celinemily
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Je pratique depuis 2013 et je n'ai jamais eu d'abréation.des abreactions
J'adore ton analogie!J'apprends toujours la safe place et leur dit qu'elle pourra être utile en cas de séance qui remonte une sorte de "cauchemar"....cet enseignement est appris dès la première séance avec les patients.
Imaginez tout simplement que votre enfant vive ,pendant son sommeil, un cauchemar,comment allez vous vous y prendre pour le réveiller,le rassurer,lui dire que ce n'était qu'un mauvais rêve,que la réalité est autre...?
Dans la dernière formation que j'ai suivie,le psychiatre a dit toute l'importance de créer une safe place avec des amis dedans,car se sont eux qui nous révèlent nos propres valeurs...."on existe qu'à travers les autres","seul on est rien"...
idem, impossible pour moi d'y faire entrer quelqu'un. Si on me l'impose, alors ce n'est plus une safe place, plus de mon point de vue du moins.Des gens dans ma safe-place! Quelle horreur! Inenvisageable pour mo
Des gens dans ma safe-place! Quelle horreur! Inenvisageable pour moi et je ne comprends pas qu'on veuille l'imposer, le proposer pourquoi pas mais dire que c'est important et qu'"on existe qu'à travers les autres" et que "seul on est rien" c'est complètement à l'opposé de ma pratique et de mon vécu personnel. Je trouve ça violent comme phrases, comme si c'était des vérités absolues.
je ne vois pas ou est le soucis du moment que c'est fait avec de la bienveillance et que cela ne tourne pas au thérapeutique.mes amis et mon mari me demandent souvent de leur faire une séance, et j'ai toujours refusé