Kamou
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mouette22 à dit:le cancer du poumon on n'y réchappe pas dites- vous ?
mais tout dépend du cancer .; de son emplacement .. de son étendue . Pourquoi êtes vous si péremptoire ? Une amie l'a eu et s'en est bien sortie ! (et cela depuis une vingtaine d'années ..)
Ivan.67 à dit:Trouver quelqu'un pour traiter par l'hypnose les douleurs provoqués soit directement par le cancer, soit par le traitement mit en oeuvre (la chimio) n'est pas forcément facile, surtout si l'on cherche une personne compétente. Le gros problème, en hypnose, c'est que l'on peut tomber sur tout et n'importe quoi, comme thérapeute. Tandis que, comme partout ailleurs, les thérapeutes les mieux diplomés n'auront pas forcément le mieux le temps de s'occuper d'un partient, on ne sait ce que feront ceux qui sont moins bien diplomés. Si je devais chercher un thérapeute pour s'occuper d'un proche qui souffre du cancer et que je voulais trouver un bon thérapeute, je choisirais plutôt un médecin ou quelqu'un en mesure de travailler avec l'équipe médicale. Commencez donc par interroger l'équipe médicale au sujet d'un hypnotiseur, ils sont parfois plus ouvert qu'on ne le croit. Voici également le nom d'une psychologue qui a fait des recherches sur le soulagement de la douleur par l'hypnose en cancérologie Geneviève Cléda, de bruxelle. Je ne sais pas au juste dans quel hoptital elle a travaillé, mais surement qu'en la retrouvant (elle ou ses collègues) elle pourrait conseiller quelqu'un sur Paris.
Ivan.67 à dit:Si je devais chercher un thérapeute pour s'occuper d'un proche qui souffre du cancer et que je voulais trouver un bon thérapeute, je choisirais plutôt un médecin ou quelqu'un en mesure de travailler avec l'équipe médicale. Commencez donc par interroger l'équipe médicale au sujet d'un hypnotiseur, ils sont parfois plus ouvert qu'on ne le croit. Voici également le nom d'une psychologue qui a fait des recherches sur le soulagement de la douleur par l'hypnose en cancérologie Geneviève Cléda, de bruxelle. Je ne sais pas au juste dans quel hoptital elle a travaillé, mais surement qu'en la retrouvant (elle ou ses collègues) elle pourrait conseiller quelqu'un sur Paris.
Je crois que nous sommes d'accord. J'ai parlé de diplomes, en réalité j'aurais du parler d'expérience professionnelle. Notamment d'une expérience de travail avec le milieu médical, précisément, en cancérologie. Je crois, en fait, que c'est une bonne manière de trouver un hypnotiseur qui saura de quoi il parle. Evidemment, cela n'ote rien aux compétences des autres hypnotiseurs qui peuvent même se révéler encore meilleurs.Intemporelle à dit:Ivan.67 à dit:Si je devais chercher un thérapeute pour s'occuper d'un proche qui souffre du cancer et que je voulais trouver un bon thérapeute, je choisirais plutôt un médecin ou quelqu'un en mesure de travailler avec l'équipe médicale. Commencez donc par interroger l'équipe médicale au sujet d'un hypnotiseur, ils sont parfois plus ouvert qu'on ne le croit. Voici également le nom d'une psychologue qui a fait des recherches sur le soulagement de la douleur par l'hypnose en cancérologie Geneviève Cléda, de bruxelle. Je ne sais pas au juste dans quel hoptital elle a travaillé, mais surement qu'en la retrouvant (elle ou ses collègues) elle pourrait conseiller quelqu'un sur Paris.
Je ne partage pas trop cet avis, même si j'en comprends le fond...
Les hypnothérapeutes en cabinet travaillant sur la douleur sont rare car leur formation n'est souvent pas adaptée. L'hypnose intégrative intègre la gestion de la douleur quelle qu'elle soit ...
Un hypnothérapeute diplômé dans le milieu médical n'est pas mieux diplômé qu'un hynothérapeute en cabinet si la gestion de la douleur n'a pas été acquise lors de leur formation.
En général dans le milieu médical, la gestion de l'hypnose est très difficile à gérer car bien entendu demande du temps, et le temps c'est de l'argent et à l'hôpital, c'est d'abord le rendement, voilà pourquoi l'hypnose a du mal à s'imposer à l'hôpital, par manque de temps... un analgésique est bien plus rentable dans le milieu hospitalier...
J'ai connu une amie décédée à l'hôpital uniquement par manque de surveillance à l'heure du repas, est morte étouffée, alors que le protocole était strict, surveillance impérative à l'heure du repas.....
Ivan.67 à dit:Geneviève Cléda, par exemple, avait lors de ses recherches constaté que l'hypnose s'avérait plus efficace si elle était faite avant la chimio, plutôt qu'après (ce qui peut sembler étonnant...). Il y a, deux ou trois petites choses, parfois spécifiques aux maladies que l'on traite qu'il est toujours bon de connaître.
Ivan.67 à dit:Reste que je ne surestime pas l'auto hypnose. A mon sens, c'est soit une forme d'auto suggestion, soit une forme de relaxation. Je ne crois pas qu'on puisse être en transe et, en même temps, piloter la transe. On est soit pilote, soit en transe. Mais est-il vraiment important d'être dans une transe profonde ?
La foi, fréquemment, est plus belle que Dieu
tr-ès bien ! bonne analyseKamou à dit:Pour ce qui est des douleurs je suis de plus en plus persuadé de l'utilité d'aller voir un thérapeute pour lui.
Ses douleurs ne sont plus sensées être là apparemment, en tous cas il n'a plus mal la journée.
Son fils m'explique qu'il a peur la nuit, qu'il dort très mal, il redoute la nuit, il tient toujours quelqu'un réveillé avec lui.
Tous les soirs a 20h des douleurs le prennent au début du repas, douleurs sur lesquelles l'aspirine n'a aucun pouvoir. Voilà, ce que je comprend c'est que tout un système d'anticipation de l'épreuve de la nuit le conduit a développer des "fausses" douleurs qui sont bien réelles a priori.
Ce n'est qu'une idée je suis peut être a côté de la plaque c'est difficile de savoir je déduis seulement avec ce que me raconte mon ami, mais ça me semble possiblement du ressort de l'hypnose.
Kamou à dit:Pour ce qui est des douleurs je suis de plus en plus persuadé de l'utilité d'aller voir un thérapeute pour lui.
Ses douleurs ne sont plus sensées être là apparemment, en tous cas il n'a plus mal la journée.
Son fils m'explique qu'il a peur la nuit, qu'il dort très mal, il redoute la nuit, il tient toujours quelqu'un réveillé avec lui.
Tous les soirs a 20h des douleurs le prennent au début du repas, douleurs sur lesquelles l'aspirine n'a aucun pouvoir. Voilà, ce que je comprend c'est que tout un système d'anticipation de l'épreuve de la nuit le conduit a développer des "fausses" douleurs qui sont bien réelles a priori.
Ce n'est qu'une idée je suis peut être a côté de la plaque c'est difficile de savoir je déduis seulement avec ce que me raconte mon ami, mais ça me semble possiblement du ressort de l'hypnose.
Kamou à dit:Son fils m'explique qu'il a peur la nuit, qu'il dort très mal, il redoute la nuit, il tient toujours quelqu'un réveillé avec lui.
Tous les soirs a 20h des douleurs le prennent au début du repas, douleurs sur lesquelles l'aspirine n'a aucun pouvoir. Voilà, ce que je comprend c'est que tout un système d'anticipation de l'épreuve de la nuit le conduit a développer des "fausses" douleurs qui sont bien réelles a priori.
+ toutes les fois où elle a été angoissée en soirée...laurenzo à dit:Je me dis que toutes les hypothèses peuvent être envisagées:
- La personne redoute la nuit, la solitude etc... >> douleurs.
- La personne a des douleurs la nuit p-e du fait du traitement ou d'autres facteurs extérieurs à l'aspect psy >> angoisses.
Pour ça que ce serait p-e bien que l'oncologue en soit informé.
laurenzo à dit:Et si cette douleur avait son utilité, si elle révélait une avancée de sa maladie, un nouveau symptôme, serait-il si indiqué de la couper?