
Lemaléduqué
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- Où la Souffrance me défie !
J’ai toujours été fasciné par les réels résultats spectaculaires thérapeutiques de certains hypnothérapeutes. Une séance, une transe très légère et… bingo ! Ces résultats « hors du commun » sont-ils cependant aussi fréquents et aussi nombreux qu’annoncés ? Honnêtement, j’en doute. Et pour cause…
Au cours de ma formation en hypnose, j’ai appris que la profondeur hypnotique n’avait aucun rapport avec l’efficacité thérapeutique. Les deux récents résultats « très positifs » obtenus après des transes profondes tendent à me faire dire que cette affirmation est fausse. Je pense donc que plus la transe est profonde et plus les chances d’obtenir un dénouement appréciable sont grandes. Une question de « logique » finalement. Car si c’est l’inconscient qui est l’acteur du changement alors amener la participant à fonctionner à un niveau purement inconscient est impératif.
Jusqu’à maintenant, je me contentais de transes légères pour travailler… avec des résultats bien en dessous de mes espérances. Les résultats positifs dont je parle ont été obtenus sur des patients profondément assoupis. Au début, j’ai cru qu’ils s’étaient endormis (certains ronflaient d’ailleurs) ; mais le fait de réagir alertement aux suggestions de sortie de transe m’ont convaincu du contraire.
Bien évidemment, chercher la transe profonde est très gourmand en temps. Les personnes dont je parle ne sont entrées en transe profonde qu’après plus de deux heures d’« écoute ». Il faut donc beaucoup de temps. « Trop ! » diront certain(e)s. Aujourd’hui, il est vrai que le temps c’est de l’argent et donc… Et pourtant, je suis persuadé que le praticiens obtiendraient par ce biais bien plus de bons résultats qu’ils n’en obtiennent dans leur pratique quotidienne. J’ai pour bonne habitude de faire des séances de trois heures… un sacré avantage maintenant que je suis persuadé que la transe hypnotique profonde est bien plus efficace qu’une transe hypnotique moyenne ou légère. A ceux qui me poseront la question, je réponds d’emblée : « non, je ne vis pas de la thérapie ».
Au cours de ma formation en hypnose, j’ai appris que la profondeur hypnotique n’avait aucun rapport avec l’efficacité thérapeutique. Les deux récents résultats « très positifs » obtenus après des transes profondes tendent à me faire dire que cette affirmation est fausse. Je pense donc que plus la transe est profonde et plus les chances d’obtenir un dénouement appréciable sont grandes. Une question de « logique » finalement. Car si c’est l’inconscient qui est l’acteur du changement alors amener la participant à fonctionner à un niveau purement inconscient est impératif.
Jusqu’à maintenant, je me contentais de transes légères pour travailler… avec des résultats bien en dessous de mes espérances. Les résultats positifs dont je parle ont été obtenus sur des patients profondément assoupis. Au début, j’ai cru qu’ils s’étaient endormis (certains ronflaient d’ailleurs) ; mais le fait de réagir alertement aux suggestions de sortie de transe m’ont convaincu du contraire.
Bien évidemment, chercher la transe profonde est très gourmand en temps. Les personnes dont je parle ne sont entrées en transe profonde qu’après plus de deux heures d’« écoute ». Il faut donc beaucoup de temps. « Trop ! » diront certain(e)s. Aujourd’hui, il est vrai que le temps c’est de l’argent et donc… Et pourtant, je suis persuadé que le praticiens obtiendraient par ce biais bien plus de bons résultats qu’ils n’en obtiennent dans leur pratique quotidienne. J’ai pour bonne habitude de faire des séances de trois heures… un sacré avantage maintenant que je suis persuadé que la transe hypnotique profonde est bien plus efficace qu’une transe hypnotique moyenne ou légère. A ceux qui me poseront la question, je réponds d’emblée : « non, je ne vis pas de la thérapie ».