of_fo
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Bonjour,
Pendant une période de ma vie, j'ai intensément pratiqué le rêve lucide, et de cette pratique j'ai noté un certain nombre d'informations.
Tout d'abord, sur la différence de "métabolisme" entre le rêve ordinaire, et le rêve pleinement lucide. Je précise pleinement lucide, car j'assimile les rêves où le fait d'avoir conscience de rêver est éphémère à des rêves ordinaires ; du fait qu'ils révèlent du même type de métabolisme : instabilité, déroulement "accidentel", changements "catastrophiques" fréquents et en apparence imprévisibles.
Le rêve pleinement lucide semble beaucoup plus stable, la conscience étant ce qu'elle est à l'état de veille, et la volonté ayant prise sur le cours du rêve ; les rêves lucides semblent donc beaucoup plus imitatifs de ce que nous désignons être le réel. Avec, bien entendu, les possibilités d'action infinies du rêve, vol, télékinésie, possibilité de faire apparaitre/disparaitre les objets présents à la conscience - tout ce qui en fait l'intérêt et le caractère ludique.
En plein rêve lucide, il m'est arrivé d'entendre un bruit particulier. Ce bruit me semblai venir d'à côté, derrière les murs oniriques que je percevais. Je réfléchis un instant : à côté de ma chambre où je dormais, la chambre de mon frère. Et si c'était lui, tout simplement. Je décidai de me réveiller, et je vérifiai : c'était bien le bruit des pas de mon frère sur le parquet.
L'observation que j'en tirai était la suivante : des stimuli extérieur s'intègrent tout naturellement aux rêves en temps réel. Par extrapolation, j'imagine que ceux-ci peuvent revêtir diverses formes dans des rêves ordinaires où le métabolisme est catastrophique ; un stimulus peut appeler à la conscience d'autres éléments.
La question qui me préoccupe repose sur l'interprétation des rêves : comment fait-on le tri entre les stimuli extérieurs et les objets purement endogènes ?
Pendant une période de ma vie, j'ai intensément pratiqué le rêve lucide, et de cette pratique j'ai noté un certain nombre d'informations.
Tout d'abord, sur la différence de "métabolisme" entre le rêve ordinaire, et le rêve pleinement lucide. Je précise pleinement lucide, car j'assimile les rêves où le fait d'avoir conscience de rêver est éphémère à des rêves ordinaires ; du fait qu'ils révèlent du même type de métabolisme : instabilité, déroulement "accidentel", changements "catastrophiques" fréquents et en apparence imprévisibles.
Le rêve pleinement lucide semble beaucoup plus stable, la conscience étant ce qu'elle est à l'état de veille, et la volonté ayant prise sur le cours du rêve ; les rêves lucides semblent donc beaucoup plus imitatifs de ce que nous désignons être le réel. Avec, bien entendu, les possibilités d'action infinies du rêve, vol, télékinésie, possibilité de faire apparaitre/disparaitre les objets présents à la conscience - tout ce qui en fait l'intérêt et le caractère ludique.
En plein rêve lucide, il m'est arrivé d'entendre un bruit particulier. Ce bruit me semblai venir d'à côté, derrière les murs oniriques que je percevais. Je réfléchis un instant : à côté de ma chambre où je dormais, la chambre de mon frère. Et si c'était lui, tout simplement. Je décidai de me réveiller, et je vérifiai : c'était bien le bruit des pas de mon frère sur le parquet.
L'observation que j'en tirai était la suivante : des stimuli extérieur s'intègrent tout naturellement aux rêves en temps réel. Par extrapolation, j'imagine que ceux-ci peuvent revêtir diverses formes dans des rêves ordinaires où le métabolisme est catastrophique ; un stimulus peut appeler à la conscience d'autres éléments.
La question qui me préoccupe repose sur l'interprétation des rêves : comment fait-on le tri entre les stimuli extérieurs et les objets purement endogènes ?