Altmaier à dit:
janmoinel à dit:
Aujourd'hui, avec les inductions dites rapides ou instantanées, il n'y a même plus besoin du consentement du sujet.
Tout simplement car ces inductions ne sont pas basées sur la participation consciente du sujet.
Lors de l'induction, on s'adresse directement à l'inconscient. Le sujet ne voit donc strictement rien venir.
.
De quoi parlez vous?
Nous sommes sur un forum sur l'hypnose et vous dites n'importe quoi.
Bien sur qu'il faut que le sujet soit consentant!!!
On voit bien que vous n'avez aucune expérience .
Désolé
Jurgen :wink: 8)
:roll: Si j'avais cru un seul instant qu'en postant ici je me ferais attaquer de cette manière, je me serais abstenu.
Je suis loin d'être sans expérience, puisque je fais parti de ces groupes dont j'ai parlé, et j'ai plusieurs vidéos de mes "actes illégaux" (pour reprendre le terme de paulelie) qui tournent actuellement sur youtube et autres... Dont je vais m'abstenir de poster des liens sans quoi je risquerais de voir débarquer la police chez moi :lol:
Plus sérieusement, lors de soirées entre amis, on m'interpelle souvent pour me demander d'hypnotiser X ou Y pour "voir ce que ça fait". Ce sont des défis que je relève, en conservant toujours à l'esprit qu'il est hors de question de nuire à la personne. Je respecte tout un chacun, et jamais je ne tenterais de ridiculiser quelqu'un.
Une relaxation appuyée suivie de quelques phénomènes hypnotiques simples font le même effet.
Et on est bien d'accord que si la personne part en transe, c'est que son subconscient juge la transe profitable. Une relâchement si soudain est fort appréciable après tant de stress encaissé pendant la journée de boulots non ?
Pour en revenir à ces fameuses inductions rapides (ou instantanées), je les pratique depuis plusieurs mois, alors même si je ne connais pas à 200% la théorie derrière, je sais au moins comment ça marche au niveau "pratique".
Demandez à une personne de fermer les yeux et se relaxer, elle risque de vous ignorer ou rigoler. Entamez plutôt une conversation normale, puis demandez-lui soudainement de vous montrer sa main en tendant la votre simultanément. Réalisez la fameuse handshake induction avec le bon timing et approfondissez la transe. Vous disposez d'une recette parmi tant d'autres pour hypnotiser quelqu'un sans son consentement "conscient".
[Edit] J'ai volontairement simplifié cette "recette". Dans la conversation qui précède l'induction, on peut essayer d'intégrer une forme de "yes-set" assez prononcée, ou confuser l'esprit en sortant des phrases qui n'ont ni queue ni tête, ou encore forcer l'inconscient à se préparer à une transe en demandant à la personne de nous raconter qu'est ce qu'elle ressentirait si elle était hypnotisée, en lui demandant un maximum de détails.... En gros, on fait travailler l'hémisphère droit
Bref, les techniques sont nombreuses pour approcher le sujet !
La question du consentement se pose dans deux domaines différents :
- L'éthique : auquel cas
il FAUT demander le consentement de la personne. Je ne peux qu'être d'accord, même si j'avoue ne pas le respecter tout le temps (surtout sur des amis d'amis lors de soirées "ludiques" etc...)
- Le côté "technique" : auquel cas ON PEUT HYPNOTISER sans avoir le consentement de la personne. N'importe quel hypnotiseur ayant pratiqué les inductions instantanées peut le prouver...
=> Leo Lavoie : La réponse est donc
OUI, et je dirais même plus, les sceptiques sont souvent les sujets les plus suggestible à l'hypnose ! Ils sont tellement dans l'analyse "consciente" des effets attendus (ils s'imaginent qu'ils vont se sentir "partir" alors que souvent ce n'est pas le cas), qu'ils sont déjà en transe moyenne/profonde avant même d'en avoir réellement "conscience".
Le meilleur moyen de leur faire changer d'avis, est de "tester" sur eux la transe via des phénomènes hypnotiques simple comme l'amnésie (oublier son nom, oublier un chiffre) ou les effets idéomoteurs (main collée sur une table, un verre qui pese 1tonne etc etc...)
Et à tous ceux qui oseraient me provoquer gratuitement, je vous remercie de perdre votre temps