Bon, l'auteur émet juste un avis.
prendre son inconscient pour un bébé, c'est de mon point de vue déjà un peu mal partit .
Le bébé n'est qu'un exemple mais le subconscient est fait surtout d'expériences enfantines. C'est sa fonction, une fonction d'apprentissage.
Freud quand tu nous tiens !
Vous semblez bien plus tenir à Freud que moi, décidément.
notons le paradoxe, faire le deuil a l'enfant qui est en vous pour... le faire "grandir"
en gros souffrir pour guérir.
Préférons-nous souffrir pour souffrir? Quand les deuils ne sont pas fait c'est l'alternative. Aucun paradoxe. Le même mécanisme psychologique ou le deuil est nécessaire
pas si étonnant que pas tout le monde arrive a bien comuniquer avec son inconscient.
Ça on ne peut pas dire plus vrai. Vous commencez à piger. C'est pour cela qu'il faut souvent de l'aide.
au fil des deuils, je me protégerais .
Les gens pensent, dans leur subconscient, se protéger en maintenant en vie des chimères... Donc le deuil ne se fait pas parce que les constats ne se font pas. C'est normal de penser comme cela quand on est un enfant. L'enfant en nous pense comme ça.
profiter de la crédulité d'un enfant et a mon point de vue, ne l'aide pas a grandir.
Vous avez absolument raison.
se dire bonjour, c'est permettre aux autres parties de répondre :?:
l'auteur comprend que son enfant a aussi besoin de grandir pour cela il a besoin de ludique, d'expériences valorisantes non :?:
ce ne serais pas somme toute pas éricksonnien :?:
Oui, mais quand un deuil est dû et n'est pas fait, les expériences ludiques ne collent pas dans le bagage cognitif. Dans le subconscient, comme partout, il faut faire de la place pour y mettre de bonnes choses plaisantes. Dans bien des cas, malheureusement, c'est ce "souffrir pour souffrir" qui prend toute la place.
l'auteur vous laisse dans ces questions inductives car là, faut qu'on cause.