Même si cela n'a rien à voir avec le sujet du topic, c'est plus que des études en cours puisque cela se pratique déjà, je parle au niveau de la douleur et des petites interventions, sous hypnose, maintenant qu'ils ont observé et vérifié l'efficacité, ils peuvent les quantifier sur un point de vue statistique...
je suis en train de les faire avec une stagiaire de licence de psycho pour mon propre compte, pour savoir si l'introduction d'une nouvelle stratégie est valable en terme d'impact....
1°) elle est là pour observer et pour que son mémoire fasse un peu changer l'université derrière...
2°) ces statistiques sont pour moi, elles n'ont donc de valeur que pour moi à l'heure actuelle, pour valider ou pas si mon changement de stratégie thérapeutique est bénéfique pour les personnes qui viennent.
3°) des statistiques n'auraient de sens pour l'évaluation objective que si c'était qqn de la sécu par exemple qui ferait avant et après une évaluation, pas moi-même évidemment... je sais très bien déjà depuis longtemps ce qu'est un essai clinique...
:arrow: 3°) : juste pour dire que votre débat l'évaluation objective par une stagiaire n'a pas de sens...
:arrow: 2°) depuis que je commence par aider la personne à rompre son attachement au passé et l'impression que le passé fait partie de soi (ces 2 impressions, quand elles sont fortement ressenties, conduisent la personne à lutter beaucoup contre elle même pour avancer... en clair, je l'aide à se débarrasser de ses résistances et de ses éventuels facteurs de rechute)
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Ben c'est vous qui en parlez pas moi :shock: donc votre objectif n'aurait pas de sens ?... vos propos sont confus ...
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Ben c'est un peu le but principal du thérapeute, non ?donc je ne vois pas en quoi cela est une nouvelle stratégie, désolée mais j'essaie de comprendre où vous voulez en venir et pour l'instant c'est très flou pour moi...
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:arrow: 2°) depuis que je commence par aider la personne à rompre son attachement au passé et l'impression que le passé fait partie de soi (ces 2 impressions, quand elles sont fortement ressenties, conduisent la personne à lutter beaucoup contre elle même pour avancer... en clair, je l'aide à se débarrasser de ses résistances et de ses éventuels facteurs de rechute)
Très très intéressant et c'est bien vrai que les gens ne veulent pas se défaire du connu pour de l'inconnu. Le connu, il aura beau faire mal, on y est acclimaté, habitué, il ne fait plus peur en quelque sorte bien que quelquefois la peur fasse partie de ce "connu"... Et voilà qu'on lui propose de s'en défaire.
On est attaché à son passé comme à ses névroses un peu par le même phénomène que le syndrome de Stockolm.
Moi je préconise la conscientisation et le recadrage... On ne peut pas gommer un passé puisqu'il est bien là en nous. IL faut donc le comprendre différemment pour enfin le digérer et faire le mieux que l'on peut faire avec.
:arrow: 3°) : juste pour dire que votre débat l'évaluation objective par une stagiaire n'a pas de sens...
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Très très intéressant et c'est bien vrai que les gens ne veulent pas se défaire du connu pour de l'inconnu. Le connu, il aura beau faire mal, on y est acclimaté, habitué, il ne fait plus peur en quelque sorte bien que quelquefois la peur fasse partie de ce "connu"... Et voilà qu'on lui propose de s'en défaire.
On est attaché à son passé comme à ses névroses un peu par le même phénomène que le syndrome de Stockolm.
Moi je préconise la conscientisation et le recadrage... On ne peut pas gommer un passé puisqu'il est bien là en nous. IL faut donc le comprendre différemment pour enfin le digérer et faire le mieux que l'on peut faire avec.