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laurenzo
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laurenzo à dit:Salut Xorguina,
xorguina à dit:Bonjour Laurenzo,
En lisant tes échanges, je m'apperçoit que ce manque de confiance est bien tjrs présent .
Inférieur c'est un jugement que tu portes sur toi !
Te sentir ainsi c'est un senti/ment qui te ment .
Les senti/ments sont des ressentis inscrits, ancrés en nous .
Au fond, j'aime à penser que tu ne le pense pas, que c'est juste un senti/ment difficile à alcher prise ,mais que ce n'est pas toi .
Tu es bien plus qu'un senti/ment d'infériorité....laisse le là ou tu penses qu'il doit être...à la prépa....comme s'il avait été la fin de la prépa , de l'école qui t'a appris, ancré des connaissances, souvenirs et senti/ments ,pour te préparer à te souvenir du vrai toi .
Celui que tu as tjrs été et qui est plus "fort" qu'une éducation qui aurait fini par te mentir (senti/ment), par te sentir "inférieur".
Nous continuons d'agir avec toi.
Amicalement
Oui j'ai bien conscience qu'un sentiment d'infériorité est une sorte d'ancrage négatif, une croyance. Les périodes de ma vie où j'étais le plus heureux étaient celles où je me sentais fort, j'avais alors une vraie sérénité.
Avec mon corps qui déconne j'ai beaucoup de mal à retrouver cette forme de sérénité, je me sens en permanence en danger d'être "celui qui ne va pas bien" ou qui a un problème.
laurenzo à dit:Autant ça m'a souvent ennuyé par le passé, autant avec cette thérapie je me sens plus libre d'exprimer les choses. Je me sens à l'aise avec cette psy, pas dans le jugement alors que par le passé je pouvais avoir du mal à aborder certaines choses. Parfois je ne suis pas d'accord avec elle, elle peut émettre des idées que je ne ressens pas, qui ne me parlent pas, donc je le lui dis. Ca fait environ 1 an que l'on travaille ensemble. Selon elle, la vraie thérapie n'a commencé qu'il y a 3 mois. Avant c'était presque un duel parce que je me braquais vite et ne lâchais pas prise, je voulais contrôler le déroulement des séances. Elle a dû me recadrer 50 fois, me faire remarquer que mon esprit était ailleurs, ce qui était vrai.
Intemporelle à dit:Je comprends bien vos symptômes/angoisse/impuissance, ma question est : avez-vous déjà travaillé sur ce que vous me dites dans ces termes en séance ?
Si oui, est ce toujours le problème du ressenti qui ne se fait pas ?
Intemporelle à dit::arrow: Si je peux m'enfuir, les symptômes diminuent aussi vite qu'ils sont arrivés.
Pourquoi ressentez vous le besoin de s’enfuir d’une réunion, ou d’un restau ? qu’est ce qui provoque les symptômes décrits.
Intemporelle à dit:N’ayez crainte d’ouvrir la porte secrète de votre être, laissez-vous aller et laisser s’exprimer cet enfant ou adolescent ou jeune adulte qui se sent impuissant, est ce le prix à payer pour vous, avez-vous peur de décevoir ? de montrer que vous n'êtes pas celui que vous avez envie d’être réellement ?
Intemporelle à dit:Vous sentez vous en confiance avec votre thérapeute ? un CV n’est que la représentation que vous vous en faites, l’essentiel est la relation thérapeutique et non les diplômes obtenus…, vous sentez vous obsessionnel de la perfection ? d’un niveau social ? d’une image ?...
Intemporelle à dit:A force de vouloir correspondre à ce que les autres veulent de nous, on fini par se perdre soi même.
katia (zoulouk) à dit:Tu te sens en danger d etre celui qui ne va pas bien pour les autres
Quel est le danger là dedans même si c'était le cas ?
katia (zoulouk) à dit:Et à force, comme dit Jeangeneve, c'est pas un peu chiant, toutes ses thérapies et thérapeutes et aussi dans l'épuisement de chercher des solutions ?
katia (zoulouk) à dit:Se reconnecter à ses émotions, ben ça va servir à quoi ?
Qui sait ce que tu vas retrouver comme affects et alors ça pourrait etre encore plus difficile à contrôler qu'avant ?
xorguina à dit::arrow: Les périodes de ma vie où j'étais le plus heureux étaient celles où je me sentais fort, j'avais alors une vraie sérénité.
Je suis bien contente de te l'entendre dire, écrire...
Tu vois, il y a bien eu une période ou tu te sentais fort et où il y avait une vraie sérénité en toi !
Je comprends bien que ton corps ducoup te bloque avec cette mal/a/dit...
Ducoup tu as le senti/ment de n'être ni bien dans ta tête, ni dans ton corps.
Tu es comme bloqué, avec impossibilité d'avancer d'un côté comme de l'autre, d'où ce sentiment renforcé d'impuissance, d'infériorité.
On peut penser que c'est parce que tu n'as pas écouté quelque chose que ton corps aujourd'hui parle par le mal .
En fait on peut penser que c'est toi qui a crée celà et qu'il en va de ta responsabilité d'inverser ce processus...
Fais du bien à ton corps pour que ton âme est envie de rester .
Je sait, plus facile à dire qu'à faire....je sait, les premiers conseiller ne sont pas les meilleur....mais vois tu, nous croyons profondément en ta force et nous souhaitons , coeur et âme, que tu la retrouve vite.
Que tu te rappelles de ces moments là écrits et que tu reprennes courage et force, parce que si tu l'as été une fois, c'est que tu peux l'être encore et passer par dessus tout ça pour le vivre encore...
Peut être que quand tu passeras audelà de tout ça et que tu retrouveras cette force, ben ça te fera tilt !
Non seulement tu auras retrouvé cette force, mais par la création de cet embuche (maladie) tu auras décuplé tes forces et verra ho combien tu peux être plus que fort !
Au delà de ce que tu avais pensé...
As tu pensé que cette maladie était un test que tu t'es envoyais inconsciement pour mettre à l'épreuve ta capacité de confiance en toi, en tes forces insoupsonnées ?
Moi je le crois...
Epluche l'oignon , souviens toi et reimagine toi .
Et repose toi...ton corps à besoin de repos, écoute le...il a besoin d'air frais aussi...d'eau et d'amour...cocounne toi, aime toi .
Pour le passé, c'est pas passé si c'est trjs présent.....et pour le futur c'est ton présent qui est dans une minute trjs présent !
Souviens toi...tout ça est illusision ...la pensée est présente et c'est tout, pas de temps...et c'est l'émotion qui est inscrite dans tes muscles et qui remontent et te ment .
Si tu trouves tout ces mots trop "moralisateurs ou autres" oublie les...ton surconscient saura faire le tri de ce qui le dérange et l'arrange et qui les deux au fond feront résonnance ou pas. Je ne suis pas seule en t'écrivant tout celà.
Nous continuons à être avec toi en puissance 8 mille :wink:
******** à dit:souvent on se trompe, on se rend pas compte que on perd son altérité en consultant. on perd son esprit critique.
en suite on entre dans le transfère, et on entre dans une dépendance.
et au fur et a mesure on crois que ce que l'autre a plus de valeur que ce que l'on ressens.
pas si étonnant que cela que le corps exprime autre chose.
qu'il se rebelle contre cette soumission.
vous rechercher continuellement la régression par tous les moyens possible, pour retrouver un confort qui n'existe plus .
quand vous retrouver cet état vous reculer à chaque fois un peu plus.
assumer, faites le deuil de votre confort, démerdez-vous
les médicaments sont un cache misère.
continuer a chercher la solution vers autrui au lieu d'écouter votre corps.
laurenzo à dit:xorguina à dit::arrow: Les périodes de ma vie où j'étais le plus heureux étaient celles où je me sentais fort, j'avais alors une vraie sérénité.
Je suis bien contente de te l'entendre dire, écrire...
Tu vois, il y a bien eu une période ou tu te sentais fort et où il y avait une vraie sérénité en toi !
Je comprends bien que ton corps ducoup te bloque avec cette mal/a/dit...
Ducoup tu as le senti/ment de n'être ni bien dans ta tête, ni dans ton corps.
Tu es comme bloqué, avec impossibilité d'avancer d'un côté comme de l'autre, d'où ce sentiment renforcé d'impuissance, d'infériorité.
On peut penser que c'est parce que tu n'as pas écouté quelque chose que ton corps aujourd'hui parle par le mal .
En fait on peut penser que c'est toi qui a crée celà et qu'il en va de ta responsabilité d'inverser ce processus...
Fais du bien à ton corps pour que ton âme est envie de rester .
Je sait, plus facile à dire qu'à faire....je sait, les premiers conseiller ne sont pas les meilleur....mais vois tu, nous croyons profondément en ta force et nous souhaitons , coeur et âme, que tu la retrouve vite.
Que tu te rappelles de ces moments là écrits et que tu reprennes courage et force, parce que si tu l'as été une fois, c'est que tu peux l'être encore et passer par dessus tout ça pour le vivre encore...
Peut être que quand tu passeras audelà de tout ça et que tu retrouveras cette force, ben ça te fera tilt !
Non seulement tu auras retrouvé cette force, mais par la création de cet embuche (maladie) tu auras décuplé tes forces et verra ho combien tu peux être plus que fort !
Au delà de ce que tu avais pensé...
As tu pensé que cette maladie était un test que tu t'es envoyais inconsciement pour mettre à l'épreuve ta capacité de confiance en toi, en tes forces insoupsonnées ?
Moi je le crois...
Epluche l'oignon , souviens toi et reimagine toi .
Et repose toi...ton corps à besoin de repos, écoute le...il a besoin d'air frais aussi...d'eau et d'amour...cocounne toi, aime toi .
Pour le passé, c'est pas passé si c'est trjs présent.....et pour le futur c'est ton présent qui est dans une minute trjs présent !
Souviens toi...tout ça est illusision ...la pensée est présente et c'est tout, pas de temps...et c'est l'émotion qui est inscrite dans tes muscles et qui remontent et te ment .
Si tu trouves tout ces mots trop "moralisateurs ou autres" oublie les...ton surconscient saura faire le tri de ce qui le dérange et l'arrange et qui les deux au fond feront résonnance ou pas. Je ne suis pas seule en t'écrivant tout celà.
Nous continuons à être avec toi en puissance 8 mille :wink:
Merci pour ton message.
Je crois qu'il y a cette notion de "quoique je fasse ça ne m'aide pas", une double contrainte comme le dirait Surderien.
Je prends un exemple:
Ces temps-ci je suis vraiment fatigué, épuisé, comme si mon corps était à bout.
- Si je reste chez moi à dormir, c'est assez peu satisfaisant comme vie, même déprimant.
- Si je sors, très rapidement je suis confronté à ma fatigue, à des symptômes, bref je me sens pas trop à ma place non plus.
Dans les 2 cas, je suis mal c'est assez déprimant et je ne sais pas trop quoi faire.
xorguina à dit:laurenzo à dit:xorguina à dit::arrow: Les périodes de ma vie où j'étais le plus heureux étaient celles où je me sentais fort, j'avais alors une vraie sérénité.
Je suis bien contente de te l'entendre dire, écrire...
Tu vois, il y a bien eu une période ou tu te sentais fort et où il y avait une vraie sérénité en toi !
Je comprends bien que ton corps ducoup te bloque avec cette mal/a/dit...
Ducoup tu as le senti/ment de n'être ni bien dans ta tête, ni dans ton corps.
Tu es comme bloqué, avec impossibilité d'avancer d'un côté comme de l'autre, d'où ce sentiment renforcé d'impuissance, d'infériorité.
On peut penser que c'est parce que tu n'as pas écouté quelque chose que ton corps aujourd'hui parle par le mal .
En fait on peut penser que c'est toi qui a crée celà et qu'il en va de ta responsabilité d'inverser ce processus...
Fais du bien à ton corps pour que ton âme est envie de rester .
Je sait, plus facile à dire qu'à faire....je sait, les premiers conseiller ne sont pas les meilleur....mais vois tu, nous croyons profondément en ta force et nous souhaitons , coeur et âme, que tu la retrouve vite.
Que tu te rappelles de ces moments là écrits et que tu reprennes courage et force, parce que si tu l'as été une fois, c'est que tu peux l'être encore et passer par dessus tout ça pour le vivre encore...
Peut être que quand tu passeras audelà de tout ça et que tu retrouveras cette force, ben ça te fera tilt !
Non seulement tu auras retrouvé cette force, mais par la création de cet embuche (maladie) tu auras décuplé tes forces et verra ho combien tu peux être plus que fort !
Au delà de ce que tu avais pensé...
As tu pensé que cette maladie était un test que tu t'es envoyais inconsciement pour mettre à l'épreuve ta capacité de confiance en toi, en tes forces insoupsonnées ?
Moi je le crois...
Epluche l'oignon , souviens toi et reimagine toi .
Et repose toi...ton corps à besoin de repos, écoute le...il a besoin d'air frais aussi...d'eau et d'amour...cocounne toi, aime toi .
Pour le passé, c'est pas passé si c'est trjs présent.....et pour le futur c'est ton présent qui est dans une minute trjs présent !
Souviens toi...tout ça est illusision ...la pensée est présente et c'est tout, pas de temps...et c'est l'émotion qui est inscrite dans tes muscles et qui remontent et te ment .
Si tu trouves tout ces mots trop "moralisateurs ou autres" oublie les...ton surconscient saura faire le tri de ce qui le dérange et l'arrange et qui les deux au fond feront résonnance ou pas. Je ne suis pas seule en t'écrivant tout celà.
Nous continuons à être avec toi en puissance 8 mille :wink:
Merci pour ton message.
Je crois qu'il y a cette notion de "quoique je fasse ça ne m'aide pas", une double contrainte comme le dirait Surderien.
Je prends un exemple:
Ces temps-ci je suis vraiment fatigué, épuisé, comme si mon corps était à bout.
- Si je reste chez moi à dormir, c'est assez peu satisfaisant comme vie, même déprimant.
- Si je sors, très rapidement je suis confronté à ma fatigue, à des symptômes, bref je me sens pas trop à ma place non plus.
Dans les 2 cas, je suis mal c'est assez déprimant et je ne sais pas trop quoi faire.
Ha cette fameuse double contrainte !
Oui, que ce soit ton corps ou ton mental c'est pas la joie ....
Quand je suis dans une double contrainte, je rends la troisième solution, celle qui me vient à l'esprit (corps, âme, esprit ! ) pour en sortir..
en général, chez moi, ça se traduit par un truc assez loufoque, une envie irresistible de...( hurler, pleurer, cogner un coussin qui est plutôt banal mais également me foutre complètement à poil sous la pluie et lever la tête au ciel en dasant et m'imaginant une idienne mdr oui oui, je l'ai fait et j'assume : lol embrasser et enlacer un arbre en lui demandant de la force et le remeciant , courir ou marcher pied nu pour que je sente bien l'herbe sous mes pieds , me déguiser , je fais appel à mon ange et ça dépends de ce qui vient en création .
L'important étant de me connecter à une troisième solution, celle que j'ai choisit et pas cette dualité que je m'impose ou que je me sent imposée.
Dormir n'est pas déprimant si tu te recharges et que tu sent avoir besoin de repos....si pour l'instant tu n'as pas envie de voir du monde, pas la peine non plus de te forcer, c'est que tu sent et à besoin de solitude pour te reconnecter à toi m'aime !
Parfois il est bon de dormir et de ne sortir qu'en forêt ou voir que des trucs rigolos parce que de toute façon l'harmonie n'est pas dehors, n'est pas de ce monde, elle n'est qu'en toi en la retrouvant....et quand tu l'auras retrouvée tu pourras alors te sentir prêt.
En attendant tu dois retrouver des forces, elles sont en toi, mais tu peux aussi en puiser auprès de la nature si tu peux, ainsi que des gens qui t'aiment vraiment, amis famille et ta psy qui te guidera a les retrouver, te souvenirs.....
je ne serais pas là du weekend, je monte en altitude pour respirer l'air frais de la montagne dans une bergerie sans électricité , aucune énergie négative, au grand air, au direct du vrai (pour moi) et je t'enmène avec moi en pensées :wink:
katia (zoulouk) à dit:Si tu es mal dans les deux cas, choisis celui qui te conviens le mieux psychologiquement parlant.
Si on est moins fatigué en se reposant, se reposer prend son sens. Si ce n'est pas le cas ? Si faire n'est pas plus difficile ou pareil que de ne pas faire,,tu es libre de choisir une ou l'autre option.
Ça ne semble pas dépendant de l'activité... Alors l'activité reste libre....?????
laurenzo à dit:xorguina à dit:laurenzo à dit:xorguina à dit::arrow: Les périodes de ma vie où j'étais le plus heureux étaient celles où je me sentais fort, j'avais alors une vraie sérénité.
Je suis bien contente de te l'entendre dire, écrire...
Tu vois, il y a bien eu une période ou tu te sentais fort et où il y avait une vraie sérénité en toi !
Je comprends bien que ton corps ducoup te bloque avec cette mal/a/dit...
Ducoup tu as le senti/ment de n'être ni bien dans ta tête, ni dans ton corps.
Tu es comme bloqué, avec impossibilité d'avancer d'un côté comme de l'autre, d'où ce sentiment renforcé d'impuissance, d'infériorité.
On peut penser que c'est parce que tu n'as pas écouté quelque chose que ton corps aujourd'hui parle par le mal .
En fait on peut penser que c'est toi qui a crée celà et qu'il en va de ta responsabilité d'inverser ce processus...
Fais du bien à ton corps pour que ton âme est envie de rester .
Je sait, plus facile à dire qu'à faire....je sait, les premiers conseiller ne sont pas les meilleur....mais vois tu, nous croyons profondément en ta force et nous souhaitons , coeur et âme, que tu la retrouve vite.
Que tu te rappelles de ces moments là écrits et que tu reprennes courage et force, parce que si tu l'as été une fois, c'est que tu peux l'être encore et passer par dessus tout ça pour le vivre encore...
Peut être que quand tu passeras audelà de tout ça et que tu retrouveras cette force, ben ça te fera tilt !
Non seulement tu auras retrouvé cette force, mais par la création de cet embuche (maladie) tu auras décuplé tes forces et verra ho combien tu peux être plus que fort !
Au delà de ce que tu avais pensé...
As tu pensé que cette maladie était un test que tu t'es envoyais inconsciement pour mettre à l'épreuve ta capacité de confiance en toi, en tes forces insoupsonnées ?
Moi je le crois...
Epluche l'oignon , souviens toi et reimagine toi .
Et repose toi...ton corps à besoin de repos, écoute le...il a besoin d'air frais aussi...d'eau et d'amour...cocounne toi, aime toi .
Pour le passé, c'est pas passé si c'est trjs présent.....et pour le futur c'est ton présent qui est dans une minute trjs présent !
Souviens toi...tout ça est illusision ...la pensée est présente et c'est tout, pas de temps...et c'est l'émotion qui est inscrite dans tes muscles et qui remontent et te ment .
Si tu trouves tout ces mots trop "moralisateurs ou autres" oublie les...ton surconscient saura faire le tri de ce qui le dérange et l'arrange et qui les deux au fond feront résonnance ou pas. Je ne suis pas seule en t'écrivant tout celà.
Nous continuons à être avec toi en puissance 8 mille :wink:
Merci pour ton message.
Je crois qu'il y a cette notion de "quoique je fasse ça ne m'aide pas", une double contrainte comme le dirait Surderien.
Je prends un exemple:
Ces temps-ci je suis vraiment fatigué, épuisé, comme si mon corps était à bout.
- Si je reste chez moi à dormir, c'est assez peu satisfaisant comme vie, même déprimant.
- Si je sors, très rapidement je suis confronté à ma fatigue, à des symptômes, bref je me sens pas trop à ma place non plus.
Dans les 2 cas, je suis mal c'est assez déprimant et je ne sais pas trop quoi faire.
Ha cette fameuse double contrainte !
Oui, que ce soit ton corps ou ton mental c'est pas la joie ....
Quand je suis dans une double contrainte, je rends la troisième solution, celle qui me vient à l'esprit (corps, âme, esprit ! ) pour en sortir..
en général, chez moi, ça se traduit par un truc assez loufoque, une envie irresistible de...( hurler, pleurer, cogner un coussin qui est plutôt banal mais également me foutre complètement à poil sous la pluie et lever la tête au ciel en dasant et m'imaginant une idienne mdr oui oui, je l'ai fait et j'assume : lol embrasser et enlacer un arbre en lui demandant de la force et le remeciant , courir ou marcher pied nu pour que je sente bien l'herbe sous mes pieds , me déguiser , je fais appel à mon ange et ça dépends de ce qui vient en création .
L'important étant de me connecter à une troisième solution, celle que j'ai choisit et pas cette dualité que je m'impose ou que je me sent imposée.
Dormir n'est pas déprimant si tu te recharges et que tu sent avoir besoin de repos....si pour l'instant tu n'as pas envie de voir du monde, pas la peine non plus de te forcer, c'est que tu sent et à besoin de solitude pour te reconnecter à toi m'aime !
Parfois il est bon de dormir et de ne sortir qu'en forêt ou voir que des trucs rigolos parce que de toute façon l'harmonie n'est pas dehors, n'est pas de ce monde, elle n'est qu'en toi en la retrouvant....et quand tu l'auras retrouvée tu pourras alors te sentir prêt.
En attendant tu dois retrouver des forces, elles sont en toi, mais tu peux aussi en puiser auprès de la nature si tu peux, ainsi que des gens qui t'aiment vraiment, amis famille et ta psy qui te guidera a les retrouver, te souvenirs.....
je ne serais pas là du weekend, je monte en altitude pour respirer l'air frais de la montagne dans une bergerie sans électricité , aucune énergie négative, au grand air, au direct du vrai (pour moi) et je t'enmène avec moi en pensées :wink:
Depuis quelques jours je me promène 1h dans la nature, ça m'aère l'esprit et me permet de couper un peu la journée.
La période n'est pas simple, j'ai ces douleurs depuis qques jours, bc de fatigue donc ça demande des efforts malgré tout.
Bon w-e à toi, prends bien l'air !
laurenzo à dit:C'est ce qui est un peu bizarre, ces dernières semaines mes symptômes ont bc évolué. Depuis quelques jours j'ai des douleurs dans le corps, un peu l'impression d'avoir 80 ans, ce que je n'avais pas avant.
La thérapie en profondeur donne parfois cette sensation, le chaos avant la reconstruction intérieure ?...
Alors je ne sais pas si cela est dû aux derniers traitements que j'ai pris et qui m'auraient "cassé" ou si on peut l'attribuer à autre chose. Mon médecin lui y voit de la fibro et veut forcément partir dans le traitement médical de la fibro à savoir antidépresseurs etc... (sachant qu'avant cette semaine il ne m'avait jamais parlé de fibro).
Intemporelle à dit:La thérapie en profondeur donne parfois cette sensation, le chaos avant la reconstruction intérieure ?...
Intemporelle à dit:Heu... quel rapport avec la fibro et les anti-dépresseurs ? vous parlez bien de fibromalgie ? si oui, par curiosité que vous a dit votre médecin à ce sujet ?
Pour moi, la fibromalgie est une manifestation coporelle pour indiquer à l'individu son affaiblement psychique, physique, l'amplification des tensions intérieures qui usent son système immunitaire, son organisme tout entier et provoque toutes sortes de douleurs/crampes musculaires.
laurenzo à dit:Intemporelle à dit:La thérapie en profondeur donne parfois cette sensation, le chaos avant la reconstruction intérieure ?...
J'aimerais bien oui. Ma psy m'avait parlé d'une possible descente où je serais vidé. Disons que si c'est provisoire et que cela mène à un mieux, pas de problème je peux le gérer, si ça s'installe par contre. :?
Intemporelle à dit:Heu... quel rapport avec la fibro et les anti-dépresseurs ? vous parlez bien de fibromalgie ? si oui, par curiosité que vous a dit votre médecin à ce sujet ?
Pour moi, la fibromalgie est une manifestation coporelle pour indiquer à l'individu son affaiblement psychique, physique, l'amplification des tensions intérieures qui usent son système immunitaire, son organisme tout entier et provoque toutes sortes de douleurs/crampes musculaires.
Pour mon médecin (et pour bc de médecins je pense), la fibro est une maladie un peu mystérieuse dans la lignée de la spasmo ou de la fatigue chronique. Il considère cela comme un dérèglement des neurotransmetteurs, dérèglement que pourraient corriger certains antidépresseurs. Pour lui il n'y a pas le choix, il faut prendre ces médicaments.
Je précise que par le passé, il m'avait également prescrit ce type de molécule faute de lésion organique. J'en ai pris un certain nombre sans impact sur mes symptômes si ce n'est des effets 2aires pas forcément super sympa. Je lui ai rappelé ces nombreux médicaments pris, selon lui on peut tester 10 AD sans résultat et aller très bien avec le 11ème.
Intemporelle à dit::arrow: En terme de besoin, je dirais qu'être rassuré et sécurisé est important actuellement.
Rassuré et sécurisé par rapport à quoi ? si vous allez vous en sortir ?... vous savez très bien que vous le pouvez, non en fait vous ne le savez pas, mais vous pouvez le faire...
Intemporelle à dit:Rassuré et sécurisé ne pas avoir de maladie grave ? non vous êtes juste submergé par vos émotions qui dérèglent tout votre organisme physique et psychique.
Intemporelle à dit:Globalement tous ces échanges y compris avec les autres internautes, vous apporte t-il des réponses à vos questions ?
Intemporelle à dit:laurenzo à dit:Intemporelle à dit:La thérapie en profondeur donne parfois cette sensation, le chaos avant la reconstruction intérieure ?...
J'aimerais bien oui. Ma psy m'avait parlé d'une possible descente où je serais vidé. Disons que si c'est provisoire et que cela mène à un mieux, pas de problème je peux le gérer, si ça s'installe par contre. :?
Intemporelle à dit:Heu... quel rapport avec la fibro et les anti-dépresseurs ? vous parlez bien de fibromalgie ? si oui, par curiosité que vous a dit votre médecin à ce sujet ?
Pour moi, la fibromalgie est une manifestation coporelle pour indiquer à l'individu son affaiblement psychique, physique, l'amplification des tensions intérieures qui usent son système immunitaire, son organisme tout entier et provoque toutes sortes de douleurs/crampes musculaires.
Pour mon médecin (et pour bc de médecins je pense), la fibro est une maladie un peu mystérieuse dans la lignée de la spasmo ou de la fatigue chronique. Il considère cela comme un dérèglement des neurotransmetteurs, dérèglement que pourraient corriger certains antidépresseurs. Pour lui il n'y a pas le choix, il faut prendre ces médicaments.
Je précise que par le passé, il m'avait également prescrit ce type de molécule faute de lésion organique. J'en ai pris un certain nombre sans impact sur mes symptômes si ce n'est des effets 2aires pas forcément super sympa. Je lui ai rappelé ces nombreux médicaments pris, selon lui on peut tester 10 AD sans résultat et aller très bien avec le 11ème.
Oui c'est mystérieux pour la médecine générale car elle ne fait pas partie d'une maladie organique repérable, c'est le système énergétique de votre organisme qui est en déficit... donc je maintiens ce que j'ai dit précédemment (idem pour la fatigue chronique ou spasmophilie).
Perso, je ne pense pas qu'un AD puisse avoir un impact sur la fibromalgie, oui je sais je ne suis pas médecin, mais en étant honnête Laurenzo, tous ces médecins vous ont-ils vraiment aidé ?... (car si j'ai bien compris ça fait un moment que ça dure...) L'image du médecin, du spécialiste a encore un impact important sur vous, si seulement vous pouviez trouver votre force intérieure, de quoi avez vous le plus besoin à ce jour Laurenzo ? (d'être aimé ? respecté ? sécurisé, ....)
« Dans ces moments, je suis comme replié sur moi, enfermé dans mes symptômes tout comme je me sens enfermé dans la situation. Par exemple si je suis au restaurant ou en réunion, je peux difficilement partir en plein milieu donc cette absence de liberté me fait focaliser sur ces maudits symptômes et ça les amplifie. Si je peux m'enfuir, les symptômes diminuent aussi vite qu'ils sont arrivés. C'est une mauvaise stratégie puisque ça épuise au bout d'un moment tout comme le fait de rester à vivre ces symptômes épuise. »
Au début, j’avoue avoir été étonné de l’approche de votre psy : elle vous apprend à vous associer ? Et puis, je me suis dit : c’est logique, s’il vit constamment en dissociation : en d’autres termes : si en permanence vous vivez sur le registre du contrôle, il est normal que votre inconscient un jour ou l’autre vous dise : « tu ne comprends rien à ce qui se passe. Arrête ce que tu fais ! » et que cela se manifeste par des symptômes. En fait, vous avez en permanence des symptômes et au restaurant ou en réunion, vous savez au moins ce qu’il faut faire pour aller mieux : fuir ! Mais vous ne pouvez pas. D’où le conflit : que faire… Contrôler ces symptômes que je n’arrive pas à contrôler ? Je ne peux pas partir, alors, que faire ? Angoisse : et ça va de plus en plus mal parce que plus vous angoissez, plus vous vous épuisez… et plus vous vous épuisez, plus vous vous angoissez.« C'est un sentiment d'impuissance, d'infériorité, ça me donne l'impression d'être bizarre, anormal, mon corps m'échappe et plus il m'échappe plus cela m'angoisse ».
Vous êtes dans un paradoxe : dès lors que l’on tente de contrôler ce qu’il ne faudrait pas contrôler, on obtient un paradoxe qui ne fait que renforcer ce que l’on tente d’éviter. La solution ? Se calmer, pour commencer. Se souvenir que vous êtes réellement libre et que vous pouvez quitter vos convives pour n’importe quel prétexte, mais aussi que, fort probablement ça ne sera pas nécessaire de partir. Détendez-vous, respirez. Faites-vous confiance. Demandez à votre inconscient : que veux-tu ? Plus exactement : demandez-vous à vous-même : de quoi ai-je besoin réellement et qu’est-ce qui pourrait vraiment me faire plaisir en cet instant ? Vous n’aurez peut-être pas de vraie réponse, mais le but étant de se calmer, vous finirez peut-être par trouver un « ils m’ennuient avec cette réunion, j’ai envie de leur dire ! » Ou encore : « J’ai besoin de parler un peu, de bouger, de boire un café… un petit rien qui me donnera l’impression de penser un peu plus à moi ». N’essayez pas d’aller mieux… essayez d’avoir envie d’aller mieux (c’est très différent et cette dernière formulation contourne le paradoxe). Finalement, détendez-vous et essayez de penser à autre chose…« On peut se lever 1 fois, pas 5 fois à chaque réunion ou passer la moitié du repas dehors. Quand mon esprit est occupé et libre (ou p-e en fuite), alors les symptômes sont moins présents. »
Globalement, vous êtes épuisé ! Cela peut expliquer tous les symptômes que vous avez. Vous êtes fatigué, dites-vous ; mais combien d’heure dormez-vous la nuit ? Je l’ai déjà dis, toute thérapie devrait commencer par cette question surtout si la plainte concerne la fatigue. Maintenant, si à un moment de votre vie vous vous sentiez particulièrement fort, je vous encourage aussi à vous méfier de cet idéal qui n’en est pas un. L’épuisement entraîne fréquemment une sorte de trouble bipolaire : ça va très bien, puis très mal. On stress, puis on déprime. Et l’équilibre n’est pas le remède à tous ces mots… contrairement à ce qu’on en dit souvent… Il s’agit de devenir plus flexible… de se reposer, de s’économiser, de doser le stress, d’augmenter le repos et de chercher ce qui vous fait réellement du bien et seulement à la fin du compte vous obtiendrez cet équilibre souple dont vous avez besoin. La marche ? Très bon exemple de ce qui vous aidera… Et le bien-être psy ? Qu’aimeriez vous ? Pour vous ? Qu’est-ce qui vous ferait plaisir, ici et maintenant ? Demain ou dans dix ans ?« de ma vie où j'étais le plus heureux étaient celles où je me sentais fort, j'avais alors une vraie sérénité ».
L’excès de contrôle vous empêche d’être à votre écoute. Il faut réapprendre à s’associer pour s’écouter (et avoir de l’information). A se dissocier pour souffrir moins (et analyser l’information). Mais, comme vous vous dissociez de trop, la solution (se dissocier) est devenu le problème. J’ai envie de dire, comme tout à l’heure : apprenez à vous dissocier utilement et à vous associer pour sentir la vie, notamment le plaisir qui vous manque tant« Ma progression c'est de désormais réussir à m'associer à mes émotions, je les exprime plus. Avant par exemple je pouvais pleurer mais en voyant un film où une situation m'émouvait. C'était ce que les autres vivaient qui m'émouvait, pas quelque chose qui me concernait directement. »
C’est bien. Cela vous permet de vous rééquilibrer de vous écouter vous-même un peu plus. Mais attention, cela ne veut pas dire qu’exprimer sa colère est la seule solution….« J'ai également progressé dans le fait de dire quand ça ne va pas. J'exprime ma colère par exemple, je le dis quand quelque chose ne me plait pas. »
Apprenez à penser à vous, et ensuite seulement aux autres. On ne peut, de toute manière, vraiment donner aux autre que lorsqu’on en a assez pour soi.« J'ai globalement bc plus pensé aux autres qu'à moi-même »
Vivez que diable (même si c’est un peu facile à dire comme ça) ! Un obsessionnel guérit disait un jour : parfois ça m’arrive encore d’avoir envie de me laver les mains plusieurs fois de suite. Eh bien aujourd’hui, je me barre et je fais autre chose.« Ce qui provoque les symptômes c'est le fait d'être enfermé dans cette situation, je vais alors focaliser sur l'apparition des symptômes puis sur leur renforcement. Je suis alors comme coupé du monde et enfermé dans les symptômes »
C’est tout le problème de la fatigue ! Cherchez ce qui vous fait du bien. Sortez utilement et progressivement de plus en plus. Le problème, c’est que vous avez besoin d’activité, mais que vous êtes trop épuisé pour en avoir…« Ces temps-ci je suis vraiment fatigué, épuisé, comme si mon corps était à bout.
- Si je reste chez moi à dormir, c'est assez peu satisfaisant comme vie, même déprimant.
- Si je sors, très rapidement je suis confronté à ma fatigue, à des symptômes, bref je me sens pas trop à ma place non plus. »