xorguina
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http://www.youtube.com/watch?feature=pl ... bCEtIviBDI
surderien à dit:xorguina à dit:surderien à dit:xorguina à dit:Dans la marche de l'éveil on peut lire:
Tout d'abord, je m'attacherai
a voir les autres comme mes égaux
puisque nos joies et nos peines sont les mêmes,
je prendrai soin de tous comme de ma propre personne.
Entre les sots qui ne poursuivent que leur intérêt
et l 'être qui recherche l'intêret des autres,
Contemplez le difference !
Entre le sot qui recherche son propre intérêt
et le sage qui recherche l'intérêt des autres
je reste en méditation profondément surderienne...
:shock:
Dans le précieux ornements de la libération on lit sur la marche de l'éveil ces versets :
Le premier est l'antidote quand domine la jalousie...
celui que tu médites est celui de l'orgueil.
Si l'orgueil est prépondérant, à titre de remède, on méditera sur l'échange de soi-même et d'autrui. 8)
Ben moi je crois que j'ai finalement depuis bien longtemps résolu l'énigme bouddhique sans la bouder :
j'entretiens mon propre intérêt à travers l'intérêt des autres
en général, ceux qui pratiquent cette forme de sagesse s'entendent bien
et çà entretient une belle hypnose...
Ivan.67 à dit:Et sur le texte de xorg :
Tout cela me donne le sentiment qu'il faudrait opposer pensée créative et pensée évaluative. Les deux sont utiles, mais n'appartiennent pas au même registre. Et, s'il est possible de trouver des compromis (une infinité même) entre ces deux termes, il n'est jamais possible de faire les deux en même temps....
xorguina à dit:surderien à dit:xorguina à dit:surderien à dit:xorguina à dit:Dans la marche de l'éveil on peut lire:
Tout d'abord, je m'attacherai
a voir les autres comme mes égaux
puisque nos joies et nos peines sont les mêmes,
je prendrai soin de tous comme de ma propre personne.
Entre les sots qui ne poursuivent que leur intérêt
et l 'être qui recherche l'intêret des autres,
Contemplez le difference !
Entre le sot qui recherche son propre intérêt
et le sage qui recherche l'intérêt des autres
je reste en méditation profondément surderienne...
:shock:
Dans le précieux ornements de la libération on lit sur la marche de l'éveil ces versets :
Le premier est l'antidote quand domine la jalousie...
celui que tu médites est celui de l'orgueil.
Si l'orgueil est prépondérant, à titre de remède, on méditera sur l'échange de soi-même et d'autrui. 8)
Ben moi je crois que j'ai finalement depuis bien longtemps résolu l'énigme bouddhique sans la bouder :
j'entretiens mon propre intérêt à travers l'intérêt des autres
en général, ceux qui pratiquent cette forme de sagesse s'entendent bien
et çà entretient une belle hypnose...
wi à condition que l'intérêt soit dans l'intention de l'échange constructif et pas de celui s'enorgueillir un peu plus...d'où l'attention toute particulière à l'ignorance des méfaits karmiques des émotions . 8)
surderien à dit:xorguina à dit:surderien à dit:xorguina à dit:surderien à dit:xorguina à dit:Dans la marche de l'éveil on peut lire:
Tout d'abord, je m'attacherai
a voir les autres comme mes égaux
puisque nos joies et nos peines sont les mêmes,
je prendrai soin de tous comme de ma propre personne.
Entre les sots qui ne poursuivent que leur intérêt
et l 'être qui recherche l'intêret des autres,
Contemplez le difference !
Entre le sot qui recherche son propre intérêt
et le sage qui recherche l'intérêt des autres
je reste en méditation profondément surderienne...
:shock:
Dans le précieux ornements de la libération on lit sur la marche de l'éveil ces versets :
Le premier est l'antidote quand domine la jalousie...
celui que tu médites est celui de l'orgueil.
Si l'orgueil est prépondérant, à titre de remède, on méditera sur l'échange de soi-même et d'autrui. 8)
Ben moi je crois que j'ai finalement depuis bien longtemps résolu l'énigme bouddhique sans la bouder :
j'entretiens mon propre intérêt à travers l'intérêt des autres
en général, ceux qui pratiquent cette forme de sagesse s'entendent bien
et çà entretient une belle hypnose...
wi à condition que l'intérêt soit dans l'intention de l'échange constructif et pas de celui s'enorgueillir un peu plus...d'où l'attention toute particulière à l'ignorance des méfaits karmiques des émotions . 8)
cette synchronisation va bien au delà de tout concept réducteur, notamment karmique !
elle est pure hypnose spontanée
( pour ceux qui veulent vraiment y rattacher du concept...interractif et libérateur !)
xorguina à dit:je t'ai tjrs dit que je sentais un désaccord avec la loi du karma ! surtout après avoir étudié tant d'années les textes sacrés , le dharma....
Mais comme tu dis être élève bouddhiste, je désirais que nous en arrivions là ! (pas ce soir )
C'est un paradoxe c'est histoire de karma, comme je l'ai déjà dit,surtout si l'on considère réel le libre choix !
Ivan.67 à dit:Encore qu'on puisse relativiser le hors sujet si l'on considère par exemple que la voie bouddhique est un must en matière d'éducation et/ou de maturité émotionnelle.
OK si on n'est pas hors sujet, ça me convient...
Donc je suis tout à fait d'accord en matière de maturité émotionnelle... ; l'éducation n'est qu'un point de départ et heureusement...
Personnellement, je ne pense pas (désolé pour les adeptes !) Je rangerais le bouddhisme du coté de la pensée créative, plutôt que du coté de la pensée éducative.
C'est bien plus que de la pensée créatrice... c'est le but même de notre existence, mais chacun son affinité de philosophie...
Cela m'évoque un autre problème : celui de Carl Rogers, lorsqu'il affirmait (tout bonnement) "qu'il n'est pas possible d'enseigner".
Heu... il a dit ça Carl Rogers ?...
C'est très dérangeant... même si, quelque part (et je ne sais pas encore très bien où) il avait raison. D'ailleurs, à ce compte là, comment peut-on espérer distinguer le vrai du faux, le bien du mal ? A moins qu'il faille considérer, avec détachement, ou même, renoncement, que tout cela n'existe pas ? N'a pas réellement d'intérêt ?
Ben pas d'accord, c'est là où ça coince a priori, on ne se pose plus la question à partir d'un certain seuil de maturité émotionnelle, l'enseignement est une chose, l'intégration une autre...
Si on se pose toujours ce type de question, c'est qu'il y a encore du chemin à parcourir, enfin c'est ce que je pense depuis un moment déjà...cela ne veut pas dire que je suis arrivée au Nirvana mais je sais où je me situe...
D'ailleurs je trouve que le même problème se pose au delà d'un certain seuil de spiritualité....
Je ne pense pas du tout comme vous.
Le plus difficile peut être c'est d'intégrer notre monde et la vie spirituelle, alors peut être faut-il faire des sacrifices pour acquérir la profondeur de notre Etre, c'est un choix personnel pas une obligation.
Intemporelle à dit:Oh Surderien, votre message me fait plonger dans un profond sommeil hypnotique et je ne vais donc pas gâcher cette douce sensation qui m'envahit.
Alors bonne nuit !
Ivan.67 à dit:Encore qu'on puisse relativiser le hors sujet si l'on considère par exemple que la voie bouddhique est un must en matière d'éducation et/ou de maturité émotionnelle.
Je ne dirais pas que c'est le must, mais celà fait partie d'une éducation que j'ai choisit à l'âge de 27ans et qui m'a beaucoup aidé a me rappeller ma vrai nature (nature du bouddha comme disent les bouddhiste) divine !
Personnellement, je ne pense pas (désolé pour les adeptes !) Je rangerais le bouddhisme du coté de la pensée créative, plutôt que du coté de la pensée éducative.
Les deux ! le bouddhisme est une éducation religieuse pour certains dans plusieurs pays et une phylosophie de vie pour d'autres.
Une créativité dans l'art de l'illusion et de l'héphémère..éducation de l'impermanence .
Cela m'évoque un autre problème : celui de Carl Rogers, lorsqu'il affirmait (tout bonnement) "qu'il n'est pas possible d'enseigner".
C'est très dérangeant... même si, quelque part (et je ne sais pas encore très bien où) il avait raison. D'ailleurs, à ce compte là, comment peut-on espérer distinguer le vrai du faux, le bien du mal ? A moins qu'il faille considérer, avec détachement, ou même, renoncement, que tout cela n'existe pas ? N'a pas réellement d'intérêt ?
Oui c'est le non attachement que l'on devrait intégrer et comme je te l'ai dit, il est plus facile de se détacher de la dualité que de lacher prise sur la vacuité !
D'ailleurs je trouve que le même problème se pose au delà d'un certain seuil de spiritualité....
surderien à dit:Le problème c'est que le dharma, avec le samsara et le nirvana, rajoute une couche de dualité en essayant de monter plus haut...
exact...quand tu vois que la vacuité n'est aussi qu'illusion , à ne pas s'attacher, alors tu comprends que le samasara et niravana sont de même...illusion :wink:
La cerise sur le gateau ( ou sur le sommet de la pyramide de Maslow) c'est qu'il y a aussi un paradis au dessus de tous ces nuages de non dualité : shambhala !
Reichlen.net)
être boddhisatva c'est bien difficile dans tout çà...
Je n'en ai pas fait le voeux, pourtant celà était mon intention première après mon refuge à mes 27ans .
Je pense que la graine est déjà là automatiquement :wink:
c'est finalement beaucoup plus simple d'oublier qu'on l'est et de lâcher prise !
C'est plus simple de se rappeller qu'on l'est, intégré et de lacher prise pour le pratiquer
Intemporelle à dit:Juste un message rapide pour Xorguina :
Vos écrits ne correspondent pas à votre sois disant éthique... votre colère, voire votre médisance ne font pas de vous l'Etre que vous dites être... il suffit de vous lire dans vos contradictions et dans votre emportement pour s'en rendre compte.
Sur ce je vous laisse méditer sur ce que vous projetez sur moi quand vous parlez de jalousie... hum... c'est étrange cette pensée... je pense qu'elle vous appartient et l'a projeter soulage votre conscience...
PS : Quant à la philosphie Bouddhiste, merci mais je sais ce qu'est le Karma et le Dharma... je ne parle pas dans le vide...
Bonne lecture, pour le reste. Vous nous en parlerez !Intemporelle à dit:Ivan.67 à dit:Personnellement, je ne pense pas (désolé pour les adeptes !) Je rangerais le bouddhisme du coté de la pensée créative, plutôt que du coté de la pensée éducative.
C'est bien plus que de la pensée créatrice... c'est le but même de notre existence, mais chacun son affinité de philosophie...
Oui, pourquoi pas...
Cela m'évoque un autre problème : celui de Carl Rogers, lorsqu'il affirmait (tout bonnement) "qu'il n'est pas possible d'enseigner".
Heu... il a dit ça Carl Rogers ?...
Si si il l'a fait. Dans un exposé qui a fait scandale, d'ailleurs....
C'est très dérangeant... même si, quelque part (et je ne sais pas encore très bien où) il avait raison. D'ailleurs, à ce compte là, comment peut-on espérer distinguer le vrai du faux, le bien du mal ? A moins qu'il faille considérer, avec détachement, ou même, renoncement, que tout cela n'existe pas ? N'a pas réellement d'intérêt ? [/color]
Ben pas d'accord, c'est là où ça coince a priori, on ne se pose plus la question à partir d'un certain seuil de maturité émotionnelle, l'enseignement est une chose, l'intégration une autre...
;-) Pas d'accord non plus : je pense justement que le questionnement est sans fin. La maturité émotionnelle permet un certain nombre de réponses, une sorte de stabilité dans l'immensité de ce questionnement, voilà tout. Bref... la sagesse.
Si on se pose toujours ce type de question, c'est qu'il y a encore du chemin à parcourir, enfin c'est ce que je pense depuis un moment déjà...cela ne veut pas dire que je suis arrivée au Nirvana mais je sais où je me situe...
Oui, moi aussi je sais ou me situer. Ne vous trompez pas sur mon questionnement. Il est peut-être plus pur que vous ne le pensez...
D'ailleurs je trouve que le même problème se pose au delà d'un certain seuil de spiritualité....
Je ne pense pas du tout comme vous.
Le plus difficile peut être c'est d'intégrer notre monde et la vie spirituelle, alors peut être faut-il faire des sacrifices pour acquérir la profondeur de notre Etre, c'est un choix personnel pas une obligation.
Vous avez raison : c'est surement difficile d'intégrer la spiritualité dans notre monde, mais je ne pense pas que cela nécessite des sacrifices, parce que, pour moi, si elle nécessite des sacrifices, ce n'est plus de la spiritualité. Bon, je pense aussi que j'ai une définition un peu particulière de la spiritualité... en tout cas, je l'imagine particulièrement intégrative.
jeangeneve à dit:D'ailleurs je trouve que le même problème se pose au delà d'un certain seuil de spiritualité....
tiens,
justement la spiritualité, au sens large serais un mal nécessaire ?
quand à la "formation/formatage", ou vois bien que ca marche.
a une situation donnée on réagis avec un choix limité, d'ailleurs bien connus en psychologie clinique.
C'est surement ce que dénonçais Carl Rogers
et puis le savoir c'est quoi, enseigner c'est bien prétentieux...
espérons que pas toujours.... Mais c'est vrai, il y a surement de ça
et puis c'est tellement codifié, protocolé, souvent indigeste...
et pourtant il faut s'y coller si on veux gagner plus...
et puis je me demande un truc la quête du savoir; ensuite cela me permet de dire je sait ?
ça, je viens juste de répondre dans mon précédent post
Je n'en attendais pas tant d'un élève bouddhiste ! ;-)surderien à dit:les bouddhistes se sont piégés dans le samsara koanique pseudo-hypnotique :
Ils cherchent le lâcher prise et sont pris dans le lâcher prise à ne plus pouvoir le lâcher
je me dois de lâcher cette illusion qui me captive...
:shock:
Ivan.67 à dit:Bonne lecture, pour le reste. Vous nous en parlerez !
Heu... vous parlez de quoi exactement ?...
Si encore une chose : voyez-vous, la vraie spiritualité, je l'assimile à la sagesse. Etes-vous d'accord avec ça ?
Ben au premier abord je dirais oui , mais c'est quoi la sagesse pour vous ? ...
Je crois que vous soulignez quelques points qui m'ont également intrigué.xorguina à dit:Ivan.67 à dit:Encore qu'on puisse relativiser le hors sujet si l'on considère par exemple que la voie bouddhique est un must en matière d'éducation et/ou de maturité émotionnelle.
Je ne dirais pas que c'est le must, mais celà fait partie d'une éducation que j'ai choisit à l'âge de 27ans et qui m'a beaucoup aidé a me rappeller ma vrai nature (nature du bouddha comme disent les bouddhiste) divine !
Personnellement, je ne pense pas (désolé pour les adeptes !) Je rangerais le bouddhisme du coté de la pensée créative, plutôt que du coté de la pensée éducative.
Les deux ! le bouddhisme est une éducation religieuse pour certains dans plusieurs pays et une phylosophie de vie pour d'autres.
Une créativité dans l'art de l'illusion et de l'héphémère..éducation de l'impermanence .
Cela m'évoque un autre problème : celui de Carl Rogers, lorsqu'il affirmait (tout bonnement) "qu'il n'est pas possible d'enseigner".
C'est très dérangeant... même si, quelque part (et je ne sais pas encore très bien où) il avait raison. D'ailleurs, à ce compte là, comment peut-on espérer distinguer le vrai du faux, le bien du mal ? A moins qu'il faille considérer, avec détachement, ou même, renoncement, que tout cela n'existe pas ? N'a pas réellement d'intérêt ?
Oui c'est le non attachement que l'on devrait intégrer et comme je te l'ai dit, il est plus facile de se détacher de la dualité que de lacher prise sur la vacuité !
D'ailleurs je trouve que le même problème se pose au delà d'un certain seuil de spiritualité....
problème il y a oui....le karma est pour moi un des paradoxes dans le dharma (oui, j'en ai d'autres :lol: )
Comme l'enfer et le paradis ou le nirvana, samasara en est un autre...ainsi que le SOI ! (mais là il vaudrait mieux ouvrir un autre post sur ses paradoxes que je vois pour mieux les partager et en discuter )
Je ne cherche nullement a discréditer le bouddhisme (je ne jetterais pas le bb avec l'eau du bain) ni aucune autre religion .
Pour moi, nous sommes des êtres divins, des êtres spirituels avant tout et nous avons eu le libre choix de nous réincarner ou réssuciter .
Ivan.67 à dit:Je crois que vous soulignez quelques points qui m'ont également intrigué.xorguina à dit:Ivan.67 à dit:Encore qu'on puisse relativiser le hors sujet si l'on considère par exemple que la voie bouddhique est un must en matière d'éducation et/ou de maturité émotionnelle.
Je ne dirais pas que c'est le must, mais celà fait partie d'une éducation que j'ai choisit à l'âge de 27ans et qui m'a beaucoup aidé a me rappeller ma vrai nature (nature du bouddha comme disent les bouddhiste) divine !
Personnellement, je ne pense pas (désolé pour les adeptes !) Je rangerais le bouddhisme du coté de la pensée créative, plutôt que du coté de la pensée éducative.
Les deux ! le bouddhisme est une éducation religieuse pour certains dans plusieurs pays et une phylosophie de vie pour d'autres.
Une créativité dans l'art de l'illusion et de l'héphémère..éducation de l'impermanence .
Cela m'évoque un autre problème : celui de Carl Rogers, lorsqu'il affirmait (tout bonnement) "qu'il n'est pas possible d'enseigner".
C'est très dérangeant... même si, quelque part (et je ne sais pas encore très bien où) il avait raison. D'ailleurs, à ce compte là, comment peut-on espérer distinguer le vrai du faux, le bien du mal ? A moins qu'il faille considérer, avec détachement, ou même, renoncement, que tout cela n'existe pas ? N'a pas réellement d'intérêt ?
Oui c'est le non attachement que l'on devrait intégrer et comme je te l'ai dit, il est plus facile de se détacher de la dualité que de lacher prise sur la vacuité !
D'ailleurs je trouve que le même problème se pose au delà d'un certain seuil de spiritualité....
problème il y a oui....le karma est pour moi un des paradoxes dans le dharma (oui, j'en ai d'autres :lol: )
Comme l'enfer et le paradis ou le nirvana, samasara en est un autre...ainsi que le SOI ! (mais là il vaudrait mieux ouvrir un autre post sur ses paradoxes que je vois pour mieux les partager et en discuter )
Je ne cherche nullement a discréditer le bouddhisme (je ne jetterais pas le bb avec l'eau du bain) ni aucune autre religion .
Pour moi, nous sommes des êtres divins, des êtres spirituels avant tout et nous avons eu le libre choix de nous réincarner ou réssuciter .
La dualité, en outre, est certainement un leurre. Je pense que tout est multifactoriel... mais, partant de là on a le choix : on peut passer de 2 (dualité) à 3, ce qu'en science occulte par exemple, on appelle le ternaire. Et pas besoin d'aller jusqu'à l'occultisme : ça, moi, surmoi. (freud) Ou encore : enfant, adulte, parent (at) Et, ça reste vrai pour la gestalt thérapie (si l'on ajoute la frontière contact) ou la psychologie jungienne (si l'on ajoute la persona)... Pourquoi 3 instances ? Parce que la troisème vient toujours "noyer le poisson". Avec 2 instances, le système serait simple, mais il y a cette troisième instance qui interragit et qui permet d'écrire bien des livres.
Bah... si la réalité est multifactorielle, je préfère 2 instances pour m'expliquer les choses.... (si ça se trouve, ça évite même les paradoxes) Et cela, même si le système duel n'est qu'une image simpliste d'une réalité bien plus complexe...
surderien à dit:Mon chien d'ailleurs ne se pose pas de question existentielle : il profite de tout...
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