jeangeneve
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je soumet a votre sagacité quelques-unes de mes digressions quand à la prise en charge médicale.
Je vais tenter d'aller au delà de la polémique sur les protocoles standard qui semble pathologiser ceux et celles qui s'y conforme pas comme prévu:
Ou alors de tenter si cela est possible de renforcer ma parano et vous l'assener...
Donc en gros je perçois ceci et après lecture cela est bien les protocoles prévu :
ä la prise en charge il est demandé une attention particulière, induire et se préoccuper du confort du patient , prendre en charge et établir le lien et la confiance.
Certes on peu y voir une permission à la régression, l'offrir ou plus, l'obtenir.
le patient est donc "objet de toutes les attention" dans le plus grand calme, le silence surtout, l'écoute et l'attention toujours l'attention.
la prise en charge la bien nommée.
le patient ainsi "endormi" est plus à même a s'adapter aux contraintes proposée ensuite
pour ensuite un peu tomber dans une forme de transfert et dans une suggestibilité accrue
le patient lâche prise, pour ensuite une fois les soins appliqué par une phase de frustration et de retour à l'autonomie:
une bonne partie de la littérature médicale insiste et édicte différentes phases de la prise en charge.
ce cetre de toute les attention est agrémenté par de multiples exams techniques, certes nécessaires pour démonter que l'on part à toute éventualités et que on s'occupe bien du patient.
Dans les faits en ambulatoire c'est un peu pareil...
pour pas vous le cacher, je viens juste de passer cette étape en tant que patient...
Puis il s'est passé quelque chose, un flottement, un décalage.
au fil des exams, c'était pas disons possible, je devais <<être>> malade.
après chaque exams, une consultation était nécessaire pour m'expliquer que statistiquement je suis malade ou vais tomber malade que ce serais pas possible autrement.
s'en suive d'autres exams pour exclure toutes complications au fil des exams et des consultations, l'attention et les craintes du personnel médical s'accentue et les RDV s'enchaîne pourtant je pète le feu, et je suis le seul à ne pas être tombé malade durant cet hiver.
après un mois et 2500 euros plus tard, début de conflis avec le corps médical et difficulté a faire valoir mon point de vue suite à l'injonction de prendre des antibiotiques a titre préventif.
Là, me viens ma première question...
Si je prend un antibiotique préventivement, ce ne serais pas comme accepter de tomber malade, de lâcher prise pour du coup... tomber malade ?
au cours du même entretien, j'ai été invité à encore faire des investigations ophtalmologiques, ce que j'ai refusé.
le lendemain un de mes oeil était rouge et douloureux...
Globalement durant cette prise en charge...
ne peut on pas imaginer la possibilité d'un coté suggestif ?
non voulu bien sur !
Et puis globalement je suis mal à l'aise...
A un moment ou je prend ma santé en main ou j' y suis attentif, je suis invité a lâcher prise, à être pris en charge.
que penser vous ?
Je vais tenter d'aller au delà de la polémique sur les protocoles standard qui semble pathologiser ceux et celles qui s'y conforme pas comme prévu:
Ou alors de tenter si cela est possible de renforcer ma parano et vous l'assener...
Donc en gros je perçois ceci et après lecture cela est bien les protocoles prévu :
ä la prise en charge il est demandé une attention particulière, induire et se préoccuper du confort du patient , prendre en charge et établir le lien et la confiance.
Certes on peu y voir une permission à la régression, l'offrir ou plus, l'obtenir.
le patient est donc "objet de toutes les attention" dans le plus grand calme, le silence surtout, l'écoute et l'attention toujours l'attention.
la prise en charge la bien nommée.
le patient ainsi "endormi" est plus à même a s'adapter aux contraintes proposée ensuite
pour ensuite un peu tomber dans une forme de transfert et dans une suggestibilité accrue
le patient lâche prise, pour ensuite une fois les soins appliqué par une phase de frustration et de retour à l'autonomie:
une bonne partie de la littérature médicale insiste et édicte différentes phases de la prise en charge.
ce cetre de toute les attention est agrémenté par de multiples exams techniques, certes nécessaires pour démonter que l'on part à toute éventualités et que on s'occupe bien du patient.
Dans les faits en ambulatoire c'est un peu pareil...
pour pas vous le cacher, je viens juste de passer cette étape en tant que patient...
Puis il s'est passé quelque chose, un flottement, un décalage.
au fil des exams, c'était pas disons possible, je devais <<être>> malade.
après chaque exams, une consultation était nécessaire pour m'expliquer que statistiquement je suis malade ou vais tomber malade que ce serais pas possible autrement.
s'en suive d'autres exams pour exclure toutes complications au fil des exams et des consultations, l'attention et les craintes du personnel médical s'accentue et les RDV s'enchaîne pourtant je pète le feu, et je suis le seul à ne pas être tombé malade durant cet hiver.
après un mois et 2500 euros plus tard, début de conflis avec le corps médical et difficulté a faire valoir mon point de vue suite à l'injonction de prendre des antibiotiques a titre préventif.
Là, me viens ma première question...
Si je prend un antibiotique préventivement, ce ne serais pas comme accepter de tomber malade, de lâcher prise pour du coup... tomber malade ?
au cours du même entretien, j'ai été invité à encore faire des investigations ophtalmologiques, ce que j'ai refusé.
le lendemain un de mes oeil était rouge et douloureux...
Globalement durant cette prise en charge...
ne peut on pas imaginer la possibilité d'un coté suggestif ?
non voulu bien sur !
Et puis globalement je suis mal à l'aise...
A un moment ou je prend ma santé en main ou j' y suis attentif, je suis invité a lâcher prise, à être pris en charge.
que penser vous ?