xorguina
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La Métalogique
La métalogique, hors de toute définition classique, est un ensemble d'explications ou de phénomènes, parfois à priori absurdes, qui vont au-delà de toute compréhension logique, qui élargissent le champ de la conscience. On pourrait aussi dire : supralogique ou extralogique (dans le sens de l'expansion).
Définition du dictionnaire : " Discipline qui a pour objet la description des propriétés d'une théorie logique déterminée et d'assurer son axiomatisation et sa formalisation ".
Mais on ne peut pas définir la métalogique par une définition logique restrictive (même cette dernière phrase est métalogique). La définition du dictionnaire n'est ni métalogique, ni même… logique. La métalogique ne peut s'inscrire dans une " discipline normalisée ", une " discipline " (proche de " disciple ") étant restreinte.
Les explications vont au-delà des contradictions apparentes et recèlent une signification profonde. Un point capital est de souligner que la Conscience transcende le temps et l'espace.
Il y a l'exemple classique du koan extrême-oriental : " Quel bruit fait une seule main quand elle applaudit ? ". Le zen est construit sur une forme de métalogique. Un autre exemple : " Les aiguilles d'une montre pourraient tourner vers la gauche ", ce qui fut le cas un temps, mais le consensus fut qu'elles tourneraient vers la droite. Celui qui envisagerait la possibilité du contraire passerait pour " fou " ou " anormal ". On peut donner des exemples à l'infini.
Pour communiquer une vérité allant au-delà du niveau sémantique et logique habituel, il faut construire des contradictions apparentes (apparentes, seulement) pour la compréhension consensuelle ordinaire. De telles contradictions apparentes déroutent le mental logique, analytique, rationnel du sujet et ouvrent la voie à l'expansion de conscience.
Afin d'éviter tout réflexe homéostatique (de " homéo " " le même " et " stare " rester, donc " rester le même ") du système de croyances en place, un agent, qui veut se dérober à l'intelligentsia et à l'Eglise, ne perturber ni le niveau politique ni les rouages administratifs, tout en instillant profondément des doutes concernant les doctrines fondamentales de la société en question, agit de la sorte. En même temps, le processus ainsi initié donne une explication de lui-même pour échapper à toute détection. En effet, l'objectif n'est pas d'aller à l'encontre d'un système mais d'élargir le champ de perception. Ainsi, il projette une image juste au-delà de la structure de croyances de la société cible. Il doit simultanément perturber et rassurer.
Du temps de l'Eglise toute puissante, et pour ne pas s'en attirer les foudres, il eut été préférable, dans un premier temps du moins, d'affirmer que la terre était " un tout petit peu moins plate " et pas " complètement ronde "... Certains ont payé de leur vie pour cette histoire de crêpe, de ballon de rugby et de citrouille !
Les exemples les plus surprenants de métalogique sont ceux des rencontres dites " extraterrestres " et " angéliques ".
Les amateurs de soucoupes volantes croient naïvement que les ovnis sont des engins " physiques " (c'est-à-dire en " acier et boulons ") utilisés par des visiteurs d'autres planètes ou systèmes stellaires. L'explication est trop simpliste pour rendre compte de la diversité des comportements - souvent absurdes ou simplement déroutants - des occupants et de leur relation avec les êtres humains. Il s'agit de faire diversion et de masquer la nature réelle, infiniment plus complexe, de la technologie qui engendre les observations.
Il n'est pas important de savoir si ces engins viennent d'un autre système planétaire (ou stellaire) ou non (même si ce n'est pas le cas).
1ère hypothèse : Ces " engins " viendraient d'autres systèmes " physiques ", donc d'autres planètes. Croire qu'il peut en être ainsi provoque l'ouverture (du croyant, par exemple de l'ufologue classique) que la vie peut exister sur d'autres planètes. De plus en plus de gens envisagent cette possibilité alors que ce n'était pas le cas il y a un demi-siècle.
2ème hypothèse (la plus probable) : Ces " engins " viennent d'autres dimensions et quand, de temps à autre (sans doute, entre autres, suite à des décharges telluriques ou solaires augmentant la fréquence du lieu), le voile se déchire, le contact s'établit. La probabilité de l'existence d'autres dimensions s'installe alors de plus en plus dans l'esprit collectif.
Les " visiteurs " se présentent souvent comme extraterrestres ou parfois intraterrestres (d'une terre physique en partie creuse) pour provoquer l'ouverture de la Conscience. Tout comme les êtres angéliques, ils sont aussi le produit de l'inconscient collectif, car tout est lié. C'est là tout le sens du " monde imaginal " (à ne pas confondre avec " imaginaire ") où tout peut être vrai et faux à la fois, tout en étant réel. En se présentant de façon classique (donc physique) à des gens " normaux ", ils ouvrent la voie à la compréhension de l'infinité de dimensions de notre univers.
L'impact est formidable sur notre inconscient collectif (ouvert à la métalogique), alors que sur un plan strictement scientifique (logique, rationnel, analytique, " cerveau gauche " seulement), l'impact est pour ainsi dire nul.
Tous ces phénomènes, qu'ils s'agisse de rencontres dites " ET " ou " angéliques " ouvrent la voie à la chamanisation planétaire.
- Les ovnis ne sont, stricto sensu, donc " physiquement " (donc de notre 3ème densité, ou dimension), ni des objets, ni volants.
- Anges et ovnis ont été vus pendant toute l'histoire et ont reçu une explication dans le cadre de chaque culture. En fonction de l'époque, ils ont été pris pour des dieux, des demi-dieux, des chimères ou des démons, et, plus récemment, pour des voyageurs interplanétaires ou interstellaires. De nos jours, en channeling, anges et ET's sont souvent subtilement associés.
- comme la structure du temps et de l'espace ne sont pas aussi simples que l'affirment les scientifiques, l'origine des apparitions est sans objet. Ils peuvent venir d'un espace ou d'un temps dilaté. La conscience pouvant se manifester hors du corps, l'éventail d'hypothèses est encore plus vaste.
- La clé de la compréhension des phénomènes réside dans les effets psychiques produits, au niveau individuel, chez ceux qui les observent. Leur vie est souvent profondément changée et ils développent des talents anormaux (hors de la " normalité consensuelle ") qu'ils ne maîtrisent pas facilement, ou pas immédiatement. Par exemple : la compréhension subite, la vision à distance, le fait de " capter en plein conscience ", etc.
- Le contact entre les témoins humains et le phénomène ovni (ou angélique) se produit toujours dans des conditions contrôlées par ce dernier. Les symboles transmis par la rencontre sont absorbés à un niveau profond.
Il est à préciser qu'anges, et's, fées, elfes, lutins, korrigans, apparitions (de dames en blanc, ...) et autres visions " célestes " (à l'origine de toutes ces étranges religions), etc. font partie des mêmes concepts interdimensionnels. Que c'est un seul et même phénomène.
La caractéristique de telles rencontres est un invariant à priori absurde qui conduit les couches supérieures de la société à rejeter l'histoire. La proportion de témoins qui révèlent ces expériences est faible. La majorité choisit, par précaution, de se taire. Des études ont montré que dans 98% des cas de narration, l'entourage immédiat du témoin réagissait par le cycle désormais classique, dans l'ordre, de (1) moquerie (il est " fou ", il n'est pas " normal "), (2) agressivité, (3) isolement du " mouton noir ". Ces réactions trouvent leur origine dans la peur panique, de la part de l'entourage ou, au sens élargi, de la société (églises, " establishment scientifique ", etc. etc.). C'est un réflexe homéostatique.
Par contre, son impact sur la créativité et les pulsions inconscientes à long terme de l'homme est énorme. Le fait qu'il n'existe aucune méthodologie pour analyser cet impact prouve seulement que nous en savons encore bien peu sur notre propre monde psychique.
Les rencontres " ET " ou " angéliques " sont les exemples les plus surprenants de métalogique.
Quelques autres exemples, plus classiques, de métalogique sont :
- koans
- humour
- fictions
- contes, légendes, métaphores
- contradictions apparentes
- histoires irréelles, à priori
- synchronicités
- …
Toutes les pratiques chamaniques utilisent la métalogique sous une forme ou une autre. Cela ne peut se réaliser qu'au niveau individuel. En introduisant le sujet à des possibilités inhabituelles, la métalogique fait sauter des verrous inconscients, élargit le champ de la perception, et ouvre l'esprit à une nouvelle compréhension de l'existence. Après une forme de " perception directe ", quelle qu'elle soit (et, ange, synchronicité, nde, tunnel, obe, mot, chiffre, etc.), d'une autre forme de réalité, s'ensuit toute une recherche initiatique personnelle, extérieure, " mentale " (lectures, etc.), et enfin une compréhension intérieure (recherche " en soi ") et supérieure.
Déclic (ou perception directe)=> Recherche extérieure=> Recherche intérieure=> Compréhension supérieure
La métalogique, hors de toute définition classique, est un ensemble d'explications ou de phénomènes, parfois à priori absurdes, qui vont au-delà de toute compréhension logique, qui élargissent le champ de la conscience. On pourrait aussi dire : supralogique ou extralogique (dans le sens de l'expansion).
Définition du dictionnaire : " Discipline qui a pour objet la description des propriétés d'une théorie logique déterminée et d'assurer son axiomatisation et sa formalisation ".
Mais on ne peut pas définir la métalogique par une définition logique restrictive (même cette dernière phrase est métalogique). La définition du dictionnaire n'est ni métalogique, ni même… logique. La métalogique ne peut s'inscrire dans une " discipline normalisée ", une " discipline " (proche de " disciple ") étant restreinte.
Les explications vont au-delà des contradictions apparentes et recèlent une signification profonde. Un point capital est de souligner que la Conscience transcende le temps et l'espace.
Il y a l'exemple classique du koan extrême-oriental : " Quel bruit fait une seule main quand elle applaudit ? ". Le zen est construit sur une forme de métalogique. Un autre exemple : " Les aiguilles d'une montre pourraient tourner vers la gauche ", ce qui fut le cas un temps, mais le consensus fut qu'elles tourneraient vers la droite. Celui qui envisagerait la possibilité du contraire passerait pour " fou " ou " anormal ". On peut donner des exemples à l'infini.
Pour communiquer une vérité allant au-delà du niveau sémantique et logique habituel, il faut construire des contradictions apparentes (apparentes, seulement) pour la compréhension consensuelle ordinaire. De telles contradictions apparentes déroutent le mental logique, analytique, rationnel du sujet et ouvrent la voie à l'expansion de conscience.
Afin d'éviter tout réflexe homéostatique (de " homéo " " le même " et " stare " rester, donc " rester le même ") du système de croyances en place, un agent, qui veut se dérober à l'intelligentsia et à l'Eglise, ne perturber ni le niveau politique ni les rouages administratifs, tout en instillant profondément des doutes concernant les doctrines fondamentales de la société en question, agit de la sorte. En même temps, le processus ainsi initié donne une explication de lui-même pour échapper à toute détection. En effet, l'objectif n'est pas d'aller à l'encontre d'un système mais d'élargir le champ de perception. Ainsi, il projette une image juste au-delà de la structure de croyances de la société cible. Il doit simultanément perturber et rassurer.
Du temps de l'Eglise toute puissante, et pour ne pas s'en attirer les foudres, il eut été préférable, dans un premier temps du moins, d'affirmer que la terre était " un tout petit peu moins plate " et pas " complètement ronde "... Certains ont payé de leur vie pour cette histoire de crêpe, de ballon de rugby et de citrouille !
Les exemples les plus surprenants de métalogique sont ceux des rencontres dites " extraterrestres " et " angéliques ".
Les amateurs de soucoupes volantes croient naïvement que les ovnis sont des engins " physiques " (c'est-à-dire en " acier et boulons ") utilisés par des visiteurs d'autres planètes ou systèmes stellaires. L'explication est trop simpliste pour rendre compte de la diversité des comportements - souvent absurdes ou simplement déroutants - des occupants et de leur relation avec les êtres humains. Il s'agit de faire diversion et de masquer la nature réelle, infiniment plus complexe, de la technologie qui engendre les observations.
Il n'est pas important de savoir si ces engins viennent d'un autre système planétaire (ou stellaire) ou non (même si ce n'est pas le cas).
1ère hypothèse : Ces " engins " viendraient d'autres systèmes " physiques ", donc d'autres planètes. Croire qu'il peut en être ainsi provoque l'ouverture (du croyant, par exemple de l'ufologue classique) que la vie peut exister sur d'autres planètes. De plus en plus de gens envisagent cette possibilité alors que ce n'était pas le cas il y a un demi-siècle.
2ème hypothèse (la plus probable) : Ces " engins " viennent d'autres dimensions et quand, de temps à autre (sans doute, entre autres, suite à des décharges telluriques ou solaires augmentant la fréquence du lieu), le voile se déchire, le contact s'établit. La probabilité de l'existence d'autres dimensions s'installe alors de plus en plus dans l'esprit collectif.
Les " visiteurs " se présentent souvent comme extraterrestres ou parfois intraterrestres (d'une terre physique en partie creuse) pour provoquer l'ouverture de la Conscience. Tout comme les êtres angéliques, ils sont aussi le produit de l'inconscient collectif, car tout est lié. C'est là tout le sens du " monde imaginal " (à ne pas confondre avec " imaginaire ") où tout peut être vrai et faux à la fois, tout en étant réel. En se présentant de façon classique (donc physique) à des gens " normaux ", ils ouvrent la voie à la compréhension de l'infinité de dimensions de notre univers.
L'impact est formidable sur notre inconscient collectif (ouvert à la métalogique), alors que sur un plan strictement scientifique (logique, rationnel, analytique, " cerveau gauche " seulement), l'impact est pour ainsi dire nul.
Tous ces phénomènes, qu'ils s'agisse de rencontres dites " ET " ou " angéliques " ouvrent la voie à la chamanisation planétaire.
- Les ovnis ne sont, stricto sensu, donc " physiquement " (donc de notre 3ème densité, ou dimension), ni des objets, ni volants.
- Anges et ovnis ont été vus pendant toute l'histoire et ont reçu une explication dans le cadre de chaque culture. En fonction de l'époque, ils ont été pris pour des dieux, des demi-dieux, des chimères ou des démons, et, plus récemment, pour des voyageurs interplanétaires ou interstellaires. De nos jours, en channeling, anges et ET's sont souvent subtilement associés.
- comme la structure du temps et de l'espace ne sont pas aussi simples que l'affirment les scientifiques, l'origine des apparitions est sans objet. Ils peuvent venir d'un espace ou d'un temps dilaté. La conscience pouvant se manifester hors du corps, l'éventail d'hypothèses est encore plus vaste.
- La clé de la compréhension des phénomènes réside dans les effets psychiques produits, au niveau individuel, chez ceux qui les observent. Leur vie est souvent profondément changée et ils développent des talents anormaux (hors de la " normalité consensuelle ") qu'ils ne maîtrisent pas facilement, ou pas immédiatement. Par exemple : la compréhension subite, la vision à distance, le fait de " capter en plein conscience ", etc.
- Le contact entre les témoins humains et le phénomène ovni (ou angélique) se produit toujours dans des conditions contrôlées par ce dernier. Les symboles transmis par la rencontre sont absorbés à un niveau profond.
Il est à préciser qu'anges, et's, fées, elfes, lutins, korrigans, apparitions (de dames en blanc, ...) et autres visions " célestes " (à l'origine de toutes ces étranges religions), etc. font partie des mêmes concepts interdimensionnels. Que c'est un seul et même phénomène.
La caractéristique de telles rencontres est un invariant à priori absurde qui conduit les couches supérieures de la société à rejeter l'histoire. La proportion de témoins qui révèlent ces expériences est faible. La majorité choisit, par précaution, de se taire. Des études ont montré que dans 98% des cas de narration, l'entourage immédiat du témoin réagissait par le cycle désormais classique, dans l'ordre, de (1) moquerie (il est " fou ", il n'est pas " normal "), (2) agressivité, (3) isolement du " mouton noir ". Ces réactions trouvent leur origine dans la peur panique, de la part de l'entourage ou, au sens élargi, de la société (églises, " establishment scientifique ", etc. etc.). C'est un réflexe homéostatique.
Par contre, son impact sur la créativité et les pulsions inconscientes à long terme de l'homme est énorme. Le fait qu'il n'existe aucune méthodologie pour analyser cet impact prouve seulement que nous en savons encore bien peu sur notre propre monde psychique.
Les rencontres " ET " ou " angéliques " sont les exemples les plus surprenants de métalogique.
Quelques autres exemples, plus classiques, de métalogique sont :
- koans
- humour
- fictions
- contes, légendes, métaphores
- contradictions apparentes
- histoires irréelles, à priori
- synchronicités
- …
Toutes les pratiques chamaniques utilisent la métalogique sous une forme ou une autre. Cela ne peut se réaliser qu'au niveau individuel. En introduisant le sujet à des possibilités inhabituelles, la métalogique fait sauter des verrous inconscients, élargit le champ de la perception, et ouvre l'esprit à une nouvelle compréhension de l'existence. Après une forme de " perception directe ", quelle qu'elle soit (et, ange, synchronicité, nde, tunnel, obe, mot, chiffre, etc.), d'une autre forme de réalité, s'ensuit toute une recherche initiatique personnelle, extérieure, " mentale " (lectures, etc.), et enfin une compréhension intérieure (recherche " en soi ") et supérieure.
Déclic (ou perception directe)=> Recherche extérieure=> Recherche intérieure=> Compréhension supérieure