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lyamcarter
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lyamcarter à dit:Une personne m'a demandé de l'aider à se sevrer du tabac. Mon souci c'est que je ne sais pas quel métaphore apporter. Pourriez vous m'aider et me corriger ?
1) induction
2) décompte de 10 à 1
3) endroit agréable
4) métaphore arret tabac
5) fusible
6) recadrage
8) pont vers le futur
7) métaphore agréable
9) retour
lyamcarter à dit:Une personne m'a demandé de l'aider à se sevrer du tabac. Mon souci c'est que je ne sais pas quel métaphore apporter. Pourriez vous m'aider et me corriger ?
lyamcarter à dit:wouah
ok, je vais bossez cela. Merci pour vos réponses.
Mais pourquoi sortir de transe 3 fois le patient dans cette séance ?
Evidemment qu’il ne faut pas se limiter à un protocole, c’était un exemple construit spontannément.hypno42 à dit:Les protocoles types supposent que tout le monde a le même fonctionnement; ce qui est aberrant... Chaque fumeur fume pour des raisons personnelles, le tabac est très souvent la "béquille" qui l'aide à surmonter autre chose.. Enlever cette béquille sans savoir pourquoi revient à amplifier le vrai problème.. désolé mais je n'arrive pas à comprendre que l'on puisse se limiter à un protocole dans un cadre thérapeutique...
Triggermind à dit:Par contre méfiez vous de ces idées très répandues dans le milieu analyste comme quoi le tabac est une béquille et que chaque fumeur fume pour des raisons personnelles.
DianeV à dit:... la réponse la plus fréquente ?? "Ça me relaxe" Ouppsss un peu de recadrage s'impose!
DianeV à dit:C'est quand même curieux, car les patients que j'ai eu/vais avoir m'ont tous dit pourquoi ils fument ... la réponse la plus fréquente ?? "Ça me relaxe" Ouppsss un peu de recadrage s'impose!
Leo Lavoie à dit:J'utilise un protocole mais qui n'est pas tout à fait fixe. Précisément, comme le dit Triggermind, parce, pour la grande majorité, il n'y a que deux ou trois motifs de continuer à fumer, une fois cette première expérience désagréable. Mais je fais le protocole (que j'adapte tout de même) après un prétalk et une anamnèse. Mais ce protocole est de ma composition et il couvre bien des choses.
Il arrive justement, comme c'est arrivé récemment, qu'il y ait une cause supplémentaire qui fait que la personne n'arrive pas à arrêter. Une simple question posée à un client: "à qui cela plairait de savoir que vous ne fumez plus?" a fait la différence...Connaissant la relation trouble avec sa mère, sa réponse "ma mère" me confirmait cette cause; que ce client ne voulait absolument pas que cela plaise à sa mère et ça l'empêchait de cesser.
Nous avons donc fait une séance dans ce sens là. Dans l'appropriation la plus complète de cette décision libre et désasociée de cesser de fumer.
Leo Lavoie à dit:Leo Lavoie à dit:J'utilise un protocole mais qui n'est pas tout à fait fixe. Précisément, comme le dit Triggermind, parce, pour la grande majorité, il n'y a que deux ou trois motifs de continuer à fumer, une fois cette première expérience désagréable. Mais je fais le protocole (que j'adapte tout de même) après un prétalk et une anamnèse. Mais ce protocole est de ma composition et il couvre bien des choses.
Il arrive justement, comme c'est arrivé récemment, qu'il y ait une cause supplémentaire qui fait que la personne n'arrive pas à arrêter. Une simple question posée à un client: "à qui cela plairait de savoir que vous ne fumez plus?" a fait la différence...Connaissant la relation trouble avec sa mère, sa réponse "ma mère" me confirmait cette cause; que ce client ne voulait absolument pas que cela plaise à sa mère et ça l'empêchait de cesser.
Nous avons donc fait une séance dans ce sens là. Dans l'appropriation la plus complète de cette décision libre et désasociée de cesser de fumer.
J'ai écris "désacociée"... Je devais être bien préoccupé pour écrire de la sorte. Je voulais dire "dissociée".
Triggermind à dit:Je n’en fais pas une règle absolue, mais pour l’arrêt du tabac chez un patient dont l’anamnèse ne met rien d’autre en évidence, l’utilisation en hypnose de techniques dérivées des thérapies cognitives et comportementales m’est souvent plus utile que l’hypno analyse à la recherche d’éventuelles causes traumatiques nécessitant une béquille.