HYPNOMED
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D'abord merci à Castorix de ses réflexions :
la psychothérapie se situe à un niveau cognitif et doit, même si on a aidé au départ chimiquement
à modérer certaines tendances, avoir une capacité à rendre durable ce qui est permis "artificiellement" au début...
Partagez-vous cet espoir ?
https://www.transe-hypnose.com/sujet/reponse-immediate-reponse-retardee.3285/
J’ai attendu que les nuits portent conseil pour synchoniser mon cortex et mon émotionnel car le sujet est sensible…
Et en faire un sujet à part pour apporter des afférents éléments idées et non encore certitudes scientifiques !
D’abord le fait que des produits sont actifs sur le plan narcotique et hypnotique d’une façon reproductible en anesthésie
prouve que ces produits interviennent et sont utilisables dans les circuits cérébraux
- Scientifiquement et pour satisfaire la curiosité intellect, pharmacologiquement
par leurs principes actifs pharmaceutiques, l’acamprosate ( AOTAL *) et le baclofène ( LIORESAL *) agissent par médiation
sur le système gaba, la naltrexone ( REVIA *) sur le système opïoïde, le topiramate ( EPITOMAX *) sur le système glutamate,
le disulfirame ( ESPERAL *) par effet antabuse sur le système dopaminergique, donc directement sur des circuits impliqués
dans le cerveau dans les circuits de la récompense et de la dépendance, c’est un fait acquis.
(Bien sûr sur un cerveau abîmé par des remaniements liés à l’ancienneté de la prise de toxiques, on pourra argumenter
que plus rien n’est plus physio-logique )
- Sur le plan d’une représentation symbolique
Vu de l’extérieur, considérons un consommateur de drogue qui n’en a rien à faire de comprendre ce baratin intello,
mais de vouloir simplement être satisfait en prenant un traitement, comme il l’était auparavant
Dans un contexte de prise en charge globale, proposons au patient de prendre un support médicamenteux en comprimés :
de l’AOTAL par exemple :
- = Substance "pharmacologique" = support cognitif = AFFERENT SUBSTRAT CHIMIQUE ( = substitut efficace à la drogue )
- = Substance "hypnotique" = AFFERENT SUBSTRAT SYMBOLIQUE
S’ILS ONT ENVIE DE NE PAS OUBLIER DE PRENDRE LEUR AOTAL PRESCRIT ... pour oublier le manque
LEUR AOTAL LEUR FERA OUBLIER LEUR ENVIE D’ALCOOL ... = leur apprendre à l’oublier…
ET LEUR REDONNERA DES ENVIES ( DIFFERENTES)...= leurs capacités retrouvées
Là on est bien dans un « script » hypnotique …
- Cela fait alors coup double, sur le plan pharmacologique et sur le plan psychothérapique de l’imaginaire symbolique :
et c’est en cours d’évaluation par IRM fonctionnelle
et avec le Révia, la suggestion hypnotique, rien qu’au nom est immédiate…
Ce qui parait intéressant pour l’emmener dans le rêve…rave…partie…
La prise du cachet après la séance de psychothérapie-hypnose quand il sera rentré chez lui…pour s’en souvenir…
chaque fois qu’il prendra son cachet…en voyant le nom sur la boite…
Un conditionnement déconditionnant ?
Bon d’accord, j'ai pris un peu d'avance…mais n'est ce pas là, la capacité de l’hypnose ?
Hypnomed
la psychothérapie se situe à un niveau cognitif et doit, même si on a aidé au départ chimiquement
à modérer certaines tendances, avoir une capacité à rendre durable ce qui est permis "artificiellement" au début...
Partagez-vous cet espoir ?
https://www.transe-hypnose.com/sujet/reponse-immediate-reponse-retardee.3285/
J’ai attendu que les nuits portent conseil pour synchoniser mon cortex et mon émotionnel car le sujet est sensible…
Et en faire un sujet à part pour apporter des afférents éléments idées et non encore certitudes scientifiques !
D’abord le fait que des produits sont actifs sur le plan narcotique et hypnotique d’une façon reproductible en anesthésie
prouve que ces produits interviennent et sont utilisables dans les circuits cérébraux
- Scientifiquement et pour satisfaire la curiosité intellect, pharmacologiquement
par leurs principes actifs pharmaceutiques, l’acamprosate ( AOTAL *) et le baclofène ( LIORESAL *) agissent par médiation
sur le système gaba, la naltrexone ( REVIA *) sur le système opïoïde, le topiramate ( EPITOMAX *) sur le système glutamate,
le disulfirame ( ESPERAL *) par effet antabuse sur le système dopaminergique, donc directement sur des circuits impliqués
dans le cerveau dans les circuits de la récompense et de la dépendance, c’est un fait acquis.
(Bien sûr sur un cerveau abîmé par des remaniements liés à l’ancienneté de la prise de toxiques, on pourra argumenter
que plus rien n’est plus physio-logique )
- Sur le plan d’une représentation symbolique
Vu de l’extérieur, considérons un consommateur de drogue qui n’en a rien à faire de comprendre ce baratin intello,
mais de vouloir simplement être satisfait en prenant un traitement, comme il l’était auparavant
Dans un contexte de prise en charge globale, proposons au patient de prendre un support médicamenteux en comprimés :
de l’AOTAL par exemple :
- = Substance "pharmacologique" = support cognitif = AFFERENT SUBSTRAT CHIMIQUE ( = substitut efficace à la drogue )
- = Substance "hypnotique" = AFFERENT SUBSTRAT SYMBOLIQUE
S’ILS ONT ENVIE DE NE PAS OUBLIER DE PRENDRE LEUR AOTAL PRESCRIT ... pour oublier le manque
LEUR AOTAL LEUR FERA OUBLIER LEUR ENVIE D’ALCOOL ... = leur apprendre à l’oublier…
ET LEUR REDONNERA DES ENVIES ( DIFFERENTES)...= leurs capacités retrouvées
Là on est bien dans un « script » hypnotique …
- Cela fait alors coup double, sur le plan pharmacologique et sur le plan psychothérapique de l’imaginaire symbolique :
et c’est en cours d’évaluation par IRM fonctionnelle
et avec le Révia, la suggestion hypnotique, rien qu’au nom est immédiate…
Ce qui parait intéressant pour l’emmener dans le rêve…rave…partie…
La prise du cachet après la séance de psychothérapie-hypnose quand il sera rentré chez lui…pour s’en souvenir…
chaque fois qu’il prendra son cachet…en voyant le nom sur la boite…
Un conditionnement déconditionnant ?
Bon d’accord, j'ai pris un peu d'avance…mais n'est ce pas là, la capacité de l’hypnose ?
Hypnomed