paulelie à dit:
une autre réponse! par une question...
quelle est la fonction du thérapeute?
est ce de répondre au questions ou d'aider le client a la trouver?
quand vous vous trouver devant une instance ou après une réponse vous vous mordez la langue.... et regrettez votre réponse... par la réaction du client.... qui vous force a élaborer, ou justifier ou vous rétracter.....
la réponse évidente est:
que vous auriez mieux fait de vous taire!
donc.... pour prévenir ces "pièges"
et obéir a une éthique qui me guide a ne pas imposer, donner la réponse... mais sans aucun doutes possible.....a guider le client pour la trouver!
en répondant par la question pertinente qui va le faire réfléchir....
donc le guider vers la réponse...
si la réponse ne vous satisfait pas , car contre productif a votre but ( celui du client donc) vers le résultats ( que vous connaissez!)..... posez donc une autre question.... qui va "ouvrir" un chemin diffèrent!
Répondre par la question pertinente qui va le faire réfléchir…
Utiliser des afférences qui vont déclencher cette réflexion déclenchante commune en miroir
Je me permets d'intervenir suite à ce message qui me parait effectivement capital, Paulélie
J'espère que je ne vais pas dériver trop à votre goût ( et proposer ici des afférences trop news inappropriées...)
J’ai participé la semaine dernière à Paris au congrès international sur l’alcoologie et les neurosciences actuelles de l’addiction, et notamment on a aussi parlé des addictions « sans substance » qui semblent être de même nature neuro-fonctionnellement.
J’ai découvert l’extinction learning qui consiste par des afférences à intervenir sur le fonctionnement mental des sujets, par le circuit de la récompense et la voie de l’addiction et du craving ;
Des zones cérébrales s’allument chez les personnes qui savent contrôler leur consommation d’alcool et d’autres zones différentes chez les addicts.
Il y a donc bien une fonction chimique du cerveau qui est modifiée dans l’addiction, un détournement d’un fonctionnement normal, le circuit de la récompense et la zone accumbens, vers un autre circuit addict et toxique.
La proposition la plus "new" est d’intervenir par des "afférences" thérapeutiques sur le cerveau pour rétablir les choses
Par des afférents chimiques acamprosate, naltrexone, baclofène, ondansetron
Par des afférences vocales
Par des afférences d’imagerie : présentation d'images, d'odeurs, de symboles, qui déclenchent des ressentis en rapport
avec la dépendance et par apprentissage, éducation en entretien, pouvoir restaurer les capacités de gestion du néocortex « normales »
Je vous mets ci joint des références trouvées sur internet en anglais, qui reprennent des éléments dans ce sens
Lien invalide
cliquer sur "hot topic" pour avoir les différents articles accessibles en PDF
Cela va bien dans les sens d’outils de réflexion en miroir pour inverser les choses et revenir au fonctionnement "normal"
de contrôle ( antérieur ou par nouvelles acquisitions ?)
Evidemment cela est en cours de validation !
Personnellement, j’ai l’impression que l’afférence hypnotique correspond à une voie d’excellence pour accéder à cela…
Les premiers résultats en imagerie IRM fonctionnelle sont en cours…
A suivre !
Hypnomed