surderien
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Métaphore à dit:Alors on s'est mal compris, les médecins dont me parlaient ma copine, pratiquent l'hypnose mais ne le disent pas de cette façon à leurs patients notamment la pratique des TCC sur les personnes addictes, et leur parle de relaxation.
HYPNOMED à dit:Métaphore à dit:Alors on s'est mal compris, les médecins dont me parlaient ma copine, pratiquent l'hypnose mais ne le disent pas de cette façon à leurs patients notamment la pratique des TCC sur les personnes addictes, et leur parle de relaxation.
J"avais mal compris vos premiers commentaires, mais là je suis d'accord ausi !
Les "bons" professionnels en relation d'aide utilisent "l'entretien motivationnel" qui marche et motive les personnes
malades ou en recherche de développement personnel. Ils ont beaucoup de clients et pas besoin de faire de pub
et ils ne se posent pas la question de prouver ce qui marche...
Reste une minorité de professionnels qui continuent de chercher à prouver( et devinez pourquoi !)
et de patients qui cherchent et qui cherchent à faire prouver aussi(et devinez aussi pourquoi !)
Plutôt que de conflicter, mieux vaut se transmettre les outils ! les échanges avec Boul sur l'éreutophobie sont clairs sur ce point et trés instructifs !
Merci à tous de jouer ce jeu hypnotique : source de bien-être pour tous !
Hypnomed.
Singin à dit:A changer -
. Les prix qui seraient adaptés à la situation financière et médicale du client.
Oui et non, car cela dépend surtout de l’investissement personnel pour un résultat.
. Une obligation de résultat. Vous établissez un contrat avec le client pour chaque problème à traiter, avec le prix, le nombre et la durée des séances, et si vous ne parvenez pas à un résultat, remboursement des séances ou séances gratuites jusqu'à résultat, voire dédommagement s'il y a amplification des symptomes.
Heu… le résultat ne dépend pas que du thérapeute mais aussi et surtout du client et son investissement dans cette démarche.
. Séances à domicile pour les agoraphobes et en situation pour les autres problèmes à traiter, sans majoration de prix.
Oui pourquoi pas…
Je voudrais bien savoir combien de thérapeutes continueraient à exercer. :roll:
J'oubliais. Lorsqu'on voit que les thérapeutes ne sont même pas d'accord sur les méthodes et se battent à coups de posts qui ne sont compréhensibles que par eux-même, on se dit qu'il est préférable de ne pas trop s'approcher de l'hypnose. De plus, lorsque vous voulez acheter un livre ou un DVD, vous n'avez que le titre pour vous guider. Ce qu'il y a dedans, aucune idée. Et au prix, où ils sont vendus, il faudrait être un peu cinglé, ou millionnaire, pour en essayer plusieurs. Quant aux stages et autres formations, en dehors de Paris, il n'y a rien.
Je pense que ce qui bloque l'hypnose, ce sont les thérapeutes.
Et pourtant, qu'est-ce que j'aime l'hypnose.
Si on me cherche. :arrow: :arrow: :arrow: :arrow: :arrow:
laurenzo à dit:Il s'agit simplement de constater que faute de preuves scientifiques et de résultats à 'grande échelle', les médecins (pas tous bien sûr mais une assez grande majorité) orientent très peu les malades vers cette méthode et démontrent un certain scepticisme à son encontre. Vous en donniez une très bonne illustration avec le retour de votre amie qui travaille dans un hôpital.
Singin à dit:Je pense au contraire que les tarifs sont un des éléments majeurs qui bloquent la notoriété de l'hypnose. Par ces tarifs non accessibles à beaucoup, et notamment les plus démunis, comme les malades, les retraités, les chômeurs, qui ont des difficultés pour manger ou payer un loyer, les séances sont impossibles à payer. Ou alors, en empruntant et remboursant sur des années quand on peut emprunter et qu'on n'est pas déjà en surendettement. De plus, on ne sait jamais le nombre de séances qui seront nécessaires et on n'a aucun moyen de savoir si le thérapeute est vraiment compétent et s'il pourra nous guérir. Et même si la guérison sera durable.laurenzo à dit:Quant au tarif, même s'il peut paraître bloquant à 1ère vue, il ne me semble pas être un élément réellement pertinent d'explication du manque de notoriété de l'hypnose.
Il est évident que l'hypnose, telle qu'elle est pratiquée actuellement est réservée à une élite qui peut la financer, ou à des gens qui sont prêt à tout pour essayer de guérir. Mais payer une thérapie par hypnose veut dire aussi se priver au quotidien, non sur le superflu, mais sur les dépenses de base.
A changer -
. Les prix qui seraient adaptés à la situation financière et médicale du client.
. Une obligation de résultat. Vous établissez un contrat avec le client pour chaque problème à traiter, avec le prix, le nombre et la durée des séances, et si vous ne parvenez pas à un résultat, remboursement des séances ou séances gratuites jusqu'à résultat, voire dédommagement s'il y a amplification des symptomes.
. Séances à domicile pour les agoraphobes et en situation pour les autres problèmes à traiter, sans majoration de prix.
Je voudrais bien savoir combien de thérapeutes continueraient à exercer. :roll:
J'oubliais. Lorsqu'on voit que les thérapeutes ne sont même pas d'accord sur les méthodes et se battent à coups de posts qui ne sont compréhensibles que par eux-même, on se dit qu'il est préférable de ne pas trop s'approcher de l'hypnose. De plus, lorsque vous voulez acheter un livre ou un DVD, vous n'avez que le titre pour vous guider. Ce qu'il y a dedans, aucune idée. Et au prix, où ils sont vendus, il faudrait être un peu cinglé, ou millionnaire, pour en essayer plusieurs. Quant aux stages et autres formations, en dehors de Paris, il n'y a rien.
Je pense que ce qui bloque l'hypnose, ce sont les thérapeutes.
Et pourtant, qu'est-ce que j'aime l'hypnose.
Si on me cherche. :arrow: :arrow: :arrow: :arrow: :arrow:
HYPNOMED à dit:Métaphore à dit:Alors on s'est mal compris, les médecins dont me parlaient ma copine, pratiquent l'hypnose mais ne le disent pas de cette façon à leurs patients notamment la pratique des TCC sur les personnes addictes, et leur parle de relaxation.
J"avais mal compris vos premiers commentaires, mais là je suis d'accord ausi !
Les "bons" professionnels en relation d'aide utilisent "l'entretien motivationnel" qui marche et motive les personnes
malades ou en recherche de développement personnel. Ils ont beaucoup de clients et pas besoin de faire de pub
et ils ne se posent pas la question de prouver ce qui marche...
Reste une minorité de professionnels qui continuent de chercher à prouver( et devinez pourquoi !)
et de patients qui cherchent et qui cherchent à faire prouver aussi(et devinez aussi pourquoi !)
Plutôt que de conflicter, mieux vaut se transmettre les outils ! les échanges avec Boul sur l'éreutophobie sont clairs sur ce point et trés instructifs !
Merci à tous de jouer ce jeu hypnotique : source de bien-être pour tous !
Hypnomed.
Métaphore à dit:Les schémas erronés (ou attitudes dysfonctionnelles)reposent sur des distorsions cognitives, et ces schémas sont résistants au changement, il faut bien les comprendre, ils sont installés depuis de nombreuses années, alors travailler dessus remet en cause tout notre fonctionnement et cela peut paraître pour certains encore plus difficile à vivre ne serait-ce que temporairement et donc résiste au changement.
Rappelons qu’un TOC est ce besoin absolu et impératif de vouloir vérifier et revérifier la validation d’une chose… et que ce soit dans n’importe quel domaine… cette vérification quand elle devient obsessionnelle est évidemment handicapante et maintient la résistance au changement qui ne peut se faire…
valikor à dit:laurenzo à dit:Il s'agit simplement de constater que faute de preuves scientifiques et de résultats à 'grande échelle', les médecins (pas tous bien sûr mais une assez grande majorité) orientent très peu les malades vers cette méthode et démontrent un certain scepticisme à son encontre. Vous en donniez une très bonne illustration avec le retour de votre amie qui travaille dans un hôpital.
il sera très difficile de faire des essais en double aveugle comme en temps habituel vu qu'en thérapie, le thérapeute fait partie de l'expérience et qu'ils ne sont pas intercheangeables...
pas plus que ne sont leurs compétences et l'alliance thérapeutique qu'ils pourront construire...
et les gens non plus ne sont pas intercheangeables...
c'est cependant possible si on sait ce qu'on fait et si on utilise la logique de construction de l'esprit des personnes...
laurenzo à dit:Métaphore à dit:Les schémas erronés (ou attitudes dysfonctionnelles)reposent sur des distorsions cognitives, et ces schémas sont résistants au changement, il faut bien les comprendre, ils sont installés depuis de nombreuses années, alors travailler dessus remet en cause tout notre fonctionnement et cela peut paraître pour certains encore plus difficile à vivre ne serait-ce que temporairement et donc résiste au changement.
Rappelons qu’un TOC est ce besoin absolu et impératif de vouloir vérifier et revérifier la validation d’une chose… et que ce soit dans n’importe quel domaine… cette vérification quand elle devient obsessionnelle est évidemment handicapante et maintient la résistance au changement qui ne peut se faire…
Tous les scientifiques souffriraient donc de TOC?
Métaphore à dit:laurenzo à dit:Métaphore à dit:Les schémas erronés (ou attitudes dysfonctionnelles)reposent sur des distorsions cognitives, et ces schémas sont résistants au changement, il faut bien les comprendre, ils sont installés depuis de nombreuses années, alors travailler dessus remet en cause tout notre fonctionnement et cela peut paraître pour certains encore plus difficile à vivre ne serait-ce que temporairement et donc résiste au changement.
Rappelons qu’un TOC est ce besoin absolu et impératif de vouloir vérifier et revérifier la validation d’une chose… et que ce soit dans n’importe quel domaine… cette vérification quand elle devient obsessionnelle est évidemment handicapante et maintient la résistance au changement qui ne peut se faire…
Tous les scientifiques souffriraient donc de TOC?
Ou d'autres troubles.... :roll: , je pense que vous mélangez souvent l'intellec et l'aspect émotionnel. Certains personnes peuvent être des génies dans leur domaine professionnel, et avoir une vie affective ou amicale désastreuse à cause de certains troubles émotionnels...
laurenzo à dit:Métaphore à dit:laurenzo à dit:Métaphore à dit:Les schémas erronés (ou attitudes dysfonctionnelles)reposent sur des distorsions cognitives, et ces schémas sont résistants au changement, il faut bien les comprendre, ils sont installés depuis de nombreuses années, alors travailler dessus remet en cause tout notre fonctionnement et cela peut paraître pour certains encore plus difficile à vivre ne serait-ce que temporairement et donc résiste au changement.
Rappelons qu’un TOC est ce besoin absolu et impératif de vouloir vérifier et revérifier la validation d’une chose… et que ce soit dans n’importe quel domaine… cette vérification quand elle devient obsessionnelle est évidemment handicapante et maintient la résistance au changement qui ne peut se faire…
Tous les scientifiques souffriraient donc de TOC?
Ou d'autres troubles.... :roll: , je pense que vous mélangez souvent l'intellec et l'aspect émotionnel. Certains personnes peuvent être des génies dans leur domaine professionnel, et avoir une vie affective ou amicale désastreuse à cause de certains troubles émotionnels...
Bien sûr, par contre je ne vois pas le rapport entre mélanger l'intellect et l'aspect émotionnel. :?
Maintenant je trouve surprenante votre association entre chercher des preuves (ce que tout scientifique par exemple s'applique à faire) et TOC...
Métaphore à dit:Car certains ne fonctionnent que sur l'intellectualisation et donc ces derniers ont beaucoup de mal à se connecter aux émotions, ceux qui sont résistants à la thérapie hypnotique par exemple...
Métaphore à dit:Et si vous ne comprenez pas mon association, ben tant pis, car je ne cherche en rien à vous convaincre.... ni à vous ni aux autres d'ailleurs...
laurenzo à dit:HYPNOMED à dit:Métaphore à dit:Alors on s'est mal compris, les médecins dont me parlaient ma copine, pratiquent l'hypnose mais ne le disent pas de cette façon à leurs patients notamment la pratique des TCC sur les personnes addictes, et leur parle de relaxation.
J"avais mal compris vos premiers commentaires, mais là je suis d'accord ausi !
Les "bons" professionnels en relation d'aide utilisent "l'entretien motivationnel" qui marche et motive les personnes
malades ou en recherche de développement personnel. Ils ont beaucoup de clients et pas besoin de faire de pub
et ils ne se posent pas la question de prouver ce qui marche...
Reste une minorité de professionnels qui continuent de chercher à prouver( et devinez pourquoi !)
et de patients qui cherchent et qui cherchent à faire prouver aussi(et devinez aussi pourquoi !)
Plutôt que de conflicter, mieux vaut se transmettre les outils ! les échanges avec Boul sur l'éreutophobie sont clairs sur ce point et trés instructifs !
Merci à tous de jouer ce jeu hypnotique : source de bien-être pour tous !
Hypnomed.
La question serait alors: Pourquoi aussi peu de psychiatres hypnothérapeutes? Pourquoi aussi peu de psychologues hypnothérapeutes?
Singin à dit:C'est ce que j'avais cru comprendre. Les thérapeutes et les malades sont dans deux univers différents. Les malades sont dans la réalité de la maladie, les thérapeutes sont dans la théorie. Ou plus exactement dans les théories. Je comprends que certaines réponses ne sont qu'une méconnaissance de ce que l'on peut éprouver lorsqu'on est malade. Et peut-être que si j'étais thérapeute, je répondrais la même chose, étant donné que j'aurais appris la même chose.
En tant que malade, je suis désespérée par les certitudes des thérapeutes. Si Monsieur Erickson était un si grand thérapeute, c'est qu'il n'était pas dans la théorie, mais dans la maladie. Je ne souhaite bien sûr pas aux thérapeutes d'être malades, mais seulement qu'ils comprennent que ce qui est facile pour eux, ne l'est pas pour un malade. Les guérisons en deux coups de cuiller à pot, ou alors, c'est la faute du malade, sont une double souffrance infligée au malade, celle de la culpabilisation, et celle du mensonge qui casse la confiance.
laurenzo à dit:Vous reconnaitrez Métaphore qu'un certain nombre de thérapeutes ici parlent de 4-5 séances maximum. Difficile ensuite pour le patient de comprendre que finalement la thérapie devrait durer p-e une année.
laurenzo à dit:HYPNOMED à dit:Métaphore à dit:Alors on s'est mal compris, les médecins dont me parlaient ma copine, pratiquent l'hypnose mais ne le disent pas de cette façon à leurs patients notamment la pratique des TCC sur les personnes addictes, et leur parle de relaxation.
J"avais mal compris vos premiers commentaires, mais là je suis d'accord ausi !
Les "bons" professionnels en relation d'aide utilisent "l'entretien motivationnel" qui marche et motive les personnes
malades ou en recherche de développement personnel. Ils ont beaucoup de clients et pas besoin de faire de pub
et ils ne se posent pas la question de prouver ce qui marche...
Reste une minorité de professionnels qui continuent de chercher à prouver( et devinez pourquoi !)
et de patients qui cherchent et qui cherchent à faire prouver aussi(et devinez aussi pourquoi !)
Plutôt que de conflicter, mieux vaut se transmettre les outils ! les échanges avec Boul sur l'éreutophobie sont clairs sur ce point et trés instructifs !
Merci à tous de jouer ce jeu hypnotique : source de bien-être pour tous !
Hypnomed.
La question serait alors: Pourquoi aussi peu de psychiatres hypnothérapeutes? Pourquoi aussi peu de psychologues hypnothérapeutes?
laurenzo à dit:valikor à dit:laurenzo à dit:Il s'agit simplement de constater que faute de preuves scientifiques et de résultats à 'grande échelle', les médecins (pas tous bien sûr mais une assez grande majorité) orientent très peu les malades vers cette méthode et démontrent un certain scepticisme à son encontre. Vous en donniez une très bonne illustration avec le retour de votre amie qui travaille dans un hôpital.
il sera très difficile de faire des essais en double aveugle comme en temps habituel vu qu'en thérapie, le thérapeute fait partie de l'expérience et qu'ils ne sont pas intercheangeables...
pas plus que ne sont leurs compétences et l'alliance thérapeutique qu'ils pourront construire...
et les gens non plus ne sont pas intercheangeables...
c'est cependant possible si on sait ce qu'on fait et si on utilise la logique de construction de l'esprit des personnes...
Mais par exemple, pourquoi des études sortent-elles sur l'EMDR ou sur les TCC?
Métaphore à dit:laurenzo à dit:Vous reconnaitrez Métaphore qu'un certain nombre de thérapeutes ici parlent de 4-5 séances maximum. Difficile ensuite pour le patient de comprendre que finalement la thérapie devrait durer p-e une année.
Mais je n'ai jamais validé pour ma part ce que disent ces thérapeutes...Il est possible que certaines phobies isolées se résorbent en très peu de séances ou même certains TOCS. Mais une pathologie lourde certainement pas comme la dépression profonde.
valikor à dit:Métaphore à dit:laurenzo à dit:Vous reconnaitrez Métaphore qu'un certain nombre de thérapeutes ici parlent de 4-5 séances maximum. Difficile ensuite pour le patient de comprendre que finalement la thérapie devrait durer p-e une année.
Mais je n'ai jamais validé pour ma part ce que disent ces thérapeutes...Il est possible que certaines phobies isolées se résorbent en très peu de séances ou même certains TOCS. Mais une pathologie lourde certainement pas comme la dépression profonde.
tiens et vous mettriez en doute alors le témoignage de David Servan Schreiber (qui disait que quelque fois en emdr, une séance suffisait)?
si c'est ponctuellement possible pour une personne, c'est que c'est théoriquement possible pour tous, à condition de lever les freins et résistances de la personne...
Métaphore à dit:valikor à dit:Métaphore à dit:laurenzo à dit:Vous reconnaitrez Métaphore qu'un certain nombre de thérapeutes ici parlent de 4-5 séances maximum. Difficile ensuite pour le patient de comprendre que finalement la thérapie devrait durer p-e une année.
Mais je n'ai jamais validé pour ma part ce que disent ces thérapeutes...Il est possible que certaines phobies isolées se résorbent en très peu de séances ou même certains TOCS. Mais une pathologie lourde certainement pas comme la dépression profonde.
tiens et vous mettriez en doute alors le témoignage de David Servan Schreiber (qui disait que quelque fois en emdr, une séance suffisait)?
si c'est ponctuellement possible pour une personne, c'est que c'est théoriquement possible pour tous, à condition de lever les freins et résistances de la personne...
Ben vous reprenez ce que je dis : (qui disait que quelque fois en emdr, une séance suffisait)et puis tout dépend pourquoi encore une fois ? donc vous n'apportez aucun élément nouveau... :?
valikor à dit:Métaphore à dit:valikor à dit:Métaphore à dit:laurenzo à dit:Vous reconnaitrez Métaphore qu'un certain nombre de thérapeutes ici parlent de 4-5 séances maximum. Difficile ensuite pour le patient de comprendre que finalement la thérapie devrait durer p-e une année.
Mais je n'ai jamais validé pour ma part ce que disent ces thérapeutes...Il est possible que certaines phobies isolées se résorbent en très peu de séances ou même certains TOCS. Mais une pathologie lourde certainement pas comme la dépression profonde.
tiens et vous mettriez en doute alors le témoignage de David Servan Schreiber (qui disait que quelque fois en emdr, une séance suffisait)?
si c'est ponctuellement possible pour une personne, c'est que c'est théoriquement possible pour tous, à condition de lever les freins et résistances de la personne...
Ben vous reprenez ce que je dis : (qui disait que quelque fois en emdr, une séance suffisait)et puis tout dépend pourquoi encore une fois ? donc vous n'apportez aucun élément nouveau... :?
il parlait d'une dépression....
HYPNOMED à dit:laurenzo à dit:HYPNOMED à dit:Métaphore à dit:Alors on s'est mal compris, les médecins dont me parlaient ma copine, pratiquent l'hypnose mais ne le disent pas de cette façon à leurs patients notamment la pratique des TCC sur les personnes addictes, et leur parle de relaxation.
J"avais mal compris vos premiers commentaires, mais là je suis d'accord ausi !
Les "bons" professionnels en relation d'aide utilisent "l'entretien motivationnel" qui marche et motive les personnes
malades ou en recherche de développement personnel. Ils ont beaucoup de clients et pas besoin de faire de pub
et ils ne se posent pas la question de prouver ce qui marche...
Reste une minorité de professionnels qui continuent de chercher à prouver( et devinez pourquoi !)
et de patients qui cherchent et qui cherchent à faire prouver aussi(et devinez aussi pourquoi !)
Plutôt que de conflicter, mieux vaut se transmettre les outils ! les échanges avec Boul sur l'éreutophobie sont clairs sur ce point et trés instructifs !
Merci à tous de jouer ce jeu hypnotique : source de bien-être pour tous !
Hypnomed.
La question serait alors: Pourquoi aussi peu de psychiatres hypnothérapeutes? Pourquoi aussi peu de psychologues hypnothérapeutes?
Les psychiatres sont formatés avec une obscession : la peur de la dissociation !
De là vient probablement leur difficulté de vivre l'expérience de l'hypnose..
Là je rejoins peut-être un peu Singin : tant qu'ils n'ont pas pris conscience qu'en bonne thérapie, on se dissocie soi-même pour comprendre
la problématique du patient, et ce sans aucun risque si on a compris comment renvoyer les infos en miroir...
Ils n'oseront pas l'hypnose.
H.
Métaphore à dit:Source :
http://www.jpcauver.com/techniques-ine- ... sommaire_8[/color]
Quelle est la durée du traitement et le nombre de séances EMDR?
La durée du traitement et le nombre de séances dépendent essentiellement du trouble ou de la pathologie dont souffre le patient. D'une manière générale, le praticien ne commence "vraiment la thérapie" qu'après quelques entretiens consacrés.
Les perturbations dissociatives peuvent être secondaires ou progressives, transitoires ou chroniques.
On distingue des dissociations :
• Primaires, comme celles qui séparent en cas d'un traumatisme simple, disons unique, l'investissement d'un état émotionnel, d'un état de personnalité apparemment normal.
• Secondaires, quand nous avons affaire à une personnalité polytraumatisée et ayant développé de nombreux systèmes de défense • Tertiaires quand, généralement sous l'effet de nombreux et violents traumatismes de longue durée, la personnalité s'est fragmentée en plusieurs états du moi distincts et ne se reconnaissant pas les uns les autres. A la lumière des récents progrès en neurosciences, les processus dissociatifs semblent être un phénomène clef dans la compréhension des pathologies et ouvrent des pistes thérapeutiques concernant notamment le vaste domaine de la psychotraumatologie.
Les participants souffrant de crises de panique et d'agoraphobie n'ont pas bien répondu à la thérapie EMDR.
Goldstein (cité dans Shapiro, 2001) suggère que ces participants avaient besoin d'une phase de préparation plus importante, que celle qui a été fournie dans l'étude, pour développer une tolérance au stress.
Les auteurs suggèrent que la thérapie EMDR puisse ne pas être aussi efficace que la thérapie cognitive-comportementale dans le traitement des crises de panique avec ou sans agoraphobie .[/i]
***************************************************
http://www.passeportsante.net/fr/Therap ... oc=emdr_th
Plus récemment, les applications de l'EMDR se sont étendues à différents problèmes d'ordre psychique, comme les phobies et la dépression – inspirées dans ce cas par la théorie généralement admise voulant qu'un grand nombre de problèmes personnels découlent d'expériences difficiles vécues dans l'enfance.
Toutefois, l'EMDR fonctionnerait mieux avec des patients souffrant d'un seul traumatisme bien cerné ou d'une phobie bien précise, plutôt que d’un trouble plus diffus. «
Il se peut que l'EMDR soit plus efficace dans le traitement des troubles liés au stress qui suit une expérience traumatique (par exemple, la phobie des chiens après une morsure), et moins efficace pour ceux dont le point de départ est inconnu (par exemple, phobie des serpents depuis la naissance) », affirme, à ce propos, le Dr David Servan-Schreiber.
Ce qui est souvent le cas des dépressions, malaise diffus avec point de départ inconnu...
valikor à dit:ben quand j'entends certains psychologues que j'ai rencontré dire "non la douleur ne peut jamais partir".... on peut se dire qu'il y a un problème dans leur enseignement....
ensuite, que je sache et arrêtez moi si je me trompe mais il me semble que les psychiatres ne sont pas formés à être psychothérapeutes...
@Transe-Hypnose
2005-2020