L
laurenzo
Membre
- messages
- 1 638
- Points
- 4 510
Houlala !laurenzo à dit:Ce que j'entendais par souplesse c'est une thérapie où on a le temps, où il y a de l'interaction. Par exemple dans une séance d'hypnose, je trouve dommage que seul le thérapeute parle sans feed back.
castorix à dit:Houlala !laurenzo à dit:Ce que j'entendais par souplesse c'est une thérapie où on a le temps, où il y a de l'interaction. Par exemple dans une séance d'hypnose, je trouve dommage que seul le thérapeute parle sans feed back.
Quelle drôle d'idée, je devrais dire : idée infondée.
Laurenzo depuis 2006 que nous échangeons sur ce thème est-ce que l'Amélioration obtenue se rapproche suffisamment du Mieux-être ou même du Bien-être désiré ??
Si vous aviez pris soin de lire juste la page précédente, vous auriez la réponse...
Je me permets de rappeler (à titre métaphorique) un principe que j'ai déjà évoqué :
- lorsque "la maladie" d'une personne est de se poser des questions sans arrêt, la meilleure piste de soulagement n'est pas forcément de chercher parmi les thérapeutes, à en fréquenter un(e) (ni même plusieurs) qui ai(en)t la même maladie que soi.
castorix à dit:Houlala !laurenzo à dit:Ce que j'entendais par souplesse c'est une thérapie où on a le temps, où il y a de l'interaction. Par exemple dans une séance d'hypnose, je trouve dommage que seul le thérapeute parle sans feed back.
Quelle drôle d'idée, je devrais dire : idée infondée.
castorix à dit:Laurenzo depuis 2006 que nous échangeons sur ce thème est-ce que l'Amélioration obtenue se rapproche suffisamment du Mieux-être ou même du Bien-être désiré ??
castorix à dit:Je me permets de rappeler (à titre métaphorique) un principe que j'ai déjà évoqué :
- lorsque "la maladie" d'une personne est de se poser des questions sans arrêt, la meilleure piste de soulagement n'est pas forcément de chercher parmi les thérapeutes, à en fréquenter un(e) (ni même plusieurs) qui ai(en)t la même maladie que soi.
Intemporelle à dit:D'après ce que j'ai lu sur ce thème comme vous dites, Laurenzo avait toujours besoin ou a peut être encore besoin de preuve statistiques, et avait beaucoup de mal à se connecter à ses émotions, et ne croyait pas beaucoup finalement à l'hypnose...
Je ne sais pas vraiment où il en est maintenant par rapport à toutes ces questions... :roll:
Ivan.67 à dit:Si mes souvenirs sont bons, vous me disiez dormir suffisamment... ou en tout cas, avoir un sommeil normal ?
Est-ce que vous fumez ? Est-ce que vous pouvez habituellement respirer par le nez, avec les deux narines, et un nez dégagé ?
Il pourrait être intéressant de vérifier si vous avez assez d'oxygène dans le sang... Je parle de cela à cause de vos oppressions thoraciques matinale. Autre question : avez-vous un sentiment de manque d'air le matin ? Est-ce que vous savez si vous ronflez ?
Ivan.67 à dit:Faites également ce petit exercice : combien de temps se passe-t-il entre le moment ou vous réveillez et le moment ou vous ressentez ces oppressions thoraciques ? Même s'il s'agit d'une petite seconde, pourriez-vous essayer de prolonger cette seconde (en essayant par exemple de conserver un demi sommeil) ?
Ivan.67 à dit:Pour ce qui est de la difficulté à être coincé dans une situation sans échappatoire, je vous propose d'essayer de vous entraîner à maîtriser ces situations : est-ce que vous pourriez trouver des situations à "contrainte progressive" ou, de plus en plus, vous vous sentiriez un peu coincé, un peu plus, encore un peu plus... pour vous entraîner à les maîtriser les unes après les autres ?
Pour cela vous pouvez par exemple noter les situations sans échappatoire pour le degré de panique qu'elles provoquent (entre 1 et 10) 10 étant le maximum de panique.
Commencez à vous entraîner sur des situations entre 1 et 3... puis lorsque vous maîtrisez, passez à plus difficile. Comme je vous l'ai déjà dit, n'allez pas trop vite au trop difficile. Prenez votre temps. Le but est que vous vous sentiez toujours le plus possible, à l'aise (même si j'exagère en disant à l'aise). Il s'agit en tout cas de ne pas générer accidentellement une situation de panique parce que, par exemple, après un mois d'entrainement, vous risqueriez de perdre le bénéfice de votre entrainement.
laurenzo à dit:Une impression plutôt, celle que durant une séance d'hypnose, lorsque le thérapeute fait un protocole type l'écran de cinéma il n'est pas évident de l'interrompre pour évoquer une image qui me reviendrait.
laurenzo à dit:Des progrès sur des émotions qui me semblaient bloquées auparavant, sur une grande difficulté à me réassocier à des épisodes passés oui incontestablement, des progrès sur les symptômes à mon grand regret non.
laurenzo à dit:Je ne pense pas que ce soit ma "maladie" ou tout du moins ça ne l'était pas au moment de l'apparition des symptômes.(...)
J'ai commencé à me poser des questions à partir du moment où plusieurs méthodes ont échoué, j'ai commencé à me demander ce que je faisais de travers, les solutions que je n'avais pas exploitées.
La fin de votre message signifie-t-elle que l'analyse n'est pas recommandée ici? (idée que je partage)
castorix à dit:Franchement lorsque j'emploie ce mode de travail je trouve bienvenu de recevoir tout apport.
En HTSMA (stimulations alternatives) le questionnement et les réponses sont échangés en permanence ; en dissociation selon un modèle PNL (comme vous l'évoquez) c'est à mon sens sans gêne pour le processus, ou bien je rends mon tablier de projectionniste :wink:
castorix à dit:laurenzo à dit:Des progrès sur des émotions qui me semblaient bloquées auparavant, sur une grande difficulté à me réassocier à des épisodes passés oui incontestablement, des progrès sur les symptômes à mon grand regret non.
Tout aussi franchement , et sans vouloir me mêler de ce qui ne me regarde pas, il semble nécessaire à beaucoup de thérapeutes de mesurer l'utilité de la thérapie, à ses résultats dans le temps.
Cependant je veux bien sûr nuancer cet avis qui pourrait sembler péremptoire, en évoquant toutes les situations "évolutives" dans lesquelles un sujet subit des situations terriblement douloureuses et qui ne cessent pas.
castorix à dit:laurenzo à dit:La fin de votre message signifie-t-elle que l'analyse n'est pas recommandée ici? (idée que je partage)
C'est une orientation que je défends en effet parfois avec conviction, mais je n'oserais pas être catégorique sans connaître la personne...
... malgré nos échanges assez nombreux !!cela reste sur internet.
houllala comme vous dites!castorix à dit:Houlala !laurenzo à dit:Ce que j'entendais par souplesse c'est une thérapie où on a le temps, où il y a de l'interaction. Par exemple dans une séance d'hypnose, je trouve dommage que seul le thérapeute parle sans feed back.
Quelle drôle d'idée, je devrais dire : idée infondée.
Laurenzo depuis 2006 que nous échangeons sur ce thème est-ce que l'Amélioration obtenue se rapproche suffisamment du Mieux-être ou même du Bien-être désiré ??
Je me permets de rappeler (à titre métaphorique) un principe que j'ai déjà évoqué :
- lorsque "la maladie" d'une personne est de se poser des questions sans arrêt, la meilleure piste de soulagement n'est pas forcément de chercher parmi les thérapeutes, à en fréquenter un(e) (ni même plusieurs) qui ai(en)t la même maladie que soi.
Intemporelle à dit:Ces problèmes du matin (oppression) sont le reflet d'une angoisse profonde non consciente, d'ailleurs il enchaîne en disant : Toujours cette difficulté quand je suis coincé dans une situation sans échappatoire. Pour moi cela indique qu'il y a un état du Moi bloqué (*), c'est une partie de vous Laurenzo qui ne s'est toujours pas exprimé, qui se sent oppressé, et qui fatigue, qui vous fatigue... c'est ce qu'on appelle la thérapie des Etats du Moi.
(*) peut être cette partie de vous qui voulait faire autre chose que des études supérieures ?... qui avait d'autres aspirations... :roll:
Intemporelle à dit::arrow: Par exemple demain je vais chez le dentiste et je sais que je dois rester 1 heure sans trop bouger, voilà une situation qui parfois me pose problème.
Si vous vous mettez en état d'hypnose, et que vous pensez à cette situation, ou bien à celle que vous avez vécu chez votre, dentiste, le fait de se sentir immobile pendant presque une heure, que vous vient-il à l'esprit, quelles émotions cela suscitent en vous ? soyez sincère avec vous même, donner une échelle de 0 à 10 sur chacune de vos émotions.
papusza à dit:Faites quelque chose de votre vie avec vos symptômes
castorix à dit:Laurenzo depuis 2006 que nous échangeons sur ce thème est-ce que l'Amélioration obtenue se rapproche suffisamment du Mieux-être ou même du Bien-être désiré ??
Je me permets de rappeler (à titre métaphorique) un principe que j'ai déjà évoqué :
- lorsque "la maladie" d'une personne est de se poser des questions sans arrêt, la meilleure piste de soulagement n'est pas forcément de chercher parmi les thérapeutes, à en fréquenter un(e) (ni même plusieurs) qui ai(en)t la même maladie que soi.
laurenzo à dit:Intemporelle à dit:Ces problèmes du matin (oppression) sont le reflet d'une angoisse profonde non consciente, d'ailleurs il enchaîne en disant : Toujours cette difficulté quand je suis coincé dans une situation sans échappatoire. Pour moi cela indique qu'il y a un état du Moi bloqué (*), c'est une partie de vous Laurenzo qui ne s'est toujours pas exprimé, qui se sent oppressé, et qui fatigue, qui vous fatigue... c'est ce qu'on appelle la thérapie des Etats du Moi.
(*) peut être cette partie de vous qui voulait faire autre chose que des études supérieures ?... qui avait d'autres aspirations... :roll:
Les études supérieures j'avais assez envie de les faire, c'est la forte pression qui était liée à ma prépa, au fait de pouvoir devenir mauvais qui me posait problème.
Intemporelle à dit::arrow: Par exemple demain je vais chez le dentiste et je sais que je dois rester 1 heure sans trop bouger, voilà une situation qui parfois me pose problème.
Si vous vous mettez en état d'hypnose, et que vous pensez à cette situation, ou bien à celle que vous avez vécu chez votre, dentiste, le fait de se sentir immobile pendant presque une heure, que vous vient-il à l'esprit, quelles émotions cela suscitent en vous ? soyez sincère avec vous même, donner une échelle de 0 à 10 sur chacune de vos émotions.
C'est de l'ordre de la perte de contrôle, l'impression que mon corps, que mes réactions sont complètement imprévisibles. Je me sens faible, ma respiration n'est pas fluide, je suis dans l'urgence, à chaque instant je me demande si les symptômes ne seront pas insupportables au point de devoir me lever, si je ne vais pas avoir de réaction bizarre, à pleurer ou vomir ou même à faire une sorte de crise d'épilepsie, la vraie perte de contrôle.
J'ai également l'impression dans ces instants là que mon cerveau ne fonctionne pas comme d'habitude, il me semble moins performant, l'impression que je ne peux pas traiter autant d'informations que le reste du temps, il semble saturé, p-e est-ce dû au manque d'oxygène.
C'est aussi comme si je voyais de manière plus réduite. Je me sens enfermé en moi, coincé, incapable de faire face, trop fébrile pour ça. Une envie de m'isoler. A la fois cette envie de fuir et l'impression que je n'en ai pas la force. Je me sens alors sans défense, très vulnérable, apeuré, forcément pas du tout à l'aise par rapport aux gens, inférieur, je ne me sens pas moi-même et cet état me fait honte.
Dans ces moments là, je me sens dans une double contrainte, si je lutte contre ces symptômes ça les renforce et si je tente de les ignorer ils me rappellent vite qu'ils sont là, dans les 2 cas je galère.
Normal l'angoisse amène la panique, la panique amène tous les symptômes que vous décrivez...
Parfois il suffit d'une seconde pour que j'aille mieux comme s'il y avait un déclic, une libération, l'oxygène qui revient, ouf sensation de détente.
Ca va un peu dans tous les sens mais j'ai retranscrit la scène comme elle venait.
HYPNOMED à dit:Parfois il suffit d'une seconde pour que j'aille mieux comme s'il y avait un déclic, une libération, l'oxygène qui revient, ouf sensation de détente.
Laurenzo, c'est cette piste qu'il vous est possible d'explorer par l'hypnose.
H.
Intemporelle à dit:Néanmoins ce que je vous demandais dans cet exercice (via le forum) c'était vos émotions, car là vous me décrivez vos symptômes, dois je comprendre que cela vous ramène à la peur ? impuissance ? peut être même de la honte, colère ? (de ne pas maîtriser la situation)... si c'est le cas, pouvez vous donner une échelle de 0 à 10 sur chaque émotion ? vous pouvez les rectifier si elles ne vous correspondent pas...
Je pense, depuis le temps que vous vous soignez, qu'il y a deux choses à faire :laurenzo à dit:Ivan.67 à dit:Si mes souvenirs sont bons, vous me disiez dormir suffisamment... ou en tout cas, avoir un sommeil normal ?
Est-ce que vous fumez ? Est-ce que vous pouvez habituellement respirer par le nez, avec les deux narines, et un nez dégagé ?
Il pourrait être intéressant de vérifier si vous avez assez d'oxygène dans le sang... Je parle de cela à cause de vos oppressions thoraciques matinale. Autre question : avez-vous un sentiment de manque d'air le matin ? Est-ce que vous savez si vous ronflez ?
- Je dors 7 heures par nuit environ sans bc me réveiller. Après mon sommeil n'est clairement pas réparateur, je suis souvent plus fatigué au réveil que le soir.
- Je ne fume pas.
- Je respire assez souvent avec les narines mais ça ne semble pas totalement fluide, sans pourtant être encombré.
- Je crois que mon médecin a vérifié l'oxygénation du sang (avec un petit appareil que l'on place sur un doigt ça peut être ça?).
- Oui j'ai l'impression d'un manque d'air le matin.
- Je ne ronfle pas et ne suis pas en sur-poids.
Ivan.67 à dit:Faites également ce petit exercice : combien de temps se passe-t-il entre le moment ou vous réveillez et le moment ou vous ressentez ces oppressions thoraciques ? Même s'il s'agit d'une petite seconde, pourriez-vous essayer de prolonger cette seconde (en essayant par exemple de conserver un demi sommeil) ?
Disons que c'est la première chose qui m'arrive le matin (pas tous les matins par contre), pas même une seconde de délai, je me réveille et immédiatement j'étouffe, vraiment aucune prise sur la chose pour le moment.
Ivan.67 à dit:Pour ce qui est de la difficulté à être coincé dans une situation sans échappatoire, je vous propose d'essayer de vous entraîner à maîtriser ces situations : est-ce que vous pourriez trouver des situations à "contrainte progressive" ou, de plus en plus, vous vous sentiriez un peu coincé, un peu plus, encore un peu plus... pour vous entraîner à les maîtriser les unes après les autres ?
Pour cela vous pouvez par exemple noter les situations sans échappatoire pour le degré de panique qu'elles provoquent (entre 1 et 10) 10 étant le maximum de panique.
Commencez à vous entraîner sur des situations entre 1 et 3... puis lorsque vous maîtrisez, passez à plus difficile. Comme je vous l'ai déjà dit, n'allez pas trop vite au trop difficile. Prenez votre temps. Le but est que vous vous sentiez toujours le plus possible, à l'aise (même si j'exagère en disant à l'aise). Il s'agit en tout cas de ne pas générer accidentellement une situation de panique parce que, par exemple, après un mois d'entrainement, vous risqueriez de perdre le bénéfice de votre entrainement.
C'est une bonne idée Ivan néanmoins j'ai une difficulté pour la mettre en oeuvre: j'affronte déjà quasiment toutes les situations, une situation que je classerais à 2 peut créer cette sensation de panique alors que le lendemain une situation à 7 n'apportera aucune difficulté. En clair il m'est difficile de systématiser la notion de difficulté qui est finalement très imprévisible.
C'est un peu comme pour les oppressions; je peux passer 1 semaine sans en avoir et ensuite sans savoir pourquoi elles vont revenir pendant 1 mois très fortement.
laurenzo à dit:- Oui j'ai l'impression d'un manque d'air le matin.
Ivan.67 à dit:- Vérifier les potentielles causes physiologiques. Demandez à votre généraliste par quoi il faut commencer : personnellement je proposerais un bilan du sommeil (vous passez pour cela une nuit à l'hopital)
laurenzo à dit:Intemporelle à dit:Néanmoins ce que je vous demandais dans cet exercice (via le forum) c'était vos émotions, car là vous me décrivez vos symptômes, dois je comprendre que cela vous ramène à la peur ? impuissance ? peut être même de la honte, colère ? (de ne pas maîtriser la situation)... si c'est le cas, pouvez vous donner une échelle de 0 à 10 sur chaque émotion ? vous pouvez les rectifier si elles ne vous correspondent pas...
- Impuissance: 8
- Sentiment d'infériorité: 9
- Honte: 8
- Abattement/découragement: 9
- Tristesse: 8 (difficile à décrire, c'est l'impression que je vais pleurer sans pour autant ressentir une tristesse, plutôt les nerfs qui lâchent)
- Peur: 7
OK merci de votre participation. Donc comme vous pouvez le constater, cette évaluation est très haute, pour moi il est évident que vous ne travaillez pas avec votre psy d'une manière approndie, car il faudrait à partir de ces émotions travailler sur vos croyances négatives... puis travailler en TCM pour redescendre ces émotions négatives à 0, puis travailler en EMDR pour finir sur des croyances positives ... mais tout cela ne peut se faire via le forum..
Concernant la respiration et le lieu sûr, j'ai bc travaillé dessus: je m'imagine dans la peau d'un maitre zen, dans la nature avec de hautes herbes qui bougent, un calme, aucune perturbation, je fais partie d'un tout, imperturbable. Je pratique la respiration abdominale aussi et la méditation (à un niveau débutant).
Pourquoi ne pouvez vous pas l'appliquer comme dans la situation chez le dentiste ? qu'est ce qui vous en empêche ?
Malgré tout par exemple depuis ce matin je me sens très oppressé, ma respiration n'est pourtant pas rapide ou saccadée, je pratique la respiration ventrale mais cette oppression ne me quitte pas.
En AH, demander à cette oppression de s'exprimer ; qu'a t-elle à vous dire ? qui reste enfermé ? un petit Laurenzo qui a peur ? tout cela se travaille facilement en thérapie.
Vous pouvez aussi l'imaginer de façon symbolique cette oppression, en revivant une situation dans laquelle vous la ressentez comment vous vous la représentez, une image, couleur, texture, etc...
L'oppression telle que vous la décrivez reflète une tension, un conflit intérieur inconscient.
Concernant le fait de relier les émotions chez le dentiste avec des éléments du passé c'est assurément un excellent exercice. Pendant mon AH ce matin je n'ai pas eu d'élément qui me soit revenu mais je vais refaire une séance dans la journée.
Oui c'est un excellent exercice et je vous le conseille vivement, il ne suffit pas de se rappeler des souvenirs du passé, il faut en ramener les émotions, et ces émotions les faire remonter dans le passé, la première fois où elles sont apparues, ...vous pouvez imaginez un train ou bien un calendrier qui remonte le temps ou bien un compte à rebours, mais rester toujours concentré avec les mêmes émotions de départ...
La thérapie du champ mental (TCM) serait excellente pour vous, apprendre à gérer les émotions avec un algorithme précis.
laurenzo à dit:De mon côté j'avais la croyance qu'il fallait faire un minimum d'études pour avoir une vie plus sereine, sans contrainte financière.
La double contrainte pourrait-elle être: soit arrêter et se sentir nul, soit continuer mais en se faisant du mal ?
Sauf une analyse approfondie, c'est a priori un rêve qui dénote votre anxiété... j'ai envie de dire : votre perfectionnisme peut-être.laurenzo à dit:Je répondrai aux derniers messages (merci à tous) un peu plus tard mais je voulais évoquer un rêve que je fais de façon très récurrente:
Je suis dans un contexte scolaire et je sais que je vais bientôt devoir passer un examen ou un concours. Je sais que la date approche mais c'est comme si la date précise était floue, je sais juste que c'est dans pas longtemps. Dans ce rêve j'ai bien conscience que je ne suis pas prêt du tout pour passer cet examen, je n'ai pas révisé ou vraiment pas assez, pour la plupart des matières je ne suis pas au point, j'ai été laxiste et une tâche insurmontable s'annonce. Pourtant je ne cherche pas à réviser tout de suite, je me dis que je le ferai plus tard tout en ayant bien conscience que ça risque de faire très juste, je sais que je serai débordé et que quelque chose de négatif m'attend, probablement un échec. Il y a donc dans ce rêve une crainte diffuse, une forme d'insécurité, j'ai toujours cette échéance en tête.
Parfois dans ce rêve, je ne dois pas passer un examen mais en repasser un et je sens que ce que j'ai réussi par le passé je vais certainement avoir bc plus de mal à le réussir dans un avenir proche.
J'ai fait ce rêve des dizaines de fois, j'imagine que cette récurrence démontre son importance mais je ne sais pas comment l'exploiter.