M
Métaphore
Invité
J'attends des réactions vives à ce sujet ou peut être pas de commentaire du tout, ben oui ça fait réfléchir tout de même...Il ne faut pas confondre recadrage en PNL et thérapie en profondeur par différentes techniques. Un recadrage ne fait pas la thérapie ou thérapie de surface...
Car comme je l'ai déjà évoqué un individu qui consulte en thérapie hypnotique ne vient pas forcément pour le problème qu'il expose mais a de nombreuses ramifications à son passé et s'est donc souvent construit sur des schémas erronés (protecteur en son temps, mais bloquant à l'âge adulte).
Donc après une anamnèse et l'évocation des symptômes, il est important dans une 1ère étape de vérifier les ressources du sujet pour travailler avec lui, quelque soit la technique utilisée.
Parfois le sujet est très confus, et désorienté quant à ses troubles, il souffre souvent d'un conflit intérieur important et à du mal à évaluer son mal être.
C'est là qu'intervient l'hypno-analyse pour découvrir le conflit intérieur, puis intervient la thérapie des états du Moi, qui sont deux 2 types :
- Etats du moi de surface
- Etas du moi sous-jacents
Les états du moi de surface : sont le plus souvent en position de prédominants. Ils maintiennent une bonne communication entre eux. Les tâches routinières sont souvent exécutées par les états du moi de surface.
Les états du moi sous-jacents : peuvent entretenir peu de communication avec les états du moi de surface. Certains états du moi sous-jacents deviennent prédominants seulement occasionnellement dans la vie quotidienne.
Un état du moi sous-jacent est accessible en thérapie seulement sous hypnose. Les traumatismes non résolus sont contenus dans les états du moi sous-jacents.
Pour revenir à l'EMDR utilisé comme une technique infaillible (par certains)... cette technique doit être utilisée de nouveau quand on connaît les ressources de l'individu, sa stabilité, la force du Moi, le niveau de dissociation...
Le patient ne doit jamais repartir mal de la séance, même si les jours suivants il se passe un incorfort temporaire qui doit être noté et rapporté au thérapeute à la séance suivante.
Lors de l'évaluation à cette technique, le praticien sera prudent s'il existe les symptômes suivants :
- Auto-mutilation
- Tendance suicidaire
- Flashs backs incontrôlés
- Coq à l'âne rapide
- Fragilité physique
- phase terminale de maladie grave
- personnalité résistante opposée à tout changement
- Schizophrénie
La première étape des stimulations alternatives doit toujours commencer par un lieu sûr, ou le moment le plus heureux du patient.
L'EDMR a des étapes successives à suivre : de l'évaluation à la désensibilisation, à l'installation d'une croyance positive, au balayage corporel, à la terminaison et à une réévaluation pour un travail complet d'EMDR.
Et ceci pour un évènement alors dites vous bien que 3 séances d'EMDR est loin d'être complet pour un individu ayant subit divers traumatismes et surtout répétitifs sur une longue période, car certains traumas peuvent représenter un seul et unique incident, mais il peut s'agir de circonstances extrêmement dévalorisantes et humiliantes pour l'enfant pendant des années, et cela ne se traite pas en 3 séances d'EMDR...
Car comme je l'ai déjà évoqué un individu qui consulte en thérapie hypnotique ne vient pas forcément pour le problème qu'il expose mais a de nombreuses ramifications à son passé et s'est donc souvent construit sur des schémas erronés (protecteur en son temps, mais bloquant à l'âge adulte).
Donc après une anamnèse et l'évocation des symptômes, il est important dans une 1ère étape de vérifier les ressources du sujet pour travailler avec lui, quelque soit la technique utilisée.
Parfois le sujet est très confus, et désorienté quant à ses troubles, il souffre souvent d'un conflit intérieur important et à du mal à évaluer son mal être.
C'est là qu'intervient l'hypno-analyse pour découvrir le conflit intérieur, puis intervient la thérapie des états du Moi, qui sont deux 2 types :
- Etats du moi de surface
- Etas du moi sous-jacents
Les états du moi de surface : sont le plus souvent en position de prédominants. Ils maintiennent une bonne communication entre eux. Les tâches routinières sont souvent exécutées par les états du moi de surface.
Les états du moi sous-jacents : peuvent entretenir peu de communication avec les états du moi de surface. Certains états du moi sous-jacents deviennent prédominants seulement occasionnellement dans la vie quotidienne.
Un état du moi sous-jacent est accessible en thérapie seulement sous hypnose. Les traumatismes non résolus sont contenus dans les états du moi sous-jacents.
Pour revenir à l'EMDR utilisé comme une technique infaillible (par certains)... cette technique doit être utilisée de nouveau quand on connaît les ressources de l'individu, sa stabilité, la force du Moi, le niveau de dissociation...
Le patient ne doit jamais repartir mal de la séance, même si les jours suivants il se passe un incorfort temporaire qui doit être noté et rapporté au thérapeute à la séance suivante.
Lors de l'évaluation à cette technique, le praticien sera prudent s'il existe les symptômes suivants :
- Auto-mutilation
- Tendance suicidaire
- Flashs backs incontrôlés
- Coq à l'âne rapide
- Fragilité physique
- phase terminale de maladie grave
- personnalité résistante opposée à tout changement
- Schizophrénie
La première étape des stimulations alternatives doit toujours commencer par un lieu sûr, ou le moment le plus heureux du patient.
L'EDMR a des étapes successives à suivre : de l'évaluation à la désensibilisation, à l'installation d'une croyance positive, au balayage corporel, à la terminaison et à une réévaluation pour un travail complet d'EMDR.
Et ceci pour un évènement alors dites vous bien que 3 séances d'EMDR est loin d'être complet pour un individu ayant subit divers traumatismes et surtout répétitifs sur une longue période, car certains traumas peuvent représenter un seul et unique incident, mais il peut s'agir de circonstances extrêmement dévalorisantes et humiliantes pour l'enfant pendant des années, et cela ne se traite pas en 3 séances d'EMDR...