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lacher prise, fermer la porte après le boulot

  • Initiateur de la discussion maicricri
  • Date de début 25 Février 2017

maicricri

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  • 25 Février 2017
  • #1
bonjour à tous, j'ai une séance à faire sur quelqu'un qui est incapable de "fermer" la porte après le boulot, quelqu'un à des idées ??
 
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Prudence

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  • 25 Février 2017
  • #2
On m'a demandé un jour comment je faisais pour que le pro ne vienne pas envahir le perso, je travaille chez moi (et à l'époque je n'avais pas encore de pièce dédiée), sans réfléchir j'ai répondu "je me lave les mains après la séance", je n'en avais même pas conscience. Après j'ai beaucoup réfléchis à cette histoire, j'ai demandé à pas mal de personnes qui malgré leurs boulots difficiles, arrivaient à laisser le travail au travail et j'ai obtenu un schéma de réponse: toutes avaient un signal de fin: pour pas mal (personnel soignant) c'est de raccrocher la blouse au vestiaire, pour d'autres, ils marquaient (plus ou moins consciemment) un temps d'arrêt avant de clencher une porte, ou une pensée intervenait au moment de sortir du bâtiment, ou de rentrer dans la voiture, de se crémer les mains, boire quelque chose etc.
Depuis je conseille de chercher un signal, de l'identifier ou de le mettre en place, quelque chose qui va être le témoin d'une rupture temporelle, d'un changement d'espace, d'énergie, d'état d'esprit etc. d'y associer une pensée consciente.

Sinon tu peux reprendre ses mots (si c'est bien les siens) et orienter sur le fait que maintenant il est capable de refermer la porte derrière lui pour la rouvrir, en pleine forme, le lendemain.
Ou qu'il prenne conscience en fermant la porte qu'il laisse dans cet espace réel et concret ses pensées.
etc.
 
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Nossolar

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  • 25 Février 2017
  • #3
J'aime bien l'idée de Prudence, perso je rajouterais la création d'une passion après le boulot s'il n'en a pas et s'il en a alors on amplifie cette passion.

Peut-être voir aussi coté famille si tout vas bien ?
 
Réactions: weigel, Prudence et maicricri
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jumb

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  • 25 Février 2017
  • #4
il est utile de demander quel genre de travail fait la personne, chez elle, à l exterieur, si elle en emmene à domicile ou pas, si elle est tout le trmps mobilisable (veille, urgences)...

Si aussi il y a des choses non reglees au travail, si c est un peu sa nature d etre en soucis (voire perfectionniste)...

je serais mal à l aise de passer brutalement en me lavant les mains d un truc à l autre, ce serait trop rapide pour moi. la transition est à mon sens un outil propre à chacun, et bien sûr le rituel tres utile.

Maintenant pour beaucoup de jeunes, il n y a pas de transition vie perso et privée. la vie privee est au travail et inversement. l évolution va en ce sens. Alors est ce vraiment necessaire cette séparation ?

reponse à fournir par la personne....
 
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hibou13

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  • 25 Février 2017
  • #5
maicricri à dit:
bonjour à tous, j'ai une séance à faire sur quelqu'un qui est incapable de "fermer" la porte après le boulot, quelqu'un à des idées ??
Cliquez pour agrandir...
La question viens de la personne, donc elle ne sa validité ne discute pas. Et pour moi la piste de Prudence est pertinente (comme les remarques de jumb et celles de Nossolar en second temps).

Un peu hors sujet.
Je trouve cette question très importante, de l'intrusion du travail dans la vie privée... Autant par la difficulté de certain d'en sortir, que par l'intrusion du travail dans la vie.
Ne plus cloisonner, faire la part des choses à pour moi au moins deux sortes d'effets pervers. L'un la moindre disponibilité à une vie sociale, familiale, au projet.... et l'autre la moindre disponibilité à soit, comme une sorte de réduction du champ des possibles (culturel, intellectuel, prospectif...).

La difficulté d'en "sortir" existe pour beaucoup et dans presque tout les métiers depuis toujours.
L'intrusion du travail dans la vie, maux plus moderne lié à l'évolution de la communication (portable, mail, gps...) et d'organisation (open space...) et plus récent et générateur de problèmes amplifiés souvent par un esprit de compétition à outrance et de rentabilité.
Heureusement, un mouvement lent remet en cause tout cela ou en tout cas essaye de mettre des limites, avant un burn out généralisé.
 
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surderien

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  • 26 Février 2017
  • #6
Un grand nombre de personnes ont fait un "mariage mixte" associant en permanence vie familiale, vie sociale et vie professionnelle en vivant en communauté en "juste équilibre"
avec la porte toujours ouverte...

Je pense aux notamment aux :

Boulangers
Épiciers
Agriculteurs
Éleveurs
Médecins
Dépanneurs
Sauveteurs
Marins
Directeurs
Etc...

À l'inverse, être célibataire au chômage et marginalisé c'est un autre mode de vie bien plus libéré.
Pas de maison, pas de porte...

 
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surderien

Toujours savoir trouver le plaisir de chercher…
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  • 26 Février 2017
  • #7
Cette nuit j'ai rêvé de faire partie d'une communauté idéale où la porte serait toujours ouverte...

Je réalise maintenant que je suis comblé et que j'ai envie que çà continue...

Les restos du cœur, l'armée du salut, les hostos du cœur...

24h/24

Dans une solide solidarité mutuelle.

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jumb

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  • 26 Février 2017
  • #8
hibou13 à dit:
Un peu hors sujet.
Je trouve cette question très importante, de l'intrusion du travail dans la vie privée... Autant par la difficulté de certain d'en sortir, que par l'intrusion du travail dans la vie.
Ne plus cloisonner, faire la part des choses à pour moi au moins deux sortes d'effets pervers. L'un la moindre disponibilité à une vie sociale, familiale, au projet.... et l'autre la moindre disponibilité à soit, comme une sorte de réduction du champ des possibles (culturel, intellectuel, prospectif...).
Cliquez pour agrandir...

Il y aussi le penchant inverse, que j'ai beaucoup pu observer, c'est à dire le pianotage sur le téléphone (fb, messagerie... etc..) qui viennent s'immiscer dans le monde du travail. Du coup en contrepartie l'entreprise vient à la maison. On peut y lire un nouveau monde de fonctionnement dans certains emplois.(pub, comm, informatique, notamment) Cela donne une impression de "fausse liberté" souvent bien plus contraignante à l'usage.

Entièrement d'accord avec toi pour la réduction des champs des possibles : des horaires carrés permettent d'organiser son temps (à la famille, loisirs, projets).
 
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Nossolar

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  • 26 Février 2017
  • #9
hibou13 à dit:
maux plus moderne lié à l'évolution de la communication (portable, mail, gps...)
Cliquez pour agrandir...
Je sais que certaines sociétés interdisent au niveau informatique les connections pendant le week-end, une sorte de prévention anti burn out.

https://www.nouvelobs.com/rue89/rue...es-salaries-a-deconnecter-hors-du-bureau.html
 
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cassie

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  • 26 Février 2017
  • #10
Pour ma part, quand je pars travailler, ma musique par l'intermédiaire de mon autoradio va à fond. Tout le temps de mon travail, je l'éteins. Quand je rentre chez moi, je la remets à fond.
En rentrant, je fais ma toilette de nouveau, change complètement de vêtements. Je ne suis plus en tunique et jean, mais en jupe et pull.
Puis je me détends en regardant ce que mes ami(e)s ont écrit, et je fais une page de scrapbooking.
 
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maicricri

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  • 26 Février 2017
  • #11
Merci pour vos retours, c'est sympa. Donc pour résumer : il travaille dans un centre pour handicapés mentaux depuis janvier, se donne à son travail mais trop, en rêve la nuit, son esprit est tout le temps tourné vers eux. Epuisé. Sa vie de famille s'en ressent. En fait trop mais en est conscient. Il dit qu'il se sent obligé de prouver son efficacité pour remercier le centre de l'avoir embauché car il a 54 ans.
 
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Prudence

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  • 26 Février 2017
  • #12
Un petit travail sur la légitimité et l'âge/expérience pourrait peut être être intéressant en parallèle.
En ce qui concerne cette notion de dette, s'il veut remercier le centre, il doit faire du bon boulot et pour ça être en forme, bien se reposer et donc laisser le centre au centre et pouvoir se ressourcer avec sa famille et se reposer la nuit. Recadrage. Pour pouvoir aider les autres, il faut en priorité être en état, en bon état soi même.
 
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cassie

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  • 26 Février 2017
  • #13
Il n'arrive pas à se déconnecter.
A t-il peur de perdre ce nouveau travail, de mal faire ce qu'on lui demande.
Travailler dans un centre handicapés mentaux, c'est lourd mentalement, mais physiquement également.
Il aurait besoin de se détendre, de se relaxer.
Le point positif c'est qu'il est venu vous voir pour en parler. Il est conscient du problème.
Faudrait voir comment ses collègues font pour souffler, passer à autre chose.
 
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maicricri

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  • 26 Février 2017
  • #14
merci Prudence, je vais partir dans cette direction, la notion de dette car c'est vraiment ç a que j'ai ressenti, prouver sa reconnaissance quitte à s'oublier
 
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maicricri

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  • 26 Février 2017
  • #15
Oui Cassie, il en est complètement conscient donc, oui c'est plutot pas mal
 
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surderien

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  • 26 Février 2017
  • #16
Y a t'il un psychologue et des groupes de parole où il travaille?
Ça fait partie de la santé au travail +++
Surtout pour les professionnels de santé en relation d'aide qui sont exposés +
 
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maicricri

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  • 26 Février 2017
  • #17
Ça je ne pourrais pas te le dire
 
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dide70

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  • 26 Février 2017
  • #18
Se mettre en transe et couper les liens, chaque soir ou quand cela est vraiment nécessaire... je pratique quasiment jamais cette technique.
faire un brouillage, c'est une technique de pnl qui marche pas mal sur des situations un peu frustrantes, voir un swish
 
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surderien

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  • 26 Février 2017
  • #19
Il rentrait du boulot et allait voir ses potes pour s'amuser et picoler...
Pour décrocher du boulot c'était un ancrage super !

On s'est croisé car sa picole avait pris le dessus

Son épouse s'inquiétait et son fils de sept ans attendait désespérément son retour.

Un ancrage pour rentrer et s'occuper de son fils lui a permis de retrouver sa place de père et d'époux

Lorsque je l'ai revu il était radieux et tout était ok.

Juste trouver l'ancrage qui convenait aux trois.
 
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Nossolar

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  • 26 Février 2017
  • #20
maicricri à dit:
il travaille dans un centre pour handicapés mentaux depuis janvier,
Cliquez pour agrandir...
Sans doute des craintes qu'on le licencie s'il ne produit pas du bon boulot....le rassurer comme quoi il fait du bon boulot, a voir si problème d'estime ou juste la peur de perdre son boulot.
 
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hibou13

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  • 26 Février 2017
  • #21
A mon avis, toutes les réponses sont justes.
Mais, il faut distinguer (pas seulement pour ce cas,mais en général) ce qui peut relever d'un problème au travail qui "prend la tête".
D'une difficulté à ce détacher du travail une fois rentrée.
Ce sont deux problématiques qui peuvent ce conjuguer, mais qui sont de nature différente.
En consultation, il me semble qu'il faut arriver à bien y voir clair, car l'approche peut être tout à fait différente selon le cas.
 
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Jeanefraise

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  • 1 Mars 2017
  • #22
J'ajouté qu au chômage le lâcher prise est pour celui qui le subit impossible. Il y a une perte totale de repères. Je M écarte du sujet initial. Mais, L'absence de travail, de vie sociale qui en découle, le manque potentiel de moyen à brève échéance, peut produire souffrance et errance. C'est une véritable prison.
 
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jumb

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  • 2 Mars 2017
  • #23
Du coup, ça rejoint vraiment l'autre post, où en fait qu'il y aie travail ou pas travail, l'esprit reste dans le travail ou dans celui qui n'est plus, qui sera etc...L'idéal serait de pouvoir passer à l'action plutôt que de rester dans les pensées, de faire des activités associatives, de s'occuper intelligemment, apprendre des choses, de façon à éviter le cercle vicieux de l'isolement, et avoir une chance de retrouver plus facilement.
 
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surderien

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  • 2 Mars 2017
  • #24
Tout le problème de se prendre la tête et faite une fixette sur un truc qui occulte tout le reste.

Le nez dans le guidon on ne voit plus le paysage

On est captif de ce qu'on fait et on ne peut pas s'en rendre compte.

Vampirisé, envouté, prisonnier.

On est bouffé par le truc.

Plus rien d'autre n'est accessible.

Un piège mortel.
 
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jumb

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  • 2 Mars 2017
  • #25
eh ben, justement si, avec tout le temps libre de disponible -
 
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surderien

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  • 2 Mars 2017
  • #26
Passer par un rituel puissant de sortie de transe et de distanciation : une destruction de l'aliénation suivie d'une restructuration indépendante

Une déradicalisation structurée.

Une thérapie ordalique.

Par une métaphorisation hypnotique du plus haut niveau+++
 
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surderien

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  • 2 Mars 2017
  • #27
jumb à dit:
eh ben, justement si, avec tout le temps libre de disponible -
Cliquez pour agrandir...
Le temps libre c'est du temps perdu à culpabiliser de ne rien faire.
Continuer à se noyer dans l'action permet d'éviter le manque et la culpabilité de glander.
 
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surderien

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  • 2 Mars 2017
  • #28
Une métaphorisation paradoxale:

Savoir restructurer le temps perdu à trop bosser.

Sans le perdre en ne sachant pas quoi en faire.
 
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jumb

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  • 2 Mars 2017
  • #29
La problématique du chômage est pour moi plus dans l'action inutile, bref toutes les démarches qui n'aboutissent pas, dans l'impression de ne pas avancer, de voir le temps qui passe sans changement financier pour en arriver à imaginer le pire. Et du coup, de ne plus agir par découragement, et culpabiliser doublement de devoir agir sans le faire, ou de le faire sans résultat.

Enfin, c'est surtout dans l'idée qu'une personne se fait du fait d'être au chômage (et de devoir y rester) que la souffrance vient

Jeanefraise exprime cela par prison.

Et j'ai envie de lui dire et si c'était les chômeurs les personnes les plus libres ?
 
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jumb

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  • 2 Mars 2017
  • #30
surderien à dit:
Le temps libre c'est du temps perdu à culpabiliser de ne rien faire.
Continuer à se noyer dans l'action permet d'éviter le manque et la culpabilité de glander.
Cliquez pour agrandir...

Pourquoi culpabiliser de ne rien faire ?
 
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