hypnothérapeute-alger
Membre
Pro
- messages
- 14
- Points
- 2 090
- Localisation
- ALGER
Oui... et quelque part il y a toujours un peu de ça dans n'importe quel symptôme... et dans la trichotillomanie peut-être plus encore.esperence à dit:et si c'était tout simplement un genre d'appel au secour.
En m'arrachant des cheveux, peut-être que quelqu'un me verra enfin et verra combien je souffre...
Les cheveux représentent la force, la séduction pour une femme........et en se " mutilant " si on peut dire ça comme ça...c'est comme si la personne voulait que ça se voit.
La colère mélée à la souffrance est parfois si grande qu'elle peut se manifester de diverses façons.
" Regardez moi, Aidez moi, Ecoutez moi...aux lieux de me juger ..
Parfois, on met vite une étiquette a quelqu'un, car de nos jours, il faut que ça aille vite.
Ces gens là, ils ont besoin d'être écouté, entendu, rassuré.........
Si , un travail se fait par " Apaisement " il est fort probable que ça l'aider à voir différement.
Non pas en une séance...car cette personne aura son cheminement a faire.
Voilà.......
Ivan SCHMITT à dit:Oui... et quelque part il y a toujours un peu de ça dans n'importe quel symptôme... et dans la trichotillomanie peut-être plus encore.esperence à dit:et si c'était tout simplement un genre d'appel au secour.
En m'arrachant des cheveux, peut-être que quelqu'un me verra enfin et verra combien je souffre...
Les cheveux représentent la force, la séduction pour une femme........et en se " mutilant " si on peut dire ça comme ça...c'est comme si la personne voulait que ça se voit.
La colère mélée à la souffrance est parfois si grande qu'elle peut se manifester de diverses façons.
" Regardez moi, Aidez moi, Ecoutez moi...aux lieux de me juger ..
Parfois, on met vite une étiquette a quelqu'un, car de nos jours, il faut que ça aille vite.
Ces gens là, ils ont besoin d'être écouté, entendu, rassuré.........
Si , un travail se fait par " Apaisement " il est fort probable que ça l'aider à voir différement.
Non pas en une séance...car cette personne aura son cheminement a faire.
Voilà.......
Comme le disait Castorix, d'un autre coté, c'est souvent le fond qui est important, le "ou en êtes-vous de votre vie" qui alimente le symptôme. Il y a parfois de quoi s'arracher les cheveux !
Certainement. D'ailleurs, vous avez probablement des contributions plus spécifiques à nous apporter...paulelie à dit:généralisations, conjonctures.....ça se voit que vous n'avez aucune expérience avec ce genre de clients!
Ivan SCHMITT à dit:De toute manière, qu'ils cachent les cheveux ou non, ce que nous discutons ici est fréquent pour beaucoup de maladies : souffrir, c'est souvent aussi le plaisir d'être consolé.
De là à se transformer en martyr, parfois il n'y a qu'un pas...
Toutes les maladies font souffrir, au même titre que toutes les souffrances font souffrir. Mais, dans toute souffrance, il y a aussi une attirance un peu masochiste, qu'il s'agissent du plaisir de vaincre la souffrance, de la supporter, d'être consolé, d'être nostalgique, d'être écouté, d'être important etc...
De fait, vous allez donc m'expliquer en quoi vous ne partagez pas ce point de vue...Intemporelle à dit:Ivan SCHMITT à dit:De toute manière, qu'ils cachent les cheveux ou non, ce que nous discutons ici est fréquent pour beaucoup de maladies : souffrir, c'est souvent aussi le plaisir d'être consolé.
De là à se transformer en martyr, parfois il n'y a qu'un pas...
Toutes les maladies font souffrir, au même titre que toutes les souffrances font souffrir. Mais, dans toute souffrance, il y a aussi une attirance un peu masochiste, qu'il s'agissent du plaisir de vaincre la souffrance, de la supporter, d'être consolé, d'être nostalgique, d'être écouté, d'être important etc...
Curieux cette réponse pour laquelle je ne partage absolument pas ce point de vue, c'est méconnaître la structure de construction psycho-physiologique...
Ivan SCHMITT à dit:De fait, vous allez donc m'expliquer en quoi vous ne partagez pas ce point de vue...Intemporelle à dit:Ivan SCHMITT à dit:De toute manière, qu'ils cachent les cheveux ou non, ce que nous discutons ici est fréquent pour beaucoup de maladies : souffrir, c'est souvent aussi le plaisir d'être consolé.
De là à se transformer en martyr, parfois il n'y a qu'un pas...
Toutes les maladies font souffrir, au même titre que toutes les souffrances font souffrir. Mais, dans toute souffrance, il y a aussi une attirance un peu masochiste, qu'il s'agissent du plaisir de vaincre la souffrance, de la supporter, d'être consolé, d'être nostalgique, d'être écouté, d'être important etc...
Curieux cette réponse pour laquelle je ne partage absolument pas ce point de vue, c'est méconnaître la structure de construction psycho-physiologique...
Intemporelle à dit:Ivan SCHMITT à dit:De fait, vous allez donc m'expliquer en quoi vous ne partagez pas ce point de vue...Intemporelle à dit:Ivan SCHMITT à dit:De toute manière, qu'ils cachent les cheveux ou non, ce que nous discutons ici est fréquent pour beaucoup de maladies : souffrir, c'est souvent aussi le plaisir d'être consolé.
De là à se transformer en martyr, parfois il n'y a qu'un pas...
Toutes les maladies font souffrir, au même titre que toutes les souffrances font souffrir. Mais, dans toute souffrance, il y a aussi une attirance un peu masochiste, qu'il s'agissent du plaisir de vaincre la souffrance, de la supporter, d'être consolé, d'être nostalgique, d'être écouté, d'être important etc...
Curieux cette réponse pour laquelle je ne partage absolument pas ce point de vue, c'est méconnaître la structure de construction psycho-physiologique...
Si j'avais le temps nécessaire, je le ferais avec plaisir, mais vu votre remarque, cela me demanderais beaucoup de temps... désolée...
HYPNOMED à dit:Intemporelle à dit:Ivan SCHMITT à dit:De fait, vous allez donc m'expliquer en quoi vous ne partagez pas ce point de vue...Intemporelle à dit:Ivan SCHMITT à dit:De toute manière, qu'ils cachent les cheveux ou non, ce que nous discutons ici est fréquent pour beaucoup de maladies : souffrir, c'est souvent aussi le plaisir d'être consolé.
De là à se transformer en martyr, parfois il n'y a qu'un pas...
Toutes les maladies font souffrir, au même titre que toutes les souffrances font souffrir. Mais, dans toute souffrance, il y a aussi une attirance un peu masochiste, qu'il s'agissent du plaisir de vaincre la souffrance, de la supporter, d'être consolé, d'être nostalgique, d'être écouté, d'être important etc...
Curieux cette réponse pour laquelle je ne partage absolument pas ce point de vue, c'est méconnaître la structure de construction psycho-physiologique...
Si j'avais le temps nécessaire, je le ferais avec plaisir, mais vu votre remarque, cela me demanderais beaucoup de temps... désolée...
Lamentables ces propos d'Intempourelle !
elle botte en touche à chaque balle intéressante :
la structure de construction psychophysiologique !
mais pas le temps d'en dire plus comme d'hab
ou elle en est bien incapable, ou elle n'est pas pédagogue, ou les deux +++
Fouteuse de gueule !
Ivan SCHMITT à dit:De toute manière, qu'ils cachent les cheveux ou non, ce que nous discutons ici est fréquent pour beaucoup de maladies : souffrir, c'est souvent aussi le plaisir d'être consolé.
De là à se transformer en martyr, parfois il n'y a qu'un pas...
Toutes les maladies font souffrir, au même titre que toutes les souffrances font souffrir. Mais, dans toute souffrance, il y a aussi une attirance un peu masochiste, qu'il s'agissent du plaisir de vaincre la souffrance, de la supporter, d'être consolé, d'être nostalgique, d'être écouté, d'être important etc...
Freud voyait une proximité (voire une même origine) entre la pulsion de vie et la pulsion de mort...HYPNOMED à dit:Ivan SCHMITT à dit:De toute manière, qu'ils cachent les cheveux ou non, ce que nous discutons ici est fréquent pour beaucoup de maladies : souffrir, c'est souvent aussi le plaisir d'être consolé.
De là à se transformer en martyr, parfois il n'y a qu'un pas...
Toutes les maladies font souffrir, au même titre que toutes les souffrances font souffrir. Mais, dans toute souffrance, il y a aussi une attirance un peu masochiste, qu'il s'agissent du plaisir de vaincre la souffrance, de la supporter, d'être consolé, d'être nostalgique, d'être écouté, d'être important etc...
C'est difficile à l'admettre, mais la jouissance "masochiste" est souvent présente dans certains types de comportements autoagressifs répétitifs
Dans la mise en danger ordalique, c'est le même principe aussi.
Sans attente de feed back empathique, au contraire !
:twisted:
HYPNOMED à dit:Cette réponse ne fait que confirmer qu' Intemporelle n’a pas de temps mais qu'elle aime perdre son temps sur ce forum à se foutre du monde !
:twisted:
Et elle confirme que c'est sa façon à elle de pratiquer l'hypnose : :10:
Ivan SCHMITT à dit:HYPNOMED à dit:C'est difficile à l'admettre, mais la jouissance "masochiste" est souvent présente dans certains types de comportements autoagressifs répétitifs Dans la mise en danger ordalique, c'est le même principe aussi. Sans attente de feed back empathique, au contraire ! :twisted:Ivan SCHMITT à dit:De toute manière, qu'ils cachent les cheveux ou non, ce que nous discutons ici est fréquent pour beaucoup de maladies : souffrir, c'est souvent aussi le plaisir d'être consolé. De là à se transformer en martyr, parfois il n'y a qu'un pas... Toutes les maladies font souffrir, au même titre que toutes les souffrances font souffrir. Mais, dans toute souffrance, il y a aussi une attirance un peu masochiste, qu'il s'agissent du plaisir de vaincre la souffrance, de la supporter, d'être consolé, d'être nostalgique, d'être écouté, d'être important etc...
papusza à dit:HYPNOMED à dit:Cette réponse ne fait que confirmer qu' Intemporelle n’a pas de temps mais qu'elle aime perdre son temps sur ce forum à se foutre du monde !
:twisted:
Et elle confirme que c'est sa façon à elle de pratiquer l'hypnose : :10:
+ 1 gros foutage de gueule !
Moi aussi je grimpe sur le sommet de l'Everest, tous les ans... j'ai lu quelques livres d'alpinisme, mais ne m'en demandez pas plus, j'ai pas de temps à perdre avec vous.
C'est à s'arracher les cheveux ! "Et ça me gave sérieux" ce comportement à la noix des pseudo alpinistes.
Il ne me reste qu'à promener mes guêtres ailleurs au lieu d'être maso à essayer de pouvoir supporter Intemporelle.
Intemporelle ; je ne sais pas à qui s'adresse ce message... si c'est aux autres, à moi, ou à tout le monde. Personnellement, je suis sensible aux arguments et pour l'instant je peine plutôt à comprendre ce que vous voulez dire. Que certains soient méconnaissant de la psychanalyse Jungienne est une possibilité. Qu'ils soient stupides également. C'est à peu près autant possible que de dire qu'ils sont intelligents ou surdoués.Intemporelle à dit:Le foutage de gueule ce n'est pas le fait de ne pas expliquer en détail, car j'interviens suffisamment
sur des pots pour donner mon idée sur un sujet, en le développant parfois suivant mon temps
disponible et mon envie...
mais le foutage de gueule c'est plutôt votre acharnement à tous à galvauder mes
réponses ce qui démontre clairement votre manque de savoir, car quand je reprends la suite
des messages, et que je lis :
:arrow: Personnellement, je crois que c'est souvent lié à une tentative de maîtrise :
le même cauchemar revient parce qu'on tente de le maîtriser. On aime sa douleur,
parce que c'est une manière d'en faire quelque chose. On répète les mêmes erreurs
pour mieux comprendre comment les éviter
:? Effectivement, il faudrait que certains aient un minimum de connaissances de psychologie Jungienne (entre autre...) pour
se comprendre.
Ivan SCHMITT à dit:Freud voyait une proximité (voire une même origine) entre la pulsion de vie et la pulsion de mort...HYPNOMED à dit:Ivan SCHMITT à dit:De toute manière, qu'ils cachent les cheveux ou non, ce que nous discutons ici est fréquent pour beaucoup de maladies : souffrir, c'est souvent aussi le plaisir d'être consolé.
De là à se transformer en martyr, parfois il n'y a qu'un pas...
Toutes les maladies font souffrir, au même titre que toutes les souffrances font souffrir. Mais, dans toute souffrance, il y a aussi une attirance un peu masochiste, qu'il s'agissent du plaisir de vaincre la souffrance, de la supporter, d'être consolé, d'être nostalgique, d'être écouté, d'être important etc...
C'est difficile à l'admettre, mais la jouissance "masochiste" est souvent présente dans certains types de comportements autoagressifs répétitifs
Dans la mise en danger ordalique, c'est le même principe aussi.
Sans attente de feed back empathique, au contraire !
:twisted:
D'une certaine manière, la pulsion de vie est constructive, positive ; la pulsion de mort, destructrice, négative. Sans la pulsion de mort que Freud considère comme une découverte majeure de la psychanalyse, il est difficile d'expliquer le masochisme et les comportements de répétition.
Personnellement, je crois que c'est souvent lié à une tentative de maîtrise : le même cauchemar revient parce qu'on tente de le maîtriser. On aime sa douleur, parce que c'est une manière d'en faire quelque chose. On répète les mêmes erreurs pour mieux comprendre comment les éviter.
En tout cas, c'est un recadrage positif à faire, en thérapie.
Inversement, les répétitions du sadique, par exemple, même si elles témoignent d'une agressivité, sont également le signe d'un esprit perturbé et souffrant. C'est bien évident... Le sadique nuit aux autres, mais à la fin du compte, en premier lieu, il se nuit à lui-même.
J'espère qu'au moins vous vous amusez bien, intemporelle !Intemporelle à dit::arrow: Intemporelle ; je ne sais pas à qui s'adresse ce message... si c'est aux autres, à moi, ou à tout le monde.
A tous ceux qui se reconnaitront. :idea:
Pour le reste,je pense que vous me connaissez depuis un petit moment,
et que j'interviens suffisamment sur le forum, j'ai déjà parlé des schémas erronés, de la structure de la personnalité, etc...
Certainement
Donc ce que vous dites au sujet des souffrances et du masochisme, je ne suis pas du tout
d'accord...
Dommage !
De là à vous expliquer le pourquoi du comment, je n'ai pas le temps...
Ca ira, j'ai mes propres opinions...
et mes explications sont au fur et à mesure des posts, donc à vous de suivre ou pas si vous y portez de l'intérêt ou pas !
Je prêterais attention à vos arguments
Par ailleurs, vous dites être hypnotiseur depuis longtemps, ce genre de message n'a aucune prise sur moi !
Effectivement, je suis aussi un menteur.
Sur ce je retourne à mes activités.
Parfois la peur de la mort entraîne le désir de vivre. Mais la peur de la mort, empêche également de vivre pleinement. Alors, on peut tenter de maîtriser également la peur de la mort, mais, parfois on en perd ainsi la virulence du désir de vivre.surderien à dit:Ivan SCHMITT à dit:Freud voyait une proximité (voire une même origine) entre la pulsion de vie et la pulsion de mort...HYPNOMED à dit:Ivan SCHMITT à dit:De toute manière, qu'ils cachent les cheveux ou non, ce que nous discutons ici est fréquent pour beaucoup de maladies : souffrir, c'est souvent aussi le plaisir d'être consolé.
De là à se transformer en martyr, parfois il n'y a qu'un pas...
Toutes les maladies font souffrir, au même titre que toutes les souffrances font souffrir. Mais, dans toute souffrance, il y a aussi une attirance un peu masochiste, qu'il s'agissent du plaisir de vaincre la souffrance, de la supporter, d'être consolé, d'être nostalgique, d'être écouté, d'être important etc...
C'est difficile à l'admettre, mais la jouissance "masochiste" est souvent présente dans certains types de comportements autoagressifs répétitifs
Dans la mise en danger ordalique, c'est le même principe aussi.
Sans attente de feed back empathique, au contraire !
:twisted:
D'une certaine manière, la pulsion de vie est constructive, positive ; la pulsion de mort, destructrice, négative. Sans la pulsion de mort que Freud considère comme une découverte majeure de la psychanalyse, il est difficile d'expliquer le masochisme et les comportements de répétition.
Personnellement, je crois que c'est souvent lié à une tentative de maîtrise : le même cauchemar revient parce qu'on tente de le maîtriser. On aime sa douleur, parce que c'est une manière d'en faire quelque chose. On répète les mêmes erreurs pour mieux comprendre comment les éviter.
En tout cas, c'est un recadrage positif à faire, en thérapie.
Inversement, les répétitions du sadique, par exemple, même si elles témoignent d'une agressivité, sont également le signe d'un esprit perturbé et souffrant. C'est bien évident... Le sadique nuit aux autres, mais à la fin du compte, en premier lieu, il se nuit à lui-même.
Peut-être qu'il y a l'envie de vivre, la peur de la mort et la pulsion de mort
Mais la peur de la vie amène la personne à se retrancher vers la non vie et à être attirée par la mort finalement !
une confusion des genres qui amène à se fourvoyer gravement
l'hypnose permet alors de déclencher une confusion thérapeutique pour faire la part des choses et restaurer confiance
8)
Mais je n'ai pas non plus le temps de détailler le pourquoi du comment...
je retourne à mes activités...
:lol:
HYPNOMED à dit:C'est difficile à l'admettre, mais la jouissance "masochiste" est souvent présente dans certains types de comportements autoagressifs répétitifs
Dans la mise en danger ordalique, c'est le même principe aussi.
Ivan SCHMITT à dit:(...) Sans la pulsion de mort que Freud considère comme une découverte majeure de la psychanalyse, il est difficile d'expliquer le masochisme et les comportements de répétition. (...)
On aime sa douleur, parce que c'est une manière d'en faire quelque chose.
paulelie à dit:...ces discussions sans fin alimentées par des amateurs (...)
vous bricolez.....
il faut bien sur faire une anamnèse sérieuse avant de faire un diagnostic ....mais statistiquement il est reconnu que les phénomènes d'automutilation sont en rapport avec des traumatisme d'abus.... et pas seulement sexuels (...)
paulelie à dit:les docs vont prendront l'exclusivité de la pratique....et deviennent l'autorité.....d'une pratique en contradiction avec la médecine occidentale et capitaliste basée sur le profit médicamenteux.....
comment peut on vous faire confiance?