Kamou
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http://www.youtube.com/watch?v=xA7nErVU ... ure=fvwrel
valikor à dit:très bon texte de Janet, Il es très proche de l'observation et place l'observation, le factuel, le ressenti bien avant et bien au dessus de la théorie...
Du coup je vais rajouter quelques livres de lui sur ma pile...
Léo, pour moi, l'interprétation est liée au ressenti et c'est l'intensité du ressenti qui confère de l'importance (ou pas) au fait, à l'interprétation...
quelques fois, il n'y a rien de traumatisant ds la vie ou le vécu de la personne, juste un ams de trop d'anxiété accumulée, de focalisation excessive sur ce qui va pas, voire d'avoir trop partagé les problèmes des autres...
en fait, une personne très anxieuse, est prédisposée à aller mal car elle ressentira bien plus de négatifs ds sa vie et surtout elle n'arrivera pas à digérer tout cela....Leo Lavoie à dit:valikor à dit:très bon texte de Janet, Il es très proche de l'observation et place l'observation, le factuel, le ressenti bien avant et bien au dessus de la théorie...
Du coup je vais rajouter quelques livres de lui sur ma pile...
Léo, pour moi, l'interprétation est liée au ressenti et c'est l'intensité du ressenti qui confère de l'importance (ou pas) au fait, à l'interprétation...
quelques fois, il n'y a rien de traumatisant ds la vie ou le vécu de la personne, juste un ams de trop d'anxiété accumulée, de focalisation excessive sur ce qui va pas, voire d'avoir trop partagé les problèmes des autres...
Oui, ben je suis d'accord mais la différence est vraiment énorme dépendamment de l'âge de la personne. C'est à dire que les enfants sont des éponges, on le sait bien, mais l'on doit savoir que c'est leur rôle d'en être et leur conférer un statut "sacré" en ce sens.
Parfois ce qui est traumatisant n'est qu'un rapport entre le besoin de l'enfant et ce qu'il reçoit en réponse ou en non réponse. Souvent, c'est le vide qui traumatise, l'absence, la carence, l'inadéquation. Rien de frappant...rien d'apparent. Juste le vide, l'ennui, l'évitement.
Je ne parle pas souvent des traumatismes de l'adulte mais c'est qu'à mon avis, pour la plupart, ils n'existeraient pas sans cette base de carence ou de traumatismes juvéniles comme fondation... Alors détruisez la fondation de névrose et tout s'écroule. C'est ce qui est le plus difficile à faire, de détruire ces fondations souvent faites de fausses croyances de bases inculquées par actions ou omissions. Et c'est d'autant plus difficile à faire quand les gens viennent vous voir pour se défaire d'un supposé traumatisme qui s'est produit l'année passé et qu'il faille les aider à comprendre que c'est la fondation qu'il faut défaire... Pour que les traumatismes de "ce genre" ne prennent plus jamais pied.
valikor à dit:tout à fait ! il y a aussi des facteurs epigénétiques :
Parents' Stress Leaves Lasting Marks On Children’s Genes, Researchers Find
ScienceDaily (Sep. 9, 2011) — Researchers at the University of British Columbia and the Child & Family Research Institute have shown that parental stress during their children's early years can leave an imprint on their sons' or daughters' genes -- an imprint that lasts into adolescence and may affect how these genes are expressed later in life.
http://www.sciencedaily.com/releases/20 ... 144630.htm
En résumé : pas que des facteurs psychiques, loin de là.
Les premières expériences "traumatiques" pourraient ainsi être de simples témoins de la vulnérabilité, plutôt que des facteurs déclenchants.
Leo Lavoie à dit:Si "Tout se joue avant 6 ans" n'est pas rigoureusement exact, je dirais volontiers que "Énormément de choses se jouent avant 6 ans" et le reste prend pied sur ce qui s'est joué alors.
papusza à dit:La genetique nous impose une couleur d'yeux, une morphologie, une machoire trop petite, parfaite, ou trop grande, une sensibilité au stress ?
Un univers non aimant dès la conception de l'enfant, violence autour de l'enfant les premières années, bien plein de facteurs.
Quand vous rencontrez une personne, elle est là devant vous, aujourd'hui au présent, avec la somme de ses passés, et ses potentialités futures.
Une psychanalyse, c'est une longue histoire pour les archéologues, qui cherchent pour Freud trop dans le coté sexe, trop dans l'intello pour Lacan, et bah si nous voulons etre plus rapide et efficace, autant nous tourner vers le présent et que pouvons nous faire maintenant
jeangeneve à dit:un "truc" toujours très négligé en médecine...
sûrement par ce que on sait pas comment ça marche...
le système lymphatique ...
le stress est un bel exemple, :wink:
bonjour, c'est les surrénales, à vais dire le monsieur Rossi on l'aime bien, car là çà vas pas très fort.
on trouve le psy sympa, on comprends pas très bien comment il vas nous aider a nous aider à faire notre job...
on préfère la grand mère qui a dit : "magnésium" au généraliste qui affirme 'lithium".
nous on arrive pas a communiquer avec le stéthoscope, avec l'hypnose on a de l'espoir...
si on causais ?
papusza à dit:La genetique nous impose une couleur d'yeux, une morphologie, une machoire trop petite, parfaite, ou trop grande, une sensibilité au stress ?
Un univers non aimant dès la conception de l'enfant, violence autour de l'enfant les premières années, bien plein de facteurs.
Quand vous rencontrez une personne, elle est là devant vous, aujourd'hui au présent, avec la somme de ses passés, et ses potentialités futures.
xorguina à dit:Quand on focalise sur le comment, on a pas besoin necessairement de savoir qu'est ce qui c'est passé !
On peut bien évidement joindre le pourquoi au comment si on sent une necessité, mais pas utile .
valikor à dit:xorguina à dit:Quand on focalise sur le comment, on a pas besoin necessairement de savoir qu'est ce qui c'est passé !
On peut bien évidement joindre le pourquoi au comment si on sent une necessité, mais pas utile .
S'il n'est pas forcément utile de connaître les causes, il est toujours vital de les résoudre lorsqu'elles sont toujours actives.... sinon, c'est comme retapisser son mur plein d'humidité, sans boucher la fuite d'eau qui provient du dessus...
xorguina à dit:valikor à dit:xorguina à dit:Quand on focalise sur le comment, on a pas besoin necessairement de savoir qu'est ce qui c'est passé !
On peut bien évidement joindre le pourquoi au comment si on sent une necessité, mais pas utile .
S'il n'est pas forcément utile de connaître les causes, il est toujours vital de les résoudre lorsqu'elles sont toujours actives.... sinon, c'est comme retapisser son mur plein d'humidité, sans boucher la fuite d'eau qui provient du dessus...
Heuuu c ce que je dis non ?
Le pourquoi bof, on peut ne aps savoir, le thérapeute ne pas savoir et ne pas chercher à savoir, ça n'empêche pas....
Par contre, le Comment, ça c'est vital...autant pour le patient que le thérapeute...
D'ailleurs, beacoup de patient viennent voir le thérapeute pour savoir comment se débarrasser ou arrêter de ...pas de pourquoi !
C'est une option en plus qu'on peut faire également...
Le thérapeute aussi est là pour montrer le comment au patient, le pourquoi n'étant qu'une partie du boulot si je puis dire, parce que pour beaucoup pas suffisant de savoir pourquoi, mais plutôt comment !
valikor à dit:xorguina à dit:valikor à dit:xorguina à dit:Quand on focalise sur le comment, on a pas besoin necessairement de savoir qu'est ce qui c'est passé !
On peut bien évidement joindre le pourquoi au comment si on sent une necessité, mais pas utile .
S'il n'est pas forcément utile de connaître les causes, il est toujours vital de les résoudre lorsqu'elles sont toujours actives.... sinon, c'est comme retapisser son mur plein d'humidité, sans boucher la fuite d'eau qui provient du dessus...
Heuuu c ce que je dis non ?
Le pourquoi bof, on peut ne aps savoir, le thérapeute ne pas savoir et ne pas chercher à savoir, ça n'empêche pas....
Par contre, le Comment, ça c'est vital...autant pour le patient que le thérapeute...
D'ailleurs, beacoup de patient viennent voir le thérapeute pour savoir comment se débarrasser ou arrêter de ...pas de pourquoi !
C'est une option en plus qu'on peut faire également...
Le thérapeute aussi est là pour montrer le comment au patient, le pourquoi n'étant qu'une partie du boulot si je puis dire, parce que pour beaucoup pas suffisant de savoir pourquoi, mais plutôt comment !
tout à fait d'accord!
mais tu serais surprise du nombre de personnes a qui je demande : savez vous pourquoi vous êtes dépressif? vous avez vu des psychologues, des médecins, des psychiatres, alors?
Réponse : "non, je ne sais toujours pas....
ou alors :
"on a beaucoup cherché mais on n'a pas trouvé la cause"
ben on met tout le négatif à la poubelle plusieurs fois, jusqu'à ce qu'il ne fasse plus rien...xorguina à dit:valikor à dit:xorguina à dit:valikor à dit:xorguina à dit:Quand on focalise sur le comment, on a pas besoin necessairement de savoir qu'est ce qui c'est passé !
On peut bien évidement joindre le pourquoi au comment si on sent une necessité, mais pas utile .
S'il n'est pas forcément utile de connaître les causes, il est toujours vital de les résoudre lorsqu'elles sont toujours actives.... sinon, c'est comme retapisser son mur plein d'humidité, sans boucher la fuite d'eau qui provient du dessus...
Heuuu c ce que je dis non ?
Le pourquoi bof, on peut ne aps savoir, le thérapeute ne pas savoir et ne pas chercher à savoir, ça n'empêche pas....
Par contre, le Comment, ça c'est vital...autant pour le patient que le thérapeute...
D'ailleurs, beacoup de patient viennent voir le thérapeute pour savoir comment se débarrasser ou arrêter de ...pas de pourquoi !
C'est une option en plus qu'on peut faire également...
Le thérapeute aussi est là pour montrer le comment au patient, le pourquoi n'étant qu'une partie du boulot si je puis dire, parce que pour beaucoup pas suffisant de savoir pourquoi, mais plutôt comment !
tout à fait d'accord!
mais tu serais surprise du nombre de personnes a qui je demande : savez vous pourquoi vous êtes dépressif? vous avez vu des psychologues, des médecins, des psychiatres, alors?
Réponse : "non, je ne sais toujours pas....
ou alors :
"on a beaucoup cherché mais on n'a pas trouvé la cause"
Mouai, ça ne m'étonne pas...
Comme ceux qui ont compris LA cause mais n'arrive tjrs pas a arrêter...
Donc au final, que tu saches ou que tu saches pas le pourquoi, La cause ben on s'en fou, on peut agir sans si la personne n'e demande pas vraiment l'interêt...l'important c'est le comment on va faire pour changer
valikor à dit:ben on met tout le négatif à la poubelle plusieurs fois, jusqu'à ce qu'il ne fasse plus rien...xorguina à dit:valikor à dit:xorguina à dit:valikor à dit:xorguina à dit:Quand on focalise sur le comment, on a pas besoin necessairement de savoir qu'est ce qui c'est passé !
On peut bien évidement joindre le pourquoi au comment si on sent une necessité, mais pas utile .
S'il n'est pas forcément utile de connaître les causes, il est toujours vital de les résoudre lorsqu'elles sont toujours actives.... sinon, c'est comme retapisser son mur plein d'humidité, sans boucher la fuite d'eau qui provient du dessus...
Heuuu c ce que je dis non ?
Le pourquoi bof, on peut ne aps savoir, le thérapeute ne pas savoir et ne pas chercher à savoir, ça n'empêche pas....
Par contre, le Comment, ça c'est vital...autant pour le patient que le thérapeute...
D'ailleurs, beacoup de patient viennent voir le thérapeute pour savoir comment se débarrasser ou arrêter de ...pas de pourquoi !
C'est une option en plus qu'on peut faire également...
Le thérapeute aussi est là pour montrer le comment au patient, le pourquoi n'étant qu'une partie du boulot si je puis dire, parce que pour beaucoup pas suffisant de savoir pourquoi, mais plutôt comment !
tout à fait d'accord!
mais tu serais surprise du nombre de personnes a qui je demande : savez vous pourquoi vous êtes dépressif? vous avez vu des psychologues, des médecins, des psychiatres, alors?
Réponse : "non, je ne sais toujours pas....
ou alors :
"on a beaucoup cherché mais on n'a pas trouvé la cause"
Mouai, ça ne m'étonne pas...
Comme ceux qui ont compris LA cause mais n'arrive tjrs pas a arrêter...
Donc au final, que tu saches ou que tu saches pas le pourquoi, La cause ben on s'en fou, on peut agir sans si la personne n'e demande pas vraiment l'interêt...l'important c'est le comment on va faire pour changer
xorguina à dit:valikor à dit:ben on met tout le négatif à la poubelle plusieurs fois, jusqu'à ce qu'il ne fasse plus rien...xorguina à dit:valikor à dit:xorguina à dit:valikor à dit:xorguina à dit:Quand on focalise sur le comment, on a pas besoin necessairement de savoir qu'est ce qui c'est passé !
On peut bien évidement joindre le pourquoi au comment si on sent une necessité, mais pas utile .
S'il n'est pas forcément utile de connaître les causes, il est toujours vital de les résoudre lorsqu'elles sont toujours actives.... sinon, c'est comme retapisser son mur plein d'humidité, sans boucher la fuite d'eau qui provient du dessus...
Heuuu c ce que je dis non ?
Le pourquoi bof, on peut ne aps savoir, le thérapeute ne pas savoir et ne pas chercher à savoir, ça n'empêche pas....
Par contre, le Comment, ça c'est vital...autant pour le patient que le thérapeute...
D'ailleurs, beacoup de patient viennent voir le thérapeute pour savoir comment se débarrasser ou arrêter de ...pas de pourquoi !
C'est une option en plus qu'on peut faire également...
Le thérapeute aussi est là pour montrer le comment au patient, le pourquoi n'étant qu'une partie du boulot si je puis dire, parce que pour beaucoup pas suffisant de savoir pourquoi, mais plutôt comment !
tout à fait d'accord!
mais tu serais surprise du nombre de personnes a qui je demande : savez vous pourquoi vous êtes dépressif? vous avez vu des psychologues, des médecins, des psychiatres, alors?
Réponse : "non, je ne sais toujours pas....
ou alors :
"on a beaucoup cherché mais on n'a pas trouvé la cause"
Mouai, ça ne m'étonne pas...
Comme ceux qui ont compris LA cause mais n'arrive tjrs pas a arrêter...
Donc au final, que tu saches ou que tu saches pas le pourquoi, La cause ben on s'en fou, on peut agir sans si la personne n'e demande pas vraiment l'interêt...l'important c'est le comment on va faire pour changer
Oui, mais là, il y a un truc qui me chiffonne....comment fais tu pour évaluer réellement que c'est négatif ?
Ce que la personne estime négatif ne l'est peut être pas pour toi !
Et vice et verça...parfois celà doit pas être simple d'évaluer ce qui est négatif ou pas, ou que l'on croit que ça l'est...non ?
surderien à dit:Parmi les thérapeutes, il y a ceux qui apprennent à chercher et ceux qui apprennent à trouver...
il y a ceux qui montrent comment apprendre à trouver sans perdre de temps à chercher.
il y a ceux qui montrent comment apprendre à chercher sans oublier ce qu'il y a à trouver.
et puis il y a tous les autres...
:lol:
valikor à dit:xorguina à dit:valikor à dit:ben on met tout le négatif à la poubelle plusieurs fois, jusqu'à ce qu'il ne fasse plus rien...xorguina à dit:valikor à dit:xorguina à dit:valikor à dit:xorguina à dit:Quand on focalise sur le comment, on a pas besoin necessairement de savoir qu'est ce qui c'est passé !
On peut bien évidement joindre le pourquoi au comment si on sent une necessité, mais pas utile .
S'il n'est pas forcément utile de connaître les causes, il est toujours vital de les résoudre lorsqu'elles sont toujours actives.... sinon, c'est comme retapisser son mur plein d'humidité, sans boucher la fuite d'eau qui provient du dessus...
Heuuu c ce que je dis non ?
Le pourquoi bof, on peut ne aps savoir, le thérapeute ne pas savoir et ne pas chercher à savoir, ça n'empêche pas....
Par contre, le Comment, ça c'est vital...autant pour le patient que le thérapeute...
D'ailleurs, beacoup de patient viennent voir le thérapeute pour savoir comment se débarrasser ou arrêter de ...pas de pourquoi !
C'est une option en plus qu'on peut faire également...
Le thérapeute aussi est là pour montrer le comment au patient, le pourquoi n'étant qu'une partie du boulot si je puis dire, parce que pour beaucoup pas suffisant de savoir pourquoi, mais plutôt comment !
tout à fait d'accord!
mais tu serais surprise du nombre de personnes a qui je demande : savez vous pourquoi vous êtes dépressif? vous avez vu des psychologues, des médecins, des psychiatres, alors?
Réponse : "non, je ne sais toujours pas....
ou alors :
"on a beaucoup cherché mais on n'a pas trouvé la cause"
Mouai, ça ne m'étonne pas...
Comme ceux qui ont compris LA cause mais n'arrive tjrs pas a arrêter...
Donc au final, que tu saches ou que tu saches pas le pourquoi, La cause ben on s'en fou, on peut agir sans si la personne n'e demande pas vraiment l'interêt...l'important c'est le comment on va faire pour changer
Oui, mais là, il y a un truc qui me chiffonne....comment fais tu pour évaluer réellement que c'est négatif ?
Ce que la personne estime négatif ne l'est peut être pas pour toi !
Et vice et verça...parfois celà doit pas être simple d'évaluer ce qui est négatif ou pas, ou que l'on croit que ça l'est...non ?
douleur, colère, tristesse, regret, manque, haine, dégout, injustice, incompréhension, solitude, anxiété, stress, fatigue.....
et si l'évènement est négatif mais que le ressenti est positif, faut qd même évacué! (par expérience)
valikor à dit:surderien à dit:Parmi les thérapeutes, il y a ceux qui apprennent à chercher et ceux qui apprennent à trouver...
il y a ceux qui montrent comment apprendre à trouver sans perdre de temps à chercher.
il y a ceux qui montrent comment apprendre à chercher sans oublier ce qu'il y a à trouver.
et puis il y a tous les autres...
:lol:
il y a ceux qui disent, "un bon client, c'est un client avec qui on va aller en profondeur, sur des années"
et ceux qui disent "un bon client est un client satisfait et qui a besoin de peu de séances pour aller bien et qui m'envoie du monde"....
xorguina à dit:valikor à dit:surderien à dit:Parmi les thérapeutes, il y a ceux qui apprennent à chercher et ceux qui apprennent à trouver...
il y a ceux qui montrent comment apprendre à trouver sans perdre de temps à chercher.
il y a ceux qui montrent comment apprendre à chercher sans oublier ce qu'il y a à trouver.
et puis il y a tous les autres...
:lol:
il y a ceux qui disent, "un bon client, c'est un client avec qui on va aller en profondeur, sur des années"
et ceux qui disent "un bon client est un client satisfait et qui a besoin de peu de séances pour aller bien et qui m'envoie du monde"....
Oui...
Il y a ceux qui demandent Pourquoi ai je ceci , celà ? je ne comprends pas.
Il y a ceux qui demandent Comment puis je arrêter ceci ou celà ?
Il y a ceux qui demandent Comment et Pourquoi ?
Il y a ceux qui demandent Pourquoi et Comment ?
Et il y a ceux qui ne se pose pas de question, il n'y pas de pourquoi, puisuqe c'est fait...et pas de comment parce qu'en soi savent agir, dépasser, transformer ...... résilient !!
xorguina à dit:Tu as un exemple de cas où justement la personne ne ressent pas de négatif et pourtant il faut évacuer ?
Comment sait tu que c'est ça qu'il faut faire puisque la personne te dis que c'est positif pour elle ?
J'ai bien un exemple perso qui fait que d'un évênement apparement négatif mais qui après persévérance paye donne et a donner de très bon résultat !
Si j'avais laisser tomber, évacuer, jeter à la poubelle, plus ce manque, il n'y aurait pas ce qui se passe maintenant....alors, je me demande comment on peu vraiment être sûr d'évaluer quelque chose de négatif, de vouloir le jeter alors qu'il peut être dépasser, transformer en positif...
@Transe-Hypnose
2005-2020