hypnose et bégaiement

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Anonymous

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L' hypnose guérit-elle le bégaiement ?
Je recherche tout traveaux sur le sujet,

je remercie d'avance, ceux et celles qui apporteront leur contribution à ma recherche
 
Paul Elie

Paul Elie

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lacaune
non je n'ai pas d'opinion sur cette thérapie en particulier....il faudrait demander au client traité et a un docteur!
car il s'agit d'hypnose médicale.
pour traiter un membre fantôme j'ai un plan....
toujours le même, :wink:
c'est ça qui fait la beauté de la méthode que j'utilise !
elle est absolument universelle!
et on peut considérer la plupart des problèmes que le client met sur la table , sans a chaque fois avoir a créer un script nouveau!
seulement pour l'apprendre cette méthode il faut re considérer tout ce que vous avez put apprendre....du point vue médical...psychologique....et même sur l'hypnose nlp et ericksonnienne.
 
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malek

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cher monsieur paulelie sans vouloir vous enerver ou entrer dans une interminable surenchère avec vous je maintiens toujours ce que j'ai dit et écrit, à savoir que l'on ne peut guerir le bégaiement avec l'hypnose, mais avec la psychanalyse...pour cela je peux vous apporter des preuves plus concrètes et plus scientifiques que les cartes de voeux de vos patients,la veille de Noel. On ne peut pas guérir un bégaiement avec l'hypnose, encore moins une gastrite,un ulcère duodenal ou une subite chute de cheveux. Je sais que c'est très "pragmatique" et ça rapporte gros ce que vous avancez cher monsieur paulelie mais il ne faut pas mélanger argent et science. J'ai lu tous vous messages et je dois vous dire que si l'argent n'est pas votre mobil premier vous devez être un gourou en herbe, ou un apprenti gourou. Vous mélangez les techniques de Ross Jeffries et David DeAngelo du speed dating avec l'hypnose ericksonienne, que vous dites ne pas pratiquez, comme si vous avez fait une seconde invention du fil à couper le beurre...vous mélangez tout cher monsieur, le stage-hypnosis,le speed dating, le reflexe conditionné, version revue et corrigée par des frustrés en quete de pouvoir...une personne qui bégaie, n'est pas une belle blonde sur laquelle vous allez utilisez vos techniques de seduction tirées des techniques d'induction hypnotique ...salutations.
 
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malek

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cher monsieur paulelie sans vouloir vous enerver ou entrer dans une interminable surenchère avec vous je maintiens toujours ce que j'ai dit et écrit, à savoir que l'on ne peut guerir le bégaiement avec l'hypnose, mais avec la psychanalyse...pour cela je peux vous apporter des preuves plus concrètes et plus scientifiques que les cartes de voeux de vos patients,la veille de Noel. On ne peut pas guérir un bégaiement avec l'hypnose, encore moins une gastrite,un ulcère duodenal ou une subite chute de cheveux. Je sais que c'est très "pragmatique" et ça rapporte gros ce que vous avancez cher monsieur paulelie mais il ne faut pas mélanger argent et science. J'ai lu tous vous messages et je dois vous dire que si l'argent n'est pas votre mobil premier vous devez être un gourou en herbe, ou un apprenti gourou. Vous mélangez les techniques de Ross Jeffries et David DeAngelo du speed dating avec l'hypnose ericksonienne, que vous dites ne pas pratiquez, comme si vous avez fait une seconde invention du fil à couper le beurre...vous mélangez tout cher monsieur, le stage-hypnosis,le speed dating, le reflexe conditionné, version revue et corrigée par des frustrés en quete de pouvoir...une personne qui bégaie, n'est pas une belle blonde sur laquelle vous allez utilisez vos techniques de seduction tirées des techniques d'induction hypnotique ...salutations.
 
surderien

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Toujours savoir trouver le plaisir de chercher…
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Suscinio 56
il faudrait demander au client traité et a un docteur!
car il s'agit d'hypnose médicale.

pour traiter un membre fantôme j'ai un plan....
toujours le même

la méthode que j'utilise !
elle est absolument universelle!



Pour l'apprendre il faut tout reconsidérer


Donc...pour l'utiliser il suffit simplement que çà soit tout sauf une technique d'hypnose...


Toujours OK in the paradoxal system


= Just use the metamodel = universal model


Cet exemple montre qu'une personne qui a perdu son bras, qui a été amputée du bras a trés mal de sentir qu'elle n'a plus son bras, qu'elle est manchot et que toute sa vie elle s'y prendra comme un manche !

Ce systeme magique à pas cher permet par le miroir, ( mirror miracle of self hypnosis vision) que son bras restant peut se dédoubler en deux bras que la personne voit dans ce miroir : elle a son deuxième bras dans le dédoublement de l'utilisation de celui qui reste !

Avec un seul bras elle prend conscience qu'elle a toujours le potentiel de l'uusage des deux

Le handicap devient le moteur de son futur : pas besoin de deux bras pour... se réaliser...qu'elle en a toujours le potentiel de deux en un !

Le métamodèle thérapeutiques est une boite à outils contenant une panoplie d'outils, changer d'outil comme de costume était le message de Milton Model qu'on a beaucoup compliqué...

En inventant chacun son outil on a beaucoup d'outils et la boite déborde et n'est plus transportable


Alors que la clef universelle de Paulelie était le seul outil de Milton !


Juré, j'arrête l'hypnose et je me fais mécano pour soigner les autos !


J"aime aussi car c'est aussi intéressant que la biologie totale...

Jean-michel :roll:
 
Paul Elie

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lacaune
cher monsieur malek, vous vous enfoncez dans l'insulte et le deni....c'est votre choix.
cela ne changera pas les 50 ans d'expériences et de pratique d'hypnotherapie documentées sur lesquelles je m'appuie!
cher monsieur jean michel.
puisque vous le dites:
>>>>>Juré, j'arrête l'hypnose et je me fais mécano pour soigner les autos !

c'est sans doute ce que vous devriez faire!
et comme vous fermez la discussion de cette façon
bon vent!
amicalement.
paul.
 
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malek

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surderien à dit:
il faudrait demander au client traité et a un docteur!
car il s'agit d'hypnose médicale.

pour traiter un membre fantôme j'ai un plan....
toujours le même

la méthode que j'utilise !
elle est absolument universelle!



Pour l'apprendre il faut tout reconsidérer


Donc...pour l'utiliser il suffit simplement que çà soit tout sauf une technique d'hypnose...


Toujours OK in the paradoxal system


= Just use the metamodel = universal model


Cet exemple montre qu'une personne qui a perdu son bras, qui a été amputée du bras a trés mal de sentir qu'elle n'a plus son bras, qu'elle est manchot et que toute sa vie elle s'y prendra comme un manche !

Ce systeme magique à pas cher permet par le miroir, ( mirror miracle of self hypnosis vision) que son bras restant peut se dédoubler en deux bras que la personne voit dans ce miroir : elle a son deuxième bras dans le dédoublement de l'utilisation de celui qui reste !

Avec un seul bras elle prend conscience qu'elle a toujours le potentiel de l'uusage des deux

Le handicap devient le moteur de son futur : pas besoin de deux bras pour... se réaliser...qu'elle en a toujours le potentiel de deux en un !

Le métamodèle thérapeutiques est une boite à outils contenant une panoplie d'outils, changer d'outil comme de costume était le message de Milton Model qu'on a beaucoup compliqué...

En inventant chacun son outil on a beaucoup d'outils et la boite déborde et n'est plus transportable


Alors que la clef universelle de Paulelie était le seul outil de Milton !


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J"aime aussi car c'est aussi intéressant que la biologie totale...

Jean-michel :roll:

Je ne suis que depuis peu sur ce forum mais je me rends de plus en plus vite que ça flaire la secte avec monsieur paulelie, toutes les hypnoses sont vetustes seule l'hypnose de monsieur paulelie est bonne , alors qu'en réalité il n'y a qu'une seule hypnose avec differentes techniques...par ci il dit qu'il ne veut aucune critique ou commentaire par là il ne cesse de faire des critiques,des commentaires et des avis...et ce qu'il faut noter surtout en tout cela c'est la phrase à laquelle il ne cesse de cherche une traduction plus élegante" if you cant change your mind , are you sure you have one=si vous ne changez pas d'avis , etes vous surs d'en avoir un" en réalité cette phrase est facile à traduire, mais le but recherhé est autre; en la traduisant, chacun de nous a le sens mais il passe comme traduction est non un "message subliminal" ( essayez de vous documenter sur le "message subliminal), c'est à dire quand bien même l'on ait une idée sur l'hypnose, ses limites, son cadre, ses fins etc en lisant ce "message subliminal" on va être inconsciemment amener à suivre l'avis de monsieur paulelie sur tout ce qu'il dit, et ce qu'il dit c'est un amas de conneries en vue d'avoir le plus possible de patients même ceux souffrants de bégaiement, enfin comme il dit sa technique est universelle, mondiale voire planetaire et outre-tombe...c'est tout à l'image du language des gourous, des scientologues ou encore comme "Die Neue Germanische Medezin" qui prented guérir toutes les maladies en se basant sur les 5 lois biologiques formulées par Geerd Ryke Hamer...ca sent la secte ce forum...ou tout simplement un forum d'abrutissement dirigé par le monsieur je-sais-tout paulelie, abrutir pour avoir plus de patients,plus d'argent...salutations.

PS:
je maintiens toujours que le bégaiement,tout comme les extrasystoles, la myopie,la fracture du fumur ou l'oclusion intestinale, ne setraite pas par l'hypnose?
 
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il faudrait demander au client traité et a un docteur!
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elle est absolument universelle!



Pour l'apprendre il faut tout reconsidérer


Donc...pour l'utiliser il suffit simplement que çà soit tout sauf une technique d'hypnose...


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= Just use the metamodel = universal model


Cet exemple montre qu'une personne qui a perdu son bras, qui a été amputée du bras a trés mal de sentir qu'elle n'a plus son bras, qu'elle est manchot et que toute sa vie elle s'y prendra comme un manche !

Ce systeme magique à pas cher permet par le miroir, ( mirror miracle of self hypnosis vision) que son bras restant peut se dédoubler en deux bras que la personne voit dans ce miroir : elle a son deuxième bras dans le dédoublement de l'utilisation de celui qui reste !

Avec un seul bras elle prend conscience qu'elle a toujours le potentiel de l'uusage des deux

Le handicap devient le moteur de son futur : pas besoin de deux bras pour... se réaliser...qu'elle en a toujours le potentiel de deux en un !

Le métamodèle thérapeutiques est une boite à outils contenant une panoplie d'outils, changer d'outil comme de costume était le message de Milton Model qu'on a beaucoup compliqué...

En inventant chacun son outil on a beaucoup d'outils et la boite déborde et n'est plus transportable


Alors que la clef universelle de Paulelie était le seul outil de Milton !


Juré, j'arrête l'hypnose et je me fais mécano pour soigner les autos !


J"aime aussi car c'est aussi intéressant que la biologie totale...

Jean-michel :roll:

Je ne suis que depuis peu sur ce forum mais je me rends de plus en plus vite compte que ça flaire la secte avec monsieur paulelie, toutes les hypnoses sont vetustes seule l'hypnose de monsieur paulelie est bonne , alors qu'en réalité il n'y a qu'une seule hypnose avec differentes techniques...par ci il dit qu'il ne veut aucune critique ou commentaire par là il ne cesse de faire des critiques,des commentaires et des avis...et ce qu'il faut noter surtout en tout cela c'est la phrase à laquelle il ne cesse de cherche une traduction plus élegante" if you cant change your mind , are you sure you have one=si vous ne changez pas d'avis , etes vous surs d'en avoir un" en réalité cette phrase est facile à traduire, mais le but recherhé est autre; en la traduisant, chacun de nous a le sens mais il passe comme traduction est non un "message subliminal" ( essayez de vous documenter sur le "message subliminal), c'est à dire quand bien même l'on ait une idée sur l'hypnose, ses limites, son cadre, ses fins etc en lisant ce "message subliminal" on va être inconsciemment amener à suivre l'avis de monsieur paulelie sur tout ce qu'il dit, et ce qu'il dit c'est un amas de conneries en vue d'avoir le plus possible de patients même ceux souffrants de bégaiement, enfin comme il dit sa technique est universelle, mondiale voire planetaire et outre-tombe...c'est tout à l'image du language des gourous, des scientologues ou encore comme "Die Neue Germanische Medezin" qui prented guérir toutes les maladies en se basant sur les 5 lois biologiques formulées par Geerd Ryke Hamer...ca sent la secte ce forum...ou tout simplement un forum d'abrutissement dirigé par le monsieur je-sais-tout paulelie, abrutir pour avoir plus de patients,plus d'argent...salutations.

PS:
je maintiens toujours que le bégaiement,tout comme les extrasystoles, la myopie,la fracture du fumur ou l'oclusion intestinale, ne setraite pas par l'hypnose?
 
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la méthode que j'utilise !
elle est absolument universelle!



Pour l'apprendre il faut tout reconsidérer


Donc...pour l'utiliser il suffit simplement que çà soit tout sauf une technique d'hypnose...


Toujours OK in the paradoxal system


= Just use the metamodel = universal model


Cet exemple montre qu'une personne qui a perdu son bras, qui a été amputée du bras a trés mal de sentir qu'elle n'a plus son bras, qu'elle est manchot et que toute sa vie elle s'y prendra comme un manche !

Ce systeme magique à pas cher permet par le miroir, ( mirror miracle of self hypnosis vision) que son bras restant peut se dédoubler en deux bras que la personne voit dans ce miroir : elle a son deuxième bras dans le dédoublement de l'utilisation de celui qui reste !

Avec un seul bras elle prend conscience qu'elle a toujours le potentiel de l'uusage des deux

Le handicap devient le moteur de son futur : pas besoin de deux bras pour... se réaliser...qu'elle en a toujours le potentiel de deux en un !

Le métamodèle thérapeutiques est une boite à outils contenant une panoplie d'outils, changer d'outil comme de costume était le message de Milton Model qu'on a beaucoup compliqué...

En inventant chacun son outil on a beaucoup d'outils et la boite déborde et n'est plus transportable


Alors que la clef universelle de Paulelie était le seul outil de Milton !


Juré, j'arrête l'hypnose et je me fais mécano pour soigner les autos !


J"aime aussi car c'est aussi intéressant que la biologie totale...

Jean-michel :roll:

Je ne suis que depuis peu sur ce forum mais je me rends de plus en plus vite compte que ça flaire la secte avec monsieur paulelie, toutes les hypnoses sont vetustes seule l'hypnose de monsieur paulelie est bonne , alors qu'en réalité il n'y a qu'une seule hypnose avec differentes techniques...par ci il dit qu'il ne veut aucune critique ou commentaire par là il ne cesse de faire des critiques,des commentaires et des avis...et ce qu'il faut noter surtout en tout cela c'est la phrase à laquelle il ne cesse de cherche une traduction plus élegante" if you cant change your mind , are you sure you have one=si vous ne changez pas d'avis , etes vous surs d'en avoir un" en réalité cette phrase est facile à traduire, mais le but recherhé est autre; en la traduisant, chacun de nous a le sens mais il passe comme traduction est non un "message subliminal" ( essayez de vous documenter sur le "message subliminal), c'est à dire quand bien même l'on ait une idée sur l'hypnose, ses limites, son cadre, ses fins etc en lisant ce "message subliminal" on va être inconsciemment amener à suivre l'avis de monsieur paulelie sur tout ce qu'il dit, et ce qu'il dit c'est un amas de conneries en vue d'avoir le plus possible de patients même ceux souffrants de bégaiement, enfin comme il dit sa technique est universelle, mondiale voire planetaire et outre-tombe...c'est tout à l'image du language des gourous, des scientologues ou encore comme "Die Neue Germanische Medezin" qui prented guérir toutes les maladies en se basant sur les 5 lois biologiques formulées par Geerd Ryke Hamer...ca sent la secte ce forum...ou tout simplement un forum d'abrutissement dirigé par le monsieur je-sais-tout paulelie, abrutir pour avoir plus de patients,plus d'argent...salutations.

PS:
je maintiens toujours que le bégaiement,tout comme les extrasystoles, la myopie,la fracture du fumur ou l'oclusion intestinale, ne setraite pas par l'hypnose?
 
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paulelie à dit:
cher monsieur malek, vous vous enfoncez dans l'insulte et le deni....c'est votre choix.
cela ne changera pas les 50 ans d'expériences et de pratique d'hypnotherapie documentées sur lesquelles je m'appuie!
cher monsieur jean michel.
puisque vous le dites:
>>>>>Juré, j'arrête l'hypnose et je me fais mécano pour soigner les autos !

c'est sans doute ce que vous devriez faire!
et comme vous fermez la discussion de cette façon
bon vent!
amicalement.
paul.


cher monsieur paulelie loin de moi les insultes, si vous avez entendu mes commentaires comme telles je vous prie de bien vouloir m'en excuser, ce n'etait nullment mon intention....mais j'attends toujours de vous une preuve que le bégaiment se traite par l'hypnose et j'espere que vous n'allez pas entendre cette demande comme une insulte, donnez moi le nom ne serait-ce qu'un seul hypnotiseur ou hypnotherapeute depuis Mesmer jusqu'à Erickson qui ait traité ou guéri le bégaiement par l'hypnose...j'attend toujours monsieur et sans rancune aucune...salutations
 
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cher monsieur malek, vous vous enfoncez dans l'insulte et le deni....c'est votre choix.
cela ne changera pas les 50 ans d'expériences et de pratique d'hypnotherapie documentées sur lesquelles je m'appuie!
cher monsieur jean michel.
puisque vous le dites:
>>>>>Juré, j'arrête l'hypnose et je me fais mécano pour soigner les autos !

c'est sans doute ce que vous devriez faire!
et comme vous fermez la discussion de cette façon
bon vent!
amicalement.
paul.


cher monsieur paulelie loin de moi les insultes, si vous avez entendu mes commentaires comme telles je vous prie de bien vouloir m'en excuser, ce n'etait nullment mon intention....mais j'attends toujours de vous une preuve que le bégaiment se traite par l'hypnose et j'espere que vous n'allez pas entendre cette demande comme une insulte, donnez moi le nom ne serait-ce qu'un seul hypnotiseur ou hypnotherapeute depuis Mesmer jusqu'à Erickson qui ait traité ou guéri le bégaiement par l'hypnose...j'attend toujours monsieur et sans rancune aucune...salutations
 
Paul Elie

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lacaune
je vous en donnerai 3 comme exemples mais vous pouvez demander aux hypnothrapeutes qui pratiquent et fréquentent ce forum!
don mottin
gerald kein
dr cal banyan
et moi!
 
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cher monsieur malek, vous vous enfoncez dans l'insulte et le deni....c'est votre choix.
cela ne changera pas les 50 ans d'expériences et de pratique d'hypnotherapie documentées sur lesquelles je m'appuie!
cher monsieur jean michel.
puisque vous le dites:
>>>>>Juré, j'arrête l'hypnose et je me fais mécano pour soigner les autos !

c'est sans doute ce que vous devriez faire!
et comme vous fermez la discussion de cette façon
bon vent!
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cher monsieur paulelie loin de moi les insultes, si vous avez entendu mes commentaires comme telles je vous prie de bien vouloir m'en excuser, ce n'etait nullment mon intention....mais j'attends toujours de vous une preuve que le bégaiment se traite par l'hypnose et j'espere que vous n'allez pas entendre cette demande comme une insulte, donnez moi le nom ne serait-ce qu'un seul hypnotiseur ou hypnotherapeute depuis Mesmer jusqu'à Erickson qui ait traité ou guéri le bégaiement par l'hypnose. Je ne doute pas que vous ...j'attend toujours monsieur et sans rancune aucune...salutations


cher monsieur paulelie loin de moi les insultes, si vous avez entendu mes commentaires comme telles je vous prie de bien vouloir m'en excuser, ce n'etait nullment mon intention....mais j'attends toujours de vous une preuve que le bégaiment se traite par l'hypnose et j'espere que vous n'allez pas entendre cette demande comme une insulte, donnez moi le nom ne serait-ce qu'un seul hypnotiseur ou hypnotherapeute depuis Mesmer jusqu'à Erickson qui ait traité ou guéri le bégaiement par l'hypnose. je ne doute pas que vous vous apuyiez sur 50 ans de documentation d'hypnotherapie, la quantité en papier ou en temps ne compte pas trop dans ce sujet, ce qui importe c'est une toute petite et miniscule, voire microscopique preuve que l'hypnose gueri le bégaiement..j'attend toujours monsieur et sans rancune aucune...salutations
 
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paulelie à dit:
cher monsieur malek, vous vous enfoncez dans l'insulte et le deni....c'est votre choix.
cela ne changera pas les 50 ans d'expériences et de pratique d'hypnotherapie documentées sur lesquelles je m'appuie!
cher monsieur jean michel.
puisque vous le dites:
>>>>>Juré, j'arrête l'hypnose et je me fais mécano pour soigner les autos !

c'est sans doute ce que vous devriez faire!
et comme vous fermez la discussion de cette façon
bon vent!
amicalement.
paul.


cher monsieur paulelie loin de moi les insultes, si vous avez entendu mes commentaires comme telles je vous prie de bien vouloir m'en excuser, ce n'etait nullment mon intention....mais j'attends toujours de vous une preuve que le bégaiment se traite par l'hypnose et j'espere que vous n'allez pas entendre cette demande comme une insulte, donnez moi le nom ne serait-ce qu'un seul hypnotiseur ou hypnotherapeute depuis Mesmer jusqu'à Erickson qui ait traité ou guéri le bégaiement par l'hypnose. je ne doute pas que vous vous apuyiez sur 50 ans de documentation d'hypnotherapie, la quantité en papier ou en temps ne compte pas trop dans ce sujet, ce qui importe c'est une toute petite et miniscule, voire microscopique preuve que l'hypnose gueri le bégaiement..j'attend toujours monsieur et sans rancune aucune...salutations


cher monsieur paulelie loin de moi les insultes, si vous avez entendu mes commentaires comme telles je vous prie de bien vouloir m'en excuser, ce n'etait nullment mon intention....mais j'attends toujours de vous une preuve que le bégaiment se traite par l'hypnose et j'espere que vous n'allez pas entendre cette demande comme une insulte, donnez moi le nom ne serait-ce qu'un seul hypnotiseur ou hypnotherapeute depuis Mesmer jusqu'à Erickson qui ait traité ou guéri le bégaiement par l'hypnose. Je ne doute pas que vous ...j'attend toujours monsieur et sans rancune aucune...salutations


cher monsieur paulelie loin de moi les insultes, si vous avez entendu mes commentaires comme telles je vous prie de bien vouloir m'en excuser, ce n'etait nullment mon intention....mais j'attends toujours de vous une preuve que le bégaiment se traite par l'hypnose et j'espere que vous n'allez pas entendre cette demande comme une insulte, donnez moi le nom ne serait-ce qu'un seul hypnotiseur ou hypnotherapeute depuis Mesmer jusqu'à Erickson qui ait traité ou guéri le bégaiement par l'hypnose. je ne doute pas que vous vous apuyiez sur 50 ans de documentation d'hypnotherapie, la quantité en papier ou en temps ne compte pas trop dans ce sujet, ce qui importe c'est une toute petite et miniscule, voire microscopique preuve que l'hypnose gueri le bégaiement..j'attend toujours monsieur et sans rancune aucune...salutations
 
zorro

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Salat malek,

En haut à droite de tes posts se trouve un rectangle dans lequel est écrit "éditer". Tu peux donc (et si tes adversaires t'en laissent le temps) éliminer tes messages en double, triple ou quadruple exemplaire, et ceci, afin que nous les spectateurs puissions jouir de la joute sans les temps morts. :wink:
 
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malek

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c'est pas aussi compliqué que ça donner un exemple, et c'est à vous que je demande un exemple pas aux autres messieurs que vous me citez...dites moi comment vous vous avez gueri un bégaiement...c'est pas très compliqué, vous prétendez pouvoir guérir le bégaiement par l'hypnose je vous demande de me donner un exemple concrèt que vous avez traité...me renvoyer à d'autres messieurs n'est pas un exemple , encore moins une explication...voyez-y par la même occasion que ce n'est pas moi qui ai dit des betises(je vous renvois à votre tout premier message) mais c'est vous dites des bêtises...
 
Paul Elie

Paul Elie

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lacaune
pour monsieur malek.
un petit cadeau!
ecscipt est un premier jet et il est loin d'etre parfait,
je travailles dessus!

Le bégaiement.
Nous assumons a partir d'un savoir basé sur de longues années d'expérience qui nous dit: que la plupart des afflictions ont une racine traumatique légère ou lourde, dans le passé ou le client était dans une situation accompagnée (il n'était pas seul).
Nous appellerons le client « victime « et le ou les contrevenants, les initiateurs « la mere ».
Pour faciliter la compréhension de l'intervention.
La régression nous confirme ce paramètre quand le client ne bégaie plus dans la transe...
il nous faut donc trouver cet événement et le faire revivre par le client. et commander le changement de rôle, faire vivre l'événement dans la peau de l'initiateur.
Cette démarche est essentielle pour préparer la victime au pardon .
La compréhension par d'autres yeux de l'evenemnt, ouvrir l'esprit a d'autres possibilités pour cautionner plus facilement et faire accepter une autre solution.
Donc premièrement il est très important de préparer le client et de lui dire ce qui va se passer et de demander le permission pour le toucher,et de lui dire que probablement il va trouver d'autres raisons au fur a mesure qu'il va rentrer en transe et que nous avons un accord de continuer jusqu'à la résolution du problème.
Vous verrez en suivant le script comment vous devez préparer votre client.
L'induction doit être rapide , et on amenée très rapidement le client dans un état profond que vous testez

la regression:

puis dite revenez la première fois dans le temps ou vous avez commencer a baigayé.
Ou êtes vous?
Quel age avez vous?
( et vous continuez en appelant le client par son age ex:6)
6 Jour ou nuit?
6 Seul ou accompagné?
6 Qui est la.?
6 Que se passes t-il?
Vous allez récolter beaucoup d'information que vous allez utiliser...
puis demandez:
6 ce que vous ressentez est ce nouveau ou familier?
Souvent la réponse est familier ce qui vous dit que vous n'êtes pas encore a la racine.
Reprenez le cours de la régression et demandez au client de partir dans le temps
quand il était plus jeune avant .
revenez la première fois dans le temps ou vous avez commencer a baigayer
Ou êtes vous?
Quel age avez vous?
( et vous continuez en appelant le client par son age ex:4)
4 Jour ou nuit?
4 Seul ou accompagné?
4Qui est la.?
4 Que se passes t-il?
jusqu'à ce qu'il réponde nouveau a la question:
4 ce que vous ressentez est ce nouveau ou familier?








La compréhension de l'événement
:
Quand vous y êtes...dites :
je suis la « la mère » je suis la pour t'écouter ne peut pas parler ni juger.
Exprime ta colère , explique moi ce qu'il se passes.
Demandez lui ce qu'il ressent et guidez le pour exacerber le sentiment
mettez un coussin dans votre main et demandez au client de fermer son poing et de frapper le coussin en mettant son énergie a exprimer le sentiment.
Diriger le poing et le coup et insister en ayant une voix plus forte et autoritaire pour exprimer fortement la colère.
Après une minute ou 2
arrêter le procédé en demandant au client de se concentrer sur sa respiration.
Puis devenez l'avocat du diable pour trouver une justification a l'événement et le neutraliser.
Négociation et explication des actions de la « la mère ».

pour une préparation au pardon.
Maintenant je vais vous dire un petit secret, les gens qui vous ont fait du mal, ont leur propres problème et vous n'y pouvez rien , la seule chose que vous pouvez faire c'est de comprendre et de pardonner ne vous demande pas de les aimer ou de changer , je vous dit que c'est la seule solution pour trouver la paix.( continuer jusqu'à ce que le client s'apaise et que vous voyez physiquement que le subconscient a accepté le concept).

Demander le pardon sincèrement.
En insistant sur le fait que vous ne demandez pas de les juger ni de les aimer.
Seulement de les pardonner sincèrement.

Tester l'effet du pardon en progressant le client.

Suggérer le pas en avant
et les progrès que le client vient de faire dans la compréhension de l'événement et que maintenant dans le présent il n'est plus « nécessaire » de bégayer

Il est parfois nécessaire ,souvent, de faire un nettoyage ,des effets secondaires du style de vie que l'affliction conditionne.
En plaçant le client dans un dôme couvert de papier » notes de couleur rouge pour les négatifs et blanc positifs
demandez au client d'arracher les rouge et de les précipitez dans un trou qui les aspire profond
répétez la demande jusqu'à ce que le dôme soit couvert de papier s blanc..
émergez le client en suggérant un renforcement de la confiance de soi.











Questions:
Je viens de parcourir votre script, j'ai une question:
dans le cas que j'ai traité le client ne savait pas d'ou venait son bégaiement.
Suite à une régression dans le temps il s'avère que son problème venait suite à un accident ou il avait involontairement, en jouant avec une hache, coupé le doigts de son frère et que suite à cela il avait fugué de chez lui toute la journée, il avait 4 ans; je crois me souvenir.
Reponse:
la culpabilité , est un sentiment qui reviens dans toutes les interactions ou il y a victimes et initiateurs , car en fait le subconscient ne fait pas la différence en enregistrant le trauma de qui est coupable, le subconscient ne juge pas!
quelque part l'initiateur est aussi une victime!

Questions:
Ma question comment fait on dans ce cas ou le client est victime mais aussi initiateur.
Reponse:
il faut ne pas juger, et traiter la victime comme initiateur et l'initiateur comme une victime car en fait pour le subconscient c'est la même chose

Questions:
Personne ne lui en a voulu et pour preuve il avait oublié cet accident et personne ne lui en avait reparlé pourtant son bégaiement c'est manifesté suite à cet accident.
Reponse:
ce n'est pas vraiment une preuve! vous ne devez pas essayer de chercher de trouver des raisons car elle vous mettrons dans la confusion, ce que nous faisons pendant la régression est une sorte d'investigation pour découvrir le sentiment,l'événement qui a tout déclenché. il faut dans la thérapie de la chaise ,donner au client les raisons pour pardonner ,
mais le client doit se pardonner lui même comme si il pardonnait a quelqu'un qui ne serait pas lui même( son subconscient qui finalement lui est étranger!)puisque il ne ^peut pas le contrôler!

Questions:
Comment se pardonner à soi même ?
Reponse:
il faut mettre le client sur la chaise en face, pour qu'il admettent dans un premier temps la culpabilité comme le problème principal.
il sera alors plus facile de lui demander de se pardonner a lui meme
 
castorix

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Bonjour,

Je voudrais répondre à malek à propos de la question qu'il pose :

malek à dit:
je maintiens toujours ce que j'ai dit et écrit, à savoir que l'on ne peut guerir le bégaiement avec l'hypnose
(...)
donnez moi le nom ne serait-ce qu'un seul hypnotiseur ou hypnotherapeute depuis Mesmer jusqu'à Erickson qui ait traité ou guéri le bégaiement par l'hypnose.
En voici un exemple, tiré des Collected papers, tome III, p. 68-70 (édition française, chez SATAS, Bruxelles ; 54 euros).

Lorsqu'il était étudiant en médecine, MHE fut sollicité par un camarade pour traiter par hypnose son problème de bégaiement. (N.B. : Milton H. Erickson est né en 1901, il devait donc avoir entre 25 et 30 ans).
L'étudiant avait suivi un traitement orthophonique pendant quelques années, mais avec une aggravation hélas.
MHE hésitait à se charger du cas car il devait quitter l'état deux semaines plus tard ; mais l'étudiant insista.
MHE découvrit qu'en état de transe profonde il s'exprimait de façon parfaitement normale ; et par ailleurs développait une amnésie de la transe. MHE lui suggéra de passer l'été à transférer sa capacité de parler normalement de son inconscient à son conscient ; quant à son bégaiement, il le rangerait dans son inconscient. Trente ans plus tard, MHE rencontra ce patient à une conférence. Il était maintenant psychanalyste, et n'avait aucun souvenir du traitement par hypnose. Cependant, il se rappelait bien avoir sollicité l'aide de MHE pour son bégaiement. Il lui raconta alors que son problème avait disparu spontanément l'été qui avait suivi cette requête. Il avait essayé d'aborder le sujet au cours de sa propre analyse, mais ce point était toujours resté flou.

(ce même cas est cité par William H. O'Hanlon et A.L. Hexum dans leur ouvrage : Thérapies hors du commun)

Je tiens à votre disposition un autre cas de patient qui a consulté Erickson, pour son bégaiement, après avoir fait appel à un psychanalyste durant cinq années de traitement (hélas en vain). Vous pourriez cependant avoir le plaisir de le découvrir vous-même, dans les pages 92-93 du tome IV des Collected papers, traduction française.

Pour ceux qui le souhaitent j'en ai 3 autres également publiés, à leur disposition. Le plus intrigant est ce cas d'un jeune américain d'origine libanaise, âgé de 17 ans, dont le bégaiement avait été amélioré de 90 % en deux jours après sa rencontre avec MHE (toujours lui) et qui ensuite finit de s'améliorer.
 
HypnoCoach

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bry sur marne (94)
MERCI POUR VOS PRECISIONS CASTORIX QUI S AJOUTE A DE NOMREUSES PRECISIONS QUE VOUS APPORTEZ DEJA.
(J'espère que vous vous aidez d'un scanner de temps en temps. :D )

MALEK , VOUS AVEZ MAINTENANT UN EXEMPLE CONCRET.

VOUS AVIEZ SANS DOUTE DE TRES BONNES BASES EN HYPNOSE POUR VOUS PERMETTRE D AFFIRMER DE FACON SI CATEGORIQUE VOTRE POINT DE VUE. N EST CE PAS ?

DISONS QUE MAINTENANT EN PARLANT DE CE SUJET LA VOUS SAUREZ SUR QUOI VOUS BASER A L AVENIR.

CE QUI EST ENNUYEUX C EST SURTOUT POUR CEUX QUI SONT CONCERNES PAR CE PROBLEME QUI SE SERAIENT FERMES UNE PORTE SI CE POST S ETAIT ARRETE SUR VOS PROPOS SI AFFIRMATIFS.
 
chadoc

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Mr Malek, vous avez dit aussi: “...ça sent la secte ce forum...”
Alors pincez vous bien le nez car on peut aussi bien dire que la psychanalyse fonctionne comme une secte, les croyances sur lesquelles elle se fonde étant auto-référées
http://www.doctissimo.fr/html/psycholog ... aulhac.htm
Quant à la pensée opératoire de Pierre MARTY que vous évoquez à propos des migraines, c'est le genre d'étiquette contre-thérapeutique que l'on peut mettre de côté quand on apprend l'hypnose. Il me semble bien plus aidant de présupposer que celui que l'on veut aider possède en lui toutes les ressources pour guérir que de projeter sur lui une prétendue incapacité à mentaliser et symboliser correctement.
 
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malek

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pour monsieur paulelie:

Nous étudierons comment ce symptôme de bégaiement est la représentation de l’enfant mis en place d’objet de la mère là où le père n’introduit pas une fonction de mise à distance du désir de la mère.

Le symptôme de l’enfant peut, dit Lacan, « représenter la vérité du couple familial [1] » et « se trouver en place de répondre à ce qu’il y a de symptomatique dans la structure familiale [2] ». Je propose d’illustrer, à travers le cas d’un jeune garçon, âgé de 8 ans, amené en consultation par ses parents pour un bégaiement, comment ce symptôme est la représentation de l’enfant mis en place d’objet de la mère, là où le père n’introduit pas une fonction de médiation, de mise à distance du désir de la mère sur l’enfant.
Quand, dans le cadre d’une consultation médico-psycho-pédagogique, je rencontre, pour la première fois, Peter accompagné par ses parents, il est scolarisé en ce2. Dès la maternelle, il est suivi pendant trois ans par une orthophoniste, en privé, pour un retard de langage, puis pour des problèmes de dyslexie qui se sont résolus, tandis qu’un bégaiement, apparu en cp, persiste actuellement et motive la nouvelle démarche chez le psychanalyste. Une psychologue, consultée en ville auparavant, aurait situé les troubles en réaction à l’autorité. La mère impliquée, semble-t-il, par ce rapprochement, ajoute : « Je suis exigeante » y associant la maîtresse de cp qui, dit-elle, était très sévère.
Le père, qui se tient apparemment plus en retrait (« je ne suis pas souvent là », dit-il), interroge autrement le symptôme de son fils : d’après lui, Peter souffre de timidité et craint les moqueries des autres. Le père signale toutefois que lors de l’entretien avec la psychologue, Peter n’a pas bégayé, ce à quoi Peter rétorque : « Si une fois », montrant par là qu’il tient à son symptôme ; il n’est pas prêt d’y céder si vite.
Au rendez-vous suivant, Peter est accompagné de sa maman qui, distante, fuyante, centre ses propos sur la question scolaire et son insatisfaction concernant l’horaire proposé. Elle ne supporte pas que Peter rate l’école alors qu’il est déjà « si stressé ». D’emblée, « ça ne colle pas ». On ne répond pas à ses exigences bien qu’elle se présente sous ce trait : « Je suis exigeante. »
En présence de sa mère, Peter se tait. Apparemment, le fait de manquer ou non une heure d’école n’est pas son problème. Reçu seul, il ne parle pas davantage ; il répond aux questions posées par une ou deux phrases courtes émaillées de « je ne sais pas » qui l’arrêtent, si je tente d’obtenir quelques informations ou précisions supplémentaires. Il ne bégaye pas mais son discours est pauvre, hésitant, peu fluide. Passif, statique, Peter ne cherche pas non plus à utiliser le matériel mis à sa disposition et refuse de dessiner. En revanche, les variations fréquentes de son teint, oscillant sans cesse entre pâleur et rougissement, laissent apparaître une émotivité à fleur de peau, en deçà des mots. Par ailleurs, ses choix d’activités extrascolaires l’orientent quasi exclusivement vers ce qui ne le confronte pas directement aux autres : le vélo, la gymnastique, la pêche avec son frère aîné dans la propriété de son grand-père maternel où il se rend chaque été.
La semaine suivante, Peter vient avec son père qui, en dépit de ses activités professionnelles, a pu se libérer. Allant droit au but, il demande que « j’aide son fils ». Or, là encore, ne disposant pas d’une technique, d’un savoir tout prêt qui aurait mis en confiance les parents, je ne peux répondre où ils m’attendent. Mais n’est-ce pas dans cet écart qu’un espace se creusera où pourront venir se loger les dires de l’enfant et de ses parents ?
Évitement des conflits chez le père
De fait, le père émet ses hypothèses. Pour lui, « Peter est un enfant adorable, serviable, gentil, mais, comme lui, il redoute les conflits, a peur de l’échec et de se faire gronder ». Si Peter n’est pas franchement d’accord avec les propos de son père qu’il module par de petites phrases telles que : « Parfois oui, parfois non », il ne peut toutefois s’exprimer davantage, comme s’il était bloqué… Qu’est-ce qui le retient ? Que contient-il ? Est-ce de l’agressivité pour ce père trop proche, identifié à ses problèmes ? Freud démontre que dans la phobie du petit garçon, la motion pulsionnelle refoulée est une motion hostile envers le père. Refoulée, elle est transformée. À la place de l’agression contre le père vient celle contre le sujet lui-même. L’analyse du petit Hans [3], en suivant à la trace la provenance de l’idée du cheval qui mord, en fournit la preuve. Hans voit tomber un cheval. Or, il a vu tomber et se blesser un camarade de jeu avec qui il a joué au cheval. À partir de là, Hans construit la motion de souhait suivante : « Puisse le père tomber et se faire mal comme le cheval et le camarade [4]. » La visée d’éliminer le père est équivalente à la motion meurtrière du complexe d’Œdipe. Hans aime sa mère et devrait avoir une haine meurtrière contre son père. Mais au lieu de cela survient l’angoisse d’être agressé. Or, pour Hans qui n’a pas peur de son père, la peur se reporte sur le cheval, substitut du père, qui va mordre. « Ce déplacement, dit Freud, instaure ce qui peut revendiquer le nom de symptôme [5]. » De plus, parallèlement au remplacement du père par le cheval, il n’y a plus trace de l’attachement de Hans pour sa mère. Mais cette phobie conduit Hans à l’empêchement de sortir.
Ici, le bégaiement (retenir les mots, buter, inhiber l’expression orale) a-t-il le statut d’une inhibition phobique avec ce double mouvement pulsionnel : agression sadique contre le père, puis inversion et adoption par l’enfant de la position passive tendre envers le père comme lui trop gentil, n’aimant pas élever la voix ? « Je pense que ça ne sert à rien, je préfère trouver d’autres solutions ; je n’aime pas foncer dans le mur. » Réfugié dans l’évitement, le père ne gronde pas mais cajole. En effet, Peter, dernier d’une fratrie de trois, s’attire les « chouchouteries » de tous, y compris de son père. En revanche, hors de la présence de ses parents, Peter confie sa peur de se faire gronder par sa mère, quand il écrit mal, et de devoir recommencer. Entre un père qui a le phallus mais craint de le perdre en montrant qu’il l’a et une mère qui ne l’a pas mais, en grondant, fait croire qu’elle l’a, l’enfant est coincé dans le filet de la problématique de ses parents.
Comment démêler cet embroglio dans lequel l’enfant se trouve empêtré ?
Dans le cas du petit Hans, l’agression contre le père se retourne en angoisse que le cheval le morde, angoisse qui peut se compléter de celle que le cheval le castre, lui arrache l’organe génital en le mordant. L’angoisse est liée à la menace de castration. À quel moment surgit-elle ? Au moment, dit Freud, où le petit garçon rencontre la castration de sa mère.
Dans les Trois essais sur la sexualité [6], Freud met en évidence trois temps :
premier temps : les petites filles et les petits garçons partagent cette croyance que tous ont un pénis ;
deuxième temps : la découverte que quelques-unes ne l’ont pas est niée chez le petit garçon ;
troisième temps : le petit garçon découvre que sa mère n’a pas le phallus. Cette découverte est imputée au père. Il en déduit que lui aussi peut être frappé de la castration. Il renonce ainsi à sa mère pour échapper à ce risque et sort de l’œdipe par identification au père. La reconnaissance que ce n’est pas lui, petit garçon, qui l’a, mais le père, suppose un renoncement à l’avoir pour pouvoir le donner ultérieurement. Pour l’avoir, il faut renoncer à l’avoir. Ainsi, pour le petit garçon, être aimé du père, cajolé, en position passive, peut avoir comme conséquence le risque de perdre ses organes génitaux qui le différencient de la femme. Dans la phobie, le moteur du refoulement est l’angoisse de castration.
Lors des quelques séances qui vont suivre l’entretien avec le père, Peter arrive à deux reprises avec le pouce bandé. Par ailleurs, il fait allusion à son vélo cassé qu’il ne sait pas réparer. Il mentionne également son dégoût pour la construction d’un cerf-volant dont le bâton central est cassé. On note d’autre part que le bégaiement est apparu au moment particulièrement difficile pour lui de l’apprentissage de la lecture et de l’écriture qui, très probablement, l’a confronté à l’horreur du trou, en l’occurrence ici le trou dans le savoir. On relève aussi que Peter bégaye en séance lorsqu’il se risque à enchaîner des phrases les unes après les autres, donnant libre cours à sa pensée. Il bute alors sur chaque mot, il coupe… comme si quelque chose lui interdisait de laisser dire… Ces éléments indiquent sans doute un rapport à la castration voilée, masquée.
Une brèche s’ouvre pour la mère
Après les congés d’été, nouveau rebondissement, la maman vient seule à la consultation. Elle se plaint de ce que « ça ne colle toujours pas entre elle et moi ». « Je n’ai pas le feeling avec vous, vous ne me comprenez pas. Je ne vous ressens pas, je n’ai pas le contact, vous ne vous mettez pas à ma place. J’attendais que vous me donniez des conseils, que vous me disiez ce que je dois faire, et vous ne me dites rien. »
À partir de cette inadéquation – je ne suis pas la thérapeute qu’elle a imaginée pour son fils – un espace se creuse encore mais avec risque de rupture. Elle est prête à demander à rencontrer quelqu’un d’autre. Une brèche s’ouvre toutefois sur sa souffrance. Avec beaucoup d’émotion, elle livre la question qui en somme motive sa demande. « J’ai peur de parler », dit-elle. « Je suis très timide ; peut-être que Peter est comme moi. J’en ai souffert. C’est pour cela que je veux l’aider. Je viens pour son bien. »
Nous voyons comment Peter est mis là en place de répondre au manque de sa mère, l’assignant à être comme elle : « Je le sens comme moi », dit-elle. L’enfant n’est pas séparé d’elle par le père qui, par sa conduite d’évitement des conflits, ne remplit pas sa fonction d’interdire l’enfant à sa mère. En n’établissant pas une médiation entre l’identification et la part prise, par l’enfant, dans le désir de la mère, le père laisse l’enfant ouvert à toutes les prises fantasmatiques et exposé au risque de devenir objet de la mère. Peter, quant à lui, trouve comme solution au symptôme familial le bégaiement qui dérange tellement ses parents qu’ils décident de venir en parler. La maman révèle ainsi des éléments importants de la petite enfance de son fils.
Le cri : risque de danger de mort
À sa naissance, Peter souffre de quatre hernies inguinales de la paroi abdominale. Il fallait absolument, dit sa mère, qu’il ne crie pas. Au lieu d’être signe de vie hors du corps maternel et de matérialiser la séparation entre l’enfant et sa mère, le cri résonne ici, pour l’entourage du nourrisson, comme un danger de mort : crier risque d’entraîner une éventration qui aurait mis en péril sa vie. L’enfant devient ainsi objet médical, objet de soins imposant à sa mère de répondre immédiatement à tout pour lui afin surtout qu’il ne crie pas. Au lieu d’expérimenter que par son cri il fait venir sa mère, transformant le cri en appel, l’enfant se trouve ainsi pris dans une relation quasi symbiotique avec sa mère qui garde le souvenir d’une tension terrible en elle, jusqu’à ce que Peter soit opéré à l’âge de trois mois. Il est également remarquable que cet enfant empêché de crier, donc de faire sortir sa voix, mettant en cause la pulsion invoquante, développe plus tard un autre mode d’inhibition de la pulsion par un retard de la parole puis par un bégaiement, installé au moment de l’apprentissage de la lecture et de l’écriture, qui fait crier sa mère, alors que son père n’aime pas élever la voix.
Encore actuellement, Peter mobilise l’énergie de sa mère à le faire travailler et à « mâcher son travail » ou bien focalise son attention sur lui quand il bute sur les mots en la regardant, « comme s’il attendait, dit-elle, que je dise pour lui. » La mère souffre de ce que ça le frustre : « Je veux toujours le porter ». Pour cet enfant surprotégé, l’entrée à l’école est vécue comme un « déchirement ». Les pleurs de Peter retournent sa mère, tandis que Peter est persécuté par les cris qu’il redoute quand il lit et écrit mal. Dans ces conditions, toute émission devient problématique, notamment l’émission verbale, et l’angoisse de castration est permanente dans le fait de parler.
Comment sortir de cette impasse où l’enfant est en position de répondre au manque de sa mère, tandis que celle-ci devrait combler l’enfant ? Dans le démarrage difficile du travail, nous repérons que c’est seulement à partir du moment où la mère installe du manque dans l’autre (« je ne suis pas celle qui convient à mon fils »), qu’alors elle pose autrement sa demande, s’avoue manquante, contrairement à la demande médicale, puis scolaire, qui lui impose de parer à tout.
L’équilibre familial bascule
Six mois après le début de la cure, Peter n’est plus l’enfant adorable décrit par le père. Il sème la brouille, embête son frère aîné en « criant », en le frappant, et l’empêche de travailler. La mère, décontenancée, se demande comment réagir. Si elle n’intervient pas pour rétablir le bon ordre, la tension monte. Par ailleurs, Peter s’oppose à sa mère, refuse de faire son travail le soir, joue, traîne. Désarçonnée, elle s’interroge : « Dois-je sévir ? » Tout en me confiant ses questions, elle m’annonce le souhait du père de me rencontrer.
Mise en cause du père
Il vient seul et manifeste son étonnement, sa surprise d’entendre son fils parler normalement lorsque, dit-il, « il sort de ses gonds avec son frère ». « Quand Peter ne se contient plus et laisse sortir son agressivité, il ne bégaye pas », constate le père qui ajoute cette remarque : « Peter est comme un légume dans une Cocotte-Minute sous pression. » La pression, le père la situe du côté de la mère exigeante, sévère. Il envisage, dit-il, « d’écarter les lignes jaunes pour donner plus d’espace à Peter ». Cette métaphore pointe la place que le père pourrait occuper auprès de son fils pour desserrer l’étau maternel et évoque celle, utilisée par Lacan, du rouleau de pierre dans la gueule du crocodile : « Un grand crocodile dans la bouche duquel vous êtes, c’est ça la mère. On ne sait pas ce qui peut lui prendre tout d’un coup, de refermer son clapet [7] » et le rouleau de pierre « qui est là en puissance au niveau du clapet, ça retient, ça coince. C’est ce qu’on appelle le phallus. C’est le rouleau qui vous met à l’abri, si, tout d’un coup, ça se referme [8]. » Autrement dit, commente Geneviève Morel, « le désir de la mère, c’est ce qui menace le sujet d’en devenir l’objet consommé [9] » et le phallus doit intéresser la mère, au moins suffisamment pour que l’enfant échappe partiellement au désir dévorant de sa mère. Pour cela, le Nom-du-Père intervient par l’inscription d’un signifiant qui installe la loi dans l’inconscient du sujet et fait surgir la signification phallique. L’interdit posé par le père – « Non, ta mère c’est ma femme et non la tienne » – détourne l’enfant de la mère et fait ainsi de celle-ci l’objet de son désir tout en interdisant à l’enfant d’occuper cette place. Cet interdit instaure la Loi primordiale de l’œdipe.
Ici, le père, mis en cause par le symptôme de son fils, s’interroge sur la place qu’il occupe dans le trio père, mère, enfant : « Est-ce que je devrais être plus autoritaire et ma femme moins ? Est-ce que cela ne viendrait pas de ce que je ne mets pas les points sur les i par peur des conflits ? Est-ce un problème avec l’autorité puisqu’avec son frère, Peter ose laisser sortir sa colère sans bégayer », contrairement au père qui, lui, préfère « s’écraser » au lieu de risquer un « clash » avec son épouse qui, ajoute-t-il, « monte tout de suite au créneau si je m’oppose à elle » ? Or, pour l’instauration du père de la Loi comme signifiant, Lacan met l’accent sur le cas que la mère fait, non pas de la personne du père, mais de sa parole et de la façon dont elle la répercute sur l’enfant. La mère, dans ce cas, par ses cris, fait taire le père qui lâche sa position pour sauvegarder sa tranquillité. Il se tait, laisse diriger sa femme plutôt que de faire taire la mère qui s’acharne à entretenir une dépendance de son fils à son égard, redoutant son autonomie puisqu’il est tout pour elle : objet d’amour, de soins, d’attention dévorante. Le père, par son questionnement, indique qu’il est conscient d’une carence de la fonction paternelle. Mais dans quelle mesure est-il prêt à changer de position, position que Lacan situe dans un certain « fermer les yeux », un juste « mi-dieu [10] » face à cette mère avide de réussite pour son fils ? Ainsi, quand celui-ci ramène un bon bulletin, la seule interrogation de la mère tourne autour de l’évaluation de l’impact du soutien scolaire auquel elle se consacre chaque soir auprès de son fils : Peter aurait-il eu d’aussi bons résultats sans son intervention ? La maîtrise de la réponse, toutefois, lui échappe.
Le rire et l’équivoque
Peter, de son côté, s’autorise, en séances, à relater quelques souvenirs où rires et agressivité s’entremêlent. Il évoque ainsi le chien de sa mère, un fox-terrier, « à la petite queue », précise-t-il, mordant la robe d’un curé puis le pantalon d’un policier. Ce récit le fait beaucoup rire et trahit par le rire qu’il suscite la rencontre avec l’objet, ici l’objet oral évoqué par la morsure du chien.
Le rire jaillit à une autre occasion où la mère se trouve là encore impliquée, un jour où elle s’apprête à s’engouffrer dans le bureau, prétextant que Peter a quelque chose à me dire. Je la renvoie donc poliment mais fermement dans la salle d’attente, afin de laisser la parole à son fils qui éclate en fou rire dès que sa mère a tourné les talons. Ce rire, imputé à l’effet soudain de séparation, s’assortit d’un soulagement pour l’enfant : « Je vais mieux, dit-il, je pense que je vais pouvoir bientôt arrêter de venir ici. » Il accepte pourtant de différer cet arrêt trop rapidement posé, probablement en écho à la culpabilité sous-jacente à l’égard de sa mère mise dehors et au plaisir qu’il en a retiré.
Viennent ensuite des récits de films où émerge l’équivoque
Premier récit : « Un braconnier emmène un bébé gorille dans un camion qui se renverse. Le gorille se sauve et arrive dans un village avec une fête foraine. Il sauve à son tour un enfant en haut d’une grande roue enflammée. L’enfant est vivant. »
Deuxième récit quelques semaines plus tard. « Un voleur de chien est poursuivi par la police. Dans la fuite du voleur, la cage du chien tombe et s’ouvre. Le chien libéré est recueilli par un monsieur qui colle des affiches avec la photo du chien pour tenter de retrouver son maître. » Mais, commente Peter, « peut-être que le maître ne l’a pas reconnu parce qu’il était bébé et qu’il est devenu grand. » Dans le récit, le monsieur devient le père « plus trop d’accord pour garder le chien. Ça se voyait à sa figure. Il l’a pas dit. » Je m’étonne de ce père qui n’ose pas dire. Surpris, Peter poursuit son récit : « Le chien est venu dans la chambre des parents sur le lit ; il s’est secoué ; il était tout sale. Le père l’a vu et l’a mis au chenil. » Je souligne l’intervention de ce père qui remet le chien à sa place. Perplexe, Peter est visiblement troublé d’avoir mis en scène un père qui ose s’affirmer en prenant sa place afin de remettre chacun à la sienne.
Conclusion
Le rire et l’équivoque du signifiant « sauve » signent, semble-t-il, le désir du sujet de s’extraire du filet de la problématique de ses parents. Malheureusement, la mère s’empresse de colmater la brèche. Elle ne veut plus entendre parler de tout cela et veut « tirer un trait sur le passé ». Sa détermination l’emporte. Elle n’accompagne plus son fils à ses rendez-vous. Le père, sollicité pour soutenir le travail en cours, décline la proposition et tire, une fois de plus, son épingle du jeu. Si, au terme de cette année de cure prématurément interrompue, Peter ne bégaye plus et ne garde de son symptôme qu’une expulsion d’air accentuée avant l’émission de certains mots, donnant au débit verbal une allure saccadée, en revanche, la problématique du père et de la mère reste entière. Peter semble toutefois aller mieux, probablement pour avoir pris de la distance par rapport à ses parents. Continuera-t-il sur cette lancée ?
 
M

malek

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pour monsieur paulelie:

je vous remercie pour votre exposé...

depuis le debut de nos messages je vous ai dit que le bégaiment ne se traite pas par l'hypnose, vous venez de me donner une idée de votre exposé...maintenant je vais m'expliquer dans les deux sens:
pour ce qui est de l'hypnose, pourquoi ne peut-elle pas le guerir? dans votre exposé vous avez mis l'accent plus sur la technique hypnotique que sur le mode de guerison. nous allons voir ce que vous avez dit, et surtout votre réplique à l'egard d'une phrase que j'ai écrite dans un de mes messages, à savoir que l'hypnose travaille dans le changement de l'etat de conscience...nous y allons directement sans sans passer par trop de cérémonies...la suggestion est la mise en place d'une idée dans l'inconscient qui amenera la patient à la réaliser,une fois reveillé, sans savoir ce qu'il fait ou sans savoir pourquoi il le fait, c'est la suggestion post hypnotique...vous pouvez suggerer au bégue qu'il va cesser de béguer une fois la séance terminée et il va être amené à cesser de le faire...une fois à la campagne,loin de tout hopital au autre établissement sanitaire, ma copine souffrant d'atroces maux à l'estomac, j'ai dû lui suggerer, en transe, que se douleurs deminuerons avec la diminution du son de ma voix,lorsqu'elle n'entend plus ma voix ses douleurs auront disparu. je lui parlais en deminuant la voix juska ne plus m'entendre moi meme, je lai laissée comme ca jusqu'au matin, n'empeche une fois réveilée les douleurs ont refait surface...Mais ce qu'il faut savoir en matière de bégaiement c'est que l'on peut pas l'approcher comme on approche le tabac ou le stress, le premier étant une accutumance, aquise avec le temps et peut disparaitre avec le temps avec l'aide de l'hypnose, ou encore le stress en mettant le patient dans un etat psychologique plus confortable...quand on dit bégaiement c'est qu'il y a une etat psychologique plus compliqué...d'abord il y a l'incident qui l'a déclenché, il y a la situation dans laquelle il a été déclenché etc etc et il y également la façon et la réaction avec lesquelles la personne a vecu tout cela...ça peut être tout est n'importe quoi( un sentiment de culpabilité, un souhait de mort,un desir interdit, un besoin d'attention etc etc )et seul le patient le sait mais une résistence s'est justement installée pour mieux proteger ce qui doit être protegé...c'est là que l'hypnose ne peut rien faire pour le bégaiement...hypnotherapeute pourra connaitre toute l'historicité du patient mais comment trouver le problème à la base du bégaiement, et même s'il pouvait le trouver et le connaitre, le patient ne va jamais l'admettre après reveil, lui suggerer qu'il ne bégue plus? c'est lui implanter un autre probleme inconscient à coté du problème qui a justement déclenché son bégaiement...ne plus béguer de cette façon c'est une sorte de non-bégaiement-symptôme en comparaison du bégaiement-symptôme dont il faudra chercher la cause et la cause seul le patient la connait, il faut juste l'amener à la trouver et la lui expliquer...salutations
 
chadoc

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voici le lien
Lien invalide ... age-29.htm
autre témoignage: 10 ans d'analyse!
Lien invalide ... og%C3%A8ne
______________________________________________
"C'est fou le nombre de gens qui guérissent à cause de nos erreurs"
Docteur House
 
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malek

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je vous envois le lien ci-après, http://www.puf.com/wiki/Autres_Collecti ... og%C3%A8ne, et je vous invite à écouter les concernés, les bégues, parler de leur mal et qu'est-ce qu'ils ont trouvé de mieux comme therapies...je vous prie de lire les témoignages de ceux qui ont suivi une hypnotherapie et ceux qui ont suivi une psychotherapie...salutations.

je pars en vacances.
 
castorix

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Bonsoir,

J'aimerais vous dire en toute amabilité que l'on ne peut pas critiquer (même dans le sens constructif) quelque chose que l'on n'a pas compris.

malek à dit:
(1) pour ce qui est de l'hypnose, pourquoi ne peut-elle pas le guerir? (...)
la suggestion est la mise en place d'une idée dans l'inconscient qui amenera la patient à la réaliser,une fois reveillé, sans savoir ce qu'il fait ou sans savoir pourquoi il le fait, c'est la suggestion post hypnotique...

(2) ...hypnotherapeute pourra connaitre toute l'historicité du patient mais comment trouver le problème à la base du bégaiement, et même s'il pouvait le trouver et le connaitre, le patient ne va jamais l'admettre après reveil, lui suggerer qu'il ne bégue plus?
(3) (...) bégaiement-symptôme dont il faudra chercher la cause et la cause seul le patient la connait, il faut juste l'amener à la trouver et la lui expliquer...

(1) Je me permets de souligner que l'idée que vous vous faites de l'hypnose est à l'extrême rigueur envisageable en thérapie directive, mais en aucun cas ne respecte les principes de l'hypnose ericksonienne...

(2) Je cite ailleurs (je ne suis pas le seul) Ernest Rossi qui travaille volontiers en hypnose et ne demande même pas au sujet d'exposer son problème. Les résultats publiés, les témoignages, sont complétés par l'expérience personnelle de nombreux thérapeutes quant à la pertinence de son enseignement. Il ne décrit rien qui ressemble à l'idée que vous vous faites d'un processus thérapeutique médié par l'hypnose : vous semblez attaché à l'idée du thérapeute = Sujet Supposé Savoir...

(3) ce troisième paragraphe que je cite de votre message m'inquiète.
car :
a) il contredit le (2) : d'une part vous avanciez que même si le thérapeute trouvait la cause, il n'arriverait pas à convaincre le sujet... d'autre part vous répétez que ce qui est souhaitable, c'est d'amener le patient à retrouver la cause et la lui expliquer...

b) je crois que "balancer au patient" la révélation de ce qu'il refoule, est au mieux maladroit, au pire dangereux. j'ai cru comprendre que c'est d'une certaine manière ce que vous recommandez ? (enfin, l'amener à trouver la cause, c'est évidemment lui faire comprendre ce que le thérapeute comprend ?! est-ce que ce n'est pas extrêmement limité ??!)

En travaillant avec l'hypnose et techniques dérivées, je n'essaie pas de faire comprendre. Ceci dit et il est possible que là nous rejoignions, en général après que le patient aille mieux, des voiles se soulèvent et en effet il semble qu'il comprenne mieux bien des choses (que je n'ai jamais abordées souvent !) mais cette prise de conscience n'est ni indispensable (en général) ni systématique.

c) au passage je note que le dernier site que vous conseillez à notre ami Chadoc est un site particulièrement riche en éléments pertinents.

Juste un détail : il est rédigé par un connaisseur des TCC qui est aussi pratiquant en hypnose ericksonienne, c'est d'ailleurs l'approche qu'il préconise.
Merci de nous l'avoir indiqué (cela prouve que vous lui pardonnez la petite blague qu'il a glissée sur "le psychanalyste et le poisson"... elle est pourtant un peu... salée).
 
M

malek

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Bonjour!
Désolé! cela fait longtemps que je ne suis plus les thèmes developpés sur ce forum et je n'y reviendrai plus...Si vous cherchez la vérité vous la trouverez, bien sûr dans les mots, au delà des mots, dans la logique, au delà de la logique, dans la negation, dans l'affirmation, dans la critique...c'est à dire vous la trouverez dans l'honneteté...et TIMEO HOMINEM UNIUS LIBRI ! bonne contiuation à tout le monde


castorix à dit:
Bonsoir,

J'aimerais vous dire en toute amabilité que l'on ne peut pas critiquer (même dans le sens constructif) quelque chose que l'on n'a pas compris.

malek à dit:
(1) pour ce qui est de l'hypnose, pourquoi ne peut-elle pas le guerir? (...)
la suggestion est la mise en place d'une idée dans l'inconscient qui amenera la patient à la réaliser,une fois reveillé, sans savoir ce qu'il fait ou sans savoir pourquoi il le fait, c'est la suggestion post hypnotique...

(2) ...hypnotherapeute pourra connaitre toute l'historicité du patient mais comment trouver le problème à la base du bégaiement, et même s'il pouvait le trouver et le connaitre, le patient ne va jamais l'admettre après reveil, lui suggerer qu'il ne bégue plus?
(3) (...) bégaiement-symptôme dont il faudra chercher la cause et la cause seul le patient la connait, il faut juste l'amener à la trouver et la lui expliquer...

(1) Je me permets de souligner que l'idée que vous vous faites de l'hypnose est à l'extrême rigueur envisageable en thérapie directive, mais en aucun cas ne respecte les principes de l'hypnose ericksonienne...

(2) Je cite ailleurs (je ne suis pas le seul) Ernest Rossi qui travaille volontiers en hypnose et ne demande même pas au sujet d'exposer son problème. Les résultats publiés, les témoignages, sont complétés par l'expérience personnelle de nombreux thérapeutes quant à la pertinence de son enseignement. Il ne décrit rien qui ressemble à l'idée que vous vous faites d'un processus thérapeutique médié par l'hypnose : vous semblez attaché à l'idée du thérapeute = Sujet Supposé Savoir...

(3) ce troisième paragraphe que je cite de votre message m'inquiète.
car :
a) il contredit le (2) : d'une part vous avanciez que même si le thérapeute trouvait la cause, il n'arriverait pas à convaincre le sujet... d'autre part vous répétez que ce qui est souhaitable, c'est d'amener le patient à retrouver la cause et la lui expliquer...

b) je crois que "balancer au patient" la révélation de ce qu'il refoule, est au mieux maladroit, au pire dangereux. j'ai cru comprendre que c'est d'une certaine manière ce que vous recommandez ? (enfin, l'amener à trouver la cause, c'est évidemment lui faire comprendre ce que le thérapeute comprend ?! est-ce que ce n'est pas extrêmement limité ??!)

En travaillant avec l'hypnose et techniques dérivées, je n'essaie pas de faire comprendre. Ceci dit et il est possible que là nous rejoignions, en général après que le patient aille mieux, des voiles se soulèvent et en effet il semble qu'il comprenne mieux bien des choses (que je n'ai jamais abordées souvent !) mais cette prise de conscience n'est ni indispensable (en général) ni systématique.

c) au passage je note que le dernier site que vous conseillez à notre ami Chadoc est un site particulièrement riche en éléments pertinents.

Juste un détail : il est rédigé par un connaisseur des TCC qui est aussi pratiquant en hypnose ericksonienne, c'est d'ailleurs l'approche qu'il préconise.
Merci de nous l'avoir indiqué (cela prouve que vous lui pardonnez la petite blague qu'il a glissée sur "le psychanalyste et le poisson"... elle est pourtant un peu... salée).
 
Paul Elie

Paul Elie

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lacaune
un autre script que m'as inspiré gil boyle...un grand hypnothérapeute qui utilise la régression avec un autre "twist"...

faire ressentir intensivement l'émotion "blocage " qui survient pendant que le client commence a bégayer et qu'il en prends conscience....
exacerber cette sensation jusqu'à ce que le client montre des signes évidents ( sur le visage ) de dis confort...
puis demandez lui de suivre cet émotion a l'origine et la première fois qu'il l'as ressentie....
puis ( vous aurez besoin d'un coussin!) pour que vous suggériez avec force au client d'exprimer sa violence.... par devers la personne responsable du trauma en frappant le coussin que vous aurez posé sur ces genoux.... tout en dirigeant le client a exprimer en détails...
par des insultes et en forçant physiquement l'énergie
ou et quand et a qui est dirigée cette violence....

le coussin doit être dur pour absorber les chocs et ne pas blesser ou casser la jambe sur lequel il est posé!
puis vous reprenez le client en effaçant la scène et en lui posant des questions et en suggérant de prendre la place de ceux qui ont perpétrer le trauma .... pour que le subconscient se fabrique une nouvelle compréhension de l'évènement...
souvent il suffit de cet autre vision des choses pour que le be gaiement disparaisse....
puis des suggestions directe pour affirmer le changement... support aux " bons nouveau choix" que vous allez tester dans une situation virtuelle inventée ou vous remettez l'évènement récent ou le bégaiement est arrivé, avec le nouveau changement ( choix dans l'esprit du client)....

cette thérapie est très intense!.... car le client va aux extrêmes des émotions en un très court instant et il faut en contrôler l'intensité!

une condition primordiale pour ce genre de thérapie est bien sur l'hypnose somnambulique.... et les effets sont dramatiques et définitifs!
en une séance!
contrairement au script que j'ai exposé qui peut prendre jusqu'à 4 ou 5 séances, mais qui est un peu moins violent!
 
surderien

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malek à dit:
ma copine souffrant d'atroces maux à l'estomac, j'ai dû lui suggerer, en transe, que se douleurs deminuerons avec la diminution du son de ma voix,lorsqu'elle n'entend plus ma voix ses douleurs auront disparu. je lui parlais en deminuant la voix juska ne plus m'entendre moi meme, je lai laissée comme ca jusqu'au matin, n'empeche une fois réveillée les douleurs ont refait surface...


Paradoxal de "travailler" sur "sa" copine en lui disant que lorsqu'elle n'entendra plus "sa" voix ses douleurs disparaitront...

Dès qu'il recommencera à parler à sa copine, les douleurs réapparaitront donc !

:roll:
 
hypnotiseur08

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Et j' aurais une question toute simple, j' ai une amie qui bégaye et avec qui j' ai essayé l' hypnose, il y as un mieux, et elle se sert de l' ancrage que je lui ai fait.
Son bégaiement ou sa source n' est pas à chercher puisque c' est de naissance, et héréditaire ( enfin je ne suis pas médecin pour savoir si il pouvait y avoir l' hérédité comme terrain commun dans le bégaiement mais un de ses parents en souffre aussi ! )
Sinon elle m' as expliquer ressentir une gêne, comme une contraction au niveau de la gorge, des muscles de la gorge donc j' ai travailler sur celà lors de notre séance et aussi sur la confiance en soi et bien-sur le stress ...

Je ne l' ai pas revu depuis car elle doit faire 250km aller-retour pour venir me voir et travaille de journée.
Mais il semble que le mieux qu' elle as ressenti est toujours présent ( dès le lendemain de notre séance, sa collègue lui as même fait remarquer en lui disant :"Bah tu parles normalement maintenant !"

Je l' ai eu par contact mail ou téléphone depuis et dois la revoir pour une autre séance mais je pense, malgré ma faible expérience, que dans certains cas ce problème peut se résoudre grâce à l' Hypnose.
 
surderien

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Tout est possible, tout est réalisable, il suffit d'y croire +++
Toutes les techniques bien construites et crédibles vont donc fonctionner.
Un principe à ne jamais oublier en thérapie. L'hypnose permet de s'en souvenir à chaque fois un peu plus.

:cool:
 
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