Kamou
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d-kortik à dit:Une douche glacée tout nu place de la Concorde ?
c'est une idée.d-kortik à dit:Une douche glacée tout nu place de la Concorde ?
Intemporelle à dit:Kamou,
Spontanément en vous lisant, j'ai envie de dire que ce qui vous arrive est peut être le revers de l'intellectuel qui se trouve en conflit avec sa nature profonde... décrit par vous même par "Urgence à vivre, à être, à exister".
Cette confrontation intérieure qu'on appelle la traversée du désert est parfois nécessaire, j'ai l'impression qu'on ne peut y échapper, surtout si des choses anciennes remontent à la surface, mais tout dépend de la nature de cette remontée...
:arrow: Je préfère continuer à en chier et voir les choses telles que je les perçois le plus abruptement que d'entrer dans un état de non attention dans lequel je me sens bien.
Qu'entendez vous par là ?
[align=justify]Pas très utile effectivement si l'on se contente de ces seules sages paroles. Comme l'écrivait Marx : "Une des tâches les plus difficiles, pour les philosophes, c'est de descendre du monde de la pensée dans le monde réel."Kamou à dit:La seule direction que j'ai pour l'instant consiste en ces paroles très sages ; philosopher c'est avoir les deux pieds dans la merde, et trouver la force d'en rire, d'avancer. Mais voilà, c'est pas très utile...
Kamou à dit:Intemporelle à dit:Kamou,
Spontanément en vous lisant, j'ai envie de dire que ce qui vous arrive est peut être le revers de l'intellectuel qui se trouve en conflit avec sa nature profonde... décrit par vous même par "Urgence à vivre, à être, à exister".
Cette confrontation intérieure qu'on appelle la traversée du désert est parfois nécessaire, j'ai l'impression qu'on ne peut y échapper, surtout si des choses anciennes remontent à la surface, mais tout dépend de la nature de cette remontée...
:arrow: Je préfère continuer à en chier et voir les choses telles que je les perçois le plus abruptement que d'entrer dans un état de non attention dans lequel je me sens bien.
Qu'entendez vous par là ?
Il n'y a aucun conflit entre un moi intellectuel et un moi... un moi quoi d'autre ? Vous devez en savoir quelque chose, métaphore, les livres ne sont pas des substances froides et inertes, bien au contraire ils jaillissent et font vibrer en nous mille sensibilités en retour. De même qu'écrire, penser, débattre, est une activité à part entière pour celui qui se l'accorde. Mon urgence à être peut tout à fait s'affirmer par l'intellect, c'est un état général.
Qu'en savez vous ? vous êtes thérapeute ? vous connaissez la théorie des Etats du Moi, leur fonction ? leurs manifestations ?
Votre discours me fait penser étrangement à celui de Laurenzo, tout intellectualiser même cet appel au secours
Alors vous demandez l'aide d'un thérapeute mais a priori peu disposé d'écouter ce qui vous pourrait être un conseil, pour moi, vos propos sont plus que révélateurs, mais continuer à chercher à vous enfermer dans votre intellect et vous allez vite vous en trouver prisonnier, la preuve par ce cri d'alerte...
Hier soir j'ai relu quelques une de vos interventions et c'est là que j'ai remarqué que vous aviez le même fonctionnement que Laurenzo si je me permettre de faire cette comparaison...
Des choses anciennes, oui, dont j'ai pu parler, pour la première fois et étrangement naturellement, à une amie. Qui ne sont pas indépassables. Elles ne sont pas gênantes, seulement force est de constater qu'elles se libèrent du gel de ma mémoire et inondent mes pensées.
Laissons de côté les choses que je ne veux pas.
Si vous le dites, néanmoins ces 2 phrases soulignées en disent long...
J'ai besoin d'aide pour trouver ma voie dans ce chaos, j'ai besoin de clefs pour laisser s'exprimer les ressources que j'ai à ma disposition, la première étant de savoir à quoi employer ces ressources. Au moins obtenir une direction.
Sûrement pas dans l'intellectualisation...
La seule direction que j'ai pour l'instant consiste en ces paroles très sages ; philosopher c'est avoir les deux pieds dans la merde, et trouver la force d'en rire, d'avancer. Mais voilà, c'est pas très utile...
Ben voilà vous vous retrouvez au même point.
Lemaléduqué à dit:[align=justify]Pas très utile effectivement si l'on se contente de ces seules sages paroles. Comme l'écrivait Marx : "Une des tâches les plus difficiles, pour les philosophes, c'est de descendre du monde de la pensée dans le monde réel."Kamou à dit:La seule direction que j'ai pour l'instant consiste en ces paroles très sages ; philosopher c'est avoir les deux pieds dans la merde, et trouver la force d'en rire, d'avancer. Mais voilà, c'est pas très utile...
L'idée, non !katia (zoulouk) à dit:L'idée de difficulté est elle utile ?
Lemaléduqué à dit:[align=justify]Pas très utile effectivement si l'on se contente de ces seules sages paroles. Comme l'écrivait Marx : "Une des tâches les plus difficiles, pour les philosophes, c'est de descendre du monde de la pensée dans le monde réel."Kamou à dit:La seule direction que j'ai pour l'instant consiste en ces paroles très sages ; philosopher c'est avoir les deux pieds dans la merde, et trouver la force d'en rire, d'avancer. Mais voilà, c'est pas très utile...
katia (zoulouk) à dit:Salut Kamou,
Et si tu partais de ce que tu aimes ?
En passant peut être par la place de la Concorde ?
katia (zoulouk) à dit:Que ça soit difficile, ben ça ne change rien... pour que ce soit plus facile.
L'idée de difficulté est elle utile ? Peut être pour prendre patience, mais peut être aussi pour bien ancrer l'idée de difficulté ?
Comment définis utilité Kamou ?
Intemporelle à dit:Kamou à dit:Intemporelle à dit:Kamou,
Spontanément en vous lisant, j'ai envie de dire que ce qui vous arrive est peut être le revers de l'intellectuel qui se trouve en conflit avec sa nature profonde... décrit par vous même par "Urgence à vivre, à être, à exister".
Cette confrontation intérieure qu'on appelle la traversée du désert est parfois nécessaire, j'ai l'impression qu'on ne peut y échapper, surtout si des choses anciennes remontent à la surface, mais tout dépend de la nature de cette remontée...
:arrow: Je préfère continuer à en chier et voir les choses telles que je les perçois le plus abruptement que d'entrer dans un état de non attention dans lequel je me sens bien.
Qu'entendez vous par là ?
Il n'y a aucun conflit entre un moi intellectuel et un moi... un moi quoi d'autre ? Vous devez en savoir quelque chose, métaphore, les livres ne sont pas des substances froides et inertes, bien au contraire ils jaillissent et font vibrer en nous mille sensibilités en retour. De même qu'écrire, penser, débattre, est une activité à part entière pour celui qui se l'accorde. Mon urgence à être peut tout à fait s'affirmer par l'intellect, c'est un état général.
Qu'en savez vous ? vous êtes thérapeute ? vous connaissez la théorie des Etats du Moi, leur fonction ? leurs manifestations ?
Votre discours me fait penser étrangement à celui de Laurenzo, tout intellectualiser même cet appel au secours
Alors vous demandez l'aide d'un thérapeute mais a priori peu disposé d'écouter ce qui vous pourrait être un conseil, pour moi, vos propos sont plus que révélateurs, mais continuer à chercher à vous enfermer dans votre intellect et vous allez vite vous en trouver prisonnier, la preuve par ce cri d'alerte...
Hier soir j'ai relu quelques une de vos interventions et c'est là que j'ai remarqué que vous aviez le même fonctionnement que Laurenzo si je me permettre de faire cette comparaison...
Des choses anciennes, oui, dont j'ai pu parler, pour la première fois et étrangement naturellement, à une amie. Qui ne sont pas indépassables. Elles ne sont pas gênantes, seulement force est de constater qu'elles se libèrent du gel de ma mémoire et inondent mes pensées.
Laissons de côté les choses que je ne veux pas.
Si vous le dites, néanmoins ces 2 phrases soulignées en disent long...
J'ai besoin d'aide pour trouver ma voie dans ce chaos, j'ai besoin de clefs pour laisser s'exprimer les ressources que j'ai à ma disposition, la première étant de savoir à quoi employer ces ressources. Au moins obtenir une direction.
Sûrement pas dans l'intellectualisation...
La seule direction que j'ai pour l'instant consiste en ces paroles très sages ; philosopher c'est avoir les deux pieds dans la merde, et trouver la force d'en rire, d'avancer. Mais voilà, c'est pas très utile...
Ben voilà vous vous retrouvez au même point.
jeangeneve à dit:d ou viens cette envie de faire des choix là maintenant ?
de te définir là ?
mourir tous les jours et renaître le matin ?
qui on est pour te dire ce que tu doit faire.
pas simple . tu parle de clef...
une étape manquée ?
un adulte qui ne le veux pas ?
en tous cas tes écris, moi j'aime.
là tu est en demande d'aide,
je suis optimiste tu réclame des clefs pas un passe partout.
tu cherche une voie un destin ?
Kamou à dit:Intemporelle à dit:Kamou à dit:Intemporelle à dit:Kamou,
Spontanément en vous lisant, j'ai envie de dire que ce qui vous arrive est peut être le revers de l'intellectuel qui se trouve en conflit avec sa nature profonde... décrit par vous même par "Urgence à vivre, à être, à exister".
Cette confrontation intérieure qu'on appelle la traversée du désert est parfois nécessaire, j'ai l'impression qu'on ne peut y échapper, surtout si des choses anciennes remontent à la surface, mais tout dépend de la nature de cette remontée...
:arrow: Je préfère continuer à en chier et voir les choses telles que je les perçois le plus abruptement que d'entrer dans un état de non attention dans lequel je me sens bien.
Qu'entendez vous par là ?
Il n'y a aucun conflit entre un moi intellectuel et un moi... un moi quoi d'autre ? Vous devez en savoir quelque chose, métaphore, les livres ne sont pas des substances froides et inertes, bien au contraire ils jaillissent et font vibrer en nous mille sensibilités en retour. De même qu'écrire, penser, débattre, est une activité à part entière pour celui qui se l'accorde. Mon urgence à être peut tout à fait s'affirmer par l'intellect, c'est un état général.
Qu'en savez vous ? vous êtes thérapeute ? vous connaissez la théorie des Etats du Moi, leur fonction ? leurs manifestations ?
Votre discours me fait penser étrangement à celui de Laurenzo, tout intellectualiser même cet appel au secours
Alors vous demandez l'aide d'un thérapeute mais a priori peu disposé d'écouter ce qui vous pourrait être un conseil, pour moi, vos propos sont plus que révélateurs, mais continuer à chercher à vous enfermer dans votre intellect et vous allez vite vous en trouver prisonnier, la preuve par ce cri d'alerte...
Hier soir j'ai relu quelques une de vos interventions et c'est là que j'ai remarqué que vous aviez le même fonctionnement que Laurenzo si je me permettre de faire cette comparaison...
Des choses anciennes, oui, dont j'ai pu parler, pour la première fois et étrangement naturellement, à une amie. Qui ne sont pas indépassables. Elles ne sont pas gênantes, seulement force est de constater qu'elles se libèrent du gel de ma mémoire et inondent mes pensées.
Laissons de côté les choses que je ne veux pas.
Si vous le dites, néanmoins ces 2 phrases soulignées en disent long...
J'ai besoin d'aide pour trouver ma voie dans ce chaos, j'ai besoin de clefs pour laisser s'exprimer les ressources que j'ai à ma disposition, la première étant de savoir à quoi employer ces ressources. Au moins obtenir une direction.
Sûrement pas dans l'intellectualisation...
La seule direction que j'ai pour l'instant consiste en ces paroles très sages ; philosopher c'est avoir les deux pieds dans la merde, et trouver la force d'en rire, d'avancer. Mais voilà, c'est pas très utile...
Ben voilà vous vous retrouvez au même point.
Soyons clair. Dans la même phrase vous me reprochez de ne pas connaître les théories du moi, de n'être donc pas capable de proposer un diagnostic de thérapeute par rapport à ma problématique, pour ensuite me dire que j'intellectualise trop, le tout sans sembler vous apercevoir de l'énorme contradiction que vous brandissez ?
je ne vais pas passer le reste de votre message au peigne fin, je ne suis pas Sisyphe. Je ne suis pas disposé à écouter n'importe qui, et j'y vois le gage d'un certain équilibre mental malgré ce "cri d'alerte" comme vous le qualifiez. Vous n'avez rien compris à l'intellectuel, je suis à peu près certain que je serais mieux capable de comprendre la problématique de Lorenzo que vous sous bon nombre de ses aspects pour la bonne raison que je n'ai pas de modèles qui vienne parasiter sans cesse mon écoute de ce qu'il a à dire. C'est une erreur vieille comme l'homme que de penser que ses théories ordonnent la réalité. C'est une seconde étape que de comprendre que la réalité est assez complexe pour illustrer presque n'importe quelle théorie. Nous pourrons reprendre cette discussion quand vous aurez compris ce que ça signifie, c'est à dire quand vous aurez incorporé ces principes dans votre approche.
C'est avec plaisir que j'échangerai sur les modèles psychologiques avec vous, quand j'aurais les connaissances nécessaires. Nous pourrons nous masturber intellectuellement dans la plus grande joie sans que mon diagnostic soit en jeu.
Kamou à dit:Vous vous laissez emporter par la colère métaphore, vos phrases n'ont pas de sens, vous bafouillez...
Je peux aussi montrer les dents. Avec l'humeur que j'ai en ce moment, il se pourrait bien que je me laisse aller à mordre.
Vous n'avez pas envie d'une crucifixion sur la place publique, si ? Moi non plus.
Passez votre chemin.