour qu'il s'intègre à vous dans l'amour que l'on doit avoir pour soi même. De façon à ce qu'il grandisse en vous et que vous deveniez une personne plus entière en évolution dans la sérénité.
antoine lagorce à dit:Katia>
Ce que tu dis est intéressant, car justement, j'ai tendance, après un échec à essayer de trouver une solution.
Et c'est justement cela qui me fait tourner en rond, m'épuise,
réactive mes névrose et à la fin, je me lamente en en pensant à ce que je viens de perdre.
Je suis très obstiné, lâcher prise est très difficile pour moi.
antoine lagorce à dit:Katia>
Ce que tu dis est intéressant, car justement, j'ai tendance, après un échec à essayer de trouver une solution.
Et c'est justement cela qui me fait tourner en rond, m'épuise, réactive mes névrose et à la fin, je me lamente en en pensant à ce que je viens de perdre.
Je suis très obstiné, lâcher prise est très difficile pour moi.
Intemporelle à dit:antoine lagorce à dit:En effet, j'essaye aujourd'hui, comme je l'ai dit au paravent,
d'être heureux dans la réalité.
Mais on ne peut pas éviter les turpitude notre inconscient.
Ou est-ce le conflit inconscient/conscient?
Oui c'est le conflit intérieur, celui qui a envie d'aller mieux, d'être heureux et l'enfant intérieur qui est prisonnier d'un mal être.
C'est amusant cette histoire d'enfance pourrie, dans plusieurs script d'hypnose, on en appelle à "l'enfant intérieur" à "retrouver son enfance" pour aller mieux.
Chose qui n'a aucun sens pour moi, c'est dès que j'ai pu prendre mes décisions par moi-même que j'ai profité de la vie.
Non l'enfant intérieur ce n'est pas du tout ce que vous dites, l'enfant intérieur c'est justement cet enfant qu'on a oublié dans le passé...qui continue à souffrir à l'intérieur de vous.
En thérapie on parle d'état du Moi, cette partie inconsciente; il faut aller à sa rencontre en thérapie régressive,...
Normalement un tel état d'esprit devrait faire de moi un adulte épanoui,
contrairement à tous ces gens nostalgique de leur enfance.
Un adulte épanoui est un individu unifié, entier, l'être divisé intérieurement ne peut s'épanouir, il est souvent dissocié de sa souffrance, mais elle est toujours là et ne le rends pas heureux.
Prudence, le monde ne serait-il pas "pourri" parce que justement la majorité des gens passent leur temps à regarder derrière eux?
C'est souvent cette puérilité qui me fait le plus déprimer et c'est l'égocentrisme autoritaire,
comme celui d'un enfant qui semble sans arrêt s'opposer à moi, ou du moins, la crainte qu'on ne me l'oppose.
Je n'ai pas été entouré d'adultes très matures dans mon enfance, je pense que ça joue.
IL y a tellement de choses qui ne permettent pas à l'enfant de grandir de façon équilibrée. Alors il adopte des comportements erronés qui lui permettent de grandir et à l'âge adulte, ses croyances négatives le bloque pour être épanoui...
surderien à dit:Dans son présent tourné vers le futur...
Des outils pour être tourné vers son futur...
Dans un présent toujours bien tourné...
Quels que soient les rebondissements...
Intemporelle à dit:Si vos problèmes d'enfant prenne le dessus sur votre vie d'adulte, c'est qu'il est urgent d'aller chercher cet enfant intérieur et de le sécuriser...et tout seul c'est pas simple... Encore une fois je suis étonnée que votre hypno ne vous ai pas expliqué tout ça...
Si j'ai bien compris vous avez trouvé un répit pendant vos études,(Pourquoi, quand j'étais étudiant, mon esprit était-il apaisé?) et si vous vous replongiez dans cette période pour ramener avec vous toutes ces possibilités et ces émotions positives... :roll:
antoine lagorce à dit:Je ne peux évidemment pas m'imaginer à quoi ressemble une enfance heureuse.
Pour moi l'enfance c'est l'ennuie, la tristesse et peut être 2-3 moments plaisants,
comme heureusement il y en a pour survivre.
Que FONT pratiquement ces fameux parents compétents?
Je ne peux pas comprendre, j'ai besoin d'exemples concrets.
Faire les magasins ensemble?
Les scènes de famille des pubs pour les assurances ou la guimauve des sitcoms?
c'est tout ce que "des parents adéquats" évoque en moi.
Peut être que nous avons une incompatibilité d'humeur tout simplement,
nous nous en apercevons à chaque fois qu'on est ensemble.
"j'avais oublié comme il était chiant" dit mon père à chaque fois.
antoine lagorce à dit:J'ai enregistré un script que j'ai inventé pendant une crise d'images récurrentes provoquée par une scène très dure dans un film.
Je commence par me remémorer la scène.
Ensuite je me place comme réalisateur de la scène, les protagonistes sont des acteurs.
Je leur donne des indications pour transformer la scène en scène comique. Silence plateau, moteur, action.
Tout se déroule comme prévu, la scène n'est plus obscène.
Puis, même protocole, les acteurs écoutent.
Je réécris la scène, je leur indique un message positif, la scène n'a plus le même sens.
La séquence est positive, porte un message de douceur il n'y a plus de violence.
Deuxième séquence du script, je monte le film, je sais que c'est la dernière prise qui est la bonne.
Je vois le film, il est très fort et positif.
Il ne reste que quelques images de mauvaise qualité des autres prises.
Je ne me souviens plus ce que je fais de la pellicule de ces prises.
Je n'ai pas encore essayé, mais je me demande si ça peut avoir une fonction de changement.
à vrai dire j'avais peur que ça ne fasse qu'ensevelir le problème.
Est-ce que ça marcherait pour des représentations ou des moments traumatisants vraiment vécus?
antoine lagorce à dit:Tout ça n'a plus grand chose à voir avec la question originale:
Comment faire disparaître une pensée traumatisante, ou du moins comment la relativiser?
C'est souvent comme ça que se passe une séance de Psy, d'ailleurs.
Merci à tous.
antoine lagorce à dit:Tout ça n'a plus grand chose à voir avec la question originale:
Comment faire disparaître une pensée traumatisante, ou du moins comment la relativiser?
C'est souvent comme ça que se passe une séance de Psy, d'ailleurs.
Merci à tous.