Bonjour, je dois voir un enfant de 8 ans qui veut toujours gagner, et qui pense être nul s'il ne réussi pas. Exemple au ping pong ou au tennis où dès qu'il gagne un point il fait des "dances de gagnant" et dès qu'il perd un point il se met à pleurer. Il ne sait pas se contrôler même aux entrainements. Il est pareil en classe... J'aimerai savoir comment vous aborderiez le sujet, merci d'avance.
Tout d'abord il faut savoir de qui vient la demande:L'enfant ou la mère?
Et traiter la personne" demandante"
Si non,En lui apprenant a être imparfait:en lui montrant que ça peut être sympa,agréable...
"A partir de maintenant tu ne sais plus rien faire...et tu observes ce qui se passe...et tu reviens me raconter comment c'était..."
Federer devait avoir le même type de comportement... et chez les futurs sportifs de haut niveau, il y a souvent ce coté caractériel. Perdre, c'est comme mourir.
Un article sur Federer, et son "ancien" mauvais caractère : ** Lien externe en erreur **
d'accord avec Moune sur la triangulation fondamentale:
poser la question qui veut quoi ?
ensuite un peu de paradoxe, raconte lui que :
Le perdant est celui qui ne sait pas ce qu'il fera s'il gagne .
Le gagnant est celui qui sait ce qu'il fera s'il perd.
Réussir à ce qu’elle devienne addict à des paradoxes vertueux. C’est là, le principe de base, des bons hypnotherapeutes.
Le changement par l'inversion hypnotique.
La prescription du symptôme comme Erickson l’a bien montrée.
La thérapie paradoxale l’a ensuite prise à son propre compte dans l’ordeal therapy ( therapie ordalique : lui prescrire un opposé encore pire que le symptôme : technique pro )
Tu n'as pas besoin de comprendre le paradoxe, une partie de toi l'a entendu et bien sur tu n'en a pas conscience.
Ton client n'a pas comprendre de besoin !