Conflit entre deux personnes

  • Initiateur de la discussion Fifi brin d'acier
  • Date de début
Fifi brin d'acier

Fifi brin d'acier

Membre
messages
72
Points
3 260
Localisation
Aire sur l'Adour
Bonjour à toutes et à tous.

J'ai appris récemment par un psychologue qui participait avec moi à une initiation à l'hypnose Ericksonienne un petit truc pour se débarrasser mentalement d'une personne qui vous énerve, qui est injuste avec vous... ou pas...
Selon ce psychologue, quelque chose de positif émane de la personne qui fait cette démarche, car les réactions et les regards des personnes de l'entourage change. Il peut même arriver que la situation conflictuelle se retourne contre l'autre personne.

Il faut se répéter 3 fois par jour pendant une semaine une série de phrases de son invention (bien sûr à ne pas dire à la personne concernée, ni à une tierce personne) qui commencent comme ceci : Désolé ; Pardon ; Merci ; Je t'aime.

Par exemple :
- Désolé de ne pas m'être aperçu que tu savais crier ;
- Pardon mais, tes capacités à baver dépassent mon imagination ;
- Merci, maintenant je sais que la couardise et le ridicule ont un nom et un prénom ;
- Je t'aime, pour m'avoir aidé à m'apercevoir que tu ne valais pas le prix du slip que tu portes.

J'avoue, pour l'avoir expérimenté, que c'est assez jouissif.:D
 
dide70

dide70

Membre
Top Posteur du mois
messages
5 063
Points
7 860
Localisation
Belfort
tu peux jouer aussi jouer avec les sous modalités (beaucoup utilisé en PNL), recherche un peu.
Par exemple, tu peux construire (avec ton imagination) l'image de la personne, l'éloigner, la déformer, lui donner moins d'importance, etc...
c'est aussi très efficace.
Ton astuce à l'air bien, mais je pense qu'elle serait plus efficace si on sortait une des ces phrase à la personne dès qu'on en a l'occasion.
 
Nossolar

Nossolar

Moderateur
Membre de l'équipe
messages
2 579
Points
6 760
Localisation
Belgique
C'est la méthode ho'oponopono.

Quand j'ai découvert cela je me suis dit bha encore un truc bizarre, je n'y ai donc pas prêté beaucoup d'attention, puis certaines choses de la vie on fait que cela se redirigeait à nouveau vers ce concept.
Jusqu'au jour ou je me suis dit bha on a vas aller voir ce que cela raconte, j'ai été assez étonné de voir/ressentir des améliorations.

Perso j'y retrouve une certaine dissociation entre nous et le problème, du coup on focalise beaucoup moins sur le problème.
 
Fifi brin d'acier

Fifi brin d'acier

Membre
messages
72
Points
3 260
Localisation
Aire sur l'Adour
tu peux jouer aussi jouer avec les sous modalités (beaucoup utilisé en PNL), recherche un peu.
Par exemple, tu peux construire (avec ton imagination) l'image de la personne, l'éloigner, la déformer, lui donner moins d'importance, etc...
c'est aussi très efficace.
Ton astuce à l'air bien, mais je pense qu'elle serait plus efficace si on sortait une des ces phrase à la personne dès qu'on en a l'occasion.
On peut utiliser l'image physique de la personne et en faire ce que l'on veut, son image sociale, intellectuelle, tout est permis si c'est efficace.
Sortir une des phrases peut être efficace, mais aussi être contre-productif et blessant. Tout dépend des mots qu'on emploie et de l'occasion pendant laquelle on sort cette phrase et de la situation qui en est à l'origine.
Par exemple, si c'est un ami qui vous a trahi, lui dire une de ces phrases a toute les chances d'être efficace. Mais si c'est un enfant qui vous en veut parce que ses parents viennent de se séparer ou qu'il vient d'en perdre un et que vous avez "pris sa place", ce serait destructeur.
 
Fifi brin d'acier

Fifi brin d'acier

Membre
messages
72
Points
3 260
Localisation
Aire sur l'Adour
C'est la méthode ho'oponopono.

Quand j'ai découvert cela je me suis dit bha encore un truc bizarre, je n'y ai donc pas prêté beaucoup d'attention, puis certaines choses de la vie on fait que cela se redirigeait à nouveau vers ce concept.
Jusqu'au jour ou je me suis dit bha on a vas aller voir ce que cela raconte, j'ai été assez étonné de voir/ressentir des améliorations.

Perso j'y retrouve une certaine dissociation entre nous et le problème, du coup on focalise beaucoup moins sur le problème.
C'est vrai, l'autre est dépersonnalisé et transformé en objet ridicule dont on peut rire sans barrières puisque personne ne connaît les phrases que vous vous répétez. Le fait de le transformer mentalement dissocie les deux personnes du noeud du problème.
De victime du conflit, vous en devenez un acteur positif par le rire et/ou la décontraction. Si vous êtes acteur c'est que vous exercez un certain contrôle, du moins sur la transformation mentale faite de l'autre personne.
J'imagine que l'on exprime ce détachement et cette décontraction plus ou moins consciemment par des attitudes corporelles et des expressions du visage qui suggèrent, peut-être, que l'on est sûr de soi et serein, et que les personnes autour le perçoivent elles aussi plus ou moins consciemment. Par conséquent, l'entourage est moins sur la défensive par rapport à vous et l'autre, qui constate aussi ce changement sans le comprendre, se crispe.
Je suppose que c'est pour cela, qu'à la longue, l'attitude et le regard de l'entourage à l'égard des deux personnes peut changer radicalement et arriver à s'inverser.
C'est l'inverse de ce qui se passe lorsqu'on est victime de quelqu'un et qu'on cherche à se débattre car on peut soit donner l'impression de ne pas être victime d'injustice, soit mettre l'entourage mal à l'aise.
Je permets avec prétention, ou pas... d'en conclure qu'on arrive, par ce biais, à exercer une auto-suggestion plutôt puissante qui a à la fois un résultat positif sur soi et sur l'entourage et un résultat négatif sur l'autre personne.
 
Fifi brin d'acier

Fifi brin d'acier

Membre
messages
72
Points
3 260
Localisation
Aire sur l'Adour
On peut utiliser l'image physique de la personne et en faire ce que l'on veut, son image sociale, intellectuelle, tout est permis si c'est efficace.
Sortir une des phrases peut être efficace, mais aussi être contre-productif et blessant. Tout dépend des mots qu'on emploie et de l'occasion pendant laquelle on sort cette phrase et de la situation qui en est à l'origine.
Par exemple, si c'est un ami qui vous a trahi, lui dire une de ces phrases a toute les chances d'être efficace. Mais si c'est un enfant qui vous en veut parce que ses parents viennent de se séparer ou qu'il vient d'en perdre un et que vous avez "pris sa place", ce serait destructeur.
En fait, le simple fait d'avoir l'air détendu, sûr de soi et de sourire devant l'autre personne a peut-être plus d'impact qu'une phrase.
 
hibou13

hibou13

Membre
messages
1 740
Points
7 960
se débarrasser mentalement d'une personne qui vous énerve,
Désolé, mais ça ne me convainc pas cette théorie des phrases (dans le cas précis de la question).
D'un point de vue "hypnotique", c'est contradictoire à ce que l'on sait, l'inconscient, n'entend pas la négation (arrête de penser à lui, à ça...., ça ne marche pas) et là c'est entretenir un dialogue interne faisant vivre la présence de cette personne.
Même s'il ne s'agit pas vraiment de négation, mais plutôt de dérision et d'insultes, sensés aider à prendre du recul, je ne vois pas l'oubli la dedans.
Au contraire, renforcer sa propre ironie, son agressivité (rentré), voir sa méchanceté et ce donner le beau rôle ne résout rien à terme.
Le "quelque chose de positif" devant émaner de la personne et toucher l'entourage me semble très aléatoire. (devenir meilleur en ridiculisant intérieurement une personne?)
Et en attendant, on à rien fait pour ne plus y penser, au contraire.

Je préfère que la personne face une petite réflexion sur l'autre "énervante" pourquoi l'est elle? en quoi cela me touche? pourquoi j'y pense? etc... de façon à voir clairement la situation.
Pour ensuite poser un ancrage positif à l'apparition des pensés (qui disparaîtront quand la personne saura clairement ce qui la touche et pourquoi).
La responsable des pensés, c'est toi, pas l'autre.
 
Fifi brin d'acier

Fifi brin d'acier

Membre
messages
72
Points
3 260
Localisation
Aire sur l'Adour
Désolé, mais ça ne me convainc pas cette théorie des phrases (dans le cas précis de la question).
D'un point de vue "hypnotique", c'est contradictoire à ce que l'on sait, l'inconscient, n'entend pas la négation (arrête de penser à lui, à ça...., ça ne marche pas) et là c'est entretenir un dialogue interne faisant vivre la présence de cette personne.
Même s'il ne s'agit pas vraiment de négation, mais plutôt de dérision et d'insultes, sensés aider à prendre du recul, je ne vois pas l'oubli la dedans.
Au contraire, renforcer sa propre ironie, son agressivité (rentré), voir sa méchanceté et ce donner le beau rôle ne résout rien à terme.
Le "quelque chose de positif" devant émaner de la personne et toucher l'entourage me semble très aléatoire. (devenir meilleur en ridiculisant intérieurement une personne?)
Et en attendant, on à rien fait pour ne plus y penser, au contraire.

Je préfère que la personne face une petite réflexion sur l'autre "énervante" pourquoi l'est elle? en quoi cela me touche? pourquoi j'y pense? etc... de façon à voir clairement la situation.
Pour ensuite poser un ancrage positif à l'apparition des pensés (qui disparaîtront quand la personne saura clairement ce qui la touche et pourquoi).
La responsable des pensés, c'est toi, pas l'autre.
Il ne s'agit absolument pas d'oubli et certainement pas de se donner le beau rôle ou de renforcer sa méchanceté, mais réellement de pouvoir se détacher du conflit. Il ne s'agit pas de ne plus penser à la personne mais plutôt de prendre de la distance avec ce qui pose problème.
C'est quelque chose dont il faut se servir quand tout le reste a échoué et qu'on se trouve dans une impasse.
Il faut se répéter ces phrases pendant une semaine, puis arrêter.
Un peu comme lorsque on essaye de capter l'attention d'une personne centrée sur son mal-être dans le processus d'acceptation, on a plus de chance d'y parvenir en allant, dans un premier temps, dans son sens pour ensuite suggérer une idée positive.
Dans ce cas, l'ancrage positif, selon moi, vient à la fois de ce que l'entourage renvoie inconsciemment, y compris la personne en question, et à la fois de la meilleure assurance personnelle que l'on ressent.

Dans mon cas, il s'agit d'une infirmière dont le casier est à moins d'un mètre du mien (donc, comment pourrais-je l'oublier ?) qui m'a accusée par écrit de l'avoir mise en danger en quittant mon poste lors d'une nuit que j'ai faite avec elle, alors qu'en réalité elle m'a demandé de descendre voir le médecin des urgences parce que je faisais des malaises et que ce médecin a décidé de m'y garder. Pendant plusieurs jours je voyais tous mes collègues détourner le regard à mon passage, éviter de me parler. En rentrant dans mon vestiaire, je l'ai entendue dire qu'elle avait pris conseil auprès du délégué du personnel et qu'à la suite de ça elle avait fait une lettre à la direction mais quand je suis rentrée, elle s'est tue.
Quelques jours plus tard, nous devions refaire une nuit ensemble, lorsque je suis arrivée dans le service, elle s'est mise à hurler et à m'insulter devant toute l'équipe de jour et c'est ce soir là que j'ai découvert l'existence de ce courrier et des accusations portées.
Je me suis demandée pourquoi cette lettre, j'ai essayé des discussions orales, comme elles ne marchaient pas, des discussions écrites.
Je me suis dit qu'il n'y avait pas eu de conséquences ni sur mon emploi, ni sur mon diplôme et donc aucun danger que je me retrouve au chômage.
Je me suis posée toutes ces questions "pourquoi ça te touche autant", "pourquoi tu y penses autant". Ça m'a touchée parce que c'est quelqu'un que j'avais en estime, que je ne suis pas responsable d'avoir été malade, et que cette personne continuait à m'insulter en traitant mes demandes de discussion par le silence.
Je sais que c'est quelqu'un qui avait subi beaucoup de pression quelques semaines avant et je suis persuadée, à sa décharge, qu'elle a craqué.
J'ai été convoquée pour faute grave par ma direction qui a bien entendu conclu que je n'avais fait qu'être malade.
Aucune de mes collègues n'osait me regarder en face, toutes m'évitaient, allaient la voir en lui disant, "alors, ça c'est passé comment ton histoire, ils vont faire quoi à son sujet ?"
Je me suis retrouvée bannie, et plus j'essayais d'obtenir une discussion, plus les collègues étaient gênées et distantes.

Il s'agit donc d'un très gros conflit qui aurait pu avoir de très grosses conséquences pour moi.

Mais depuis que j'ai fait cela, je ne pense plus au problème en question, j'ai retrouvé la confiance en moi et j'ai aussi retrouvé une attitude et un regard normaux de la part de mes collègues. Certaines commencent même par prendre un peu de distance avec elle. Me concernant, il n'y a donc, au final, que du positif.
Et c'est bien là le but de cette méthode.
 
hibou13

hibou13

Membre
messages
1 740
Points
7 960
Re désolé (hihi ça deviens une habitude ;)) mais de la façon dont tu en parles dans le premier message, je comprend derrière le "mentalement" une personne à qui tu penses, disons, de façon récurrente. Le ton étant plutôt léger, je ne vais pas chercher plus loin. Et je dis bien, "dans le cadre précis de la question", en avant propos de ma réponse.
Maintenant tu développes bien plus qu'une "personne énervante" qui reviens en pensés, mais une situation bien plus complexe....

Ceci dit je ne retire pas un mots de mon point de vue, je ne donnerais surement pas ce conseil à une personne dans le cadre d'une thérapie en tout cas.
Je peux le comprendre éventuellement comme une "petite astuce" genre, ton chef te fait peur, imagine le sur les chiotte ça ira mieux.
Evidemment que de dédramatiser, prendre du recul etc favorise un mieux être pour soit et vis à vis des autres, (pas besoin d'être psy pour savoir cela) mais, il y à bien d'autres moyens que cette "méthode".
Je me place évidement en tant que thérapeute dans mon point de vue. Et je me doit d'être logique...
Si on me pose ta question (du premier message), je ne me vois pas faire l'éloge de la moquerie etc.....
Je ne me vois pas parler de respect (au patient) et l'inciter à manquer de respect, à participer à juger une tierce personne etc... (sachant qu'on à jamais qu'une version, celle du patient. Que je ne sait pas si le vraie problème est celui exposé, ni quel est la part d'exagération, de paranoïa, de fantasme, de victimisation ... etc.
Que je sais également que ce type de conditionnement, au début intériorisé, peut parfaitement déborder et les "phrases mentales", peuvent devenir verbale et entraîner une situation bien pire. Que je me priverais d'aider la personne à faire un travail sur elle (d'autres situations peuvent ce reproduire dans un autre contexte, autant l'éviter)
etc...

Ton exemple n'est pas généralité, pour toi ce fut positif, parfait et tant mieux. Mais il ne valide pas à mes yeux la "méthode".

A la lecture de ton expérience, on à envie de ce dire : " ho la pauvre! " et approuver de fait ce conseil de la psy.
Sans aucun jugement évidement, maintenant j'imagine que tu me raconte cela en consultation.
Je ne peux m’empêcher de penser :
Bizarre qu'une infirmière qui voit une collègue faire des malaises, qui l'envois aux urgences (c'est plutôt normal) et qui ensuite s'étonne de son absence ? Il y à une sacré incohérence la dedans.
Bizarre qu'une fois aux urgences, elle ne pense pas à prévenir ou faire prévenir sa collègue qu'elle est HS, ou bien qu'une collègues des urgences n'y pense pas? (elles savent qu'en service de nuit, le personnel est réduit...)
La lettre à l'administration, le RDV avec le syndicat, une réaction excessive qui doit cacher un "raz le bol", d'autres expérience du même type ou des antécédents entre eux.
Que toutes les collègues face la "tronche", alors que s'il n'y avait que ça, une simple explication désamorçait le malentendu... soit l'"autre" à une influence énorme, soit l'histoire ne dit pas tout...

Donc pour moi, a ce stade de la connaissance du problème :
1 je n'accorde pas un crédit total à ta parole (tu dit vraie, mais avec ta vision des choses, tes croyances, ton ressenti, tes limites etc...) En clair, ta carte n'est pas le territoire.
2 je prend vraiment en compte ton malaise évidement (qui est réel) mais je creuse un peu plus en anamnèse (notamment avec les "bizarreries" que je site plus haut) et cherche avec toi des indices pour faire une séance.
 
Fifi brin d'acier

Fifi brin d'acier

Membre
messages
72
Points
3 260
Localisation
Aire sur l'Adour
Re désolé (hihi ça deviens une habitude ;)) mais de la façon dont tu en parles dans le premier message, je comprend derrière le "mentalement" une personne à qui tu penses, disons, de façon récurrente. Le ton étant plutôt léger, je ne vais pas chercher plus loin. Et je dis bien, "dans le cadre précis de la question", en avant propos de ma réponse.
Maintenant tu développes bien plus qu'une "personne énervante" qui reviens en pensés, mais une situation bien plus complexe....

Ceci dit je ne retire pas un mots de mon point de vue, je ne donnerais surement pas ce conseil à une personne dans le cadre d'une thérapie en tout cas.
Je peux le comprendre éventuellement comme une "petite astuce" genre, ton chef te fait peur, imagine le sur les chiotte ça ira mieux.
Evidemment que de dédramatiser, prendre du recul etc favorise un mieux être pour soit et vis à vis des autres, (pas besoin d'être psy pour savoir cela) mais, il y à bien d'autres moyens que cette "méthode".
Je me place évidement en tant que thérapeute dans mon point de vue. Et je me doit d'être logique...
Si on me pose ta question (du premier message), je ne me vois pas faire l'éloge de la moquerie etc.....
Je ne me vois pas parler de respect (au patient) et l'inciter à manquer de respect, à participer à juger une tierce personne etc... (sachant qu'on à jamais qu'une version, celle du patient. Que je ne sait pas si le vraie problème est celui exposé, ni quel est la part d'exagération, de paranoïa, de fantasme, de victimisation ... etc.
Que je sais également que ce type de conditionnement, au début intériorisé, peut parfaitement déborder et les "phrases mentales", peuvent devenir verbale et entraîner une situation bien pire. Que je me priverais d'aider la personne à faire un travail sur elle (d'autres situations peuvent ce reproduire dans un autre contexte, autant l'éviter)
etc...

Ton exemple n'est pas généralité, pour toi ce fut positif, parfait et tant mieux. Mais il ne valide pas à mes yeux la "méthode".

A la lecture de ton expérience, on à envie de ce dire : " ho la pauvre! " et approuver de fait ce conseil de la psy.
Sans aucun jugement évidement, maintenant j'imagine que tu me raconte cela en consultation.
Je ne peux m’empêcher de penser :
Bizarre qu'une infirmière qui voit une collègue faire des malaises, qui l'envois aux urgences (c'est plutôt normal) et qui ensuite s'étonne de son absence ? Il y à une sacré incohérence la dedans.
Bizarre qu'une fois aux urgences, elle ne pense pas à prévenir ou faire prévenir sa collègue qu'elle est HS, ou bien qu'une collègues des urgences n'y pense pas? (elles savent qu'en service de nuit, le personnel est réduit...)
La lettre à l'administration, le RDV avec le syndicat, une réaction excessive qui doit cacher un "raz le bol", d'autres expérience du même type ou des antécédents entre eux.
Que toutes les collègues face la "tronche", alors que s'il n'y avait que ça, une simple explication désamorçait le malentendu... soit l'"autre" à une influence énorme, soit l'histoire ne dit pas tout...

Donc pour moi, a ce stade de la connaissance du problème :
1 je n'accorde pas un crédit total à ta parole (tu dit vraie, mais avec ta vision des choses, tes croyances, ton ressenti, tes limites etc...) En clair, ta carte n'est pas le territoire.
2 je prend vraiment en compte ton malaise évidement (qui est réel) mais je creuse un peu plus en anamnèse (notamment avec les "bizarreries" que je site plus haut) et cherche avec toi des indices pour faire une séance.
Ca, pour sûr, des bizarreries en cascade tu as bien mis le doigt dessus : un patient atteint de pathologie psychiatrique signalé plusieurs fois pour sa violence à la cadre laquelle, une fois prévenue par téléphone de on départ aux urgences répond qu'elle ne va pas "se faire chier avec ça", raccroche et se rendort..., les collègues des urgences qui ne m'inscrivent pas sur le cahier d'entrée parce que je suis de la maison et ne pensent pas à prévenir leur collègue (personne n'est parfait;)), l'injection de primperan qui m'a endormie pour ainsi dire sur le champ sans que je ne m'en rende compte :confused: et qui en plus a déclenché un syndrome malin des neuroleptiques, .... ça n'était pas la bonne nuit, ni pour ma collègue, ni pour moi :(. Quant au raz-le-bol il est généralisé et de nombreuses personnes, dont quelques jours avant cette infirmière, ont eu des altercations relativement violentes avec cette cadre:mad:.
Les autres collègues n'ont fait la tronche que quelques jours. Elles m'ont expliqué par la suite avoir vite compris que cela ne collait pas avec ma personnalité et ma façon d'être, mais qu'elles avaient préféré garder une certaine distance par peur de la réaction de leur collègue (qu'elles ont essayé de raisonner, sans succès).
Je suppose que si ma collègue a refusé toute tentative de discussion c'est à cause de la grande intensité émotionnelle qui a provoqué sa réaction et de son sentiment d'avoir perdu la face et de s'être ridiculisée (puisqu'elle a affirmé à de nombreuses collègues que je serai renvoyée ou punie et que je ne l'ai pas été).

C'est bien pour tout ça que mes petites phrases ne sont destinées qu'à être intérieures, dans le cas contraire, elles seraient destructrices:eek:.
C'est une méthode qui ne peut être utilisée que lorsque toutes les autres solutions ont échoué.
Le psychologue qui m'en a parlé ne la conseille a ces patients (non atteints de troubles graves) que lorsqu'il sent que leur conflit est dans une impasse et ne peut être réglé par une discussion. Et, à ces dires, pour ses patients aussi, les effets ont été positifs.:D
 
Fifi brin d'acier

Fifi brin d'acier

Membre
messages
72
Points
3 260
Localisation
Aire sur l'Adour
tu peux jouer aussi jouer avec les sous modalités (beaucoup utilisé en PNL), recherche un peu.
Par exemple, tu peux construire (avec ton imagination) l'image de la personne, l'éloigner, la déformer, lui donner moins d'importance, etc...
c'est aussi très efficace.
Ton astuce à l'air bien, mais je pense qu'elle serait plus efficace si on sortait une des ces phrase à la personne dès qu'on en a l'occasion.
C'est la méthode ho'oponopono.

Quand j'ai découvert cela je me suis dit bha encore un truc bizarre, je n'y ai donc pas prêté beaucoup d'attention, puis certaines choses de la vie on fait que cela se redirigeait à nouveau vers ce concept.
Jusqu'au jour ou je me suis dit bha on a vas aller voir ce que cela raconte, j'ai été assez étonné de voir/ressentir des améliorations.

Perso j'y retrouve une certaine dissociation entre nous et le problème, du coup on focalise beaucoup moins sur le problème.
C'est comme l'auto-hypnose, l'essayer c'est l'adopter.:p
 
Nossolar

Nossolar

Moderateur
Membre de l'équipe
messages
2 579
Points
6 760
Localisation
Belgique
Sur wiki a propos de cette méthode on peut y lire :
Recherches en sciences humaines
Quelques recherches ont été faites afin de déterminer les effets de la pratique. Une recherche de J. Matthew de la Walden University (Minnesota) (en) en 2008 conclut dans le sens d'une réduction significative de la rancœur dans le groupe étudié.

Je pense que peu importe la technique que l'on utilise, le résultat est surtout lié à l'intention et la sincérité que l'on va y mettre.
 
Ghislou

Ghislou

Membre
messages
8
Points
580
Age
60
Localisation
Cannes
C'est une technique qui peut être utilisée en option. Il y a des personnes avec qui cela marchera et d'autres non. Je ne vois pas comment cela pourrait nuire à une thérapie par l'hypnose. Pour ma part, je la préconise en plus de l'hypnose dans des cas de phobie sociale, timidité et certaines angoisses.
 
dide70

dide70

Membre
Top Posteur du mois
messages
5 063
Points
7 860
Localisation
Belfort
Faut-il vraiment accompagner ("Désolé ; Pardon ; Merci ; Je t'aime") d'une phrase ?
 
Nossolar

Nossolar

Moderateur
Membre de l'équipe
messages
2 579
Points
6 760
Localisation
Belgique
Je pense que c'est mieux !

Du style:

Je suis désolé que tu vives cette situation.
Pardonne moi de t'avoir entraîné dans cette situation.
Merci de m'avoir fait vivre cette situation.(sous entendu pour que je comprenne quelque chose, quelle aie une signification, la symbolique)
Je t'aime, ben oui on se le dit rarement non ? ;)
 
Fifi brin d'acier

Fifi brin d'acier

Membre
messages
72
Points
3 260
Localisation
Aire sur l'Adour
Ou :
Je suis désolé que tu sois malheureux.
Pardon de t'avoir mis en colère.
Merci pour m'avoir permis d'en prendre conscience.
Je t'aime parce que tu m'as fait voir que tu n'es pas une machine.

Sur wiki a propos de cette méthode on peut y lire :
Recherches en sciences humaines
Quelques recherches ont été faites afin de déterminer les effets de la pratique. Une recherche de J. Matthew de la Walden University (Minnesota) (en) en 2008 conclut dans le sens d'une réduction significative de la rancœur dans le groupe étudié.

Je pense que peu importe la technique que l'on utilise, le résultat est surtout lié à l'intention et la sincérité que l'on va y mettre.
C'est une technique qui peut être utilisée en option. Il y a des personnes avec qui cela marchera et d'autres non. Je ne vois pas comment cela pourrait nuire à une thérapie par l'hypnose. Pour ma part, je la préconise en plus de l'hypnose dans des cas de phobie sociale, timidité et certaines angoisses.
Je suis quelqu'un de plutôt timide et qui n'a pas facilement de répartie surtout quand je suis surprise, ce qui peut donner l'impression aux personnes qui ont un caractère dominant, qu'elles ont de l'emprise sur moi et le champ libre.
Dans ma situation, mon intention en utilisant cette méthode a surtout été de reprendre symboliquement le dessus sur cette personne, de focaliser ma colère sur elle de façon virtuelle (plutôt que de la laisser s'exprimer physiquement) et de regagner la confiance en moi que j'avais momentanément perdue. Le reste a suivi de lui-même.;)
 
Fifi brin d'acier

Fifi brin d'acier

Membre
messages
72
Points
3 260
Localisation
Aire sur l'Adour
Par contre, je ne savais pas que le ho'oponopono était une coutume spirituelle Polynésienne destinée à soigner les maladies.

Définition donnée dans Wikipédia : "Dans le Hawaiian Dictionary hoʻoponopono est défini comme « purification spirituelle, une réunion familiale, durant laquelle les relations sont rétablies par des prières, l’acte de contrition, la repentance et le pardon mutuel. » Le mot hoʻoponopono se compose de hoʻo qui signifie « commencer une action » et pono qui signifie « bonté, honnêteté, moralité, qualités morales, actions correctes et justes, excellence, prospérité, attention, utilité, état naturel, devoir, juste, équitable, droit, approprié, détendu, soulagé, devrait, aurait, doit, nécessaire ; » ponopono signifie « remettre en ordre; juste, retravaillé, harmoniser, corriger, régulariser, ordonner, nettoyer, ranger, agir correctement. »".

"Le procédé : Après une prière, les problèmes sont formulés et les offenses discutées. On attend des membres de la famille le désir sérieux de travailler aux problèmes et non de s’accrocher aux fautes. Pour réfléchir aux confusions émotionnelles et aux offenses commises, plusieurs minutes de silence sont tenues. Les sentiments de chacun doivent être considérés. Puis suivent les reconnaissances des fautes, les repentirs et les pardons mutuels. Chacun lâche l’autre (kala). Tous les participants se libèrent des problèmes ('oki) et terminent la séance par une cérémonie festive appelée pani, dont le repas comprenait souvent des zostères (limu kala), symbole du lâcher prise réussi."

Et je viens de voir ces deux phrases :"Le pardon était donné par les dieux ou par la personne avec qui on était en conflit." "Elles (les familles) partaient du fait que les maladies étaient causées par le surmenage, les sentiments de culpabilité, les accusations réciproques et le manque de pardon."
 
Fifi brin d'acier

Fifi brin d'acier

Membre
messages
72
Points
3 260
Localisation
Aire sur l'Adour
Sur wiki a propos de cette méthode on peut y lire :
Recherches en sciences humaines
Quelques recherches ont été faites afin de déterminer les effets de la pratique. Une recherche de J. Matthew de la Walden University (Minnesota) (en) en 2008 conclut dans le sens d'une réduction significative de la rancœur dans le groupe étudié.

Je pense que peu importe la technique que l'on utilise, le résultat est surtout lié à l'intention et la sincérité que l'on va y mettre.
Lien : ** Lien externe en erreur **
 
Nossolar

Nossolar

Moderateur
Membre de l'équipe
messages
2 579
Points
6 760
Localisation
Belgique
Par contre, je ne savais pas que le ho'oponopono était une coutume spirituelle Polynésienne destinée à soigner les maladies.
On n'invente pas grand chose, on remet juste au goût du jour....

Énormément de choses sont spirituelle, avant d'être "prouvée" scientifiquement.
Je suis quelqu'un de plutôt timide et qui n'a pas facilement de répartie surtout quand je suis surprise
Il me semble qu'il y a là un travail à faire !
 
Fifi brin d'acier

Fifi brin d'acier

Membre
messages
72
Points
3 260
Localisation
Aire sur l'Adour
On n'invente pas grand chose, on remet juste au goût du jour....

Énormément de choses sont spirituelle, avant d'être "prouvée" scientifiquement.

Il me semble qu'il y a là un travail à faire !
C'est sûr et si vous avez des idées là-dessus peut-être pouvez-vous m'aiguiller ?
 
Nossolar

Nossolar

Moderateur
Membre de l'équipe
messages
2 579
Points
6 760
Localisation
Belgique
Des idées il y en a pleins, mais lesquels vont être bonne dans votre cas, là est la bonne question...

On peut dire en général que la timidité est un problème de confiance en sois, souvent on pense que les autres sont meilleurs et comme on se le prouve on finit par les laisser être toujours meilleur que nous mêmes ! Ce cercle vicieux entraîne le fait que l'on ne se met très rarement en avant, hors la meilleur chose est de justement de se mettre en avant d'oser, et si on loupe, rien de bien grave, il n'y a pas d'échecs, il n'y a que des expériences dans la vie, jusqu’au jour ou la dernière expérience sera une réussite !

Petite histoire:
Je devais avoir 18-19 ans première sortie en boite de nuit, héhé des gens dansent et moi pas je n'ose pas...du coup je reste assis toute la soirée, ha c'est ça les sorties en boite de nuit...3/4 des gens restent assis (ou debout) et l'autre quart danse, puis je vois que des gens rigolent de ceux qui dansent, et là mon franc tombe...
Ils rigolent et se moquent des autres, la critique est facile en effet, du coup je n'ai pas voulu être de ce coté là, j'ai été sur la piste, et quand j'y étais je riais intérieurement à me dire coool je suis dans le quart des gens qui osent et ceux qui sont assis n'ont pas compris que je rigole d'eux car ils n'osent pas.

Quand je repense a cela je me dis que j'ai bien fait car je me suis bien amusé et dans la vie cela a une grande importance d'oser se faire plaisir.

Je viens de remarquer après avoir fais mon texte que mon histoire a des similitudes avec la méthode ho'oponopono !

Ps il y a aussi des mp3 sur le net pour augmenter la confiance en soi.
 
Fifi brin d'acier

Fifi brin d'acier

Membre
messages
72
Points
3 260
Localisation
Aire sur l'Adour
Je viens de remarquer après avoir fais mon texte que mon histoire a des similitudes avec la méthode ho'oponopono !
C'est vrai, il y a des similitudes. Je me demande même si je ne devrai pas m'autoriser quelques séances d'ho'oponopono basée sur l'existence des conflits qu'il y a en moi ou en lien avec mon histoire. Peut-être qu'en cherchant à ranger mon harmonie je pourrai peut-être lâcher prise avec moi-même et avec mes blocages.
Je sais déjà en grande partie de ce comportement me vient du fait que ma mère ne m'a jamais désirée et m'a toujours instillé des suggestions très négatives du genre : si l'avortement avait existé quand tu es née, c'est toi qui n'existerai pas ; tu ne peux pas faire ce travail car tu es trop fragile ; c'est normal que tu rates, tu n'en n'a pas la capacité ; tout ce que je me rappelle de toi quand tu étais petite, c'est que tu étais malade...... Je pense que j'ai suffisamment de bon sujets pour tenter cette méthode.
Je regarderai sur aussi les mp3 sur le net.
 
Dernière édition:
Nossolar

Nossolar

Moderateur
Membre de l'équipe
messages
2 579
Points
6 760
Localisation
Belgique
Il y à de grandes chances que ta blessure soit effectivement le pourquoi de ton comportement.

C'est clair que c'est souvent dévalorisant de s'entendre dire des choses comme cela, surtout de sa propre mère...
On ne refais pas la passé par contre on construit son futur, et si a partir de maintenant tu commençais à ne plus croire en ce qu'elle t'as dit cela améliorerais quoi dans ta situation !
 
Fifi brin d'acier

Fifi brin d'acier

Membre
messages
72
Points
3 260
Localisation
Aire sur l'Adour
Il y à de grandes chances que ta blessure soit effectivement le pourquoi de ton comportement.

C'est clair que c'est souvent dévalorisant de s'entendre dire des choses comme cela, surtout de sa propre mère...
On ne refais pas la passé par contre on construit son futur, et si a partir de maintenant tu commençais à ne plus croire en ce qu'elle t'as dit cela améliorerais quoi dans ta situation !
Merci pour cette réponse, ça fait chaud au coeur.
Ça fait plusieurs années que j'ai réussi à mettre le holà et une grande distance entre nous. Et ma situation par rapport à ça c'est déjà bien améliorée : si j'avais vécu la situation professionnelle que j'ai décrite il n'y a ne serait-ce que cinq ans, je n'aurai pas eu le courage de tenter une discussion écrite et encore moins verbale avec cette personne.
Par contre, j'ai encore du mal à me défaire de mes habitudes de comportement et je pense que les progrès pourront venir de là.
 
Fifi brin d'acier

Fifi brin d'acier

Membre
messages
72
Points
3 260
Localisation
Aire sur l'Adour
On ne refais pas la passé par contre on construit son futur, et si a partir de maintenant tu commençais à ne plus croire en ce qu'elle t'as dit cela améliorerais quoi dans ta situation !
Comme disent les kabylles "Hadji li fet ou li fet met" : C'est du passé et le passé est mort.
 
Ghislou

Ghislou

Membre
messages
8
Points
580
Age
60
Localisation
Cannes
Pensez à la métaphore de l'arbre qui traverse les saisons (version ultra courte): "Tempêtes, pluies, été sec, neige et même si son tronc conserve les traces des moments difficiles avec aussi des branches cassées, l'arbre est toujours là, bien ancré au sol, il continue à s'épanouir, à vivre au présent, il re-bourgeonne au printemps pour donner de nouveaux fruits en été. Le temps passe et ce qui compte pour lui est le présent et sa future production, l'arbre comprend bien cela."
L'image du passé doit rester derrière en noir et blanc et floutée, le présent est lui en couleur et permet de créer l'avenir, et sa propre production (comme l'arbre)...
 
Fifi brin d'acier

Fifi brin d'acier

Membre
messages
72
Points
3 260
Localisation
Aire sur l'Adour
Pensez à la métaphore de l'arbre qui traverse les saisons (version ultra courte): "Tempêtes, pluies, été sec, neige et même si son tronc conserve les traces des moments difficiles avec aussi des branches cassées, l'arbre est toujours là, bien ancré au sol, il continue à s'épanouir, à vivre au présent, il re-bourgeonne au printemps pour donner de nouveaux fruits en été. Le temps passe et ce qui compte pour lui est le présent et sa future production, l'arbre comprend bien cela."
L'image du passé doit rester derrière en noir et blanc et floutée, le présent est lui en couleur et permet de créer l'avenir, et sa propre production (comme l'arbre)...
Merci Ghislou.
 
Shaff

Shaff

Membre
messages
33
Points
2 160
Age
49
Localisation
Bourg-la-reine
Je valide à donf!!! J'ai écris un article sur Ho'Oponopono qui fait le rapprochement entre l'hypnose éricksonienne ( et la PNL) et le Ho'Oponopono.
C'est une méthode super intelligente pour gérer toutes sortes de conflits et de traumatismes...
Franchement ça semble un peu mystique quand on en entend parler la première fois mais...

http://ici-hypnose-ericksonienne.com/effacez-vos-memoires-traumatiques-hooponopono/
 
hibou13

hibou13

Membre
messages
1 740
Points
7 960
Tout comme tout un tas de sagesses dont il nous parvient des méthodes simplifiés ou même plus récentes fabriqués de toutes pièces, il y à toujours du bon et du moins bon.
Cela correspond à certain et à d'autres non.
De la même façon on trouve toujours un lien avec l'hypnose, ou du moins une forme de pratique de celle-ci.
Parfois ce ne sont qu'une façon "exotique", donc évidement plus intéressante et plus génial d'enfoncer des portes ouvertes, mais qui résonnent bien à nos oreilles occidentales "moderne" en quête d’authenticité .
 
Nouveaux messages
dide70
  • Question
  • dide70
Réponses
0
Affichages
19
dide70
dide70
L
  • Question
  • La suppliciée
2
Réponses
55
Affichages
929
dide70
dide70
J
Réponses
2
Affichages
132
JulieB
J
>> Vous aimez cette page ? Inscivez-vous pour participer
Haut