surderien
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surderien à dit:.
Lorsque la réponse à une question vient à l’esprit très rapidement, provient elle du conscient qui permet alors une réponse immédiate ?
Et si la réponse ne vient pas immédiatement est-ce parce qu’elle amène à réfléchir, en faisant appel à l’inconscient ?
Convient il alors de se mettre en transe pour répondre aux questions difficiles ?
comme dans l’exemple de la nuit qui porte conseil ?
ou comme ici, pour répondre à cette question que je viens de vous poser ?
8)
PS: et comment avez vous fait pour trouver réponse à cette question ?
Peut on alors améliorer cela, pour répondre aux questions lors d’un examen ?
- la réponse est venue toute seule!surderien à dit:.
PS: et comment avez vous fait pour trouver réponse à cette question ?
Peut on alors améliorer cela, pour répondre aux questions lors d’un examen ?
courforest à dit:j'ai trouvé une formation en Belgique où une étude très poussée sur un très grand échantillons de "surdoués" avait mis en évidence un principe de réflexion absolument identique pour tous ces génies et basé sur 5 points. Ils enseignent ce principe (PNL) aux profs, coach et toute personne désireuse de l'apprendre pour le transmettre ensuite aux enfants "à problèmes" ou au personnel d'entreprise. Ceci démontre très bien qu'il y a un cheminement bien spécifique du cerveau pour résoudre les problèmes. Donc je ne pense pas que l'inconscient intervienne s'il n'est pas stimulé auparavant. Maintenant lorsque la réponse est connue, elle fait partie de notre mémoire et ce n'est plus la même zone du cerveau qui travaille (enfin, je pense)
courforest à dit:Ceci démontre très bien qu'il y a un cheminement bien spécifique du cerveau pour résoudre les problèmes.
courforest à dit:la méthode en question est ensuite apprise aux élèves en décrochage scolaire qui souvent arrivent à s'en sortir. Ces élèves sont généralement des anxieux, perdu dans leur adolescence mais aussi à ceux qui font obstruction à une matière bien précise (bloquage donc). Je crois que c'est à suivre.....
courforest à dit:la méthode en question est ensuite apprise aux élèves en décrochage scolaire qui souvent arrivent à s'en sortir. Ces élèves sont généralement des anxieux, perdu dans leur adolescence mais aussi à ceux qui font obstruction à une matière bien précise (bloquage donc). Je crois que c'est à suivre.....
surderien à dit:(...) et comment avez vous fait pour trouver réponse à cette question ?
Peut on alors améliorer cela, pour répondre aux questions lors d’un examen ?
castorix à dit:Je me permettrai d'aller un peu plus loin que la proposition qui a été faite :
"un problème quel qu'il soit ne peut être résolu que si on est prêt à le résoudre", ce que La Pallisse aurait pu nous dire... :wink:
Métaphore à dit:Je rajouterais seulement qu'un problème quel qu'il soit ne peut être résoud que si on est prêt à le résoudre. Parfois, nous n'avons pas encore la ressource nécessaire à cette résolution mais le fait de se poser la question amène la réflexion et une réponse même ultérieure.
Métaphore à dit:(...) car pour moi le côté émotionnel joue une grande part dans l'échange
castorix à dit:Métaphore à dit:(...) car pour moi le côté émotionnel joue une grande part dans l'échange
C'est là que je peux ajouter : selon moi, plus la participation émotionnelle négative (telle que peur / colère / dégoût / honte ou culpabilité etc.) est importante, plus la mise en jeu des capacités d'analyse du sujet est limitée (par rapport aux capacités dont le sujet dispose, de manière générale).
Bien sûr c'est là une affirmation un peu simplifiée, car au-delà on pourra préciser : un sujet est fréquemment "limité" (au sens où je l'ai évoqué ci-dessus : temporairement bloqué) sans pouvoir en être forcément conscient, si la menace de dissonance cognitive est trop importante.
Du moins il pourra souvent sentir un inconfort psychique ou physique (j'insiste : les 2 cas se rencontrent) mais ne l'attribuera pas à l'origine la plus justifiée.
Un exemple simple ? :wink:
- j'ai loupé mon concours : bon sang cette année ils ont choisi un sujet vraiment trop dur, et mon prof n'avait pas bien traité ce chapitre !
- j'ai réussi mon concours : formidable, j'avais bien choisi mes impasses, et ce jour là j'étais en super-forme !
Commentaire pour le cas (1) : comme je suis déçu d'avoir échoué à ce concours, mes facultés d'analyse des causes sont temporairement réduites et (comme toujours en ce cas... selon un principe bien décrit depuis 1977) je ne vois qu'en Autrui la cause de mes déboires...
paulelie à dit:une autre réponse! par une question...
quelle est la fonction du thérapeute?
est ce de répondre au questions ou d'aider le client a la trouver?
quand vous vous trouver devant une instance ou après une réponse vous vous mordez la langue.... et regrettez votre réponse... par la réaction du client.... qui vous force a élaborer, ou justifier ou vous rétracter.....
la réponse évidente est:
que vous auriez mieux fait de vous taire!
donc.... pour prévenir ces "pièges"
et obéir a une éthique qui me guide a ne pas imposer, donner la réponse... mais sans aucun doutes possible.....a guider le client pour la trouver!
en répondant par la question pertinente qui va le faire réfléchir....
donc le guider vers la réponse...
si la réponse ne vous satisfait pas , car contre productif a votre but ( celui du client donc) vers le résultats ( que vous connaissez!)..... posez donc une autre question.... qui va "ouvrir" un chemin diffèrent!
HYPNOMED à dit:(...) l’extinction learning qui consiste par des afférences à intervenir sur le fonctionnement mental des sujets, par le circuit de la récompense et la voie de l’addiction et du craving (...)
La proposition la plus "new" est d’intervenir par des "afférences" thérapeutiques sur le cerveau pour rétablir les choses
Par des afférents chimiques acamprosate, naltrexone, baclofène, ondansetron (...)
Métaphore à dit:La science et ses progrès sont une chose merveilleuse, mais l’égo de l’homme dans ce domaine peut lui faire commettre des erreurs et je pense notamment à la génie génétique.
Après il y a le pouvoir de l’hypnose qui agit sur la reconstruction de la structure cognitive.
Puis il y a la pensée spirituelle qui donne le pouvoir quasi hypnotique de se rendre là où il doit se rendre au moment où il est bon pour lui de s’y rendre, et ça, ça ne s’apprend pas, ça se vit… mais souvent tardivement…
jeangeneve à dit:il et vrais que avec l'intervention de hypnomed
on monte d'un certain niveau et franchement c'est sympa
beaucoup nous échappent, bon quand médecine allopathique s'ose un débat hypno-pharmaco-machin
c'est suffisamment rare on pourrai les laisser continuer sans trop interférer, tout en prenant quelques notes...
jeangeneve à dit:il et vrais que avec l'intervention de hypnomed
on monte d'un certain niveau et franchement c'est sympa
beaucoup nous échappent, bon quand médecine allopathique s'ose un débat hypno-pharmaco-machin
c'est suffisamment rare on pourrai les laisser continuer sans trop interférer, tout en prenant quelques notes...