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benighted22
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Bonjour
Je me suis inscrit sur ce forum afin d'avoir quelques renseignements, des conseils, des réponses
Pour parler de mon histoire, j'ai 24 ans, et, je ne suis pas quelqu'un d'heureux, et même si des choses "bien" peuvent m'arriver, je suis "content" mais ça s'arrête là en général
J'ai souvent des moments dans la journée ou je ne suis pas bien, pas à l'aise, stresser pour pas grand chose, des fois je m'emporte sur des choses bêtes, suspectes, jalouses, ou des choses même légèrement financière, ça me change mon humeur, me brise, comme un choc émotionnel, soit j'intériorise, soit j'extériorise mais de façon assez brutale, en général j'extériorise quand j'ai "envie" et surtout quand je suis seul...
Je réfléchis beaucoup, peut-être un peu de trop, toujours une tendance a vouloir analyser à fond certaines choses de ma vie à me remplir la tête jusqu'à "déborder", l'avantage c'est que peut-être j'y vois des conséquences et me permet de ne pas faire ou d'éviter de faire quelques bêtises, ou des mauvais choix, que cela concerne la vie active ou non
J'ai une faible estime de moi même, je me trouve souvent moche, parfois ça va, d'autre jour non, parfois je me sens un peu près bien et il suffit d'un coup de fatigue, de me voir dans un mirroir ou en photo et paf, je me trouve pas bien et ça me casse d'un coup, et je perd confiance en moi, j'ai une tendance a voir noir ou blanc, surtout dans ma vie sentimentale, des choses que le conjoint peut faire ou ne pas faire, j'analyse trop et y voit des details, l'impression d'être pris pour un c** (désolé du terme même si je le censure) et parfois, même en l'espace de peu de temps, c'est l'amour bien, voire l'amour fou, c'est pas évident car je vois souvent les défauts de la personne (je parle sur différentes conjointes que j'ai pu avoir) quand elles ont fait des erreurs, ou m'ont blessé, et j'ai aussitôt de la haine, j'ai eu différentes copines, et depuis les premières, une tendance à me faire prendre pour un imbécile sur l'infidélité, l'infidélité de sentiment, ou de sexe même avec des hommes que je pensais avoir comme "ami", et à force de m'avoir fait toutes ces "horribles" choses, je me méfie, je sais faire confiance mais comme je disais plus haut, des détails parfois bêtes ou louches peuvent me casser, jusqu'à aller vérifier la source des informations, voir si on ne m'a pas menti, trompé etc...
Quand je suis stressé, angoissé, mal à l'aise, j'ai différentes "personnalités" ou sensation, je peux être adulte comme me sentir comme un enfant, qui attendre quelqu'un pour me soutenir dans mes noirceurs, comme un enfant qui a besoin de sa mère et quand cela arrive, je n'ai pas confiance, je me trouve pas bien, je n'ose plus les choses, les confrontations de la vie quotidienne ou avec les gens sur un désaccord, je peux perdre vite mes moyens ou me laisser en prendre plein la poire, et parfois tour l'inverse, je pourrais être "méchant", méprisant et sarcastique mais j'évite, car je sais que le résultat final ne donnera pas du positif et risquera de me poser encore plus d'ennui, alors je bouillon à l'intérieur et garde toutes ces choses ne moi depuis des années...
Mes parents ont divorcés quand j'avais 6 ans environ, ma mère à rencontrer ensuite quelqu'un, un "beau père" très sympathique mais la liaison n'a durée qu'un an, peut-être...pour ensuite avoir un second "beau père", généreux à Noël, j'avais pas mal de cadeaux mais le reste du temps j'étais puni pour des choses minimes, je me souviens qu'une fois, je devais avoir 7 ou 8 ans gros maximum, il m'apprenait à tenir les couverts dans l'autre sens (le couteau dans la main droite pour couper la viande) et au repas suivant, j'ai oublié, pas pensé à le faire, rien que ça je me suis retrouvé puni dans ma chambre juste pour cette erreur, ans compter les fois ou j'étais puni de sorti un mois, deux mois, parfois puni de sortie et d'aller en plus dans ma chambre, je devais rester assis là, dans la salon, à regarder et supporter des programmes télévisés qui ne me plaisaient pas...
On n'habitais dans un petit village, ma grand mère habitait juste en face, ils ne se parlaient plus du jour au lendemain, on m'interdisait d'aller les voir, mais je le faisais en cachette, la moitié de ma famille ne se parler pas, je "m'évadais" avec l'école, les copains du collège à l'époque, et quand j'allais chez mon père tous les 15 jours, car tout était simple avec lui
Ensuite j'ai demandé a vivre avec lui, ma mère se rendant compte que j'étais parti à cause de mon beau père, vivait dans ma chambre et a fini par demandée le divorce et prendre un appartement pour elle toute seule, lui, voyant qu'elle le quitté et ne revenait pas, il a mit fin a ses jours, des gens de ma famille m'appelait en me disant sur des tons assez poussés "mais t'inquiète pas, ce n'est pas de ta faute", rien que le fait de me le dire autant me prouvait presque le contraire, une suite d'événements ayant créé des choses négatives...sans compter le second suicide familial, celui de ma cousine...
J'étais donc chez mon père, dans un lycée, sans connaissance ni ami, je me suis faites plusieurs petites amies, mais comme je le disais plus haut, on s'est beaucoup moqué de moi, la première m'a trompé 4 ou 5 fois et a couché avec un "ami", les autres m'ont pris pour une roue de secours, avaient des sentiments pour d'autres que moi, m'ont mis de côté ou ont refait des erreurs comme couchés avec leur ex et j'en passe...
Une fois dans la vie active j'ai eu un emploi commercial, je travaillas pour deux ou trois, le genre de magasin discount ou on met 3 mois à recevoir deux rouleaux de scotch, alors on se débrouille comme on peut, on met plus de temps forcément, mais on se fait engueuler à cause de ce temps supplémentaire, à savoir que j'avais une patronne bipolaire, bipolaoire dans le style ou j'ai été en arrêt maladie, elle me souhaitais un bon repos, de bien me retaper pour revenir en bonne santé ensuite, mais quand je revenais, j'étais aussitôt convoqué dans le bureau et je m'en prenais plein la poire, comme quoi j'avais pas a me mettre en arrêt et tout le blabla, tout le contraire d'un "je te souhaite de bien te rétablir..."
Ensuite licenciement, j'ai été au chomage presque un an, je ne sortais plu, le peu que je sortais je faisais mes courses dans des petits commerces, j'avais un genre de phobie d'aller en grande surface, ou dans des zones inconnues, même faire des soirées en dehors de chez moi, j'appréhendais énormément jusqu'à me dire "non, je n'y vais pas"
J'ai ensuite retrouvé un emploi qui me "pousse" a aller dans plein de lieux différents et d'avoir des relatiosn avec des gens, des inconnus, des commerçants, dans des services etc...petit à petit je me suis remis sur pied sur le plan "phobie social", mais j'appréhende encore des choses, notamment des soirées que je ne connais (presque) pas ou des sorties comme des concerts, festivals etc...auxquels je refuse, meêm si une fois sur place, je sais que ça pourrait me plaire
Aujourd'hui, rien ne va avec ma conjointe actuelle, elle ne me comprend pas quand ça ne va pas, elle est assez lunatique, parfois elle me parle d'un ex comme un gros co****d et le lendemain elle m'en parle comme si c'était un ami, ce qui me rend irritable, triste, nerveux, en colère, ça me fait mal et je réagis comme avec des chocs émotionnels, tel un borderline à cran au moindre truc...
Je n'ai pas été diagnostiqué mais 2 3 personnes m'ont fait la remarque après avoir connu mes problèmes, mes émotions et mon état d'esprit, je ne sais pas si je le suis, mais j'avoue correspondre à beaucoup de critère, en tout cas ce stress permanent me bouffe la vie, j'ai une tête de mort vivant, à savoir qu'ne plus, j'extériorise très peu, ou part la peau par des genre d'acné et de rosacé, encore une chose positive au compteur....
Je vous ai raconté toute mon histoire pour mieux me cerner et comprendre mes questions, et mieux me conseiller, un homéopathe et un magnétiseur (et aussi mon médecin traitant) pense que le problème est lié à l'enfance, à savoir qu'il faut compter toutes les belles choses que mon sont arrivées ensuite...on m'a proposé la sophrologie mais je ne sais pas si ça marche réellement, je viens donc pour vous pour savoir si une éventuelle hypnose pourrait m'aider, car si je reste comme ça (j'ai pas envie de prendre des médoc tous les jours voire à vie) je sens qu'au bout d'un moment ça va péter...j'ai des idées noires parfois, ou parfois même souvent, mais je suis un lâche, je ne ferai rien, c'est peut-être bien d'être lâche dans ce cas là, car je sais que quelques minutes ou quelques heures après, je vais gérer mes émotions différement et inverser le processus en me disant que c'est rien, ou que c'est mieux, comme après une rupture, c'est mieux d'être seul, malheureux, mais plus stable émotionnellement parlant...
- Pensez vous que c'est vraiment lié à l'enfance mon stress permanent ?
- Est ce que je vous donne l'impression d'être borderline ? (pour ceux qui connaissent)
- Me conseillerez vous une éventuelle séance d'hypnose ?
Je sais qu'on ne va pas me faire un diagnostic psy ici, je ne suis pas la pour ça, mais je trouvais "important" de précisé ma vie, mes événements, ma routine, mes émotions...
Merci aux courageux qui liront et aux futures réponses, en espérant en avoir
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Pour parler de mon histoire, j'ai 24 ans, et, je ne suis pas quelqu'un d'heureux, et même si des choses "bien" peuvent m'arriver, je suis "content" mais ça s'arrête là en général
J'ai souvent des moments dans la journée ou je ne suis pas bien, pas à l'aise, stresser pour pas grand chose, des fois je m'emporte sur des choses bêtes, suspectes, jalouses, ou des choses même légèrement financière, ça me change mon humeur, me brise, comme un choc émotionnel, soit j'intériorise, soit j'extériorise mais de façon assez brutale, en général j'extériorise quand j'ai "envie" et surtout quand je suis seul...
Je réfléchis beaucoup, peut-être un peu de trop, toujours une tendance a vouloir analyser à fond certaines choses de ma vie à me remplir la tête jusqu'à "déborder", l'avantage c'est que peut-être j'y vois des conséquences et me permet de ne pas faire ou d'éviter de faire quelques bêtises, ou des mauvais choix, que cela concerne la vie active ou non
J'ai une faible estime de moi même, je me trouve souvent moche, parfois ça va, d'autre jour non, parfois je me sens un peu près bien et il suffit d'un coup de fatigue, de me voir dans un mirroir ou en photo et paf, je me trouve pas bien et ça me casse d'un coup, et je perd confiance en moi, j'ai une tendance a voir noir ou blanc, surtout dans ma vie sentimentale, des choses que le conjoint peut faire ou ne pas faire, j'analyse trop et y voit des details, l'impression d'être pris pour un c** (désolé du terme même si je le censure) et parfois, même en l'espace de peu de temps, c'est l'amour bien, voire l'amour fou, c'est pas évident car je vois souvent les défauts de la personne (je parle sur différentes conjointes que j'ai pu avoir) quand elles ont fait des erreurs, ou m'ont blessé, et j'ai aussitôt de la haine, j'ai eu différentes copines, et depuis les premières, une tendance à me faire prendre pour un imbécile sur l'infidélité, l'infidélité de sentiment, ou de sexe même avec des hommes que je pensais avoir comme "ami", et à force de m'avoir fait toutes ces "horribles" choses, je me méfie, je sais faire confiance mais comme je disais plus haut, des détails parfois bêtes ou louches peuvent me casser, jusqu'à aller vérifier la source des informations, voir si on ne m'a pas menti, trompé etc...
Quand je suis stressé, angoissé, mal à l'aise, j'ai différentes "personnalités" ou sensation, je peux être adulte comme me sentir comme un enfant, qui attendre quelqu'un pour me soutenir dans mes noirceurs, comme un enfant qui a besoin de sa mère et quand cela arrive, je n'ai pas confiance, je me trouve pas bien, je n'ose plus les choses, les confrontations de la vie quotidienne ou avec les gens sur un désaccord, je peux perdre vite mes moyens ou me laisser en prendre plein la poire, et parfois tour l'inverse, je pourrais être "méchant", méprisant et sarcastique mais j'évite, car je sais que le résultat final ne donnera pas du positif et risquera de me poser encore plus d'ennui, alors je bouillon à l'intérieur et garde toutes ces choses ne moi depuis des années...
Mes parents ont divorcés quand j'avais 6 ans environ, ma mère à rencontrer ensuite quelqu'un, un "beau père" très sympathique mais la liaison n'a durée qu'un an, peut-être...pour ensuite avoir un second "beau père", généreux à Noël, j'avais pas mal de cadeaux mais le reste du temps j'étais puni pour des choses minimes, je me souviens qu'une fois, je devais avoir 7 ou 8 ans gros maximum, il m'apprenait à tenir les couverts dans l'autre sens (le couteau dans la main droite pour couper la viande) et au repas suivant, j'ai oublié, pas pensé à le faire, rien que ça je me suis retrouvé puni dans ma chambre juste pour cette erreur, ans compter les fois ou j'étais puni de sorti un mois, deux mois, parfois puni de sortie et d'aller en plus dans ma chambre, je devais rester assis là, dans la salon, à regarder et supporter des programmes télévisés qui ne me plaisaient pas...
On n'habitais dans un petit village, ma grand mère habitait juste en face, ils ne se parlaient plus du jour au lendemain, on m'interdisait d'aller les voir, mais je le faisais en cachette, la moitié de ma famille ne se parler pas, je "m'évadais" avec l'école, les copains du collège à l'époque, et quand j'allais chez mon père tous les 15 jours, car tout était simple avec lui
Ensuite j'ai demandé a vivre avec lui, ma mère se rendant compte que j'étais parti à cause de mon beau père, vivait dans ma chambre et a fini par demandée le divorce et prendre un appartement pour elle toute seule, lui, voyant qu'elle le quitté et ne revenait pas, il a mit fin a ses jours, des gens de ma famille m'appelait en me disant sur des tons assez poussés "mais t'inquiète pas, ce n'est pas de ta faute", rien que le fait de me le dire autant me prouvait presque le contraire, une suite d'événements ayant créé des choses négatives...sans compter le second suicide familial, celui de ma cousine...
J'étais donc chez mon père, dans un lycée, sans connaissance ni ami, je me suis faites plusieurs petites amies, mais comme je le disais plus haut, on s'est beaucoup moqué de moi, la première m'a trompé 4 ou 5 fois et a couché avec un "ami", les autres m'ont pris pour une roue de secours, avaient des sentiments pour d'autres que moi, m'ont mis de côté ou ont refait des erreurs comme couchés avec leur ex et j'en passe...
Une fois dans la vie active j'ai eu un emploi commercial, je travaillas pour deux ou trois, le genre de magasin discount ou on met 3 mois à recevoir deux rouleaux de scotch, alors on se débrouille comme on peut, on met plus de temps forcément, mais on se fait engueuler à cause de ce temps supplémentaire, à savoir que j'avais une patronne bipolaire, bipolaoire dans le style ou j'ai été en arrêt maladie, elle me souhaitais un bon repos, de bien me retaper pour revenir en bonne santé ensuite, mais quand je revenais, j'étais aussitôt convoqué dans le bureau et je m'en prenais plein la poire, comme quoi j'avais pas a me mettre en arrêt et tout le blabla, tout le contraire d'un "je te souhaite de bien te rétablir..."
Ensuite licenciement, j'ai été au chomage presque un an, je ne sortais plu, le peu que je sortais je faisais mes courses dans des petits commerces, j'avais un genre de phobie d'aller en grande surface, ou dans des zones inconnues, même faire des soirées en dehors de chez moi, j'appréhendais énormément jusqu'à me dire "non, je n'y vais pas"
J'ai ensuite retrouvé un emploi qui me "pousse" a aller dans plein de lieux différents et d'avoir des relatiosn avec des gens, des inconnus, des commerçants, dans des services etc...petit à petit je me suis remis sur pied sur le plan "phobie social", mais j'appréhende encore des choses, notamment des soirées que je ne connais (presque) pas ou des sorties comme des concerts, festivals etc...auxquels je refuse, meêm si une fois sur place, je sais que ça pourrait me plaire
Aujourd'hui, rien ne va avec ma conjointe actuelle, elle ne me comprend pas quand ça ne va pas, elle est assez lunatique, parfois elle me parle d'un ex comme un gros co****d et le lendemain elle m'en parle comme si c'était un ami, ce qui me rend irritable, triste, nerveux, en colère, ça me fait mal et je réagis comme avec des chocs émotionnels, tel un borderline à cran au moindre truc...
Je n'ai pas été diagnostiqué mais 2 3 personnes m'ont fait la remarque après avoir connu mes problèmes, mes émotions et mon état d'esprit, je ne sais pas si je le suis, mais j'avoue correspondre à beaucoup de critère, en tout cas ce stress permanent me bouffe la vie, j'ai une tête de mort vivant, à savoir qu'ne plus, j'extériorise très peu, ou part la peau par des genre d'acné et de rosacé, encore une chose positive au compteur....
Je vous ai raconté toute mon histoire pour mieux me cerner et comprendre mes questions, et mieux me conseiller, un homéopathe et un magnétiseur (et aussi mon médecin traitant) pense que le problème est lié à l'enfance, à savoir qu'il faut compter toutes les belles choses que mon sont arrivées ensuite...on m'a proposé la sophrologie mais je ne sais pas si ça marche réellement, je viens donc pour vous pour savoir si une éventuelle hypnose pourrait m'aider, car si je reste comme ça (j'ai pas envie de prendre des médoc tous les jours voire à vie) je sens qu'au bout d'un moment ça va péter...j'ai des idées noires parfois, ou parfois même souvent, mais je suis un lâche, je ne ferai rien, c'est peut-être bien d'être lâche dans ce cas là, car je sais que quelques minutes ou quelques heures après, je vais gérer mes émotions différement et inverser le processus en me disant que c'est rien, ou que c'est mieux, comme après une rupture, c'est mieux d'être seul, malheureux, mais plus stable émotionnellement parlant...
- Pensez vous que c'est vraiment lié à l'enfance mon stress permanent ?
- Est ce que je vous donne l'impression d'être borderline ? (pour ceux qui connaissent)
- Me conseillerez vous une éventuelle séance d'hypnose ?
Je sais qu'on ne va pas me faire un diagnostic psy ici, je ne suis pas la pour ça, mais je trouvais "important" de précisé ma vie, mes événements, ma routine, mes émotions...
Merci aux courageux qui liront et aux futures réponses, en espérant en avoir