Article d'Anne-Laurence Fritsch, spécialisée en thérapies holistiques, hypnothérapeute accréditée
Qu’est-ce que l’hypnose ?
L’hypnose est avant tout un « état naturel » de conscience modifiée de l’être humain. « Cet état d’être nous arrive même plusieurs fois par jour », nous explique Anne-Laurence Fritsch, praticienne en hypnose ericksonienne et hypnothérapie à Saint-Paul (photo ci-contre. Néanmoins, il est possible d’y recourir pour accompagner quelqu’un dans le cadre d’une hypnothérapie.
Quelle en est l’origine ?
Bien qu’il soit impossible de retracer l’historique complet de l’hypnose, celle-ci existe depuis la nuit des temps. L’hypnose tirerait ses origines de Mésopotamie, il y a plus de 6000 ans. Des guérisons obtenues grâce à l’hypnose sont décrites dans les écritures anciennes.
Quelles sont les diverses formes d’hypnose ?
Il existe 4 formes distinctes d’hypnose :
Toutes visant à amener la personne à cet état particulier de conscience. Ce qui les différencie, ce sont les techniques utilisées pour y parvenir.
Ainsi l’hypnose classique se caractérise par l’autoritarisme, le caractère directif, du praticien, à l’instar de ce qu’on voit en spectacle.
A l’inverse, avec l’hypnose ericksonienne, jamais rien n’est imposé au sujet. On va aller dans le sens de la personne par le biais d’un langage très métaphorique et imagé ; surtout on va respecter ses valeurs et ses croyances afin qu’elle puisse atteindre ses objectifs.
Quant à la nouvelle hypnose, je l'utilise en plus des outils de l’hypnose ericksonienne, d’autres techniques modernes comme la PNL (programmation neurolinguistique) : technique de reprogrammation de nos comportements et réflexes inadaptés, pour les remplacer par des actions positives.
Enfin l’hypnose humaniste cherche, grâce à des techniques pédagogiques, à réunifier conscient et inconscient, contrairement aux autres formes d’hypnose qui s’adressent directement à l’inconscient ; l’hypnose humaniste permet un travail « en conscience » sur des blessures inconscientes.
Que soigne l’hypnose ?
Dans le cadre de ma pratique, je propose de traiter (et non de guérir, la nuance est importante) le mal-être physique et psychique de l’individu, les phobies, les traumatismes psychologiques, les troubles du comportement alimentaire (anorexie, boulimie), les addictions (tabac, alcool, drogues), les maladies psychosomatiques, les maladies auto-immunes et orphelines, les stress, les douleurs physiques, le manque d’assurance, le manque d’assurance, les deuils, le stress lié à la maladie, la souffrance de personnes sous chimiothérapie ou radiothérapie (cancer).
De plus, l’hypnose peut contribuer à préparer mentalement un sportif, ou une femme enceinte pour son accouchement.
D’où cette question légitime : Est-ce que ça marche ?
La réponse est oui, à condition d’être consentant.
Attention toutefois, il s’agit d’un accompagnement thérapeutique et non d’un traitement miraculeux !
Et il convient de faire très attention au choix de l’hypnothérapeute, car la pratique n’est pas encadrée légalement.
Comment se déroule une séance ?
Contrairement aux idées reçues, il faut savoir que la personne reste consciente, elle n’est jamais endormie et n’est pas sous l’emprise de l’hypnotiseur.
Lors d’une séance d’hypnose ericksonienne, il est essentiel de respecter l’individu sans être, à aucun moment, dans l’interprétation ou le jugement.
Il faut qu’un rapport de confiance s’installe pour permettre au patient d’accéder à la transe hypnotique, et qu’il ait ainsi accès aux ressources de son inconscient.
A l’aide d’images et de métaphores, je suggère à l’inconscient de faire un travail, mais je ne lui impose jamais ce qu’il doit faire !
Sans compter que toute thérapie exige un travail sur soi, à faire en-dehors des séances, par le biais de l’autohypnose. Une technique qui s’acquiert et que j’apprends, si elles le souhaitent, aux personnes que j'accompagne.
J'espère que cet article vous aura été utile
Anne-Laurence Fritsch
Qu’est-ce que l’hypnose ?
L’hypnose est avant tout un « état naturel » de conscience modifiée de l’être humain. « Cet état d’être nous arrive même plusieurs fois par jour », nous explique Anne-Laurence Fritsch, praticienne en hypnose ericksonienne et hypnothérapie à Saint-Paul (photo ci-contre. Néanmoins, il est possible d’y recourir pour accompagner quelqu’un dans le cadre d’une hypnothérapie.
Quelle en est l’origine ?
Bien qu’il soit impossible de retracer l’historique complet de l’hypnose, celle-ci existe depuis la nuit des temps. L’hypnose tirerait ses origines de Mésopotamie, il y a plus de 6000 ans. Des guérisons obtenues grâce à l’hypnose sont décrites dans les écritures anciennes.
Quelles sont les diverses formes d’hypnose ?
Il existe 4 formes distinctes d’hypnose :
- Hypnose classique
- Hypnose ericksonienne
- Nouvelle hypnose
- Hypnose humaniste
Toutes visant à amener la personne à cet état particulier de conscience. Ce qui les différencie, ce sont les techniques utilisées pour y parvenir.
Ainsi l’hypnose classique se caractérise par l’autoritarisme, le caractère directif, du praticien, à l’instar de ce qu’on voit en spectacle.
A l’inverse, avec l’hypnose ericksonienne, jamais rien n’est imposé au sujet. On va aller dans le sens de la personne par le biais d’un langage très métaphorique et imagé ; surtout on va respecter ses valeurs et ses croyances afin qu’elle puisse atteindre ses objectifs.
Quant à la nouvelle hypnose, je l'utilise en plus des outils de l’hypnose ericksonienne, d’autres techniques modernes comme la PNL (programmation neurolinguistique) : technique de reprogrammation de nos comportements et réflexes inadaptés, pour les remplacer par des actions positives.
Enfin l’hypnose humaniste cherche, grâce à des techniques pédagogiques, à réunifier conscient et inconscient, contrairement aux autres formes d’hypnose qui s’adressent directement à l’inconscient ; l’hypnose humaniste permet un travail « en conscience » sur des blessures inconscientes.
Que soigne l’hypnose ?
Dans le cadre de ma pratique, je propose de traiter (et non de guérir, la nuance est importante) le mal-être physique et psychique de l’individu, les phobies, les traumatismes psychologiques, les troubles du comportement alimentaire (anorexie, boulimie), les addictions (tabac, alcool, drogues), les maladies psychosomatiques, les maladies auto-immunes et orphelines, les stress, les douleurs physiques, le manque d’assurance, le manque d’assurance, les deuils, le stress lié à la maladie, la souffrance de personnes sous chimiothérapie ou radiothérapie (cancer).
De plus, l’hypnose peut contribuer à préparer mentalement un sportif, ou une femme enceinte pour son accouchement.
D’où cette question légitime : Est-ce que ça marche ?
La réponse est oui, à condition d’être consentant.
Attention toutefois, il s’agit d’un accompagnement thérapeutique et non d’un traitement miraculeux !
Et il convient de faire très attention au choix de l’hypnothérapeute, car la pratique n’est pas encadrée légalement.
Comment se déroule une séance ?
Contrairement aux idées reçues, il faut savoir que la personne reste consciente, elle n’est jamais endormie et n’est pas sous l’emprise de l’hypnotiseur.
Lors d’une séance d’hypnose ericksonienne, il est essentiel de respecter l’individu sans être, à aucun moment, dans l’interprétation ou le jugement.
Il faut qu’un rapport de confiance s’installe pour permettre au patient d’accéder à la transe hypnotique, et qu’il ait ainsi accès aux ressources de son inconscient.
A l’aide d’images et de métaphores, je suggère à l’inconscient de faire un travail, mais je ne lui impose jamais ce qu’il doit faire !
Sans compter que toute thérapie exige un travail sur soi, à faire en-dehors des séances, par le biais de l’autohypnose. Une technique qui s’acquiert et que j’apprends, si elles le souhaitent, aux personnes que j'accompagne.
J'espère que cet article vous aura été utile
Anne-Laurence Fritsch
