Freud décapité par Onfray...

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valikor

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très bon texte de Janet, Il es très proche de l'observation et place l'observation, le factuel, le ressenti bien avant et bien au dessus de la théorie...

Du coup je vais rajouter quelques livres de lui sur ma pile...

Léo, pour moi, l'interprétation est liée au ressenti et c'est l'intensité du ressenti qui confère de l'importance (ou pas) au fait, à l'interprétation...

quelques fois, il n'y a rien de traumatisant ds la vie ou le vécu de la personne, juste un ams de trop d'anxiété accumulée, de focalisation excessive sur ce qui va pas, voire d'avoir trop partagé les problèmes des autres...
 
Leo Lavoie

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valikor à dit:
très bon texte de Janet, Il es très proche de l'observation et place l'observation, le factuel, le ressenti bien avant et bien au dessus de la théorie...

Du coup je vais rajouter quelques livres de lui sur ma pile...

Léo, pour moi, l'interprétation est liée au ressenti et c'est l'intensité du ressenti qui confère de l'importance (ou pas) au fait, à l'interprétation...

quelques fois, il n'y a rien de traumatisant ds la vie ou le vécu de la personne, juste un ams de trop d'anxiété accumulée, de focalisation excessive sur ce qui va pas, voire d'avoir trop partagé les problèmes des autres...

Oui, ben je suis d'accord mais la différence est vraiment énorme dépendamment de l'âge de la personne. C'est à dire que les enfants sont des éponges, on le sait bien, mais l'on doit savoir que c'est leur rôle d'en être et leur conférer un statut "sacré" en ce sens.

Parfois ce qui est traumatisant n'est qu'un rapport entre le besoin de l'enfant et ce qu'il reçoit en réponse ou en non réponse. Souvent, c'est le vide qui traumatise, l'absence, la carence, l'inadéquation. Rien de frappant...rien d'apparent. Juste le vide, l'ennui, l'évitement.

Je ne parle pas souvent des traumatismes de l'adulte mais c'est qu'à mon avis, pour la plupart, ils n'existeraient pas sans cette base de carence ou de traumatismes juvéniles comme fondation... Alors détruisez la fondation de névrose et tout s'écroule. C'est ce qui est le plus difficile à faire, de détruire ces fondations souvent faites de fausses croyances de bases inculquées par actions ou omissions. Et c'est d'autant plus difficile à faire quand les gens viennent vous voir pour se défaire d'un supposé traumatisme qui s'est produit l'année passé et qu'il faille les aider à comprendre que c'est la fondation qu'il faut défaire... Pour que les traumatismes de "ce genre" ne prennent plus jamais pied.
 
valikor

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Leo Lavoie à dit:
valikor à dit:
très bon texte de Janet, Il es très proche de l'observation et place l'observation, le factuel, le ressenti bien avant et bien au dessus de la théorie...

Du coup je vais rajouter quelques livres de lui sur ma pile...

Léo, pour moi, l'interprétation est liée au ressenti et c'est l'intensité du ressenti qui confère de l'importance (ou pas) au fait, à l'interprétation...

quelques fois, il n'y a rien de traumatisant ds la vie ou le vécu de la personne, juste un ams de trop d'anxiété accumulée, de focalisation excessive sur ce qui va pas, voire d'avoir trop partagé les problèmes des autres...

Oui, ben je suis d'accord mais la différence est vraiment énorme dépendamment de l'âge de la personne. C'est à dire que les enfants sont des éponges, on le sait bien, mais l'on doit savoir que c'est leur rôle d'en être et leur conférer un statut "sacré" en ce sens.

Parfois ce qui est traumatisant n'est qu'un rapport entre le besoin de l'enfant et ce qu'il reçoit en réponse ou en non réponse. Souvent, c'est le vide qui traumatise, l'absence, la carence, l'inadéquation. Rien de frappant...rien d'apparent. Juste le vide, l'ennui, l'évitement.

Je ne parle pas souvent des traumatismes de l'adulte mais c'est qu'à mon avis, pour la plupart, ils n'existeraient pas sans cette base de carence ou de traumatismes juvéniles comme fondation... Alors détruisez la fondation de névrose et tout s'écroule. C'est ce qui est le plus difficile à faire, de détruire ces fondations souvent faites de fausses croyances de bases inculquées par actions ou omissions. Et c'est d'autant plus difficile à faire quand les gens viennent vous voir pour se défaire d'un supposé traumatisme qui s'est produit l'année passé et qu'il faille les aider à comprendre que c'est la fondation qu'il faut défaire... Pour que les traumatismes de "ce genre" ne prennent plus jamais pied.
en fait, une personne très anxieuse, est prédisposée à aller mal car elle ressentira bien plus de négatifs ds sa vie et surtout elle n'arrivera pas à digérer tout cela....
 
castorix

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Bonsoir,

Ne méconnaissons pas la vulnérabilité psychique au stress.

Plutôt que d'attribuer la fragilité et la responsabilité de l'état de traumatisé au seul enchaînement de difficultés successives, équilibrons les choses :

les facteurs favorisant la susceptibilité à un événement potentiellement traumatisant me semblent à chercher dans :

- la génétique (héritage)
- modulée dans son expression par des facteurs environnementaux :

- tels que des maladies virales à potentiel tératogène, ou la toxicité de produits chimiques (pesticides, alcool)
- développementaux autres : carences nutritionnelles, maladies in utero, stress vécus par la mère durant la grossesse toujours
- développementaux : encore les maladies microbiennes et les toxiques (alcool, drogues) puis facteurs liés à des événements agissant simplement sur le psychisme - et là on rejoint aussi les possibilités que vous vouliez citer je pense, Valikor et Leo, comme les carences affectives, les séparations, les chocs, les maltraitances, durant l'enfance et l'adolescence ; puis (avec une influence moindre une fois passé 25 ans) les mêmes choses, stress (y compris les études supérieures avec fortes pressions) et traumatismes.

En résumé : pas que des facteurs psychiques, loin de là.
Les premières expériences "traumatiques" pourraient ainsi être de simples témoins de la vulnérabilité, plutôt que des facteurs déclenchants.
 
valikor

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tout à fait ! il y a aussi des facteurs epigénétiques :


Parents' Stress Leaves Lasting Marks On Children’s Genes, Researchers Find

ScienceDaily (Sep. 9, 2011) — Researchers at the University of British Columbia and the Child & Family Research Institute have shown that parental stress during their children's early years can leave an imprint on their sons' or daughters' genes -- an imprint that lasts into adolescence and may affect how these genes are expressed later in life.

http://www.sciencedaily.com/releases/20 ... 144630.htm
 
Oratorioo

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Tout à fait d'accord avec vous , Castorix.

Un terrain "fatigué", par une alimentation déséquilibrée, l'abus d'alcool, de tabac, le manque d'exercice... favorise les problèmes
physiques, organiques mais aussi les troubles psychologiques,
ou tout au moins ceux-ci s'y installeront plus facilement.

On connaît l'importance de certains acides gras essentiels pour
le système nerveux, ainsi que certaines vitamines et autres nutriments.

Notre cerveau a besoin de nourriture "matérielle" pour fonctionner correctement.

On sait aussi par exemple que des hypoglycémies à répétition
peuvent amener certains symptômes de dépression.
L'exercice physique peut être plus efficace que les antidépresseurs
(cela a été démontré).

Bref, il faut prendre soin de notre esprit et de notre corps...
 
surderien

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valikor à dit:
tout à fait ! il y a aussi des facteurs epigénétiques :


Parents' Stress Leaves Lasting Marks On Children’s Genes, Researchers Find

ScienceDaily (Sep. 9, 2011) — Researchers at the University of British Columbia and the Child & Family Research Institute have shown that parental stress during their children's early years can leave an imprint on their sons' or daughters' genes -- an imprint that lasts into adolescence and may affect how these genes are expressed later in life.

http://www.sciencedaily.com/releases/20 ... 144630.htm

Peut-être que l'ère de la génétique est terminée...

L'épigénétique ouvre les portes en grand sur la plasticité et la remodélisation des gènes...

Rossi avait raison !

L'hypnose est un des outils princeps parmi les autres pour y parvenir...

8)


ams = active mysterious symbol ?

:shock:
 
Leo Lavoie

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J'ai encore et toujours une fâcheuse tendance à être dubitatif quand l'on me parle de facteurs génétiques.

Je pense que la génétique prédispose surtout à quelque chose de très simple comme la sensibilité... On sera plus ou moins sensible, plus ou moins fort, plus ou moins intelligent.

C'est à partir de là (toujours selon mon point de vue car rien n'a été prouvé à date) que les conflits sources de névroses auront plus ou moins d'impacts.

D'après moi, le fait qu'un enfant aie réussi à naitre, à rester bien en vie, à vouloir se nourrir et le réclamer, à apprendre à bouger ses membres, à parler, à marcher, etc. a démontré qu'il est sensiblement au même point que tout le monde au départ (à peu de choses près), et que c'est le reste, l'environnement de l'enfant, qui fera vraiment la plus grosse différence de toute sa vie.

Si "Tout se joue avant 6 ans" n'est pas rigoureusement exact, je dirais volontiers que "Énormément de choses se jouent avant 6 ans" et le reste prend pied sur ce qui s'est joué alors.

En résumé : pas que des facteurs psychiques, loin de là.
Les premières expériences "traumatiques" pourraient ainsi être de simples témoins de la vulnérabilité, plutôt que des facteurs déclenchants.

Donc oui, question de vulnérabilité de base... Pour ce qui est des "facteurs déclenchants" à mon sens, ce terme est réservé à ce qui déclenche les symptômes névrotiques ou autres. Les traumatismes de l'enfance seraient plutôt les origines ou les causes.

Ceci dit, il serait idiot de nier tous les autres facteurs physiologiques mais je crois que leur influence serait plutôt au niveau de catalyseur. On a tous connu des gens vraiment mal en point physiologiquement, qui mangent mal, qui ne font pas d'exercice et qui souffrent moins psychologiquement que bien d'autres qui font tout ce qu'il faut au point de vue travail, repos, nutrition, loisirs.
 
Prudence

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Leo Lavoie à dit:
Si "Tout se joue avant 6 ans" n'est pas rigoureusement exact, je dirais volontiers que "Énormément de choses se jouent avant 6 ans" et le reste prend pied sur ce qui s'est joué alors.

Tout à fait d'accord avec vous :)

Concernant le rôle de la génétique, de la physiologie, du mental, des expériences etc. Personnellement je vois tout cela en termes de facteurs: avec des facteurs plus ou moins importants, déterminants, certains essentiels, mais par exemple non suffisants etc. Après reste le problème d'aller coller des "poids" ou des caractéristiques (nécessaire, suffisant, indispensable associé à, empêchant de...) à ces facteurs... enfin si on a vraiment envie de le faire.
 
papusza

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La genetique nous impose une couleur d'yeux, une morphologie, une machoire trop petite, parfaite, ou trop grande, une sensibilité au stress ?

Un univers non aimant dès la conception de l'enfant, violence autour de l'enfant les premières années, bien plein de facteurs.

Quand vous rencontrez une personne, elle est là devant vous, aujourd'hui au présent, avec la somme de ses passés, et ses potentialités futures.

Une psychanalyse, c'est une longue histoire pour les archéologues, qui cherchent pour Freud trop dans le coté sexe, trop dans l'intello pour Lacan, et bah si nous voulons etre plus rapide et efficace, autant nous tourner vers le présent et que pouvons nous faire maintenant
 
Leo Lavoie

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papusza à dit:
La genetique nous impose une couleur d'yeux, une morphologie, une machoire trop petite, parfaite, ou trop grande, une sensibilité au stress ?

Un univers non aimant dès la conception de l'enfant, violence autour de l'enfant les premières années, bien plein de facteurs.

Quand vous rencontrez une personne, elle est là devant vous, aujourd'hui au présent, avec la somme de ses passés, et ses potentialités futures.

Une psychanalyse, c'est une longue histoire pour les archéologues, qui cherchent pour Freud trop dans le coté sexe, trop dans l'intello pour Lacan, et bah si nous voulons etre plus rapide et efficace, autant nous tourner vers le présent et que pouvons nous faire maintenant

Ben ce qui a toujours été mon concept de la psychanalyse qui, je ne le constate que maintenant, est bien plus "janétienne" que bien d'autre chose, a toujours été centré sur le présent... Les deuils à faire, sont dans le présent... Mon concept thérapeutique a toujours été justement de se défaire du passé... Mais on ne se défait pas de quoi que ce soit en le niant ou même en l'oubliant s'il est encore bien là.

Quand une pièce de ma maison est sale, je ne règle pas la question en regardant ailleurs et en fermant la porte... Faut y aller et nettoyer...Après ça on peut regarder ailleurs mais on peut regarder partout et ouvrir toutes les portes.

Quand je constate que la première page de mon livre est toute chifonnée et que j'en suis à la 51eme page... Je ne presse pas sur le livre en ignorant la page froissée. Je retourne en arrière sur cette page et je la défroisse. Là, ensuite, je peux revenir à la page 51 mais en paix continuer la lecture.

Si la fondation de ma maison est chambranlante... À quoi bon continuer à construire d'autres étages dessus? Faut revoir la fondation. Dans la vraie thérapie analytique, il ne s'agit pas de se vautrer dans le passé, il s'agit d'y aller avec courage et de revoir, de défaire les fausses croyances. De remaçonner les fondations... Si on ne fait pas cela, les fondations s'écroule et toute la maison avec, et c'est souvent ce qui arrive.
 
jeangeneve

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là bas,
un "truc" toujours très négligé en médecine...

sûrement par ce que on sait pas comment ça marche...
le système lymphatique ...
le stress est un bel exemple, :wink:

bonjour, c'est les surrénales, à vais dire le monsieur Rossi on l'aime bien, car là çà vas pas très fort.
on trouve le psy sympa, on comprends pas très bien comment il vas nous aider a nous aider à faire notre job...
on préfère la grand mère qui a dit : "magnésium" au généraliste qui affirme 'lithium".
nous on arrive pas a communiquer avec le stéthoscope, avec l'hypnose on a de l'espoir...
si on causais ?
 
Leo Lavoie

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jeangeneve à dit:
un "truc" toujours très négligé en médecine...

sûrement par ce que on sait pas comment ça marche...
le système lymphatique ...
le stress est un bel exemple, :wink:

bonjour, c'est les surrénales, à vais dire le monsieur Rossi on l'aime bien, car là çà vas pas très fort.
on trouve le psy sympa, on comprends pas très bien comment il vas nous aider a nous aider à faire notre job...
on préfère la grand mère qui a dit : "magnésium" au généraliste qui affirme 'lithium".
nous on arrive pas a communiquer avec le stéthoscope, avec l'hypnose on a de l'espoir...
si on causais ?

Il est toujours étonnant et tout autant déconcertant de voir à quel point y'en a des trucs que "on sait pas comment ça marche" en médecine officielle. Et ça serait moins dérangeant si ce n'était que de l'arrogance de cette médecine et de cet acoquinement avec les autorités officielles et légales... Celui qui défend aux hypnos Belges de pratiquer leur art s'il ne sont pas médecins ou psychologues. (les sorciers se sont toujours collés sur les rois). Ok c'est un autre sujet...

Pour ce qui est de la psychanalyse et de l'hypnose, encore ici, je constate que Janet se servait de l'un comme de l'autre. Je pense que c'est mon "aieul spirituel" maintenant. :D
 
Prudence

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papusza à dit:
La genetique nous impose une couleur d'yeux, une morphologie, une machoire trop petite, parfaite, ou trop grande, une sensibilité au stress ?

Un univers non aimant dès la conception de l'enfant, violence autour de l'enfant les premières années, bien plein de facteurs.

Quand vous rencontrez une personne, elle est là devant vous, aujourd'hui au présent, avec la somme de ses passés, et ses potentialités futures.

Je suis d'accord avec vous. Quand je parlais de parfois aller chercher l'importance des facteurs, je ne parlais, en fait, pas dans la thérapie, mais plutôt pour des personnes qui font de la recherche, ou si l'on veut évaluer, par exemple, s'il est opportun de faire passer certains messages, mesures de prévention etc.
 
Schakine

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Freud voulait rendre scientifique sa théorie...dans ce sens il a échoué..mais c'était un bon philosophe..
 
xorguina

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Focaliser sont attention sur le pourquoi, je comprends et peux comprendre que celà soi utile, voir peut être révélateur, débloquant, mais pas tjrs.....

Certaine personne peuvent prendre conscience de certaines choses sur elle même et pourtant, ça ne change pas .

C'est pour ça qu'aujourd'hui je préfère me concentrer sur le comment.

Quand on focalise sur le comment, on a pas besoin necessairement de savoir qu'est ce qui c'est passé !


On peut bien évidement joindre le pourquoi au comment si on sent une necessité, mais pas utile .


 
surderien

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L'inconscient est une métaphore

Le paradis et l'enfer aussi

tout est construction métaphorique

le nettoyage du passé, la réactualisation des problèmes


la psychanalyse est dans le dé-passé et le prend pour la réalité du présent

l'hypnose est consciente de ce jeu

8)
 
valikor

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xorguina à dit:
Quand on focalise sur le comment, on a pas besoin necessairement de savoir qu'est ce qui c'est passé !


On peut bien évidement joindre le pourquoi au comment si on sent une necessité, mais pas utile .

S'il n'est pas forcément utile de connaître les causes, il est toujours vital de les résoudre lorsqu'elles sont toujours actives.... sinon, c'est comme retapisser son mur plein d'humidité, sans boucher la fuite d'eau qui provient du dessus...
 
xorguina

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valikor à dit:
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Quand on focalise sur le comment, on a pas besoin necessairement de savoir qu'est ce qui c'est passé !


On peut bien évidement joindre le pourquoi au comment si on sent une necessité, mais pas utile .

S'il n'est pas forcément utile de connaître les causes, il est toujours vital de les résoudre lorsqu'elles sont toujours actives.... sinon, c'est comme retapisser son mur plein d'humidité, sans boucher la fuite d'eau qui provient du dessus...


Heuuu c ce que je dis non ?

Le pourquoi bof, on peut ne aps savoir, le thérapeute ne pas savoir et ne pas chercher à savoir, ça n'empêche pas....

Par contre, le Comment, ça c'est vital...autant pour le patient que le thérapeute...

D'ailleurs, beacoup de patient viennent voir le thérapeute pour savoir comment se débarrasser ou arrêter de ...pas de pourquoi !

C'est une option en plus qu'on peut faire également...

Le thérapeute aussi est là pour montrer le comment au patient, le pourquoi n'étant qu'une partie du boulot si je puis dire, parce que pour beaucoup pas suffisant de savoir pourquoi, mais plutôt comment !
 
valikor

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Quand on focalise sur le comment, on a pas besoin necessairement de savoir qu'est ce qui c'est passé !


On peut bien évidement joindre le pourquoi au comment si on sent une necessité, mais pas utile .

S'il n'est pas forcément utile de connaître les causes, il est toujours vital de les résoudre lorsqu'elles sont toujours actives.... sinon, c'est comme retapisser son mur plein d'humidité, sans boucher la fuite d'eau qui provient du dessus...


Heuuu c ce que je dis non ?

Le pourquoi bof, on peut ne aps savoir, le thérapeute ne pas savoir et ne pas chercher à savoir, ça n'empêche pas....

Par contre, le Comment, ça c'est vital...autant pour le patient que le thérapeute...

D'ailleurs, beacoup de patient viennent voir le thérapeute pour savoir comment se débarrasser ou arrêter de ...pas de pourquoi !

C'est une option en plus qu'on peut faire également...

Le thérapeute aussi est là pour montrer le comment au patient, le pourquoi n'étant qu'une partie du boulot si je puis dire, parce que pour beaucoup pas suffisant de savoir pourquoi, mais plutôt comment !

tout à fait d'accord! :D

mais tu serais surprise du nombre de personnes a qui je demande : savez vous pourquoi vous êtes dépressif? vous avez vu des psychologues, des médecins, des psychiatres, alors?
Réponse : "non, je ne sais toujours pas....
ou alors :
"on a beaucoup cherché mais on n'a pas trouvé la cause"
 
xorguina

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On peut bien évidement joindre le pourquoi au comment si on sent une necessité, mais pas utile .

S'il n'est pas forcément utile de connaître les causes, il est toujours vital de les résoudre lorsqu'elles sont toujours actives.... sinon, c'est comme retapisser son mur plein d'humidité, sans boucher la fuite d'eau qui provient du dessus...


Heuuu c ce que je dis non ?

Le pourquoi bof, on peut ne aps savoir, le thérapeute ne pas savoir et ne pas chercher à savoir, ça n'empêche pas....

Par contre, le Comment, ça c'est vital...autant pour le patient que le thérapeute...

D'ailleurs, beacoup de patient viennent voir le thérapeute pour savoir comment se débarrasser ou arrêter de ...pas de pourquoi !

C'est une option en plus qu'on peut faire également...

Le thérapeute aussi est là pour montrer le comment au patient, le pourquoi n'étant qu'une partie du boulot si je puis dire, parce que pour beaucoup pas suffisant de savoir pourquoi, mais plutôt comment !

tout à fait d'accord! :D

mais tu serais surprise du nombre de personnes a qui je demande : savez vous pourquoi vous êtes dépressif? vous avez vu des psychologues, des médecins, des psychiatres, alors?
Réponse : "non, je ne sais toujours pas....
ou alors :
"on a beaucoup cherché mais on n'a pas trouvé la cause"


Mouai, ça ne m'étonne pas...

Comme ceux qui ont compris LA cause mais n'arrive tjrs pas a arrêter...

Donc au final, que tu saches ou que tu saches pas le pourquoi, La cause ben on s'en fou, on peut agir sans si la personne n'e demande pas vraiment l'interêt...l'important c'est le comment on va faire pour changer :D
 
valikor

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On peut bien évidement joindre le pourquoi au comment si on sent une necessité, mais pas utile .

S'il n'est pas forcément utile de connaître les causes, il est toujours vital de les résoudre lorsqu'elles sont toujours actives.... sinon, c'est comme retapisser son mur plein d'humidité, sans boucher la fuite d'eau qui provient du dessus...


Heuuu c ce que je dis non ?

Le pourquoi bof, on peut ne aps savoir, le thérapeute ne pas savoir et ne pas chercher à savoir, ça n'empêche pas....

Par contre, le Comment, ça c'est vital...autant pour le patient que le thérapeute...

D'ailleurs, beacoup de patient viennent voir le thérapeute pour savoir comment se débarrasser ou arrêter de ...pas de pourquoi !

C'est une option en plus qu'on peut faire également...

Le thérapeute aussi est là pour montrer le comment au patient, le pourquoi n'étant qu'une partie du boulot si je puis dire, parce que pour beaucoup pas suffisant de savoir pourquoi, mais plutôt comment !

tout à fait d'accord! :D

mais tu serais surprise du nombre de personnes a qui je demande : savez vous pourquoi vous êtes dépressif? vous avez vu des psychologues, des médecins, des psychiatres, alors?
Réponse : "non, je ne sais toujours pas....
ou alors :
"on a beaucoup cherché mais on n'a pas trouvé la cause"


Mouai, ça ne m'étonne pas...

Comme ceux qui ont compris LA cause mais n'arrive tjrs pas a arrêter...

Donc au final, que tu saches ou que tu saches pas le pourquoi, La cause ben on s'en fou, on peut agir sans si la personne n'e demande pas vraiment l'interêt...l'important c'est le comment on va faire pour changer :D
ben on met tout le négatif à la poubelle plusieurs fois, jusqu'à ce qu'il ne fasse plus rien... :)
 
xorguina

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On peut bien évidement joindre le pourquoi au comment si on sent une necessité, mais pas utile .

S'il n'est pas forcément utile de connaître les causes, il est toujours vital de les résoudre lorsqu'elles sont toujours actives.... sinon, c'est comme retapisser son mur plein d'humidité, sans boucher la fuite d'eau qui provient du dessus...


Heuuu c ce que je dis non ?

Le pourquoi bof, on peut ne aps savoir, le thérapeute ne pas savoir et ne pas chercher à savoir, ça n'empêche pas....

Par contre, le Comment, ça c'est vital...autant pour le patient que le thérapeute...

D'ailleurs, beacoup de patient viennent voir le thérapeute pour savoir comment se débarrasser ou arrêter de ...pas de pourquoi !

C'est une option en plus qu'on peut faire également...

Le thérapeute aussi est là pour montrer le comment au patient, le pourquoi n'étant qu'une partie du boulot si je puis dire, parce que pour beaucoup pas suffisant de savoir pourquoi, mais plutôt comment !

tout à fait d'accord! :D

mais tu serais surprise du nombre de personnes a qui je demande : savez vous pourquoi vous êtes dépressif? vous avez vu des psychologues, des médecins, des psychiatres, alors?
Réponse : "non, je ne sais toujours pas....
ou alors :
"on a beaucoup cherché mais on n'a pas trouvé la cause"


Mouai, ça ne m'étonne pas...

Comme ceux qui ont compris LA cause mais n'arrive tjrs pas a arrêter...

Donc au final, que tu saches ou que tu saches pas le pourquoi, La cause ben on s'en fou, on peut agir sans si la personne n'e demande pas vraiment l'interêt...l'important c'est le comment on va faire pour changer :D
ben on met tout le négatif à la poubelle plusieurs fois, jusqu'à ce qu'il ne fasse plus rien... :)


Oui, mais là, il y a un truc qui me chiffonne....comment fais tu pour évaluer réellement que c'est négatif ?

Ce que la personne estime négatif ne l'est peut être pas pour toi !

Et vice et verça...parfois celà doit pas être simple d'évaluer ce qui est négatif ou pas, ou que l'on croit que ça l'est...non ?
 
surderien

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Parmi les thérapeutes, il y a ceux qui apprennent à chercher et ceux qui apprennent à trouver...

il y a ceux qui montrent comment apprendre à trouver sans perdre de temps à chercher.

il y a ceux qui montrent comment apprendre à chercher sans oublier ce qu'il y a à trouver.

et puis il y a tous les autres...

:lol:
 
valikor

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Quand on focalise sur le comment, on a pas besoin necessairement de savoir qu'est ce qui c'est passé !


On peut bien évidement joindre le pourquoi au comment si on sent une necessité, mais pas utile .

S'il n'est pas forcément utile de connaître les causes, il est toujours vital de les résoudre lorsqu'elles sont toujours actives.... sinon, c'est comme retapisser son mur plein d'humidité, sans boucher la fuite d'eau qui provient du dessus...


Heuuu c ce que je dis non ?

Le pourquoi bof, on peut ne aps savoir, le thérapeute ne pas savoir et ne pas chercher à savoir, ça n'empêche pas....

Par contre, le Comment, ça c'est vital...autant pour le patient que le thérapeute...

D'ailleurs, beacoup de patient viennent voir le thérapeute pour savoir comment se débarrasser ou arrêter de ...pas de pourquoi !

C'est une option en plus qu'on peut faire également...

Le thérapeute aussi est là pour montrer le comment au patient, le pourquoi n'étant qu'une partie du boulot si je puis dire, parce que pour beaucoup pas suffisant de savoir pourquoi, mais plutôt comment !

tout à fait d'accord! :D

mais tu serais surprise du nombre de personnes a qui je demande : savez vous pourquoi vous êtes dépressif? vous avez vu des psychologues, des médecins, des psychiatres, alors?
Réponse : "non, je ne sais toujours pas....
ou alors :
"on a beaucoup cherché mais on n'a pas trouvé la cause"


Mouai, ça ne m'étonne pas...

Comme ceux qui ont compris LA cause mais n'arrive tjrs pas a arrêter...

Donc au final, que tu saches ou que tu saches pas le pourquoi, La cause ben on s'en fou, on peut agir sans si la personne n'e demande pas vraiment l'interêt...l'important c'est le comment on va faire pour changer :D
ben on met tout le négatif à la poubelle plusieurs fois, jusqu'à ce qu'il ne fasse plus rien... :)


Oui, mais là, il y a un truc qui me chiffonne....comment fais tu pour évaluer réellement que c'est négatif ?

Ce que la personne estime négatif ne l'est peut être pas pour toi !

Et vice et verça...parfois celà doit pas être simple d'évaluer ce qui est négatif ou pas, ou que l'on croit que ça l'est...non ?

douleur, colère, tristesse, regret, manque, haine, dégout, injustice, incompréhension, solitude, anxiété, stress, fatigue.....
et si l'évènement est négatif mais que le ressenti est positif, faut qd même évacué! (par expérience)
 
valikor

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surderien à dit:
Parmi les thérapeutes, il y a ceux qui apprennent à chercher et ceux qui apprennent à trouver...

il y a ceux qui montrent comment apprendre à trouver sans perdre de temps à chercher.

il y a ceux qui montrent comment apprendre à chercher sans oublier ce qu'il y a à trouver.

et puis il y a tous les autres...

:lol:

il y a ceux qui disent, "un bon client, c'est un client avec qui on va aller en profondeur, sur des années"
et ceux qui disent "un bon client est un client satisfait et qui a besoin de peu de séances pour aller bien et qui m'envoie du monde"....
 
xorguina

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valikor à dit:
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Quand on focalise sur le comment, on a pas besoin necessairement de savoir qu'est ce qui c'est passé !


On peut bien évidement joindre le pourquoi au comment si on sent une necessité, mais pas utile .

S'il n'est pas forcément utile de connaître les causes, il est toujours vital de les résoudre lorsqu'elles sont toujours actives.... sinon, c'est comme retapisser son mur plein d'humidité, sans boucher la fuite d'eau qui provient du dessus...


Heuuu c ce que je dis non ?

Le pourquoi bof, on peut ne aps savoir, le thérapeute ne pas savoir et ne pas chercher à savoir, ça n'empêche pas....

Par contre, le Comment, ça c'est vital...autant pour le patient que le thérapeute...

D'ailleurs, beacoup de patient viennent voir le thérapeute pour savoir comment se débarrasser ou arrêter de ...pas de pourquoi !

C'est une option en plus qu'on peut faire également...

Le thérapeute aussi est là pour montrer le comment au patient, le pourquoi n'étant qu'une partie du boulot si je puis dire, parce que pour beaucoup pas suffisant de savoir pourquoi, mais plutôt comment !

tout à fait d'accord! :D

mais tu serais surprise du nombre de personnes a qui je demande : savez vous pourquoi vous êtes dépressif? vous avez vu des psychologues, des médecins, des psychiatres, alors?
Réponse : "non, je ne sais toujours pas....
ou alors :
"on a beaucoup cherché mais on n'a pas trouvé la cause"


Mouai, ça ne m'étonne pas...

Comme ceux qui ont compris LA cause mais n'arrive tjrs pas a arrêter...

Donc au final, que tu saches ou que tu saches pas le pourquoi, La cause ben on s'en fou, on peut agir sans si la personne n'e demande pas vraiment l'interêt...l'important c'est le comment on va faire pour changer :D
ben on met tout le négatif à la poubelle plusieurs fois, jusqu'à ce qu'il ne fasse plus rien... :)


Oui, mais là, il y a un truc qui me chiffonne....comment fais tu pour évaluer réellement que c'est négatif ?

Ce que la personne estime négatif ne l'est peut être pas pour toi !

Et vice et verça...parfois celà doit pas être simple d'évaluer ce qui est négatif ou pas, ou que l'on croit que ça l'est...non ?

douleur, colère, tristesse, regret, manque, haine, dégout, injustice, incompréhension, solitude, anxiété, stress, fatigue.....
et si l'évènement est négatif mais que le ressenti est positif, faut qd même évacué! (par expérience)

Oui, c'est ce qu'il me semblait....

Tu as un exemple de cas où justement la personne ne ressent pas de négatif et pourtant il faut évacuer ?

Comment sait tu que c'est ça qu'il faut faire puisque la personne te dis que c'est positif pour elle ?

J'ai bien un exemple perso qui fait que d'un évênement apparement négatif mais qui après persévérance paye donne et a donner de très bon résultat !

Si j'avais laisser tomber, évacuer, jeter à la poubelle, plus ce manque, il n'y aurait pas ce qui se passe maintenant....alors, je me demande comment on peu vraiment être sûr d'évaluer quelque chose de négatif, de vouloir le jeter alors qu'il peut être dépasser, transformer en positif...
 
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valikor à dit:
surderien à dit:
Parmi les thérapeutes, il y a ceux qui apprennent à chercher et ceux qui apprennent à trouver...

il y a ceux qui montrent comment apprendre à trouver sans perdre de temps à chercher.

il y a ceux qui montrent comment apprendre à chercher sans oublier ce qu'il y a à trouver.

et puis il y a tous les autres...

:lol:

il y a ceux qui disent, "un bon client, c'est un client avec qui on va aller en profondeur, sur des années"
et ceux qui disent "un bon client est un client satisfait et qui a besoin de peu de séances pour aller bien et qui m'envoie du monde"....


Oui...


Il y a ceux qui demandent Pourquoi ai je ceci , celà ? je ne comprends pas.
Il y a ceux qui demandent Comment puis je arrêter ceci ou celà ?

Il y a ceux qui demandent Comment et Pourquoi ?

Il y a ceux qui demandent Pourquoi et Comment ?

Et il y a ceux qui ne se pose pas de question, il n'y pas de pourquoi, puisuqe c'est fait...et pas de comment parce qu'en soi savent agir, dépasser, transformer ...... résilient !!
 
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xorguina à dit:
valikor à dit:
surderien à dit:
Parmi les thérapeutes, il y a ceux qui apprennent à chercher et ceux qui apprennent à trouver...

il y a ceux qui montrent comment apprendre à trouver sans perdre de temps à chercher.

il y a ceux qui montrent comment apprendre à chercher sans oublier ce qu'il y a à trouver.

et puis il y a tous les autres...

:lol:

il y a ceux qui disent, "un bon client, c'est un client avec qui on va aller en profondeur, sur des années"
et ceux qui disent "un bon client est un client satisfait et qui a besoin de peu de séances pour aller bien et qui m'envoie du monde"....


Oui...


Il y a ceux qui demandent Pourquoi ai je ceci , celà ? je ne comprends pas.
Il y a ceux qui demandent Comment puis je arrêter ceci ou celà ?

Il y a ceux qui demandent Comment et Pourquoi ?

Il y a ceux qui demandent Pourquoi et Comment ?

Et il y a ceux qui ne se pose pas de question, il n'y pas de pourquoi, puisuqe c'est fait...et pas de comment parce qu'en soi savent agir, dépasser, transformer ...... résilient !!

mais ne sont ils pas dans l'illusion de "savoir" alors qu'ils sont pris dans le piège d'un égo qui les domine ?

Se persuadent ils d'être en résilience alors qu'ils n'y sont pas du tout ?
 
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xorguina à dit:
Tu as un exemple de cas où justement la personne ne ressent pas de négatif et pourtant il faut évacuer ?

Comment sait tu que c'est ça qu'il faut faire puisque la personne te dis que c'est positif pour elle ?

J'ai bien un exemple perso qui fait que d'un évênement apparement négatif mais qui après persévérance paye donne et a donner de très bon résultat !

Si j'avais laisser tomber, évacuer, jeter à la poubelle, plus ce manque, il n'y aurait pas ce qui se passe maintenant....alors, je me demande comment on peu vraiment être sûr d'évaluer quelque chose de négatif, de vouloir le jeter alors qu'il peut être dépasser, transformer en positif...

exemple immédiat : enfance trop heureuse, trop en sécurité, ressenti 10/10 et dans le présent, difficulté à se sentir bien en dehors de chez les parents....

autre exemple : un homme vient pour une phobie vis à vis de la conduite de sa moto, il est passionné, c'est un énorme pb pour lui.

évènements potentiellement traumatiques : 3 accidents où il est passé près de la mort.
en ressenti vis à vis des évènements: pas de peur, ni de choc, ni d'angoisse, juste du soulagement....

autre et dernier exemple : un homme très angoissé qui n'arrive pas à accepter la séparation avec son ex-femme.
Qui ne veut plus entendre parler de lui.
Il a fallut travailler sur toutes les années de bonheur intense (ressenti 10/10) pendant lesquelles elle a fait beaucoup parti de lui (10/10)....
quand les ressentis sont suffisamment baissés, il a pu passer à autre chose...
 
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