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[QUOTE="castorix, post: 16059, member: 109"] [color=#000080]Esperence, nous avons peut-être oublié d'être clairs dans nos messages... (Chadoc, Altmaier et moi surtout par ex.) Il me semble [i](je dis : me semble, non pas parce que je n'en suis pas certain, mais pour indiquer que je suis conscient que tout le monde ne verra pas cela comme ça)[/i] évident que si une personne traîne un gros souci comme un boulet, prêt à se rappeler à sa conscience au moindre détail qui ressemble par exemple à son souvenir traumatique, c'est plus particulièrement dès qu'elle sera vraiment en transe hypnotique que cela risque de "sauter à la figure" de son thérapeute ! Mais... coup de chance... c'est aussi en hypnose qu'un T. expérimenté se débrouille très bien de ça, parce que ce mode de travail s'y prête très bien... Perso j'ai juste écrit que c'était mon choix, de [i]choisir le moment [/i]où laisser faire cette remontée (disons plus modestement : influencer ce moment, n'est pas synonyme de résultat à tous les coups). Ceci pour une question de confort (du P ? oui... du T ? c'est peut-être un élément aussi) mais pas parce que ce serait une impasse, simplement nous sommes tous conscients que cela peut déboucher sur un travail se rallongeant de plus d'une heure... A part cela, qui avait déjà été dit plus haut, j'ajouterai que chez certaines personnes (abus de substances, certains troubles de la personnalité sévères, certaines pathologies psychiatriques)[i] à mon avis[/i] le fait même de passer par une abréaction pourrait être plus un renforcement qu'une porte de sortie vers le soulagement. Voilà pourquoi sur un forum public, je n'avais pas l'intention d'avoir l'air de conseiller de se réjouir quand on déclenche une abréaction. Mais le thérapeute expérimenté, lui, n'a pas de raison de s'émouvoir particulièrement, nous sommes bien d'accord.[/color] [/QUOTE]
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