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boris110784
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jurgen Altmaier à dit:mayaca à dit:la sophrologie est inspirée par l'hypnose, entre autres techniques. :
La sophro et l'hypnose ericksonnienne sont inspiréé de l'hypnose traditionnelle.
Non, l'induction détermine l'état d'hypnose dans le quel le sujet peut aller.
La sophrologie est un état d'hypnose dite "douce".qui a mon avis peut être comparé a l'hypnose ericksonnienne.
L'hypnose traditionnelle amène en général dans un état plus profond.
Je dis bien en général, car cela dépend aussi des sujets.
Anthony17 à dit:Je ne pense pas que la profondeur de la transe est quoi que ce soit avoir avec le type d'hypnose utilisé, qu'elle soit ericksonienne ou traditionnel ...
Pieds crouteux à dit:j'ai assisté quelques fois (je ne pourrais pas compter) a des séances de sophrologie avec des méthode tirées de l'alchimie.
dans des groupes ou avec des patients (moi, la soprologue et le patient)
J'essayais de pratiquer avec eux, mais je n'ai rien atteint de comparable à ces gens qui vivent des vies antérieure, connectent des entités, et des "souvenirs" très riches en image.
je n'avais pas de préjugé car en fait je ne savais pas que ça avait un rapport avec l'hypnose, c'était un genre de musique sirupeuse avec une voie douce de ma copine que je la suivait dans ses séances.. ce qui fonctionnait mieux... c'était d'aller dans ses bras..
il n'y avait guère que la musique d'accompagnement propre à me faire remonter des émotions que je tirais d'une rupture affective très douloureuse et de la consolation d'être dans les bras d'une amie.
Je suis totalement hermétique à cette méthode.
J'ai cherché à comprendre pourquoi ça ne marchait pas: mon hypothèse est que pour "partir" dans ces suggestions il faut au moins être fusionné au mental et aux images que le mental appelle à travers des symboliques
Or, je suis séparé, dissocié de cet "outil" de communication qu'on nomne mental, en particulier les émotions ne sont pas accessibles par là..
il semble pour utiliser cela qu'il me faille réparer quelque chose de plus profond qui structure la conscience: la conscience corporelle et la libido.
Dans l'hypothèse que l'autisme est une blessure narcissique profonde due à une mauvaise perception de l'affectif au début de la vie, je répare cela en me mettant serré dans les bras d'une personne qui me représente, et là je ressens des choses qui pourraient me faire des états se rapprochant à ceux que les patients de cette sophrologue ressentaient.
En éprouvant ainsi de l'Amour et de l'attachement par le biais du contact, il m'es apparu la faculté de produire "de la cohérence centrale" pour exprimer les problémamatique en direction de personnes neurotypiques, c'est à dire "qui font sens" à l'émotionel.
c'est une aptitude troublante pour d'autre qui ont le syndrome d'asperger qui ne contactent pas les symboliques que j'ai pu ressortir de mon guidage émotionel, et d'associer de l'émotif à la musique et à ainsi pleurer et faire des abréactions, mais le processus de prise de conscience ne ressemble en rien à ce que les patients manifestent...
je crois que le salut pour l'autisme est l'étreinte corporelle... mais cette expérience est si rare...
Je vous laisse à vos croyances
Ivan Schmitt à dit:J'ai induis, un jour, une transe magnétique. Et, vraiment, elle me semblait plus profonde que les transes hypnotiques induites avec la même personne.
Lorsque je tente d'interpréter ce qui s'est passé, je me dis : oui, bon, c'était pas forcément le phénomène magnétique qui était en jeu... mais plutôt tout ce qui tournait autour des phénomènes magnétiques : les croyances assimilées.
Mais il y avait, en fait, autre chose. Pour que la transe magnétique puisse exister, je n'avais utilisé aucune parole : pas de suggestion, juste des passes magnétiques.
J'en déduis que c'est ça qui a provoqué la profondeur de la transe : l'absence de parole.
Pourquoi ? Parce qu'il était impossible de raisonner sur des paroles absentes. La transe était plus profonde, parce que réellement inconstestable pour la personne hypnotisée. Il n'y avait pas eu de mots et pourtant elle se sentait hypnotisée... donc... quoi de plus hypnotisant !
Je crois que la différence entre hypnose ericksonienne, traditionnelle et sophrologie tient en cela : une sorte d'auto-ratification de la transe, qui en soi, entraîne une transe plus ou moins profonde.... parce que la personne croit plus ou moins fortement qu'elle est profondément hypnotisée.
Ivan Schmitt à dit:J'ai induis, un jour, une transe magnétique. Et, vraiment, elle me semblait plus profonde que les transes hypnotiques induites avec la même personne.
Lorsque je tente d'interpréter ce qui s'est passé, je me dis : oui, bon, c'était pas forcément le phénomène magnétique qui était en jeu... mais plutôt tout ce qui tournait autour des phénomènes magnétiques : les croyances assimilées.
Mais il y avait, en fait, autre chose. Pour que la transe magnétique puisse exister, je n'avais utilisé aucune parole : pas de suggestion, juste des passes magnétiques.
J'en déduis que c'est ça qui a provoqué la profondeur de la transe : l'absence de parole.
Pourquoi ? Parce qu'il était impossible de raisonner sur des paroles absentes. La transe était plus profonde, parce que réellement inconstestable pour la personne hypnotisée. Il n'y avait pas eu de mots et pourtant elle se sentait hypnotisée... donc... quoi de plus hypnotisant !
Je crois que la différence entre hypnose ericksonienne, traditionnelle et sophrologie tient en cela : une sorte d'auto-ratification de la transe, qui en soi, entraîne une transe plus ou moins profonde.... parce que la personne croit plus ou moins fortement qu'elle est profondément hypnotisée.
Mais il y avait, en fait, autre chose. Pour que la transe magnétique puisse exister, je n'avais utilisé aucune parole : pas de suggestion, juste des passes magnétiques.
Pourquoi ? Parce qu'il était impossible de raisonner sur des paroles absentes. La transe était plus profonde, parce que réellement inconstestable pour la personne hypnotisée. Il n'y avait pas eu de mots et pourtant elle se sentait hypnotisée... donc... quoi de plus hypnotisant !
Je crois que la différence entre hypnose ericksonienne, traditionnelle et sophrologie tient en cela : une sorte d'auto-ratification de la transe, qui en soi, entraîne une transe plus ou moins profonde.... parce que la personne croit plus ou moins fortement qu'elle est profondément hypnotisée.
Framboisine à dit:http://psychiatrie.edimark.tv/play-vide ... _video=338
C'est aussi une façon de voir la PNL...surderien à dit:Selon Léon Chertok, la sophrologie ne serait que de l'hypnose, rebaptisée parce qu'il y aurait un tabou autour de ce terme.
Limiter l'hypnothérapie à une forme de psychothérapie est une vision très réductrice,Sourcedevie à dit:L'hypnotherapie telle que je la conçois et pratique est une forme de psychothérapie
Hubert Chatelée à dit:Limiter l'hypnothérapie à une forme de psychothérapie est une vision très réductrice,Sourcedevie à dit:L'hypnotherapie telle que je la conçois et pratique est une forme de psychothérapie
par exemple l'utilisation de l'hypnose en hypnoanalgésie ou hypnoanesthésie n'a rien de psychothérapique, de même que le traitement de la douleur chronique comme on peut le faire en soins palliatifs.
Il serait plus correct de dire que la psychothérapie n'est qu'une des nombreuses applications de l'hypnothérapie.
Je ne connais pas votre formation mais votre raisonnement est pour le moins curieux...Sourcedevie à dit:la psychothérapie dont je parle inclut toutes les approches thérapeutiques.
Une façon bien personnelle de diluer le sujet...surderien à dit:A mon avis, toute psychothérapie comporte un minimum d'hypnose
Dire que toute thérapie comporte un minimum de psychothérapie me paraît tout aussi vrai
Mais un thérapeute qui refuserait d'admettre qu'il utilise régulièrement l'hypnose, çà ne me génerait pas du tout si c'est un bon thérapeute !
L'hypnose n'est pas la panacée sauf pour ceux qui s'en sont convaincu.
Sourcedevie à dit:Ah oui effectivement si vous considérez l'hypno anesthésie ou l'acupuncture comme une thérapie on va avoir du mal a se comprendre.... :roll:
Ce sont des approches de confort et surtout moins agressives qu'un anesthesiant mais ne représentent en rien une thérapie... :shock:
Sourcedevie à dit:Une façon bien personnelle de diluer le sujet...surderien à dit:A mon avis, toute psychothérapie comporte un minimum d'hypnose
Dire que toute thérapie comporte un minimum de psychothérapie me paraît tout aussi vrai
Mais un thérapeute qui refuserait d'admettre qu'il utilise régulièrement l'hypnose, çà ne me génerait pas du tout si c'est un bon thérapeute !
L'hypnose n'est pas la panacée sauf pour ceux qui s'en sont convaincu.
Même s'il est vrai qu'un rdv amoureux peut être très hypnotique mais il sera loin d'être une thérapie...