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rinnzai
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HYPNOMED à dit:D'expérience, le burn out est causé à la base par une saturation, saturation qui déclenche une confusion, confusion qui entraine une dépersonnalisation et une dissociation
A ce stade, les thérapies brèves provocatives, en redéclenchant une confusion puis une dissociation controlée vont permettre d'apprendre à controler un décadrage / recadrage : burn in / burn out.
Au stade ultime, celà permet à celui qui a vécu un véritable burn out d'être désormais initié au dépassement de lui-même et à son propre recadrage thérapeutique permanent.
Avoir la chance de tomber sur un thérapeute qui a vécu lui-même un burn out reste l'opportunité thérapeutique la plus favorable !
H.
valikor à dit:HYPNOMED à dit:D'expérience, le burn out est causé à la base par une saturation, saturation qui déclenche une confusion, confusion qui entraine une dépersonnalisation et une dissociation
A ce stade, les thérapies brèves provocatives, en redéclenchant une confusion puis une dissociation controlée vont permettre d'apprendre à controler un décadrage / recadrage : burn in / burn out.
Au stade ultime, celà permet à celui qui a vécu un véritable burn out d'être désormais initié au dépassement de lui-même et à son propre recadrage thérapeutique permanent.
Avoir la chance de tomber sur un thérapeute qui a vécu lui-même un burn out reste l'opportunité thérapeutique la plus favorable !
H.
non car il va chercher à généraliser SA solution vécue...
amusant votre comparaison. à ceci prêt que les pédales sont commandées par l'inconscient...katia (zoulouk) à dit:C'est un peu comme conduire une voiture. Il y a un frein et un accelerateur. Avec que des freins, vous ne demarrez pas et qu'avec l'accelerateur vous allez dans le decor un jour ou l'autre.
mindy à dit:Ce type de communication toxique exclue tout échange serein, ceci étant renforcé par la croyance de l'intervenante que cette façon d'échanger reflète une authenticité
Intemporelle à dit:La complaisance ne fait pas partie de mon mode de communication, sachez le, ça vous évitera de vous répéter inlassablement... :idea: ; cela ne m'empêche pas d'apprécier les personnes qui ont des choses à dire (ce qui n'est pas votre cas jusqu'à présent...) même si je ne partage pas leurs points de vue !
Je dois dire que je ne comprends pas bien votre point de vue, Hypnomed. J'imagine assez mal l'impact d'une thérapie brève provocative, visant un recadrage... même si c'est eventuellement par le biais d'une approche paradoxale. Qu'il s'agisse d'un outil utile, pourquoi pas... mais j'ai du mal a voir de quelle manière l'état de la personne peut réellement se transformerHYPNOMED à dit:D'expérience, le burn out est causé à la base par une saturation, saturation qui déclenche une confusion, confusion qui entraine une dépersonnalisation et une dissociation
A ce stade, les thérapies brèves provocatives, en redéclenchant une confusion puis une dissociation controlée vont permettre d'apprendre à controler un décadrage / recadrage : burn in / burn out.
Au stade ultime, celà permet à celui qui a vécu un véritable burn out d'être désormais initié au dépassement de lui-même et à son propre recadrage thérapeutique permanent.
Avoir la chance de tomber sur un thérapeute qui a vécu lui-même un burn out reste l'opportunité thérapeutique la plus favorable !
H.
Ivan.67 à dit:Je dois dire que je ne comprends pas bien votre point de vue, Hypnomed. J'imagine assez mal l'impact d'une thérapie brève provocative, visant un recadrage... même si c'est eventuellement par le biais d'une approche paradoxale. Qu'il s'agisse d'un outil utile, pourquoi pas... mais j'ai du mal a voir de quelle manière l'état de la personne peut réellement se transformerHYPNOMED à dit:D'expérience, le burn out est causé à la base par une saturation, saturation qui déclenche une confusion, confusion qui entraine une dépersonnalisation et une dissociation
A ce stade, les thérapies brèves provocatives, en redéclenchant une confusion puis une dissociation controlée vont permettre d'apprendre à controler un décadrage / recadrage : burn in / burn out.
Au stade ultime, celà permet à celui qui a vécu un véritable burn out d'être désormais initié au dépassement de lui-même et à son propre recadrage thérapeutique permanent.
Avoir la chance de tomber sur un thérapeute qui a vécu lui-même un burn out reste l'opportunité thérapeutique la plus favorable !
H.
D'expérience également, lorsqu'un burn out est bien généralisé, dans le sens ou de nombreuses sphères de la vie sont devenues autant de déclencheurs du burn out (sphère professionnelle, familiale, matérielle, financière etc...) eh bien, il me semble difficile d'opérer un recadrage permettant à l'individu de recommencer à vivre normalement.
Pour reprendre l'image du frein et de l'accélérateur, si vous poussez l'individu en avant, il ne saura pas freiner. Si vous le freinez, il s'arrête complètement...
Je ne comprends pas ou se trouve le burn in. Bon, peut-être que vous pouvez nous donner des compléments d'information... Peut-être pourriez vous nous donner un exemple, en partant de la description que j'ai donné....
rinnzai à dit:bonjour,
peut être que je vais répéter des choses déjà dites ici, mais pas moyen de trouver des sujets là-dessus sur le forum...
voilà en gros ce que j'ai vécu : trop de travail, trop de responsabilités, puis après une année à un rythme trop élevé (que je me suis moi même imposé il faut dire) un gros pétage de câble avec cette horrrrible impression de se vider de son énergie d'un coup... suivie d'une incapacité durable à se concentrer sur des choses même toutes simples. pas d'épisode dépressif heureusement...
démission dans la foulée, changement de travail plusieurs fois avec de moins en moins de responsabilités...
les capacités intellectuelles et de concentration reviennent peu à peu avec le temps + qq mois de congé relaxation et compagnie... elles reviennent d'abord en dehors du travail ( j'ai retrouvé peu à peu du plaisir à lire... ) mais pas entièrement au niveau du travail. c'est l'impression que j'en ai en tout cas.
ca va faire deux ans maintenant, je ne me suis jamais vraiment remis de ce truc, et je vis de petits boulots temporaires qui n'ont plus rien à voir avec ma profession.
j'ai une peur bleue de revivre cette perte d'énergie, j'ai une peur bleue de repostuler pour un taf à responsabilités.
je m'imagine cet épisode de burn out (si on peut appeler ca comme ça) comme un fusible opéré par l'inconscient qui a sauté, pour éviter des répercussions plus graves ou qqch dont lui seul a le secret...
n'empêche que la peur est là et que j'ai envie de la transcender...
est-ce que le burn out se traite efficacement avec l'hypnose ?
katia (zoulouk) à dit:Si vous accélérez encore plus quand la vitesse est trop importante déjà, vous allez droit dans le mur. Et fàce au mur tout le monde a le réflexe de freiner avant de se le prendre en pleine face !
Et face à ce mur, vous pouvez comprendre que vous alliez bien trop vite, et que pour pouvoir freiner freiner avant l'obstacle, il s'agit de rouler moins vite.
Celui qui est en burn out est mangé par son objectif et le mur il ne le voit plus, avant d'y être.
Accélérer de trop oblige à freiner et permet de conscientiser et maitriser à nouveau le processus de freinage et d'accélération.
J'imagine trés bien l'effet de cette thérapie. Clair comme de l'eau de roche en ce qui me concerne.
Abde65 à dit:Bonsoir,
Moi non plus, je ne comprends pas le Burn IN ???
Pouvez vous nous préciser les conditions de travail dans lesquels vous étiez et les enjeux vécus (réels, virtuels ou fantasmés car c'est finalement si proche, n'est ce pas ? )
En fait il est éminement intéressant de connaître le vrai cadre de votre Burn Out qui certes a été une réaction à un environnement stressant ( excès de travail, pressions, associé peut être aussi à une hygiène de vie, alimentaire et de sommeil médiocre durant plusieurs mois, en tout cas c'était mon cas ...).
N'y avait il pas de rivalités, de preuves à donner pour faire la différence, d'ambitions déçues, des paradoxes internes à gérer ( je veux et je veux pas assumer ces responsabilités par exemple ?)
N'y avait il pas dans ce vécu, le terreau d'un conflit psychique associé aux conditions précédentes qui vous ont conduit à décompenser par le Burn Out ?
Merci et à bientôt.
Le stress fonctionne comme un dopant.katia (zoulouk) à dit:Si vous accélérez encore plus quand la vitesse est trop importante déjà, vous allez droit dans le mur. Et fàce au mur tout le monde a le réflexe de freiner avant de se le prendre en pleine face !
Et face à ce mur, vous pouvez comprendre que vous alliez bien trop vite, et que pour pouvoir freiner freiner avant l'obstacle, il s'agit de rouler moins vite.
Celui qui est en burn out est mangé par son objectif et le mur il ne le voit plus, avant d'y être.
Accélérer de trop oblige à freiner et permet de conscientiser et maitriser à nouveau le processus de freinage et d'accélération.
J'imagine trés bien l'effet de cette thérapie. Clair comme de l'eau de roche en ce qui me concerne.
katia (zoulouk) à dit:Le burn out, c'est le feu qui détruit, celui qui embrase les forêts, celui qui vous fait vous consumer de l'intérieur.
Votre élan intérieur ( ou flamme) vous amène à l'auto-destruction.
Le burn in, c'est le feu qui vous réchauffe, la chaleur que vous retrouvez au coin du feu, celui qui chauffe vos aliments.
Votre élan intérieur (flamme) vous amène à votre auto réalisation et bonheur.
Le processus est inversé, vous utilisez votre flamme , votre élan intérieur à votre épanouissement.
Le feu est le meilleur ami de l'homme et son pire ennemi.
Le burn in c'est apprendre à utiliser sa flamme vers son propre épanouissement.
8)
Abde65 à dit:PS: Katia et Hypnomed, pardonnez moi de dire j'aime ou j'aime pas ...c'est peut être ce qu'Intemporelle appelle être direct...En effet, comme tjrs il y a des choses que j'aime comme l'idée de sacrifice lancée par Katia dans un des posts ici, mais zut, je m'éloigne du sujet principal qui est le Burn Out ( ou gros surmenage....).
Le fait d'être direct, de dire j'aime ou j'aime pas, tout en ayant un recul nécessaire sur soi même, je pense que cela est fort utile voire même nécessaire de se positionner dans la vie, et d'avoir nos réflexions personnelles.
Cela permet non seulement de prendre conscience de nos connaissances, de notre évolution, en fait la vie est faite de cette façon, nous apprenons des autres, mais en même temps nous dirigeons notre vie de façon individuelle.
La plupart des individus se laisse facilement disperser dans leur raisonnement, et il est facile de remarquer combien de personnes n'arrivent pas à se positionner, surtout par peur de ne pas être conforme à ce que l'on attend d'eux... alors ils s'alignent sur la pensée des autres, cela les réconforte, les rassure, ...
Voilà ma pensée du jour...
Intemporelle à dit:Abde65 à dit:PS: Katia et Hypnomed, pardonnez moi de dire j'aime ou j'aime pas ...c'est peut être ce qu'Intemporelle appelle être direct...En effet, comme tjrs il y a des choses que j'aime comme l'idée de sacrifice lancée par Katia dans un des posts ici, mais zut, je m'éloigne du sujet principal qui est le Burn Out ( ou gros surmenage....).
Le fait d'être direct, de dire j'aime ou j'aime pas, tout en ayant un recul nécessaire sur soi même, je pense que cela est fort utile voire même nécessaire de se positionner dans la vie, et d'avoir nos réflexions personnelles.
Cela permet non seulement de prendre conscience de nos connaissances, de notre évolution, en fait la vie est faite de cette façon, nous apprenons des autres, mais en même temps nous dirigeons notre vie de façon individuelle.
La plupart des individus se laisse facilement disperser dans leur raisonnement, et il est facile de remarquer combien de personnes n'arrivent pas à se positionner, surtout par peur de ne pas être conforme à ce que l'on attend d'eux... alors ils s'alignent sur la pensée des autres, cela les réconforte, les rassure, ...
Voilà ma pensée du jour...
mindy à dit:Intemporelle à dit:Abde65 à dit:PS: Katia et Hypnomed, pardonnez moi de dire j'aime ou j'aime pas ...c'est peut être ce qu'Intemporelle appelle être direct...En effet, comme tjrs il y a des choses que j'aime comme l'idée de sacrifice lancée par Katia dans un des posts ici, mais zut, je m'éloigne du sujet principal qui est le Burn Out ( ou gros surmenage....).
Le fait d'être direct, de dire j'aime ou j'aime pas, tout en ayant un recul nécessaire sur soi même, je pense que cela est fort utile voire même nécessaire de se positionner dans la vie, et d'avoir nos réflexions personnelles.
Cela permet non seulement de prendre conscience de nos connaissances, de notre évolution, en fait la vie est faite de cette façon, nous apprenons des autres, mais en même temps nous dirigeons notre vie de façon individuelle.
La plupart des individus se laisse facilement disperser dans leur raisonnement, et il est facile de remarquer combien de personnes n'arrivent pas à se positionner, surtout par peur de ne pas être conforme à ce que l'on attend d'eux... alors ils s'alignent sur la pensée des autres, cela les réconforte, les rassure, ...
Voilà ma pensée du jour...
Tout le monde dit "j'aime" ou "j'aime pas", simplement certains le font avec tact et bienveillance tandis que d'autres le font avec animosité et en cherchant à dévaloriser leur interlocuteur. La 2ème catégorie manque effectivement de recul.