antoine lagorce
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En gros, oui, ça peut.Ivan.67 à dit:Bien que je n’aie pas vraiment lu toutes les 13 pages qui précèdent, j'avais envie de proposer une autre approche du problème. D'abord j'aimerais attirer l'attention sur le syndrome dépressif. La dépression, c’est une sorte d’épuisement qui met en relief ce qui passerait autrement presque inaperçu, voire, qui complètement inaperçu : notamment, la paranoïa ou les crises de panique, pensées parasites, etc. que décrit Antoine. Le problème, toutefois, c’est qu’une fois que de tels symptômes apparaissent, à mon sens, ils rétroagissent également sur la dépression, et ne font qu’enfoncer l’individu un peu plus dans son malaise. Donc : dépression entraine symptômes entraine dépression entraine etc…
Ensuite, d’où est-ce que ça vient ? Comme souvent, les causes sont multiples et je les appellerais tout simplement : fragilités (psychologiques et/ou physiques) qui entrainent le syndrome dépressif, puis, un autoentretien bien involontaire de tout cela. Voilà qui explique que, par exemple, une vie étudiante ou les choses se passent plutôt bien court-circuite cette structure et finalement : ça va. Inversement, quand d’autres problèmes apparaissent, ne serait-ce que le surmenage avec une vie plus difficile que d’habitude, le cercle vicieux redémarre se maintient, même en l’absence de problèmes réellement indentifiables.
Ivan.67 à dit:Ensuite, coté solution : à mon avis ça laisse de coté toutes les techniques de type analytique : plus on cherche des problèmes dans le passé, plus on risque d’en trouver. Et je suis d’accord avec Antoine lorsqu’il dit qu’il cherche le comment, plutôt que le pourquoi. Plus généralement, même si c’est pas vraiment une solution, l’approche utile serait d’essayer de construire son bien-être, son bonheur. Posez-vous la question : qu’est-ce que je fais pour me sentir bien ?
Ivan.67 à dit:Vous pouvez par exemple fixer des objectifs (mais sans se focaliser dessus, et surtout pas pour absolument les atteindre… ) des objectifs de vie pour se donner une ligne de vie. Plusieurs et pas un seul. Ca marche bien, habituellement. Vous pouvez aussi essayer d’oublier les symptômes (facile à dire…) mais en étant plus en forme, ça deviendra également plus facile (Oublier les symptômes sauf à trouver une technique spécifique pour l’un d’eux… mais chercher une telle technique, c’est y penser). Soigner les troubles du sommeil, c’est central ! Plus on dort, mieux on parvient à dormir. Mieux on dort plus on se sent en forme. Plus on se sent en forme, moins il y a de symptômes… Difficile d’en dire plus ici et maintenant, vous le savez, retrouver un équilibre c’est de toute manière compliqué.
En tout état de cause, ce ne sont là que quelques idées…
Bon voilà, il ne faut pas être raide non plus. Pour ce qui est du coté analytique, c'est simplement une observation qu'il faut mettre en relation avec le syndrome dépressif : évidemment, tout dépend du thérapeute et de l'approche analytique en question. Pour le "facile à dire" : oui... et non. Parce que des solutions existent.Prudence à dit:En gros, oui, ça peut.Ivan.67 à dit:Bien que je n’aie pas vraiment lu toutes les 13 pages qui précèdent, j'avais envie de proposer une autre approche du problème. D'abord j'aimerais attirer l'attention sur le syndrome dépressif. La dépression, c’est une sorte d’épuisement qui met en relief ce qui passerait autrement presque inaperçu, voire, qui complètement inaperçu : notamment, la paranoïa ou les crises de panique, pensées parasites, etc. que décrit Antoine. Le problème, toutefois, c’est qu’une fois que de tels symptômes apparaissent, à mon sens, ils rétroagissent également sur la dépression, et ne font qu’enfoncer l’individu un peu plus dans son malaise. Donc : dépression entraine symptômes entraine dépression entraine etc…
Ensuite, d’où est-ce que ça vient ? Comme souvent, les causes sont multiples et je les appellerais tout simplement : fragilités (psychologiques et/ou physiques) qui entrainent le syndrome dépressif, puis, un autoentretien bien involontaire de tout cela. Voilà qui explique que, par exemple, une vie étudiante ou les choses se passent plutôt bien court-circuite cette structure et finalement : ça va. Inversement, quand d’autres problèmes apparaissent, ne serait-ce que le surmenage avec une vie plus difficile que d’habitude, le cercle vicieux redémarre se maintient, même en l’absence de problèmes réellement indentifiables.
Ivan.67 à dit:Ensuite, coté solution : à mon avis ça laisse de coté toutes les techniques de type analytique : plus on cherche des problèmes dans le passé, plus on risque d’en trouver. Et je suis d’accord avec Antoine lorsqu’il dit qu’il cherche le comment, plutôt que le pourquoi. Plus généralement, même si c’est pas vraiment une solution, l’approche utile serait d’essayer de construire son bien-être, son bonheur. Posez-vous la question : qu’est-ce que je fais pour me sentir bien ?
Heu, là par contre.
Pour le côté analytique, ça dépend des gens, certaines personnes ont vraiment besoin de raconter l'origine de leur malheur et de pleurer dessus avant d'accepter d'y renoncer etc. Il y a plein de raisons qui font que... le côté analytique, au moins partiellement (perso les cures de 10 face à un psy-mur, je trouve ça useless, mais on peut chercher l'origine du problème sans s'y triturer le nombril pendant trois plombes) est utiles à certaines personnes, dans certains cas etc.
Ivan.67 à dit:Vous pouvez par exemple fixer des objectifs (mais sans se focaliser dessus, et surtout pas pour absolument les atteindre… ) des objectifs de vie pour se donner une ligne de vie. Plusieurs et pas un seul. Ca marche bien, habituellement. Vous pouvez aussi essayer d’oublier les symptômes (facile à dire…) mais en étant plus en forme, ça deviendra également plus facile (Oublier les symptômes sauf à trouver une technique spécifique pour l’un d’eux… mais chercher une telle technique, c’est y penser). Soigner les troubles du sommeil, c’est central ! Plus on dort, mieux on parvient à dormir. Mieux on dort plus on se sent en forme. Plus on se sent en forme, moins il y a de symptômes… Difficile d’en dire plus ici et maintenant, vous le savez, retrouver un équilibre c’est de toute manière compliqué.
En tout état de cause, ce ne sont là que quelques idées…
Facile à dire.
Le sommeil est primordial mais, pas de solution toute prête et là il n'a pas été fait mention de problème de sommeil.
Ivan.67 à dit:Pour ce qui est du coté analytique, c'est simplement une observation qu'il faut mettre en relation avec le syndrome dépressif : évidemment, tout dépend du thérapeute et de l'approche analytique en question.
Ah! Ah! Peut être...Ivan.67 à dit:Pour le "facile à dire" : oui... et non. Parce que des solutions existent.
Ivan.67 à dit:Enfin, pour le sommeil : disons que j'ai peut-être de l'intuition (ou que je me réfère aux statistiques)
Ivan.67 à dit:Nous sommes d'accord. J'apprécie votre remarque, concernant le fait qu'il faut parfois travailler sur autre chose plutôt que le symptome. Ma vision va dans ce sens, sauf que, je travaille sur autre chose en montrant que cela soulagera le symptome, comme je l'expliquais pour le syndrome dépressif. Mais peut-être aussi, qu'en procédant de cette manière, je rencontre plus rapidement des résistances...
Ce point de vue s'accorde bien avec la théorie psychanalytique. En avez-vous fais effectivement l'exprience ? Avez-vous un exemple concret d'un symptome qui jouait ce role de soupape ? Richard Bandler par exempe, avait tendance à être moins affirmatif sur cette fonction du symptome...Prudence à dit:Ivan.67 à dit:Nous sommes d'accord. J'apprécie votre remarque, concernant le fait qu'il faut parfois travailler sur autre chose plutôt que le symptome. Ma vision va dans ce sens, sauf que, je travaille sur autre chose en montrant que cela soulagera le symptome, comme je l'expliquais pour le syndrome dépressif. Mais peut-être aussi, qu'en procédant de cette manière, je rencontre plus rapidement des résistances...
^^
Je pense même qu'il faut parfois carrément laisser un symptôme tranquille... je pense au risque de décompensation. Un symptôme discret et peu handicapant peut être un mécanisme de soupape très important.
Ivan.67 à dit:Ce point de vue s'accorde bien avec la théorie psychanalytique. En avez-vous fais effectivement l'exprience ? Avez-vous un exemple concret d'un symptome qui jouait ce role de soupape ? Richard Bandler par exempe, avait tendance à être moins affirmatif sur cette fonction du symptome...Prudence à dit:Ivan.67 à dit:Nous sommes d'accord. J'apprécie votre remarque, concernant le fait qu'il faut parfois travailler sur autre chose plutôt que le symptome. Ma vision va dans ce sens, sauf que, je travaille sur autre chose en montrant que cela soulagera le symptome, comme je l'expliquais pour le syndrome dépressif. Mais peut-être aussi, qu'en procédant de cette manière, je rencontre plus rapidement des résistances...
^^
Je pense même qu'il faut parfois carrément laisser un symptôme tranquille... je pense au risque de décompensation. Un symptôme discret et peu handicapant peut être un mécanisme de soupape très important.
papusza à dit:Je crois qu'il s'agissait d'un homme un peu obsessionnel compense qui a décompensé avec des délires paranoïaques ?
Que cela veut-il dire ?
Ha! Ha! Pas facile de s'y retrouver. J'essaye d'être souvent le plus clair possible mais je passe parfois d'un système à l'autre en fonction des besoins. J'ai étudié effectivement pas mal d'approches différentes, et je ne commence qu'à m'orienter précisément (au bout de 6 ans, il serait temps) vers les thérapies humanistes donc mon vocabulaire est emprunt de pas mal d'orientations.papusza à dit:Votre vocabulaire est il issu du champ de la psychiatrie ou d'une certaine école en psychologie ou de la médecine ?
papusza à dit:Pourquoi pensez vous qu'un train puisse en cacher un autre et qu'il est mieux de vivre avec certaines pensées négatives qui protégeraient d'autre chose d'encore plus négatif ?
Le concept de soupape de sécurité est il en soi quelque chose de viable et d'effectif ?
papusza à dit:La notion de soupape, concept théorique ou pratique ? A quoi sert il ?
papusza à dit:Par ailleurs accepter des peurs ou idées un peu obssessionnelles peut être envisageable, et peut avoir un effet libérateur et par la même une atténuation (vivre avec sans en faire un drame...,)
surderien à dit:Un cas théorique passionnant pour un psychanalyste de savoir comment il a fait ! ! !
surderien à dit:en risquant de se faire avoir ( baiser pour utiliser un mot absolument pas psychanalytiquement correct mais trés suggestif en hypnothérapie)
antoine lagorce à dit:Je n'ai pas de problème de sommeil.
Évidemment, il resterait à faire un encéphalogramme pendant le sommeil pour savoir si tout se déroule bien.
Mais ce n'est pas évident à trouver ces choses là.
C'est comme quand j'ai appris que j'avais une arythmie cardiaque,
ce sont des machines qui permettent de le dire.
Je vous donne raison sur votre diagnostique de fragilités ontologiques.
Par une hygiène de vie, une discipline et quelques réflex biens mis en place tout ça peut se réguler.
La technique du souffle peut ralentir le stress et ça je l'ai trop oublié.
voici des points sur lesquels je travaillais en passant mon bac,
j'ai longtemps pensé que c'était ça qui avait créé un socle solide pour les années plus calmes de mes études.
Le fait que je reprenne ces pratiques d'autorégulation depuis ces dernières années,
qu'elles se retrouvent sur mon chemin sans les chercher,
montre que c'est la voie du progrès.
Les 13 pages qui précèdent, montrent que le surgissement de pensées négatives peuvent être court-circuitées de façon consciente et physique.
J'ai l'impression que ça marche. Le cercle vicieux très juste que vous avez décrit peut être rompu très simplement avec la discipline.
D'où une remarque au passage: en appeler sans arrêt à l'inconscient,
c'est déresponsabiliser l'individu, alors que l'auto-discipline semble être la meilleure solution.
Je n'aurais jamais du m'en séparer.
Sur des conseils d'apprentis psychiatres prônant une concorde autodestruction/ autodiscipline impossible.
J'y ai perdu du temps, je me reconstruis.
Tant pis.
Selon l'autre... pas l'autre personne (enfin si mais bon ce n'était pas le sujet), mais l'autre sens... enfin l'autre définition... Oh! Tout ceci risque de finir en tête à queue...papusza à dit:Pour votre conclusion, Prudence, jai bien compris aussi, et certes je suis en accord avec cela. Que selon l'autre, ça peut être drôlement agréable...
Peut être parce que je suis une femme?papusza à dit:Mais pas particulièrement saoulant pour moi, c'est comme le reste, pas plus saoulant ni moins.
antoine lagorce à dit:J'ai l'impression que ça marche. Le cercle vicieux très juste que vous avez décrit peut être rompu très simplement avec la discipline.
antoine lagorce à dit:alors que l'auto-discipline semble être la meilleure solution.
antoine lagorce à dit:D'où une remarque au passage: en appeler sans arrêt à l'inconscient,
c'est déresponsabiliser l'individu,
Ivan.67 à dit:Je suis d'accord aussi, que l'inconvénient de l'appel à l'inconscient est de provoquer une sorte de déresponsabilisation : "c'est pas moi, c'est mon passé tramatisant" en est la plus pure expression
Ivan.67 à dit:Votre remarque concernant l'appel à l'inconscient est... prudente. Effectivement lorsque je parlais d'une sorte de déresponsabilisation il faut contextualiser mes propos ; je soulignais simplement que c'est fréquemment une bonne manière de s'éviter de prendre en main certaines difficultés. Je ne dis pas qu'il ne faut pas s'adresser à l'inconscient, je dis qu'à certains moments, c'est aussi un piège. Les comportementalistes diraient par exemple qu'il s'agit d'une distorsion cognitive de type "raisonnement émotionnel" : par exemple, Je ne peux pas régler ce conflit avec mon ami parce que je me sens triste ; je dois donc analyser cette tristesse, savoir d'ou elle vient (inconscient) avant tout ! (ce qui m'empèche doublement d'agir). Notez que l'exemple est caricatural, il y a des situations bien plus subtiles...
Je crois qu'Antoine en parlait dans ce sens, si je l'ai bien compris.
C'est pas ma faute
Et quand je donne ma langue aux chats
Je vois les autres
Tout prêts à se jeter sur moi
C'est pas ma faute à moi
Si j'entends tout autour de moi
katia (zoulouk) à dit:Une distorsion cognitive de type "raisonnement émotionnel" comme celui cité au dessus, serait attribué au conscient pour ma part, rien que par le fait du mot "raisonnement"
L'inconscient ne me semble pas être une "instance raisonnante"
katia (zoulouk) à dit:C'est une tentative de rationnalisation d'une peur (parfaite entente entre le conscient et l'inconscient) pour éviter d'affronter ce qui fait peur. (ce qui fait peur ne fait pas trop de bien, comme un plat qu'on n'aime pas, on evite d'en manger)
katia (zoulouk) à dit:Peut être suffirait il d'aller à ce moment où tout se passait bien, ce que le conscient et l'inconscient savent tout à fait pertinement, et se "recaler" sur le moment où tout allait bien... et l'inconscient en fait une nouvelle "réalité" (ancienne réalité opérante et agissante)
katia (zoulouk) à dit:Le raisonnement emotionnel n'est pas emotionnel, Prudence ?
Equivalent de la phrase une voiture bleue n'est pas bleue, vous n'avez pas vu qu'elle était rouge ?
katia (zoulouk) à dit:Si je ne veux pas faire quelque chose, je Sais que je ne veux pas le faire. Tout mon être le sait. Et je vais m'aider de mon raisonnement pour le savoir encore plus.
Le raisonnement est faux ,dirigé par ma peur.
katia (zoulouk) à dit:C'est de la pure emotion transformée en un semblant de rationnel.
Il n'y a aucun clivage justement.
katia (zoulouk) à dit:Si l'emotion change, le raisonnement changera avec, et l'action aussi.
Et si je change l'action, l'émotion change aussi, et le raisonnement.
katia (zoulouk) à dit:Le raisonnement est tributaire de l'emotion qui la prcède.
katia (zoulouk) à dit:Croire le contraire, à moins d'être parvenu à un stade avancé d'équilibre et de sagesse, me parait pure illusion. Un raisonnement n'est jamais "neutre".
Okkatia (zoulouk) à dit:Tout comme une émotion n'est pas raisonnée.
En partie, pourquoi paskatia (zoulouk) à dit:Un clivage serait pour moi, je veux une chose et son contraire en même temps, et alors on ne sait pas ce qu'on veut.
Prudence à dit:Le clivage va être au niveau de l'accession à la conscience: on se souvient de l'événement traumatisant mais on ne ressent rien à son évocation: clivage raison (film de souvenir) et émotion/sentiment (pas d'accès au vécu émotionnel).
Oui tout à fait c'est ce que j'appelle la dissociation, clivage de l'évènement traumatisant et l'absence d'émotions.
Oui, mais:
On n'a pas forcément accès à l'émotion consciemment
L'émotion peut aussi découler du raisonnement
Ils peuvent ne plus intéragir, c'est bien le soucis du clivage.
En hypnose régressive, il est quand même très peu fréquent que le raisonnement rentre en ligne de compte, mais il peut s'agir de résistance, le sujet n'est pas prêt parfois à travailler lors d'une séance sur une partie de son histoire...
En partie, pourquoi paskatia (zoulouk) à dit:Un clivage serait pour moi, je veux une chose et son contraire en même temps, et alors on ne sait pas ce qu'on veut.
katia (zoulouk) à dit:Une distorsion cognitive de type "raisonnement émotionnel" comme celui cité au dessus, serait attribué au conscient pour ma part, rien que par le fait du mot "raisonnement"
L'inconscient ne me semble pas être une "instance raisonnante"
C'est une tentative de rationnalisation d'une peur (parfaite entente entre le conscient et l'inconscient) pour éviter d'affronter ce qui fait peur. (ce qui fait peur ne fait pas trop de bien, comme un plat qu'on n'aime pas, on evite d'en manger)
Quand on pense ne pas pouvoir faire quelque chose pour x raison, ces raisons nous excusent alors d'autant plus de ne pas le faire.
C'est une peur. Pour une phobie, on sait bien qu'on a peur, on sait bien aussi ce qu'on ne veut pas faire. On le sait de trop.
On ne sait plus qu'on pourrait ne plus avoir peur et qu'à un moment donné on n'en avait pas encore peur.
Peut être suffirait il d'aller à ce moment où tout se passait bien, ce que le conscient et l'inconscient savent tout à fait pertinement, et se "recaler" sur le moment où tout allait bien... et l'inconscient en fait une nouvelle "réalité" (ancienne réalité opérante et agissante)
L'inconscient est mon ami, mon meilleur ami :wink:
katia (zoulouk) à dit:Souffrir de burn in c est déraisonnable
Ne pas en souffrir, peut etre aussi ?
Les grandes questions du tomber amoureux ont occupé nos ancêtres depuis des siècles. des belles créations en sont nées, et des souffrances aussi.
Le chemin d'un meilleur être me semble rester la création artistique, de transformer cette énergie en autre chose, plutôt que de la tourner en destruction de soi.
Relativiser me parait une étape ultérieure avec le temps qui aide, des occupations variées...
OK ! voici un terrain déjà vraiment bien défriché !!! (admiratif)antoine lagorce à dit:Le problème (...) d'une hésitation à faire telle ou telle thérapie, (...)
c'est de pourrir ma vie avec ces sentiments.
Ça fait parti du refoulement, j'en ai conscience, mais je suis en vie et heureux avec ce que je perçois de positif dans ma vie actuelle.
(...) Je n'ai pas de problème global, il se trouve que j'ai certains blocages.
(...) Mais ça n'a pas marché, pas question de perdre encore des années de ma vie à me morfondre et à me donner en spectacle
(...) En considérant ma vie comme un tout, j'arrive à être heureux.
(...) Mon hésitation devant la thérapie est dû à un désir de vivre,
pas à un refoulement irrationnel.
(...) Les idées parasites peuvent elles disparaître,
comment puis-je les maitriser?
C'était ça la question au début.