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laurenzo
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Intemporelle à dit:Yvan,
Nous n'allons pas polémiquer sur la notion du sens..., mais le bon sens n'est pas suffisant pour un individu dépressif, c'est mon humble avis, car connaissant suffisamment le sujet, je pense que le travail thérapeutique doit se faire en profondeur, non seulement sur les distorsions cognitives mais aussi sur les schémas erronés, enfin pour moi, c'est une évidence.
Et quand vous dites :Ce n'est pas la même approche que la votre, dans le sens ou je ne m'occuperais pas vraiment du traumatisme enfoui.
Et pourtant Laurenzo met bien en évidence la peur de ce petit garçon qui vit en lui, ne s'autorisant pas le droit à l'erreur, sentant déjà (à la maternelle) une responsabilité d'adulte qui ne lui incombe pas. Et à ce jour Laurenzo adulte a la capacité de revisiter son passé chose qu'il n'arrivait pas à faire avant, maintenant reste l'émotion associée qu'il doit ressentir dans ses tripes, et non une projection de cette émotion, quand il parle de son enfant intérieur à la 3ème personne, il ne doit pas prendre cette distance, il doit l'intégrer, ce processus est indispensable...
Vous savez les techniques Ericksonniennes (je parle des techniques et non de M. ERICKSON) ne m'apparaissent pas suffisantes mais complémentaires intégrées à d'autres approches.
Et quand vous dites :Je fais ce que beaucoup de thérapeutes négligent : je m'occupe de la dimension énergétique pour qu'il retrouve ses forces.
Et bien je ne vois pas en quoi il s'agit d'une dimension énergétique :shock: vous connaissez la psychologie de l'énergie ? ce que vous proposez à Laurenzo est effectivement du bon sens, une hygiène de vie, mais je ne vois pas de dimension énergétique.
Encore une fois Yvan, ne le prenez pas mal, car je souhaite partager les connaissances de chacun, mais certaines propositions m'apparaissent plus pertinentes...
Bon voilà, j'attends les commentaires de Laurenzo, ces écrits en disent long sur lui, comme tout un chacun d'ailleurs.
Bon dimanche à tous.
Intemporelle à dit:Et bien je ne vois pas en quoi il s'agit d'une dimension énergétique :shock: vous connaissez la psychologie de l'énergie ? ce que vous proposez à Laurenzo est effectivement du bon sens, une hygiène de vie, mais je ne vois pas de dimension énergétique.
C'est tout à fait dans ce sens que je l'entendais. Je donnais encore l'exemple suivant à une personne dans un e-mail que j'étais en train d'écrire :oratorioo à dit:Vous répondiez à Yvan :
Intemporelle à dit:Et bien je ne vois pas en quoi il s'agit d'une dimension énergétique :shock: vous connaissez la psychologie de l'énergie ? ce que vous proposez à Laurenzo est effectivement du bon sens, une hygiène de vie, mais je ne vois pas de dimension énergétique.
Proposer une bonne hygiène de vie est évidemment hautement "énergétique"!
L'exercice physique va agir considérablement au niveau énergétique.
On peut d'ailleurs rappelé que deux séances d'exercices physiques de 30 minutes par semaine auront après quelques semaines souvent des effets supérieurs aux anti-dépresseurs.
L'alimentation est également énergétique.
Mangez uniquement des aliments cuits et vous verrez que votre santé va décliner rapidement (physiquement et psychologiquement), et pourtant ils apportent la même chose que leurs homologues crus.
L'aliment cuit ne "nourrit" pas de la même façon notre système énergétique (tout dépendra fortement des modes de cuisson)
Une carence en omega 3 peut à elle seule favoriser une dépression (entre autres)
Bref, on pourrait presque dire que tout est énergie...
Intemporelle,Intemporelle à dit:Ivan (avec un i) :wink:
Votre exemple de la lecture de pensée, c'est ce qu'on appelle "l'inférence arbitraire" dans les distorsions cognitives ; il en existe bien d'autres, comme la "pensée dichotomique", ou l'abstraction sélective" pour ne citer que celles-ci.
La thérapie cognito-comportementale est bien évidemment importante mais pour moi elle doit être intégrée à toutes les autres ainsi qu'avec l'aspect psychanalytique, enfin je veux dire avoir quelques notions de psychopathologies.
Bref, pour résumer, si vous pensez que votre pratique de bon sens peut être une technique suffisante pour la dépression, permettez moi d'en douter, et vu le parcours thérapeutique de Laurenzo, je maintiens ce que j'ai dit précédémment.
Faire appel à son enfant intérieur, qu'il lui donne la place qu'il n'a jamais pu prendre enfant, pour des raisons X, lui dire que maintenant qu'il est adulte il peut le faire grandir intérieur, ce processus d'intégration est pour moi essentielle, en passant par les émotions ressenties dans le corps et non projetées par le mental.
Cette rencontre avec l'enfant intérieur est une 1ère étape et peut être suffisante, mais il est aussi possible qu'une autre partie du Moi refuse cette intégration, mais là je vais encore parler de la thérapie du Etats du Moi...
Mais si Laurenzo trouve son compte dans vos explications, j'en serais ravie pour lui.
A lui de nous le dire...
Ivan.67 à dit:Intemporelle,Intemporelle à dit:Ivan (avec un i) :wink:
Votre exemple de la lecture de pensée, c'est ce qu'on appelle "l'inférence arbitraire" dans les distorsions cognitives ; il en existe bien d'autres, comme la "pensée dichotomique", ou l'abstraction sélective" pour ne citer que celles-ci.
La thérapie cognito-comportementale est bien évidemment importante mais pour moi elle doit être intégrée à toutes les autres ainsi qu'avec l'aspect psychanalytique, enfin je veux dire avoir quelques notions de psychopathologies.
Bref, pour résumer, si vous pensez que votre pratique de bon sens peut être une technique suffisante pour la dépression, permettez moi d'en douter, et vu le parcours thérapeutique de Laurenzo, je maintiens ce que j'ai dit précédémment.
Faire appel à son enfant intérieur, qu'il lui donne la place qu'il n'a jamais pu prendre enfant, pour des raisons X, lui dire que maintenant qu'il est adulte il peut le faire grandir intérieur, ce processus d'intégration est pour moi essentielle, en passant par les émotions ressenties dans le corps et non projetées par le mental.
Cette rencontre avec l'enfant intérieur est une 1ère étape et peut être suffisante, mais il est aussi possible qu'une autre partie du Moi refuse cette intégration, mais là je vais encore parler de la thérapie du Etats du Moi...
Mais si Laurenzo trouve son compte dans vos explications, j'en serais ravie pour lui.
A lui de nous le dire...
Si la thérapie cognitivo comportementale peut, à vos yeux être intégrée a tout le reste, je ne vois vraiment pas le problème qui se pose à vous.
Mais je n'ai aucun problème ... :roll:
Toutefois, je n'utilise pas seulement les distorsions cognitives, même si, seulement avec elles, on pourrait probablement traiter une bonne partie du problème de Laurenzo.
Je n'en suis pas si sûre... c'est justement pour ça que je trouve que cette thérapie à elle seule à ses limites.
J'ai bien conscience du parcours thérapeutique de Laurenzo et j'affirme effectivement que les stratégies que je propose fonctionnent, particulièrement pour la dépression.
Perso, pour moi, cette stratégie n'est pas suffisante, vous avez votre opinion, j'ai également la mienne.
Naturellement, elles ne se limites pas à ce que vous en avez vu. Parfois, ne le prenez pas mal Intemporelle, vous jugez un peu vite.
Je ne juge pas, je dialogue avec vous et nos expériences, je ne fais que lire vos propositions et j'y rajoute mes commentaires, en quoi cela vous froisse ?
Vous ne savez même pas vraiment ou je veux en venir, ce que je veux faire et pourquoi je le fais, et déjà vous en parler comme si vous pouviez conclure sur sujet.
Et bien je redis ce que je viens de dire juste au dessus, je ne conclue rien, je ne fais qu'apporter mes doutes sur ce que vous avancez et mes propres convictions travaillant beaucoup sur le sujet.
J'apprécie en général vos remarques... mais...
Mais quoi ? ...
Moi je suis ravie de partager nos divergences, c'est ce qui fait avancer...
Bon je vais laisser la place à Laurenzo, car c'est son post au final
Intemporelle à dit:Ivan.67 à dit:Intemporelle,Intemporelle à dit:Ivan (avec un i) :wink:
Votre exemple de la lecture de pensée, c'est ce qu'on appelle "l'inférence arbitraire" dans les distorsions cognitives ; il en existe bien d'autres, comme la "pensée dichotomique", ou l'abstraction sélective" pour ne citer que celles-ci.
La thérapie cognito-comportementale est bien évidemment importante mais pour moi elle doit être intégrée à toutes les autres ainsi qu'avec l'aspect psychanalytique, enfin je veux dire avoir quelques notions de psychopathologies.
Bref, pour résumer, si vous pensez que votre pratique de bon sens peut être une technique suffisante pour la dépression, permettez moi d'en douter, et vu le parcours thérapeutique de Laurenzo, je maintiens ce que j'ai dit précédémment.
Faire appel à son enfant intérieur, qu'il lui donne la place qu'il n'a jamais pu prendre enfant, pour des raisons X, lui dire que maintenant qu'il est adulte il peut le faire grandir intérieur, ce processus d'intégration est pour moi essentielle, en passant par les émotions ressenties dans le corps et non projetées par le mental.
Cette rencontre avec l'enfant intérieur est une 1ère étape et peut être suffisante, mais il est aussi possible qu'une autre partie du Moi refuse cette intégration, mais là je vais encore parler de la thérapie du Etats du Moi...
Mais si Laurenzo trouve son compte dans vos explications, j'en serais ravie pour lui.
A lui de nous le dire...
Si la thérapie cognitivo comportementale peut, à vos yeux être intégrée a tout le reste, je ne vois vraiment pas le problème qui se pose à vous.
Mais je n'ai aucun problème ... :roll:
Toutefois, je n'utilise pas seulement les distorsions cognitives, même si, seulement avec elles, on pourrait probablement traiter une bonne partie du problème de Laurenzo.
Je n'en suis pas si sûre... c'est justement pour ça que je trouve que cette thérapie à elle seule à ses limites.
J'ai bien conscience du parcours thérapeutique de Laurenzo et j'affirme effectivement que les stratégies que je propose fonctionnent, particulièrement pour la dépression.
Perso, pour moi, cette stratégie n'est pas suffisante, vous avez votre opinion, j'ai également la mienne.
Naturellement, elles ne se limites pas à ce que vous en avez vu. Parfois, ne le prenez pas mal Intemporelle, vous jugez un peu vite.
Je ne juge pas, je dialogue avec vous et nos expériences, je ne fais que lire vos propositions et j'y rajoute mes commentaires, en quoi cela vous froisse ?
Vous ne savez même pas vraiment ou je veux en venir, ce que je veux faire et pourquoi je le fais, et déjà vous en parler comme si vous pouviez conclure sur sujet.
Et bien je redis ce que je viens de dire juste au dessus, je ne conclue rien, je ne fais qu'apporter mes doutes sur ce que vous avancez et mes propres convictions travaillant beaucoup sur le sujet.
J'apprécie en général vos remarques... mais...
Mais quoi ? ...
Moi je suis ravie de partager nos divergences, c'est ce qui fait avancer...
Bon je vais laisser la place à Laurenzo, car c'est son post au final
Ivan.67 à dit:Intemporelle à dit:Ivan.67 à dit:Intemporelle,Intemporelle à dit:Ivan (avec un i) :wink:
Votre exemple de la lecture de pensée, c'est ce qu'on appelle "l'inférence arbitraire" dans les distorsions cognitives ; il en existe bien d'autres, comme la "pensée dichotomique", ou l'abstraction sélective" pour ne citer que celles-ci.
La thérapie cognito-comportementale est bien évidemment importante mais pour moi elle doit être intégrée à toutes les autres ainsi qu'avec l'aspect psychanalytique, enfin je veux dire avoir quelques notions de psychopathologies.
Bref, pour résumer, si vous pensez que votre pratique de bon sens peut être une technique suffisante pour la dépression, permettez moi d'en douter, et vu le parcours thérapeutique de Laurenzo, je maintiens ce que j'ai dit précédémment.
Faire appel à son enfant intérieur, qu'il lui donne la place qu'il n'a jamais pu prendre enfant, pour des raisons X, lui dire que maintenant qu'il est adulte il peut le faire grandir intérieur, ce processus d'intégration est pour moi essentielle, en passant par les émotions ressenties dans le corps et non projetées par le mental.
Cette rencontre avec l'enfant intérieur est une 1ère étape et peut être suffisante, mais il est aussi possible qu'une autre partie du Moi refuse cette intégration, mais là je vais encore parler de la thérapie du Etats du Moi...
Mais si Laurenzo trouve son compte dans vos explications, j'en serais ravie pour lui.
A lui de nous le dire...
Si la thérapie cognitivo comportementale peut, à vos yeux être intégrée a tout le reste, je ne vois vraiment pas le problème qui se pose à vous.
Mais je n'ai aucun problème ... :roll:
Toutefois, je n'utilise pas seulement les distorsions cognitives, même si, seulement avec elles, on pourrait probablement traiter une bonne partie du problème de Laurenzo.
Je n'en suis pas si sûre... c'est justement pour ça que je trouve que cette thérapie à elle seule à ses limites.
J'ai bien conscience du parcours thérapeutique de Laurenzo et j'affirme effectivement que les stratégies que je propose fonctionnent, particulièrement pour la dépression.
Perso, pour moi, cette stratégie n'est pas suffisante, vous avez votre opinion, j'ai également la mienne.
Naturellement, elles ne se limites pas à ce que vous en avez vu. Parfois, ne le prenez pas mal Intemporelle, vous jugez un peu vite.
Je ne juge pas, je dialogue avec vous et nos expériences, je ne fais que lire vos propositions et j'y rajoute mes commentaires, en quoi cela vous froisse ?
Vous ne savez même pas vraiment ou je veux en venir, ce que je veux faire et pourquoi je le fais, et déjà vous en parler comme si vous pouviez conclure sur sujet.
Et bien je redis ce que je viens de dire juste au dessus, je ne conclue rien, je ne fais qu'apporter mes doutes sur ce que vous avancez et mes propres convictions travaillant beaucoup sur le sujet.
J'apprécie en général vos remarques... mais...
Mais quoi ? ...
Moi je suis ravie de partager nos divergences, c'est ce qui fait avancer...
Bon je vais laisser la place à Laurenzo, car c'est son post au final
Que ce ne soit peut-être pas immédiatement suffisant, ça je vous le laisse... Je ne crois pas, qu'une dépression, notamment lorsqu'elle est profonde (ou plutôt déployée sur beaucoup de sphères de la vie) puisse se traiter avec une stratégie unique, un peu comme si l'on avalait un antidépresseur et puis ça va mieux.
Je suis bien d'accord, mais moi je voulais simplement appuyer sur le fait qu'un simple bon sens est donc loin d'être suffisant.
Toutefois un antidépresseur est parfois nécessaire afin que l'individu retrouve un peu de stabilité émotionnelle, car la dépression entraîne un ensemble de symptôme parfois invivables. Donc les AD feront leur effets chimiques mais ne traitera pas le conflit intérieur de l'individu.
Je suis également ravie de partager nos divergences... et nos complémentarités.
Tout à fait !
laurenzo à dit:Bonsoir,
Pas que je veuille absolument passer à côté de l'étiquette "dépressif" mais mes problèmes sont essentiellement des angoisses qui donnent lieu à des somatisations. P-e cela peut-il modifier un peu la façon de l'approcher (ou pas je ne sais pas).
laurenzo à dit:Bonsoir,
Je n'ai pas encore appliqué vos nouveaux conseils et répondrai donc à vos différents messages dans quelques jours lorsque ce sera fait.
Je vois vos approches comme complémentaires et elles vont dans le sens qui me convient:
1) Me reconnecter aux émotions, aux souvenirs, utiliser mes ressentis pour en finir avec ces angoisses. Cela peut aussi passer par des techniques comme l'EFT et l'EMDR (merci ici à Intemporelle et à Valikor pour leurs conseils)
2) Apprendre à avoir une attitude plus saine envers mes pensées, si certaines provoquent de la souffrance ou des blocages, autant s'en passer dans la mesure du possible (merci à Ivan et à Katia ici).
3) Pourquoi pas piocher dans certains concepts pour modifier ma philosophie de vie, toutes les approches sont intéressantes (merci ici à Xorguina, Léo et Paul). J'ai lu l'ouvrage d'Eckhart Tollé par exemple récemment.
Bon ça fait très acteur qui reçoit un Oscar (merci à mon producteur et à mes 3 maitresses) mais je tenais à remercier les membres du forum qui donnent de leur temps pour m'aider, merci bc.
Héhé !! Je préfère te voir acteur de ton film et recevoir un oscar plutot que spectateur
Tu te souviens quand tu écris sur une autre page que tu es observateur et que je t'ai dit que ct là pour moi ton problème :idea:
Mais dit moi...tu es un petit coquin ! car si tu commence à prendre conscience que ce film qui se joue n'est que le tien, ta propre réalisation, tu comprends que nous en faisons volontier partie et tu sous entends que tu veux ta récompense d'une de tes maitresses :idea:
Alors je vais jouer avec toi à la maitresse....tu sait quoi, pour avoir une récompense de la maitresse il faut être sage et je te trouve pas très sage, je trouve que tu a été un très vilain petit garçon , tu as fais une grosse bétise et tu ne mérites qu' une BONNE fessée :lol:
Juste une petite précision par rapport à un autre message que j'ai écrit récemment: je ne suis pas dépressif (aucun psy ne m'a jamais considéré comme dépressif), j'ai traversé un état dépressif récemment du fait d'une accumulation de problèmes physiques (certains ayant pour origine des angoisses, pas tous), au bout de quelques mois ça a complètement mangé mon énergie et je commençais à me noyer.
Pas que je veuille absolument passer à côté de l'étiquette "dépressif" mais mes problèmes sont essentiellement des angoisses qui donnent lieu à des somatisations. P-e cela peut-il modifier un peu la façon de l'approcher (ou pas je ne sais pas).
Tu as bien compris que ce n'était qu'une étiquette et que tu n'es pas celà...tu es plus que ça ! ettu t'es étiquetté angoissé ducoup ton adn et toute tes cellules répondent aux maitre du jeu et ne veulent surtout pas le contrarier dans sa croyance..........et ça !!!....... c'est une GROSSE bétise...tu vas avoir ta fessée ! :lol:
Les choses sont ce qu'elles sont pensées :idea:
Encore merci !
laurenzo à dit:Non elle n'est pas hypnothérapeute, psychologue plutôt analytique je dirais mais qui travaille sur les émotions. 1 séance par semaine depuis environ 2 ans donc oui ça commence à faire long...
laurenzo à dit:En général, je ferme les yeux et je me connecte à un évènement passé, le raconte, laisse remonter les émotions. Comme je le disais, étant un peu lent pour bien me connecter à ces épisodes passés, il me manque probablement un peu de temps durant ces séances.
laurenzo à dit:Je pense qu'il manque effectivement quelque chose pour avancer plus. Je crois qu'une thérapie avec pas mal de souplesse dans le fonctionnement me conviendrait bien.