M
Métaphore
Invité
surderien à dit:Et je voudrais bien être convaincu de l'efficacité de ces techniques là
car si je l'étais c'est ce que je ferais dans ma pratique
Mais comme vous n'oserez pas essayer si vous n'êtes pas convaincu de l'efficacité
Vous n'essaierez donc pas
et vous ne pouvez donc pas être convaincu par vous mêmes !
CQFD
:roll:
vous serez en fait incapable de vous en convaincre vous mêmes, parce que vous n'oserez pas utiliser une (nouvelle) technique
d'essayer quelque chose dont vous ne seriez pas convaincu de l'efficacité
et qui vous sortirait de vos (anciennes) certitudes mais qui serait donc efficace sur vous mêmes en premier. Et çà vous ne pouvez l'accepter !
Vous voudriez bien, mais vous ne voulez pas !
:x
Réalité, vous confondez tout (correction d'énergie, faire descendre les émotions négatives à 0, etc).
Tout cela me fait un peu bondir... dire qu'on a terminé son travail sur une intensité émotionnelle à 3/4 est aberrant... l'émotion doit retomber à 0.
Soit le travail n'est pas suffisant, soit il y a un blocage d'énergie, (donc travailler sur les corrections d'énergie)
Concernant les Etats du Moi, non je ne fais pas référence à E. BERNE.
Bref, tout cela je l'ai déjà largement développé dans de nombreux topics (au vu de mes 4524 messages) et je ne vais pas recommencer pour la énième fois... désolée mais à vous de rechercher si cela vous intéresse.
Leo Lavoie à dit:surderien à dit:Et je voudrais bien être convaincu de l'efficacité de ces techniques là
car si je l'étais c'est ce que je ferais dans ma pratique
Mais comme vous n'oserez pas essayer si vous n'êtes pas convaincu de l'efficacité
Vous n'essaierez donc pas
et vous ne pouvez donc pas être convaincu par vous mêmes !
CQFD
:roll:
vous serez en fait incapable de vous en convaincre vous mêmes, parce que vous n'oserez pas utiliser une (nouvelle) technique
d'essayer quelque chose dont vous ne seriez pas convaincu de l'efficacité
et qui vous sortirait de vos (anciennes) certitudes mais qui serait donc efficace sur vous mêmes en premier. Et çà vous ne pouvez l'accepter !
Vous voudriez bien, mais vous ne voulez pas !
:x
Z'avez tendance à penser que l'hypnose Éricksonnienne est contre le principe psychanalytique et vous le pensez probablement par ignorance de ce qu'est la psychanalyse.
Je ne suis pas formé en éricksonnien vraiment mais je le dis par soucis d'honnêteté car j'ai quelque formations éricksonniennes et ma formation diplomante se dit éricksonnienne et je connais assez ce qu'est l'hypnose éricksonnienne pour savoir que ce ne l'était pas vraiment.
Je n'ai rien trouvé dans l'hypnose éricksonnienne qui aille contre les principes de la psychanalyse et je trouve les deux de plus en plus complémentaires . Et j'emploie déjà des techiques éricksonniennes; vous vous mettez un doight dans l'oeil là.
Mais mon hésitation actuelle est tout simplement de prendre du temps qui m'est précieux pour parfaire mon "ericksonnien" et, justement c'est dans l'expérience des techniques éricksonniennes que je pratique aussi que je verrais si je m'oriente vers cette direction. Je n'ai JAMAIS été sectaire moi...
-Réalité- à dit:Eh bien, je préfère la qualité à la quantité et la précision à l’approximation. Nonobstant ces préférences personnelles, j’ai apprécié cette conversation avec vous et je vous en remercie.
On pourrait définir ceci comme l'attachement émotionnel à ce qu'on croit ne pas pouvoir changer, alors que l'univers et la vie ne sont que changements permanents, instant après instant. Voilou !
Krishnamurti, Monroe, et d'autres diraient que la peur de l'inconnu (donc du changement) ne se résume qu'à la peur de se libérer du connu. Et tout le monde a encore de grandes ou petites peurs. Ca va de la panique extrême à de petites peurs résiduelles. C'est variable.
Il y a aussi cette croyance dans l'illusion qu'on est le corps physique (ou croire qu'on est une auto, c'est la même chose), alors que la conscience est immortelle, éternelle
-Réalité- à dit:Bonjour xorguina.
Bonjour Réalité
On pourrait définir ceci comme l'attachement émotionnel à ce qu'on croit ne pas pouvoir changer, alors que l'univers et la vie ne sont que changements permanents, instant après instant. Voilou !
Krishnamurti, Monroe, et d'autres diraient que la peur de l'inconnu (donc du changement) ne se résume qu'à la peur de se libérer du connu. Et tout le monde a encore de grandes ou petites peurs. Ca va de la panique extrême à de petites peurs résiduelles. C'est variable.
Qu’il y ait de l’inquiétude face à l’inconnu, personnellement, j’ai tendance à trouver cela normal. Oui ça se comprends mais ce que je trouve normal c'est ,le changement Cependant, assez souvent, l’inconnu gagnera à être connu pour en devenir moins effrayant.S'il y a prise de conscience de ses propres responsabilités aux changements, oui il n'y aura plus de peur. Et dans le cadre de la « névrose » il y a, en effet, ce que la personne croit impossible de changer et qui permet à sa prison fictive de perdurer. Ce qu’elle a donc à connaitre, c’est que cette prison, c’est elle même qui se l’est construite avec des comportements, des rôles existentiels et des pensées qui la rendent malade et lui font confondre l’irréel et le réel, l’impossible et le possible. Oui, que ce soit conscient ou inconscient nous restons créateurs de nos vies et cocréateurs de ce monde .
Il y a aussi cette croyance dans l'illusion qu'on est le corps physique (ou croire qu'on est une auto, c'est la même chose), alors que la conscience est immortelle, éternelle
La conscience n’est-elle pas toujours conscience de quelque chose ? Et pour être conscient de quelque chose ne faut-il pas qu’il y ait une perception, une sensation ? Or sans organe sensoriel et sans corps comment cela serait-il possible ?
la conscience à préséance, elle est créativité (f) créatrice (m). C'est ça qu'il faut prendre conscience .
Comme le "névrosé" qui ne voit pas qu'il a crée sa propre prison, nous ne voyons pas que c'est la conscience qui a crée le corps....qu'il n'y a donc pas lieu de s'y attacher, juste s'en servir...... et/où par ex/de croire que c'est impossible de s'autoguérir.
C'est l'attachement à la matière, aux émotions que nous avons crées ! qui nous empêche de croire à l'infini de tous les possibles et d'accepter que le changement se produit d'instant en instant de partout que rien est permanent....que la conscience passe par l'adn( Amour Dans Nous )
S'il y a prise de conscience de ses propres responsabilités aux changements, oui il n'y aura plus de peur.
la conscience à préséance, elle est créativité (f) créatrice (m). C'est ça qu'il faut prendre conscience .
Comme le "névrosé" qui ne voit pas qu'il a crée sa propre prison, nous ne voyons pas que c'est la conscience qui a crée le corps....qu'il n'y a donc pas lieu de s'y attacher, juste s'en servir...... et/où par ex/de croire que c'est impossible de s'autoguérir.
C'est l'attachement à la matière, aux émotions que nous avons crées ! qui nous empêche de croire à l'infini de tous les possibles et d'accepter que le changement se produit d'instant en instant de partout que rien est permanent....que la conscience passe par l'adn( Amour Dans Nous )
-Réalité- à dit:xorguina
S'il y a prise de conscience de ses propres responsabilités aux changements, oui il n'y aura plus de peur.
Eh bien, il est certain que cette prise de conscience qu’il lui est possible de sortir de sa prison pourra, dans un premier temps, provoquer un certain enthousiasme chez l’individu. Cependant, il se retrouve alors face à ses responsabilités, comme vous dites. Et en prenant conscience qu’il est « l’artisan de son propre malheur » (Watzlawick), dès lors, il ne pourra plus convoquer la société, papa ou maman, Dieu ou les gênes ou je ne sais quoi encore comme excuses. Donc voilà que tout soudain, c’est à lui qu’incombe de faire des efforts pour changer, la guérison ne s’obtenant pas magiquement comme ont pu le faire croire pendant longtemps les thérapies par la parole, par exemple. Et vous savez quoi ? Devant les efforts qu’il y a fournir certains seront effrayés et se déballonneront : « Oh ! Finalement, je n’ai pas trop envie de changer » et ils passeront alors de l’enthousiasme ou de la foi à la mauvaise foi.
:arrow: dès lors, il ne pourra plus convoquer la société, papa ou maman, Dieu ou les gênes ou je ne sais quoi encore comme excuses.
wi exactement :lol: être responsable, c'est ne plus rentrer dans le jeu du bourreau, victime , sauveur...
:arrow: Et vous savez quoi ? Devant les efforts qu’il y a fournir certains seront effrayés et se déballonneront : « Oh ! Finalement, je n’ai pas trop envie de changer » et ils passeront alors de l’enthousiasme ou de la foi à la mauvaise foi.
Wi.....l'adaptation aux changements ....
la conscience à préséance, elle est créativité (f) créatrice (m). C'est ça qu'il faut prendre conscience .
Comme le "névrosé" qui ne voit pas qu'il a crée sa propre prison, nous ne voyons pas que c'est la conscience qui a crée le corps....qu'il n'y a donc pas lieu de s'y attacher, juste s'en servir...... et/où par ex/de croire que c'est impossible de s'autoguérir.
C'est l'attachement à la matière, aux émotions que nous avons crées ! qui nous empêche de croire à l'infini de tous les possibles et d'accepter que le changement se produit d'instant en instant de partout que rien est permanent....que la conscience passe par l'adn( Amour Dans Nous )
Il y a quelque chose dans votre approche du corps qui m’interpelle. Par ailleurs, je trouve que votre perspective au sujet de l’ « attachement aux émotions » est loin d'être inintéressante…
Pas besoin d'extérieur....que de son intégrité et ethique personnelle....tout , vraiment tout est intérieur.surderien à dit:C'est l'attachement à la matière, aux émotions que nous avons crées ! qui nous empêche de croire à l'infini de tous les possibles et d'accepter que le changement se produit d'instant en instant de partout que rien est permanent....que la conscience passe par l'adn( Amour Dans Nous )
c'est l'attachement à ce que nous avons crééwi !
oui, je pense que là est bien le piège de notre mental : une auto construction dont il ne peut plus se sortir !Mais si....tout est possible 8)
Sauf par dissociation H où il se rend compte du processus qu'il a lui-même créé et, en se voyant se voir, il peut alors en sortir...
Ou en étant tout simplement conscient !
8)
ou trouver que cela était bien et préférer y rester...libre choix
:roll:
là est encore une fois le risque de l'auto-hypnose sans superviseur extérieur : de renforcer ses propre attachements bloquants...
c'est peut être parce que j'englobe tout les attachements d'un coup ?
L'attachement au corps , à la matière , n'est 'il pas aussi au fond émotionnel ?
Etre conscient demande des efforts, mais efforts joyeux ,victoire complète
J'aime(je m'identifie) bien aussi votre(ton ?) approche du questionnement de la réalité
-Réalité- à dit:xorguina
c'est peut être parce que j'englobe tout les attachements d'un coup ?
Je vois. :wink:
L'attachement au corps , à la matière , n'est 'il pas aussi au fond émotionnel ?
Etre conscient demande des efforts, mais efforts joyeux ,victoire complète
On peut être attaché à une croyance, à un système de pensée, à un rôle et aussi une émotion. Là, et pour reprendre votre exemple de la « victime », ce pourrait être l’attachement à la tristesse en apparaissant par exemple comme l’expression d’un impossible deuil pour l’entourage avec pour bénéfice de susciter son aide et sa sympathie .
oui le rôle de victime peut être cité dans ce cas...il y a tellement de jeu de rôlec'est là qu'il faut désirer être attentif, pour ne pas se laisser emporter.....pour l'attachement au corps, c'est encore autre chose.....nous nous attachons à lui car nous croyons réellement qu'il a préséance sur nous, sur le Soi.....je vais même aller plus loin, je pense que nous nous bloquons à toute les transmutations possibles que nous pourrions faire avec.....style androgyne, téléportation ect ..... :lol:
Oui, être conscient demande des efforts. Mais, de mon point de vue, c’est insuffisant car le changement en implique d’autres comme celui de trouver un comportement plus pertinent mais aussi de s’astreindre régulièrement à le substituer à celui qui était problématique pour qu’il devienne comme une seconde nature.
oui biensûr, mais celà s'acquiert avec d'abord la pratique à l'attention de ses comportements ancrés....les observer, et ensuite observer l'observateur qui lui observera l'observé sans être pris par l'émotion, l'égo le mental quoi ! :lol:
Et là, on est réellement conscient du jeu qui se passe :wink:
J'aime(je m'identifie) bien aussi votre(ton ?) approche du questionnement de la réalité
Eh bien, tant mieux si mes propos vous touchent car j’ai souvent l’impression de parler dans le vide sur ce forum !
Couchetard22 à dit:Il est possible que le concept soit la brique qui solidifie notre monde et les émotions, le ciment...
Le ciment c'est que le Soi qui fusionne avec l'autre Soi , l'autre Soi c'est l'autre brique.....les émotions, le mental, l'égo serait le sable , l'eau , la poudre du ciment :lol:
Nous sommes les architectes de notre vie, nos créations s'intègrent plus ou moins harmonieusement dans le paysage.
Quel paysage au fait? :wink:
oui le rôle de victime peut être cité dans ce cas...il y a tellement de jeu de rôlec'est là qu'il faut désirer être attentif, pour ne pas se laisser emporter.....pour l'attachement au corps, c'est encore autre chose.....nous nous attachons à lui car nous croyons réellement qu'il a préséance sur nous, sur le Soi.....je vais même aller plus loin, je pense que nous nous bloquons à toute les transmutations possibles que nous pourrions faire avec.....style androgyne, téléportation ect ..... :lol:
oui biensûr, mais celà s'acquiert avec d'abord la pratique à l'attention de ses comportements ancrés....les observer, et ensuite observer l'observateur qui lui observera l'observé sans être pris par l'émotion, l'égo le mental quoi ! :lol:
Et là, on est réellement conscient du jeu qui se passe :wink:
Pareil ^^ mais tu sait quoi ? j'aime bien le vide...car le vide est loin d'être vide en réalité, il est plein d'infini de tous les possibles dans tous les multivers ! c'est scientifique quand même hein :lol: , ce qui n'est pas le cas de ce qui est déjà plein:wink:
-Réalité- à dit:Que ces choses puissent calmer l’esprit, nous renseigner ou stopper nos comportements, d’accord.
Mais c’est un peu la même chose que de couper des mauvaises herbes: tôt ou tard elles pourront ressurgir.
Le vrai changement, c’est lorsque de nouvelles plantes poussent à la place des mauvaises herbes et qu’elles donnent de jolies fleurs. C’est-à-dire lorsqu’émergent de nouveaux et de meilleurs comportements et qu’ils s’enracinent.
C’est pourquoi toutes les techniques dérivées de la relaxation ou de la méditation sont certes utiles mais, à mon sens, tout à fait insuffisantes quand il s’agit d’atteindre un objectif de changement ou de réaliser un défi qui nécessite douleurs, efforts, contrainte de soi et recherche de solutions.
valikor à dit:visiblement vous vous y connaissez tellement peu en jardinage que vous confondez arrachez et couper au niveau des mauvaises herbes...
-Réalité- à dit:Pour répondre au sujet de la méditation et de l’individuation…
Si nos pensées et nos émotions surviennent sans que nous en ayons la maitrise, en revanche, avec la méditation on peut constater que l’observation de soi s’installe progressivement et nous fait pénétrer dans un espace de liberté ou provoque une sorte de distance qui nous permets de pas se laisser entrainer par elles, et de rationnaliser. Avec le temps, cela devient comme un réflexe et comme s’il y avait un observateur qui vous disait : « attention, là, tu commences à flipper et là tu t’énerves, tiens, tiens, revoila cette satanée pensée… » Ceci permet de reprendre le contrôle de soi et de gérer la situation à froid (enfin, le plus souvent). C’est ce qu’avait découvert dans les camps de concentration le psychiatre Victor Frankl. Nous ne nous réduisons pas à nos peurs et nos pensées. Nous ne sommes pas comme des boules de billards qu’il suffirait de frapper pour qu’elles se dirigent dans une certaine direction. Cette espace de liberté et cette capacité de contrôle sur nous-même est donc ce qui fonde notre liberté de décision et notre dignité. Bien entendu, tout cela n’est pas sans rapport avec la construction ou la croissance de soi et libre à chacun de s'investir de plus en plus en ce domaine. A ce sujet, il me semble que c’est Sartre qui disait : on est ce que l’on fait et on fait ce que l’on est.