vaillan
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esperence à dit:ça n'a pas répondu a ma question...
Ma question me semble logique dans le sens ou..on ne sait pas tjs ce qu'une régression peu donner
Vous croyez que les gens sont assez honnéte pour vous dire tout de leur vie ?
C'est là, ou je me pose la question
S'ils ont eu de grosses souffrances et qu'ils vous dévoilent le quart de leur histoire, qu'est-ce que ça va faire ??
Est-ce que j'ai tors dans ma façon de voir ? ou raison ?
esperence à dit:je dirais que lorsque les gens ont une valises trop chargées,
vont ils la vider entièrement...
Ca dépend d'eux, mais globalement la réponse est OUI.
Pour Métaphore
C'était juste une question qui en valait une autre...
Ben a priori non, puisque vous insistez sur la question donc cela vous tient à coeur...
Mais je vous reconnais bien dans vos expressions...toujours les mêmes :?
paulelie à dit:et qu'est ce qui ne colle pas?Leo Lavoie à dit:Je ne vous juge pas, je ne vous connais pas. C'est pourquoi je vous pose ces questions.
Et ce que je vous conseille si c'est possible, et encore peut-être que ce ne l'est pas, c'est d'améliorer votre français. Je ne vous juge pas du tout, je vous lis presqu'à tous les jours depuis un sacré bout... Y'a quelque chose qui ne colle pas c'est tout.
Métaphore à dit:Léo, je vous confirme que ma formation est très intéressante, et beaucoup plus simple et moins ambigüe que chez les Erickso, oui elle se tient debout et je pense que si vous la connaissiez plus, vous adhéreriez parfaitement à ces méthodes qui vous ressemblent.
Je veux bien mais pas si y'a du superflu. Et il semble y en avoir dant toutes les techniques et disciplines. Cependant, j'admet que sur ce point il est possible et peut-être même probable que j'eusse tort.
Mise à part, concernant mon agressivité, quand M. ALTMAIER expose un cas que je souhaitais qu'il développe, et je lui ai posé à 2 prises, 2 questions simples, il a été incapable de m'expliquer, et vous êtes venu à sa rescousse avec des explications tout à fait adaptées. Donc ma suspicion était est ce vraiment un cas qu'il l'a lui même abordé, ben oui quand je fais qqchose je suis capable de l'expliquer surtout quand cela s'est déroulé en 2 séances.
Bref, Léo vous êtes assez marrant dans votre genre, vous portez un regard soupçonneux sur l'hypnose, mais pas sur les thérapeutes qui la pratique, c'est fort élégant et respectueux, mais voyez vous, moi je suis plus directe, alors oui je manque de délicatesse, de diplomatie, mais au moins je ne me fourvoie jamais dans ce que j'exprime.
En effet, je vous trouve pertinente et sensée...Mais agressive tout de même...C'est pas gentil... et ça fait fuir certains professionnels... VOus direz qu'ils ont la couenne bien molle et sensible mais que voulez vous. Je crois que vous devriez faire un effort de diplomatie. Je crois en la diplomatie. L'hypnose est une chose, les thérapeutes sont des humains.
Désolée encore une fois Léo de vous heurter dans mes propos, car je trouve vos interventions toujours très pertinentes et qui vont droit au but, c'est ce que j'aime, mais difficile de retrouver cette clarté dans la pratique de l'hypnose Erickso. Néanmoins ma formation est beaucoup plus claire que ce que je peux lire sur ce forum.
Je sais. Je saisis très bien ça.
:arrow: Vous dites : Je donne l'exemple de ce fameux "lieu sûr" je le crois superflu surtout en hétéro hypnose. Le lieu sûr, c'est l'hypnothérapeute qui le donne car il accompagne le patient partout ou il va dans sa transe. Enfin, c'est ce que je pense.
Ben non, le lieu sûr représente "les ressources du patient" comment le thérapeute les connaîtraient-ils ? le thérapeute laisse toujours le choix à son patient tout en le guidant vers l'objectif, mais son imaginaire lui appartient (au patient).
Je rappelle que le lieux sûr est toujours une entrée en matière, un moyen de faire prendre conscience au patient de ses ressources.
Ok alors la première fois que j'ai assimilé le terme "lieu sûr" c'était dans mon "étude" de l'EMDR. C'est un "endroit" visualisé ou le sujet peut se réfugier en cas d'abréaction trop désagréable. Alors ça c'est une définition, mais si vous me dites que c'est un moyen de faire prendre conscience au patient de ses ressources à lui, c'est plus pareil du tout.
Ce que je voulais dire, en accord avec la définition que j'ai compris avec l'EMDR c'est que si l'abréaction est trop violente, le thérapeute n'a qu'a ramener le patient en "lieu sûr" en lui disant quelque chose comme " la scène disparait doucement et tu te concentres sur ta respiration" comme l'enseigne Kein.
Je vous cite une question posée à mon formateur, lors de notre cours sur le pont d'affect positif qui doit nous relier d'un évènement récent émotionnellement positif à un évènement du passé dont l'émotion est la même (lieu sûr et agréable).
Je lui ai demandé "et si nous n'avons jamais eu de lieu sûr, ni agréable dans le passé", il m'a répondu et bien nous ne seriez pas là aujourd'hui, vous n'auriez pas trouver "les ressources nécessaires" pour être là où vous en êtes. Pour moi ça été une façon de comprendre que nous trouvons toujours une force en nous, maintenant il s'agit là que d'un point de départ avant un travail de fond.
Qu'en pensez vous ?
Je pense que c'est vrai.
PS : d'ailleurs si vous le souhaitez je souhaiterais revenir sur un passage que vous avez écrit :
Ben oui, une abréaction de ce genre et venant d'un enfant, à mon avis, donnera quelque chose qui ressemble à ce que cet enfant a fait. D'abord, la régression était à la gestation et il ne s'agissait pas d'un coup de poing dans le ventre de sa mère. Il ne s'agit pas vraiment d'un traumatisme que l'enfant a vécu mais d'une tendance à ne pas aimer quelque chose. Il a ressenti probablement une certaine instabilité sourde de sa mère. L'abréaction ici me semble tout à fait correspondante.
Je ne partage pas trop cette idée. A quel moment d'après vous peut-on parler de traumatisme alors ?, personnellement si l'enfant souffre d'un blocage, c'est qu'il a eu une sorte de trauma quelque part, après c'est sûr, tout est une échelle de valeur, en tout cas d'un impact suffisant pour lui causer un trouble par la suite.
Je reviendrai sur ce sujet.
Leo Lavoie à dit:paulelie à dit:et qu'est ce qui ne colle pas?Leo Lavoie à dit:Je ne vous juge pas, je ne vous connais pas. C'est pourquoi je vous pose ces questions.
Et ce que je vous conseille si c'est possible, et encore peut-être que ce ne l'est pas, c'est d'améliorer votre français. Je ne vous juge pas du tout, je vous lis presqu'à tous les jours depuis un sacré bout... Y'a quelque chose qui ne colle pas c'est tout.
Ben je vous l'ai dit ce qui ne collait pas. S'agit de lire... Mais je le répète autrement et plus explicitement.
D'abord, vous l'avez dit vous même que vous avez de la difficulté dans l'expression du français... La question est simple...C'est "POURQUOI"?
Vous dites que ce sont toutes ces années au USA qui sont responsables. Ça, ça ne colle pas tellement parce que j'ai cru comprendre que vous êtes français d'origine. C'est ça ou pas?
Si c'est le cas, comment avez vous pu perdre autant de français? Et d'ou vient cette difficulté d'adaptation de l'anglais de USA au français, surtout si le français est votre langue maternelle?
Ce n'est pas un détail inimportant vous savez. Les discussions ici sont déjà assez compliquées sans que vous répondiez du tac au tac à des trucs dont vous n'avez même pas la même définitions que les autres ici.
Pourquoi autant de points d'exclamations?
Pourquoi autant de phrases à apparance assassine et parano?
Quelqu'un m'a demandé en MP s'il se trompait ou si vous sembliez être un peu mégalo parano ou un truc du genre. C'était un hypno de passage sur ce forum.
Leo Lavoie à dit:Bon je reprend certains passages :
En effet, je vous trouve pertinente et sensée...Mais agressive tout de même...C'est pas gentil... et ça fait fuir certains professionnels... VOus direz qu'ils ont la couenne bien molle et sensible mais que voulez vous. Je crois que vous devriez faire un effort de diplomatie. Je crois en la diplomatie. L'hypnose est une chose, les thérapeutes sont des humains.
Je souhaite surtout montrer une vision de l'hypnose autre qu'Ericksonnienne, où le vocabulaire est simple sans rentrer dans des méta modèles et le langage PNListes qui n'a aucun intérêt pour moi. Et que certains arrêtent de se conforter dans leur expérience sans être attentif à ce que dit l'autre d'où mon agressivité...
Ok alors la première fois que j'ai assimilé le terme "lieu sûr" c'était dans mon "étude" de l'EMDR. C'est un "endroit" visualisé ou le sujet peut se réfugier en cas d'abréaction trop désagréable.
Ah pas du tout, l'abréaction doit se revivre (revivification du trauma) que ce soit en émotions ou en images, néanmoins je mettrais une parenthèse, le thérapeute doit au cours de la séance demander à l'IC du patient s'il est prêt à revivre cet évènement, le thérapeute doit avoir l'accord du patient, (signal idéo moteur) il se peut que le patient n'est pas en mesure de le revivre (trop tôt pour lui), alors à ce moment là le thérapeute procèdera à la désactivation du processus par une thérapie du champ mental, pour y revenir dans une autre séance et procédera alors à un renforcement du moi.
Alors ça c'est une définition, mais si vous me dites que c'est un moyen de faire prendre conscience au patient de ses ressources à lui, c'est plus pareil du tout.
Oui quand je parle de lieu sûr, il s'agit toujours des ressources du patient.
Ce que je voulais dire, en accord avec la définition que j'ai compris avec l'EMDR c'est que si l'abréaction est trop violente, le thérapeute n'a qu'a ramener le patient en "lieu sûr" en lui disant quelque chose comme " la scène disparait doucement et tu te concentres sur ta respiration" comme l'enseigne Kein.[/color]
Il suffit d'avoir l'accord du patient sur ce qu'il va revivre en émotion ou en images, si le patient est OK , l'abréaction pourra se faire aussi violente soit-elle, vous avez eu l'accord de l'IC du patient.
PS : d'ailleurs j'aimerais revenir sur un passage que vous avez écrit :
Ben oui, une abréaction de ce genre et venant d'un enfant, à mon avis, donnera quelque chose qui ressemble à ce que cet enfant a fait. D'abord, la régression était à la gestation et il ne s'agissait pas d'un coup de poing dans le ventre de sa mère. Il ne s'agit pas vraiment d'un traumatisme que l'enfant a vécu mais d'une tendance à ne pas aimer quelque chose. Il a ressenti probablement une certaine instabilité sourde de sa mère. L'abréaction ici me semble tout à fait correspondante.
Je ne partage pas trop cette idée. A quel moment d'après vous peut-on parler de traumatisme alors ?, personnellement si l'enfant souffre d'un blocage, c'est qu'il a eu une sorte de trauma quelque part, après c'est sûr, tout est une échelle de valeur, en tout cas d'un impact suffisant pour lui causer un trouble par la suite.
Je reviendrai sur ce sujet.
OK
paulelie à dit:vous continuer le même jeu perfide que joue metaphore avec altmaier...
ou vous insinuez discrètement " ça ne colles pas"
pour me descendre et me discréditer....
et ne répondez a ma question qu'a coté et ajoutant que quelqu'un d'autres m'insulte et en l'affichant sur le forum public....
tout a fait la même chose avec metaphore qui se rétracte ayant compris
que le jeu n'en vallait pas la chandelle et qu 'altaimer a déjà gagné la bataille sur ce terrain boueux
ce que vous n'avez pas pensé avant de sortir une telle affirmation de megalomanie et de parano ...c'est que parce que vous refusez d'en donner l'auteur....
c'est en fait vous qui le dites!
donc j'exige des excuses pour cette caractérisation que vous avez faite
de therapeute de foire....
ou si vous n'en êtes pas l'auteur ( prouvez le donc!)+ le nom de cette personne qui vous a suggéré mon état mental
ou alors je continue
et vous déchire tous les deux en petits morceaux!
votre choix....
d'autres se sont frottés a moi de cette façon et vous aurez eu la chance d"e l'avoir constaté ....qu'il ne sont plus la!
pensez vous être plus intelligent ou plus malins que les autres et démonter ma réputation ou mon expérience qui sont réelle et non pas inexistante comme la votre et de ce paul qui vous a écrit...
vous voyez ou je vais!?
je vous donne 24 heures pour réfléchir avant que j'étudie vos 2 cas en public... vous avez été prévenus!
Métaphore à dit:Leo Lavoie à dit:Bon je reprend certains passages :
En effet, je vous trouve pertinente et sensée...Mais agressive tout de même...C'est pas gentil... et ça fait fuir certains professionnels... VOus direz qu'ils ont la couenne bien molle et sensible mais que voulez vous. Je crois que vous devriez faire un effort de diplomatie. Je crois en la diplomatie. L'hypnose est une chose, les thérapeutes sont des humains.
Je souhaite surtout montrer une vision de l'hypnose autre qu'Ericksonnienne, où le vocabulaire est simple sans rentrer dans des méta modèles et le langage PNListes qui n'a aucun intérêt pour moi. Et que certains arrêtent de se conforter dans leur expérience sans être attentif à ce que dit l'autre d'où mon agressivité...
Ok alors la première fois que j'ai assimilé le terme "lieu sûr" c'était dans mon "étude" de l'EMDR. C'est un "endroit" visualisé ou le sujet peut se réfugier en cas d'abréaction trop désagréable.
Ah pas du tout, l'abréaction doit se revivre (revivification du trauma) que ce soit en émotions ou en images, néanmoins je mettrais une parenthèse, le thérapeute doit au cours de la séance demander à l'IC du patient s'il est prêt à revivre cet évènement, le thérapeute doit avoir l'accord du patient, (signal idéo moteur) il se peut que le patient n'est pas en mesure de le revivre (trop tôt pour lui), alors à ce moment là le thérapeute procèdera à la désactivation du processus par une thérapie du champ mental, pour y revenir dans une autre séance et procédera alors à un renforcement du moi.
Alors ça c'est une définition, mais si vous me dites que c'est un moyen de faire prendre conscience au patient de ses ressources à lui, c'est plus pareil du tout.
Oui quand je parle de lieu sûr, il s'agit toujours des ressources du patient.
Ce que je voulais dire, en accord avec la définition que j'ai compris avec l'EMDR c'est que si l'abréaction est trop violente, le thérapeute n'a qu'a ramener le patient en "lieu sûr" en lui disant quelque chose comme " la scène disparait doucement et tu te concentres sur ta respiration" comme l'enseigne Kein.[/color]
Il suffit d'avoir l'accord du patient sur ce qu'il va revivre en émotion ou en images, si le patient est OK , l'abréaction pourra se faire aussi violente soit-elle, vous avez eu l'accord de l'IC du patient.
PS : d'ailleurs j'aimerais revenir sur un passage que vous avez écrit :
Ben oui, une abréaction de ce genre et venant d'un enfant, à mon avis, donnera quelque chose qui ressemble à ce que cet enfant a fait. D'abord, la régression était à la gestation et il ne s'agissait pas d'un coup de poing dans le ventre de sa mère. Il ne s'agit pas vraiment d'un traumatisme que l'enfant a vécu mais d'une tendance à ne pas aimer quelque chose. Il a ressenti probablement une certaine instabilité sourde de sa mère. L'abréaction ici me semble tout à fait correspondante.
Je ne partage pas trop cette idée. A quel moment d'après vous peut-on parler de traumatisme alors ?, personnellement si l'enfant souffre d'un blocage, c'est qu'il a eu une sorte de trauma quelque part, après c'est sûr, tout est une échelle de valeur, en tout cas d'un impact suffisant pour lui causer un trouble par la suite.
Je reviendrai sur ce sujet.
OK
PS : vous avez dit que j'étais agressive ? heu...disons légèrement arrogante vu le post ci-dessus... :shock:
Leo Lavoie à dit:Pour ce qui est de l'abréaction du petit. Il faut comprendre que le petit n'était pas gravement névrosé. L'apprentissage de l'école n'est pas une chose naturelle c'est une chose à laquelle il faut s'adapter.
Si, bien utopiquement, l'enfant avait été laissé tranquille, il n'aurait pas souffert du tout de cela. Il a donc présenté des difficultés d'adaptation face à des trucs bien précis. Je n'y vois qu'une influence inculquée à la gestation. L'enfant ne se force pas à apprendre parce qu'il ne sait pas que c'est important et, parfois ceux qui apprennent le mieux à l'école le font par névrose et non par stabilité psychologique saine. Donc je n'y vois là qu'une influence.
Ok dans le cas évoqué c'est possible, je n'exclue pas.
D'ailleurs je suis de ceux qui pensent que les traumas sont plutôt rares en gestation. C'est la nature qui s'ocuppe de l'enfant, il n'a pas froid ni faim, il est protégé en tout points et tout est PRESQUE parfait là dedans pour l'enfant. Je crois donc qu'une abréaction qui est issue d'une régression à la période de gestation puisse dont révéler des inconforts, des influences, mais pas des traumatismes en tant que tel.
Ben c'est là que je ne partage pas votre point de vue.
Pensez vous réellement que l'enfant trouvera ce confort en gestation s'il n'a jamais été désiré par sa mère par exemple, ou que cet enfant vienne d'un viol, ou d'un père inexistant. Croyez vous que ce foetus n'aura pas des empreintes négatives pré-natales sans parler de sa naissance et de son environnement par la suite...
Et vous pouvez m'expliquer à partir de quoi, un évènement vous apparaît comme traumatique alors ?
Petite fleur à dit:Moi Paulélie, je trouve votre français très compréhensible, et si on compare avec celui du québec alors là, le votre est franchement bien
Ben tant mieux si vous comprenez tout. Pour ce qui est du québec, je suis d'accord avec vous mais il ne s'agit pas d'élocution ni même de termes régionaux, il s'agit de se comprendre. Moi, j'aimerais bien qu'on me le dise si on ne comprend pas ce que je dis à cause de certains québecismes que j'utiliserais sans m'en rendre compte.
Ceci dit, vous n'avez pas envie d'ignorer toutes ces attaques ? Vous savez, il y a de ces gens qui essaieraont toujours d'avoir raison sur tout, même si leur petit doigt essaie de leur dit qu'ils ont tort.
Toutes ces attaques??? Mais pour l'amour du ciel ou voyez vous des attaques?
Je ne connais rien à l'hypnose thérapeutique mais je suis chaman et c'est une chose que je maitrise très bien (la transe chamanique) mais si j'avais à l'expliquer, je ne le ferais qu'à ceux qui ont assez d'ouverture pour entendre.
Ce que vous dites n'a pas de rapport, très chère dame... J'ai une bonne partie de la même formation théorique que Mr Paul, alors je peux voir un peu ou l'expression de son savoir fait défaut... Son savoir ne fait pas défaut mais il ne l'exprime que très mal, c'est tout. C'est dommage quand même.
Ont dit que tous les chemins mène à Rome... Oublions le vol d'oiseau et laissons donc le monde faire leur bout de chemin, laissons les tomber et se relever d'eux même...
????????????????? :shock: bon... ben bon voyage astral chère dame. :?
esperence à dit:Paul, Léo, Métaphore
On est sur un forum ou les gens qui découvrent viennent aussi lire.
Quelle image vont ils garder en vous lisant de " l'hypnose " ?
Je croyais que les praticiens étaient des gens capables de gerer leur stress, d'être dans la maitrise...au bout du compte rien de tout ça.
SVP , arreter de vous disputer...penser aux gens qui vous lisent, ceux qui ont besoin d'aide et qui veulent se tourner vers " l'hypnose ".
Pensez aussi a ceux qui veulent apprendre grace a l'autre...
Vous avez la santé n'est-ce pas ? alors vous avez tout l'or du monde.
Pensez aux autres qui eux ...aimeraient bien etre a votre place.
Pouvez vous Nous montrer votre intelligence en vous excusant ?
SVP
Métaphore à dit:
Pour ceux que ça intéresse....
L'hypno analyse par les signaux idéo moteurs (mouvements des doigts oui/non/je ne sais pas) permet au thérapeute de demander à l'IC du patient si la souffrance évoquée vient d'un conflit intérieur, car le conflit intérieur comme son nom l'indique est une dissociation des états du moi.
Chez un sujet, on peut y voir jusqu'à 10/12 états du moi différents, mais la moyenne est souvent de 2 à 4.
Le sujet développe différents états du moi pour sa survie psychique lorsqu'il est confronté à divers trauma (je rappelle qu'un trauma est la violence émotionnelle que le psychisme a enregisté au moment des faits, pour simplifier).
Thérapie sur les états du moi :
Exemple : Dans certains cas la dépression peut être causée par un ou plusieurs état du moi se sentant isolés, incompris et désespérés. Il importe donc d'écouter (de faire parler le patient) des besoins de ces états pour qu'ils se sentent compris et respectés (appelé également la dualité intérieure), c'est comme si plusieurs personnages se parlaient ou étaient en rivalité..., on demande ensuite au patient de nommer chacun de ses états du moi afin de donner à chacun de ces états du moi de nouveaux rôles pour qu'ils se respectent les uns aux autres, une sorte de coopération avec les divisions intérieures du sujet.
Un autre façon d'amener le patient à la compréhension de son mal être.
Il est évident que plus le sujet sera divisé, plus long risque d'être la thérapie.
Métaphore à dit:Leo Lavoie à dit:Pour ce qui est de l'abréaction du petit. Il faut comprendre que le petit n'était pas gravement névrosé. L'apprentissage de l'école n'est pas une chose naturelle c'est une chose à laquelle il faut s'adapter.
Si, bien utopiquement, l'enfant avait été laissé tranquille, il n'aurait pas souffert du tout de cela. Il a donc présenté des difficultés d'adaptation face à des trucs bien précis. Je n'y vois qu'une influence inculquée à la gestation. L'enfant ne se force pas à apprendre parce qu'il ne sait pas que c'est important et, parfois ceux qui apprennent le mieux à l'école le font par névrose et non par stabilité psychologique saine. Donc je n'y vois là qu'une influence.
Ok dans le cas évoqué c'est possible, je n'exclue pas.
D'ailleurs je suis de ceux qui pensent que les traumas sont plutôt rares en gestation. C'est la nature qui s'ocuppe de l'enfant, il n'a pas froid ni faim, il est protégé en tout points et tout est PRESQUE parfait là dedans pour l'enfant. Je crois donc qu'une abréaction qui est issue d'une régression à la période de gestation puisse dont révéler des inconforts, des influences, mais pas des traumatismes en tant que tel.
Ben c'est là que je ne partage pas votre point de vue.
Pensez vous réellement que l'enfant trouvera ce confort en gestation s'il n'a jamais été désiré par sa mère par exemple, ou que cet enfant vienne d'un viol, ou d'un père inexistant. Croyez vous que ce foetus n'aura pas des empreintes négatives pré-natales sans parler de sa naissance et de son environnement par la suite...
Et vous pouvez m'expliquer à partir de quoi, un évènement vous apparaît comme traumatique alors ?
Leo Lavoie à dit:Pour vos deux dernières questions. Je commence par la première:
Oui je le pense. Je ne crois pas qu'il y aura un impact tellement significatif si la mère se nourrit bien et si elle s'ocuppe de sa santé. Strictement parlant, au niveau de la gestation, c'est la nature qui mène le bal. Mais c'est une école de pensée dont j'admets volontiers la possibilité d'erreur. Je ne connais pas de recherches concluantes là dessus.
http://laissezlesvivre.free.fr/archives ... foetus.htm
Vous n'avez jamais eu l'occasion de l'étudier?
Pour moi c'est une évidence....
Pour la deuxième question. Disons qu'un événement est traumatique quand il laisse une marque qui est source de névrose. Soit par refoulement de l'événement ou par refoulement de ses propres pulsions face à un événement ou une situation. Je ne crois pas que cet enfant fut névrosé en ce sens.
katia (zoulouk) à dit:Le français de Paulelie est très compréhensible, et ceci est mauvais procès que d'attaquer sur ce critère là.
Après on est d'accord ou pas d'accord avec ses méthodes de thérapeute, ça c'est une autre affaire...
En attendant c'est le seul script qu'on voit. Qui a autre chose à proposer? Et qui va oser proposer, maintenant, sans risquer d'avoir peur de se faire descendre ?
Et rendez vous compte pour ceux qui ont envie d'aller voir un thérapeute, après ces querelles?
Enfin, vous feriez bien tous de taper l'oreiller très fort ce soir et de revenir apaisés sur le forum.
Métaphore à dit::arrow: je laisse les autres "danser" tout seuls.
Ben oui parce que vous ne savez pas danser tout seul vous... :lol: :wink:
Métaphore à dit:
Pour ceux que ça intéresse....
L'hypno analyse par les signaux idéo moteurs (mouvements des doigts oui/non/je ne sais pas) permet au thérapeute de demander à l'IC du patient si la souffrance évoquée vient d'un conflit intérieur, car le conflit intérieur comme son nom l'indique est une dissociation des états du moi.
Chez un sujet, on peut y voir jusqu'à 10/12 états du moi différents, mais la moyenne est souvent de 2 à 4.
Le sujet développe différents états du moi pour sa survie psychique lorsqu'il est confronté à divers trauma (je rappelle qu'un trauma est la violence émotionnelle que le psychisme a enregisté au moment des faits, pour simplifier).
Thérapie sur les états du moi :
Exemple : Dans certains cas la dépression peut être causée par un ou plusieurs état du moi se sentant isolés, incompris et désespérés. Il importe donc d'écouter (de faire parler le patient) des besoins de ces états pour qu'ils se sentent compris et respectés (appelé également la dualité intérieure), c'est comme si plusieurs personnages se parlaient ou étaient en rivalité..., on demande ensuite au patient de nommer chacun de ses états du moi afin de donner à chacun de ces états du moi de nouveaux rôles pour qu'ils se respectent les uns aux autres, une sorte de coopération avec les divisions intérieures du sujet.
Un autre façon d'amener le patient à la compréhension de son mal être.
Il est évident que plus le sujet sera divisé, plus long risque d'être la thérapie.