Certes les préceptes de la psychanalyse et de la psychopathologie sont particulièrement bien installé en France.
Les gardiens du dogme sont à des postes clefs, et apparemment indéboulonnables et impose librement leurs vues
par des formations en leurs psychopathologie (aux hypnos).
Par la suite les hypnos prennent peur, et renonce a approcher certains clients et les leurs refilent.
Mais on s'éloigne du sujet...
et donc si on aimerais être quelqu'un d'autre...
ce serais pas une sorte de rêve dissociatif ?
Cela ne pourrais pas durer des années ?
Dans cette société on nous fournis pleins de modèles comme ces jeunes partit de rien, qui entreprennent et qui réussirait.
ensuite on entend plus parler et quand on cherche 6 mois plus tard on se rend compte que ils sont SDF...
et il ayant côtoyé ceux qui en font leur métier et à qui on leur demande d'incarner un personnage...
je me suis rendu compte que il y a une face cachée, certes il y a un coté flamboyant mais il y a une face cachée, intime dans le quel il est très difficile de pénétrer.
un mur est érigé, pour ne faire paraître que le coté lisse et brillant, une sorte de blindage,
alors que le quotidien si difficile à pénétrer est disons plus sombre.
j'éprouve une forte empathie et j'avoue même un peu théraper ces personnes.
Et je trouve des ressemblances avec ce qui est classé sous maniaco-dépressifs, des personnes addicts aux psys, aux psychotropes, aux drogues.
Certes on est pas forcément obligé d'aller jusque là..
vouloir ressembler à.. ou peut-être s'idéaliser se projeter dans quelqu'un d'autre,
une sorte de transfère, ça aide ?
et certes se trouver parfait et l'affirmer, je trouve cela disons égotique voir, narcissique ...
Alors que ne pas être pleinement satisfait de soi, de vouloir progresser, de rester curieux, intéressé, ouvert. serait tout aussi pathologique.
LA psychanalyse semble êtres une boucle dont on ne sort pas et ou tout est pathologique.
Ce qui m'intrigue c'est que celui qui se prétend l'inventeur, insiste dans ces ouvrages sur le fait que cela soigne ou guéris pas,
ou alors parfois, par accident, en fait l'auteur dit plutôt par hasard.
Or ses successeurs au fil des générations et dans une technique de plus en plus sophistiquée semble avoir oublié ce constat de départ.
Certes la France à Lacan et son noeud borroméen ne fait bien transer, à quoi cela nous avance ?
ma croyance et que vouloir être autre ou un autre, ressembler à.. me semble être pas très bon certains dirons pathologique .
il y a aussi à mes yeux une débauche d'énergies pour ce vouloir qui éloigne de la construction de la personne.
Avec la psychanalyse, il me semble que on est de plus en plus conduit à se comporter et a penser comme la modélisation psychanalytique se représente elle même, un long conditionnement à ce que l'on devrais être au nom des certitudes psychanalytiques .
C'est d'ailleurs curieux, je parviens de plus en plus reconnaître les personnes ayant u une cure !
Alors qui voudrais t'on être ?
Je ne suis que moi, certes c'est chiant et parfois même déprimant,
je me sait imparfait.
Cela fait de moi une personne en demande, curieuse, plaintive et bien d'autre choses.
Et ce serais patho-logique.
On ne sort pas des références externes du ce que l'on devais être d'après un thérapeute que l'on idéalise/modélise.
Bref, on reste en transe...