P
pillywigynn
Membre
- messages
- 3
- Points
- 560
Petite fleur à dit:J'ai jamais entendu ça, un fort désir sexuel ?... J'aurais plutôt dit le contraire, mais en fait je ne vois pas le rapport...
vous pouvez développer ?...
Enfin, ce sont mes propres observations...
Le parent (mais dans les familles nombreuses, ça peut être un frère ou une soeur ainé (e)) est le premier grand amour de notre vie, celui qui colore toutes nos relations futurs.
Faire le deuil de ce premier grand amour libère en quelque sorte une sexualité que je qualifierais "d'exclusive" ...
Pour aller encore plus loin dans mes observations, l'homme n'aurait sans doute plus besoin de ces petites pilules bleues si la conjointe faisait le deuil définitif de son père. Le processus est le même pour la femme.
C'est ce que j'appelle un "symptôme" de conscientisation... c'est un symptôme physique et très palpable... je dirais... :lol:
-------------------------
Vous, vous n'avez pas tort dans ce que vous venez d'écrire mais Freud, oui. Bien sûr que ça se manifeste dans la sexualité de l'adulte puisque c'est le but de la phase oedipienne.
Le parent (mais dans les familles nombreuses, ça peut être un frère ou une soeur ainé (e)) est le premier grand amour de notre vie, celui qui colore toutes nos relations futurs.
Faire le deuil de ce premier grand amour libère en quelque sorte une sexualité que je qualifierais "d'exclusive" ...
Pour aller encore plus loin dans mes observations, l'homme n'aurait sans doute plus besoin de ces petites pilules bleues si la conjointe faisait le deuil définitif de son père. Le processus est le même pour la femme.
C'est ce que j'appelle un "symptôme" de conscientisation... c'est un symptôme physique et très palpable... je dirais...
Petite fleur à dit:Vous, vous n'avez pas tort dans ce que vous venez d'écrire mais Freud, oui. Bien sûr que ça se manifeste dans la sexualité de l'adulte puisque c'est le but de la phase oedipienne.
Donc Léo, ça revient à ce que je disais dans un autre message :
Le parent (mais dans les familles nombreuses, ça peut être un frère ou une soeur ainé (e)) est le premier grand amour de notre vie, celui qui colore toutes nos relations futurs.
Faire le deuil de ce premier grand amour libère en quelque sorte une sexualité que je qualifierais "d'exclusive" ...
Pour aller encore plus loin dans mes observations, l'homme n'aurait sans doute plus besoin de ces petites pilules bleues si la conjointe faisait le deuil définitif de son père. Le processus est le même pour la femme.
C'est ce que j'appelle un "symptôme" de conscientisation... c'est un symptôme physique et très palpable... je dirais...
L'enfant n'a pas de désir sexuel mais plutôt un amour pour son parent de sexe opposé. Amour qui se manifeste par la sexualité à la puberté.
Donc, arriver à se libérer de ce premier amour, (dans un deuil par exemple) provoque du coup la libération d'une "toute nouvelle sexualité"... une sexualité plus authentique, moins exclusive.
------------------------
Métaphore à dit:Je ne comprends toujours pas ce que vous dites ?... :roll:
:arrow: L'enfant n'a pas de désir sexuel mais plutôt un amour pour son parent de sexe opposé. Amour qui se manifeste par la sexualité à la puberté.
Si je suis votre raisonnement, l'enfant serait amoureux affectivement d'un des parents, mais se manifesterait de façon sexuelle à la puberté, c'est à dire ? cette sexualité se manifesterait envers le parent ? c'est pas clair...
Si c'est le cas je ne partage pas du tout cet avis, et encore moins ce qui suit...
Oui vous avez raison mais ce deuil doit se faire à la résolution de la phase oedipienne. S'il n'est pas fait alors, il doit être fait plus tard, comme vous l'évoquez. Et, oui, cela libérera la personne et fera d'elle un meilleur partenaire pour un couple mature.
Métaphore à dit:Mouais... c'est pas clair son raisonnement, faire le deuil d'une affection parentale afin de se libérer sexuellement... je crois qu'elle se perd elle même dans ce qu'elle dit si on reprend le suivi de ces messages sur ce post :roll: ...
Petite fleur à dit:Oui vous avez raison mais ce deuil doit se faire à la résolution de la phase oedipienne. S'il n'est pas fait alors, il doit être fait plus tard, comme vous l'évoquez. Et, oui, cela libérera la personne et fera d'elle un meilleur partenaire pour un couple mature.
Oui, tout à fait, mais pour la très grande majorité, ce n'est pas fait.
Et cette problématique engendre d'ailleurs une grande confusion chez les mordus de psychologie jungienne... Confusion entre animus et la figure du père et anima et figure de la mère.
------------------
Vous pouvez élaborer?
Mais j'aurai toujours un faible pour Freud étant donné son approche plus "zoologique" et moins spirituelle de la psychologie.
Leo Lavoie à dit:Je ne sais pas vraiment, je n'ai pas trop cette tendance à l'investigation que vous semblez avoir. C'est fou ce que vous semblez vouloir chercher "la faille" plutôt que de comprendre le fond des choses. Des failles, si on cherche, on en trouvera partout et avec tout le monde. L'intransigeance c'est pas toujours de mise.
Je ne cherche pas la faille, je cherche à comprendre celui qui s'exprime, mais il est vrai que j'aime pousser l'autre jusqu'à ses retranchements pour connaître son authenticité, sa compréhension sur le sujet qu'il exprime, j'aime aller jusqu'au fond des choses dans des discussions.
C'est vous qui trouvez que je suis intransigeante, mais au contraire je veux comprendre l'autre, mais pour cela il faut que je comprenne ce qu'il dit...si c'est parler pour ne rien dire ça ne m'intéresse pas...
Son but était de dire qu'il faut faire le deuil de son amour oedipien pour avoir une meilleure sexualité avec son conjoint. Et c'est vrai.
Et bien si c'est cela, elle a pris un chemin très détourné...
surderien à dit:...si c'est parler pour ne rien dire ça ne m'intéresse pas.
souvent les mots des uns ne signifient pas la même chose que les mots des autres
= ma version valikor d'ailleurs, par d'autres mots