paul-rené
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Selon vous "l'intention cachée" de psychanalyste peut elle avoir un lien avec l'hypnose ?
Cordialement :roll:
Paul rené
Cordialement :roll:
Paul rené
En effet, si tu fais référence à la psychanalyse formelle classique, c'est le moins que l'on puisse dire...paul-rené à dit:L'évacuation du noyau traumatique ne se fait pas en cinq minutes. Il demande un peu plus de temps qu'une hypnose médicale classique.
En hypnose ericksonienne on n'attend pas du sujet qu'il fasse cela ; d'ailleurs on ne suppose pas toujours (loin de là) qu'il existe un noyau traumatique, alors que le psychanalyste base sa compréhension du sujet là-dessus (traumatisme vécu ou fantasmé, refoulé ; ou bien complexe oedipien).paul-rené à dit:(...) la "manière de faire" du psychanalyste (...) pour l'aider à verbaliser et à se focaliser sur ses actes inconscients
Nous sommes bien d'accord (la plupart des avancées de la thérapie, procèdent du principe du changement de point de vue : autrement dit d'un recadrage )Joey à dit:D'autre part "aider à verbaliser" n'apporte rien si il n'y a pas un bon recadrage qui l'accompagne
ce n'est pas "personnellement j'évite cela", c'est une majorité d'hypnotherapeutes évitent d'associer le sujet à l'expérience originelle... donc la dissocier de sorte à diminuer l'intensité du cénesthésique (je dis "diminuer l'intensité" car certains disent que la dissociation "coupe" carrément le Ki... je prépare d'ailleurs un article sur le sujet car cela me fait bondir)castorix à dit:
Par exemple, l'utilisation de l'hypnose en psychanalyse est fréquemment orienté vers la catharsis par une régression en âge.
Personnellement, j'évite cela (et je ne suis pas le seul) parce qu'il n'y a aucun intérêt particulier (dans le cas d'un traumatisme vécu dans le passé) à faire revivre ce passé douloureux, lorsqu'il est possible de faire autrement, et que la personne aille tout aussi bien.
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