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laurenzo

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Métaphore à dit:
Laurenzo moi ce qui m'intéresserait ce sont vos propres expériences, vos propres avancées... on peut se demander depuis votre premier post si vous avez appris des choses qui vous ont permis de dépasser vos symptômes... pour moi c'est ça qui est intéressant, si vos diverses thérapies vous ont donné cet accès à la liberté de vous sentir vous même ?

Merci de prendre des nouvelles Métaphore, oui j'évolue, j'apprends beaucoup ici et ailleurs, à travers des lectures, des rencontres, des partages d'expériences. C'est aussi pour ça que j'aimerais que vous puissiez aussi dépasser certains blocages (par exemple celui ne pas pouvoir avoir tort), nous faire part de votre évolution, de vos remises en question, du bénéfice que vous tirez lorsqu'un participant vous apprend des choses sur Erickson etc...

Métaphore à dit:
Vous pensez ce que vous voulez de moi, j'ai un franc parler, ça en dérange certains, ben OK, et alors ? si vous préférez rester dans votre bulle d'intellos, alors pas de problème pour moi...

Je pense que votre franc parler ne dérange personne contrairement à ce que vous pensez. Par contre certaines contradictions dans votre discours peuvent surprendre. Vous nous parlez de discours d'intello, pourtant vous êtes la 1ère à dire aux autres qu'ils n'ont rien compris à rien, vous seriez plus intello que les intello que vous méprisez?


Métaphore à dit:
Ce qui est intéressant pour moi, c'est ce qui m'apporte qqchose pour mon bien être, alors que ce soit scientifique ou pas, je m'en fou...

Et encore une fois je n'ai aucune aversion pour la science, ça devient obsessionnel chez vous... :roll:

Tant mieux alors n'hésitez pas à répondre à Réalité lorsqu'il vous cite des références scientifiques puisque cela ne vous dérange pas le moins du monde. :wink:
 
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Métaphore

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Bon week-end Laurenzo... amusez vous bien... :D


PS: Ah oui malheureusement jusqu'à présent je n'ai rien appris de plus sur l'hypnose sur ce forum, par contre sur les individus eux mêmes oui beaucoup, d'ailleurs c'est bien pour ça que je reste... un vrai terrain d'expériences...
 
L

laurenzo

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Croyez le ou pas mais c'est en observant votre comportement sur ce forum que j'en apprends le plus. :wink:

Bonne journée à vous !
 
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-Réalité-

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Bonjour corfinas

Hello,

Perso j'ai expérimenté avec bonheur les régressions hypnotiques et je me moque bien de savoir si le souvenir retrouvé était "réel" ou "fantasmé", ce qu'il m'importe c'est que j'ai soldé, ou recadré ou traité, ce souvenir et que ça m'a "débloqué des émotions coincées" (pas d'autres mots) et qu'après certaines de mes croyances avaient évoluées et que ça allait mieux.

Vous avez parfaitement résumé la chose. Qu’il s’agisse d’un vrai ou faux souvenir importe peu en la circonstance.

Je l'ai dit sur un autre post et je le redis ici: A mon avis plus on a confiance en soi et en la vie et plus la notion de "vérité vraie" devient accessoire.

De mon côté, je pense qu’il vaut mieux une confiance en soi qui parte de la terre ferme et s’appuie sur des compétences bien réelles plutôt que sur des illusions de compétences.


valikor

elle parait étrange mais j'insiste, à quel point vous ressentez, spontanément, sur une échelle de 0 à 10, que c'est un savoir accumulé sur de nombreuses années qui s'appuie aussi sur une expérience personnelle?

Oui, oui, je vois bien que vous insistez ! :lol:
Mais je ne ressens rien de particulier. Cela me parait une opération cognitive émotionnellement neutre. Si je me replace 10 ans en arrière, je ne peux que constater que j’en sais beaucoup plus aujourd’hui qu’avant. Tous ces livres et ces publications que j’ai lus, les conférences, les rencontres, c’est assez énorme en fait. Et puis, je sais que je perçois et comprends mieux et plus vite les choses. Il y a un peu de contentement. Toutes ces années n’ont pas été vaines. Un peu de fierté aussi, peut-être.


c'est ce qui m'a donné envie de comprendre pourquoi certains y arrivaient et d'autres non....
et maintenant du coup, cette compréhension fait que c'est bien plus facile avec presque tous. ceux avec qui c'est très difficile, c'est ceux qui ne comprennent pas les questions, ou répondent je ne sais pas, ou sont coupés de leurs émotions (du coup l'emdr ne marche pas), ou avec un gros gros problème de concentration.
pour ceux qui analysent beaucoup, tout le temps, s'ils acceptent, on peut même diminuer cela pour diminuer leur résistance au travail.

Oui, c’est une question de construction personnelle. Et si vous orientez votre stratégie sur les cognitions, les émotions ou les comportements, l’un de ces facteurs sera beaucoup plus pertinent en fonction du sujet. D’où l’intérêt de connaitre un maximum de techniques de changement. Ou alors, vous faites le choix "facile" (qui se révèle un mauvais calcul selon moi) de toujours procéder de la même manière, en fonction de votre appartenance à telle ou telle école. Ainsi, si vous êtes cognitiviste, vous vous attaquerez aux cognitions, si vous êtes comportementaliste, vous vous centrerez sur les comportements et si vous êtes gestaltiste (par exemple) vous privilégierez les émotions.
 
surderien

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Métaphore à dit:
Bon week-end Laurenzo... amusez vous bien... :D


PS: Ah oui malheureusement jusqu'à présent je n'ai rien appris de plus sur l'hypnose sur ce forum, par contre sur les individus eux mêmes oui beaucoup, d'ailleurs c'est bien pour ça que je reste... un vrai terrain d'expériences...

bon, finalement vous n'avez rien appris de plus sur l'hypnose

et donc vous perdez votre temps sur ce forum d'hypnose !


et vous moquer des gens, c'est çà votre réalité ?

puisque vous savez déjà tout sur tout !

:lol:
 
surderien

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-Réalité- à dit:
Oui, c’est une question de construction personnelle. Et si vous orientez votre stratégie sur les cognitions, les émotions ou les comportements, l’un de ces facteurs sera beaucoup plus pertinent en fonction du sujet. D’où l’intérêt de connaitre un maximum de techniques de changement. Ou alors, vous faites le choix "facile" (qui se révèle un mauvais calcul selon moi) de toujours procéder de la même manière, en fonction de votre appartenance à telle ou telle école. Ainsi, si vous êtes cognitiviste, vous vous attaquerez aux cognitions, si vous êtes comportementaliste, vous vous centrerez sur les comportements et si vous êtes gestaltiste (par exemple) vous privilégierez les émotions.

là, Réalité, je suis tout à fait d'accord avec vous !

Tout est construction mentale, et chacun selon ses préférences...

Le but n'étant pas de casser la construction de l'autre, même si l'on est un peu jaloux de ses performances...

8)


encore que...les émotions prennent souvent le dessus chez certain(e)s...

:lol:
 
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Métaphore

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surderien à dit:
-Réalité- à dit:
Oui, c’est une question de construction personnelle. Et si vous orientez votre stratégie sur les cognitions, les émotions ou les comportements, l’un de ces facteurs sera beaucoup plus pertinent en fonction du sujet. D’où l’intérêt de connaitre un maximum de techniques de changement. Ou alors, vous faites le choix "facile" (qui se révèle un mauvais calcul selon moi) de toujours procéder de la même manière, en fonction de votre appartenance à telle ou telle école. Ainsi, si vous êtes cognitiviste, vous vous attaquerez aux cognitions, si vous êtes comportementaliste, vous vous centrerez sur les comportements et si vous êtes gestaltiste (par exemple) vous privilégierez les émotions.

là, Réalité, je suis tout à fait d'accord avec vous !

Tout est construction mentale, et chacun selon ses préférences...

Le but n'étant pas de casser la construction de l'autre, même si l'on est un peu jaloux de ses performances...
Vous savez de quoi vous parlez là, vos attaques personnelles à mon égard le prouve chaque jour un peu plus... :idea:

encore que...les émotions prennent souvent le dessus chez certain(e)s...
Ben là aussi on suppose que mes messages vous touche personnellement... posez vous la question de temps en temps, qu'est ce que je réveille chez vous pour autant d'animosité... :?:
 
valikor

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valikor

elle parait étrange mais j'insiste, à quel point vous ressentez, spontanément, sur une échelle de 0 à 10, que c'est un savoir accumulé sur de nombreuses années qui s'appuie aussi sur une expérience personnelle?

Oui, oui, je vois bien que vous insistez ! :lol:
Mais je ne ressens rien de particulier. Cela me parait une opération cognitive émotionnellement neutre. Si je me replace 10 ans en arrière, je ne peux que constater que j’en sais beaucoup plus aujourd’hui qu’avant. Tous ces livres et ces publications que j’ai lus, les conférences, les rencontres, c’est assez énorme en fait. Et puis, je sais que je perçois et comprends mieux et plus vite les choses. Il y a un peu de contentement. Toutes ces années n’ont pas été vaines. Un peu de fierté aussi, peut-être.


c'est ce qui m'a donné envie de comprendre pourquoi certains y arrivaient et d'autres non....
et maintenant du coup, cette compréhension fait que c'est bien plus facile avec presque tous. ceux avec qui c'est très difficile, c'est ceux qui ne comprennent pas les questions, ou répondent je ne sais pas, ou sont coupés de leurs émotions (du coup l'emdr ne marche pas), ou avec un gros gros problème de concentration.
pour ceux qui analysent beaucoup, tout le temps, s'ils acceptent, on peut même diminuer cela pour diminuer leur résistance au travail.

Oui, c’est une question de construction personnelle. Et si vous orientez votre stratégie sur les cognitions, les émotions ou les comportements, l’un de ces facteurs sera beaucoup plus pertinent en fonction du sujet. D’où l’intérêt de connaitre un maximum de techniques de changement. Ou alors, vous faites le choix "facile" (qui se révèle un mauvais calcul selon moi) de toujours procéder de la même manière, en fonction de votre appartenance à telle ou telle école. Ainsi, si vous êtes cognitiviste, vous vous attaquerez aux cognitions, si vous êtes comportementaliste, vous vous centrerez sur les comportements et si vous êtes gestaltiste (par exemple) vous privilégierez les émotions.

en fait, le débat s'est déplacé de l'influence d'une croyance à ressenti très faible à celle d'une compétence, adossé à une bonne confiance en soi et en ses capacités....

ce n'est plus la même chose à mon sens...
 
surderien

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surderien à dit:
-Réalité- à dit:
Oui, c’est une question de construction personnelle. Et si vous orientez votre stratégie sur les cognitions, les émotions ou les comportements, l’un de ces facteurs sera beaucoup plus pertinent en fonction du sujet. D’où l’intérêt de connaitre un maximum de techniques de changement. Ou alors, vous faites le choix "facile" (qui se révèle un mauvais calcul selon moi) de toujours procéder de la même manière, en fonction de votre appartenance à telle ou telle école. Ainsi, si vous êtes cognitiviste, vous vous attaquerez aux cognitions, si vous êtes comportementaliste, vous vous centrerez sur les comportements et si vous êtes gestaltiste (par exemple) vous privilégierez les émotions.

là, Réalité, je suis tout à fait d'accord avec vous !

Tout est construction mentale, et chacun selon ses préférences...

Le but n'étant pas de casser la construction de l'autre, même si l'on est un peu jaloux de ses performances...
Vous savez de quoi vous parlez là, vos attaques personnelles à mon égard le prouve chaque jour un peu plus... :idea:

encore que...les émotions prennent souvent le dessus chez certain(e)s...
Ben là aussi on suppose que mes messages vous touche personnellement... posez vous la question de temps en temps, qu'est ce que je réveille chez vous pour autant d'animosité... :?:

çà réveille en moi peut être mon animalité ?

et ma phobie la plus secrète, celle de la femme à règner ?

je vous l'accorde, c'est pas bon...

mais à qui la faute ?

:roll:
 
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Métaphore

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surderien à dit:
Tout est construction mentale, et chacun selon ses préférences...

Le but n'étant pas de casser la construction de l'autre, même si l'on est un peu jaloux de ses performances...

Métaphore à dit:
Vous savez de quoi vous parlez là, vos attaques personnelles à mon égard le prouve chaque jour un peu plus... :idea:

surderien à dit:
encore que...les émotions prennent souvent le dessus chez certain(e)s...

Ben là aussi on suppose que mes messages vous touche personnellement... posez vous la question de temps en temps, qu'est ce que je réveille chez vous pour autant d'animosité... :?:

çà réveille en moi peut être mon animalité ?

et ma phobie la plus secrète, celle de la femme à règner ?

je vous l'accorde, c'est pas bon...

mais à qui la faute ?

:roll:

Oui je vous accorde votre phobie, c'est bien ce que je craignais depuis un moment déjà...

A qui la faute ?... :idea: hum... peut être que votre esprit paradoxal vous a piégé dans la toile... :roll:
 
R

-Réalité-

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valikor

en fait, le débat s'est déplacé de l'influence d'une croyance à ressenti très faible à celle d'une compétence, adossé à une bonne confiance en soi et en ses capacités....

ce n'est plus la même chose à mon sens...

Holà ! J’ai répondu à votre questionnement du mieux que j’ai pu et je n’y peux rien si mes réponses infirment vos postulats que d’ailleurs je me permets de vous rappeler :

dernier essai : cherchez en vous une croyance dont vous avez l'impression qu'elle a un impact effectif, factuel, que vous ressentez. Une fois que vous l'avez, on pourra en discuter.

et j'insiste bien, croire est intrinsèquement émotionnel.

Ah, mais là c'est un savoir rationnel, étayé par des faits et vérifiables. C'est de l'expérience.
Qui en s'amassant un certain temps va de plus générer un ressenti accompagnateur lié.

Résumons : je pense être compétent dans un domaine mais cette croyance ne s’établit pas sur un ressenti ou un sentiment mais sur des faits. Et il peut s'agir de mon incompétence dans un autre domaine, ce sera égalemnent vrai. Voyez, c’est là que réside votre erreur et votre généralisation abusive sur les croyances.
Par ailleurs, je voudrais revenir sur ce que vous aviez dit plus haut au sujet des croyances qui n’auraient pas d’impact parce qu’elles ne seraient pas accompagnées d’un fort ressenti et préciser un peu. Et là aussi vous faites erreur. Je vous livre un truc personnel (mais qui est assez commun en fait) : il m’arrive assez souvent lorsque je suis face à une problématique de ressentir malgré tout de l’anxiété alors qu’il s’agit d’un domaine que je maitrise pourtant fort bien. Après toutes ces années, on pourrait croire que cela ne devrait pas arriver. Eh bien, non. Et il est probable que cette réaction émotive, cette tension persiste encore longtemps voire même toute ma vie. C’est du même ordre que le trac chez les artistes qui montent sur scène, je pense. Mais que fais-je quand cela m’arrive ? Je prends une inspiration légèrement plus forte que les autres, je considère mon passé et toutes mes réussites (un peu comme je l’ai fait pour notre expérience précédente) puis je me mets à penser que cette réaction émotive n’a pas lieu d’être car je suis tout à fait capable de gérer la situation. Dans mon cas, la détente que procure l’inspiration à elle seule est insuffisante, il faut qu’elle soit suivie de cette cognition « froide ».
 
surderien

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Valikor a dit : cherchez en vous une croyance dont vous avez l'impression qu'elle a un impact effectif, factuel, que vous ressentez.


Réalité a dit : je considère mon passé et toutes mes réussites puis je me mets à penser que cette réaction émotive n’a pas lieu d’être car je suis tout à fait capable de gérer la situation.


l’ancrage de se souvenir que la dernière fois çà a bien marché, que vous avez sû l’utiliser au mieux, permet d’éloigner le pire, car en ne pensant pas au pire, on ne le déclenche pas.

A un plus haut niveau, en méta position, vous vous situez alors en situation de supervision, de dissociation sur vous mêmes, donc à même de prendre la meilleure orientation : ce recul permet de gérer, de ré-agencer ses affects

cette réaction émotive constitue alors une énergie psychodynamique à orienter au sein même de votre action, pour construire cette situation de / en réussite

c'est tout l'intérêt de travailler sur cette force « émotive » en thérapie pour apprendre à l’utiliser de façon orientée, adaptée...

pour réadapter ses croyances dans le sens de la réussite...

8)
 
valikor

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valikor

en fait, le débat s'est déplacé de l'influence d'une croyance à ressenti très faible à celle d'une compétence, adossé à une bonne confiance en soi et en ses capacités....

ce n'est plus la même chose à mon sens...

Holà ! J’ai répondu à votre questionnement du mieux que j’ai pu et je n’y peux rien si mes réponses infirment vos postulats que d’ailleurs je me permets de vous rappeler :

dernier essai : cherchez en vous une croyance dont vous avez l'impression qu'elle a un impact effectif, factuel, que vous ressentez. Une fois que vous l'avez, on pourra en discuter.

et j'insiste bien, croire est intrinsèquement émotionnel.

Ah, mais là c'est un savoir rationnel, étayé par des faits et vérifiables. C'est de l'expérience.
Qui en s'amassant un certain temps va de plus générer un ressenti accompagnateur lié.

Résumons : je pense être compétent dans un domaine mais cette croyance ne s’établit pas sur un ressenti ou un sentiment mais sur des faits. Et il peut s'agir de mon incompétence dans un autre domaine, ce sera égalemnent vrai. Voyez, c’est là que réside votre erreur et votre généralisation abusive sur les croyances.
Par ailleurs, je voudrais revenir sur ce que vous aviez dit plus haut au sujet des croyances qui n’auraient pas d’impact parce qu’elles ne seraient pas accompagnées d’un fort ressenti et préciser un peu. Et là aussi vous faites erreur. Je vous livre un truc personnel (mais qui est assez commun en fait) : il m’arrive assez souvent lorsque je suis face à une problématique de ressentir malgré tout de l’anxiété alors qu’il s’agit d’un domaine que je maitrise pourtant fort bien. Après toutes ces années, on pourrait croire que cela ne devrait pas arriver. Eh bien, non. Et il est probable que cette réaction émotive, cette tension persiste encore longtemps voire même toute ma vie. C’est du même ordre que le trac chez les artistes qui montent sur scène, je pense. Mais que fais-je quand cela m’arrive ? Je prends une inspiration légèrement plus forte que les autres, je considère mon passé et toutes mes réussites (un peu comme je l’ai fait pour notre expérience précédente) puis je me mets à penser que cette réaction émotive n’a pas lieu d’être car je suis tout à fait capable de gérer la situation. Dans mon cas, la détente que procure l’inspiration à elle seule est insuffisante, il faut qu’elle soit suivie de cette cognition « froide ».

non, vous puisez dans votre confiance en vos capacités. sans cela, tout votre savoir accumulé ne saurait neutraliser l'anxiété encore présente et probablement due à l'impression que cela fait partie de vous (peut etre moins fortement qu'avant d'ailleurs).

ce que vous prenez pour une cognition, ne l'est pas du tout de mon point de vue....

sur ce, je lâche prise.

amusez vous bien.


Valikor
 
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-Réalité-

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surderien

l’ancrage de se souvenir que la dernière fois çà a bien marché, que vous avez sû l’utiliser au mieux, permet d’éloigner le pire, car en ne pensant pas au pire, on ne le déclenche pas.

C’est encore mieux que de ne pas penser au pire car dans l’exemple que j’ai donné, je me mets à penser au meilleur : « je suis en capacité de gérer le problème » et, là, la tension émotionnelle disparait.


A un plus haut niveau, en méta position, vous vous situez alors en situation de supervision, de dissociation sur vous mêmes, donc à même de prendre la meilleure orientation : ce recul permet de gérer, de ré-agencer ses affects

Oui, mais dans mon exemple, il ne s’agit pas d’un changement d’affect mais d’une simple neutralisation de l’affect. Je ne passe pas d’une petite tension anxieuse à la joie, par exemple.
Et une fois la neutralisation effectuée, une nouvelle cognition apparait qui est la suivante : « bon, tu as du boulot, il faut y aller ». Mais, là encore, je ne parlerais pas d’affect associé à cette pensée mais plutôt d’une mobilisation de mon énergie.


cette réaction émotive constitue alors une énergie psychodynamique à orienter au sein même de votre action, pour construire cette situation de / en réussite

Hum ! La façon dont vous exposez les choses est loin d’être clair pour moi. Mais peut-être pensons-nous sensiblement à la même chose.


c'est tout l'intérêt de travailler sur cette force « émotive » en thérapie pour apprendre à l’utiliser de façon orientée, adaptée...

Dans mon exemple, je pense qu’il serait plus juste de dire que cette émotion négative est neutralisée et que grâce aux pensées successives, mon énergie se rassemble et est mobilisée pour que je m’attaque au problème.


pour réadapter ses croyances dans le sens de la réussite...

Oui, on peut dire les choses ainsi. Mais à vrai dire, je ne m’occupe pas de la croyance du départ ici d’autant que je ne suis pas certain qu’il y en est une. En revanche, il est clair qu’il est parfois utile de trouver une signification ou d’attribuer un sens à cette réaction émotionnelle afin de la neutraliser. Mais, dans le cas présent, objectivement, tout ce que je peux dire, c’est que je neutralise cette émotion par une inspiration suivie d’une cognition.



valikor


non, vous puisez dans votre confiance en vos capacités. sans cela, tout votre savoir accumulé ne saurait neutraliser l'anxiété encore présente et probablement due à l'impression que cela fait partie de vous (peut etre moins fortement qu'avant d'ailleurs).

ce que vous prenez pour une cognition, ne l'est pas du tout de mon point de vue....

sur ce, je lâche prise.

amusez vous bien.

Si je pénètre bien le fond de votre pensée, dans votre conception, la confiance ne reposerait pas sur la connaissance que nous avons de nos capacités ou de notre savoir mais sur quelque chose d’autre et c’est ce que vous avez appelé un « ressenti ». Un ressenti de confiance, donc. Mais je serais curieux d’apprendre ce qui pourrait bien donner naissance à ce « ressenti de confiance » si ce n’est justement la prise en compte de nos compétences et de nos capacités.

Mais, en fait, je n’entrevois qu’une seule possibilité : la confiance telle que vous la concevez serait finalement très proche de la foi religieuse. Et alors que je vous faisais la description d’une confiance fondée en raison sur des faits avérés (donc neutre), de votre côté, vous ne considérez cette confiance en soi que dans sa perspective « mystique », c'est à dire irrationnelle et fortement teintée d'émotion.

Sommes-nous d’accord cette fois-ci et avons-nous fait le tour de la question ?
 
valikor

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-Réalité- à dit:
Si je pénètre bien le fond de votre pensée, dans votre conception, la confiance ne reposerait pas sur la connaissance que nous avons de nos capacités ou de notre savoir mais sur quelque chose d’autre et c’est ce que vous avez appelé un « ressenti ». Un ressenti de confiance, donc. Mais je serais curieux d’apprendre ce qui pourrait bien donner naissance à ce « ressenti de confiance » si ce n’est justement la prise en compte de nos compétences et de nos capacités.

Mais, en fait, je n’entrevois qu’une seule possibilité : la confiance telle que vous la concevez serait finalement très proche de la foi religieuse. Et alors que je vous faisais la description d’une confiance fondée en raison sur des faits avérés (donc neutre), de votre côté, vous ne considérez cette confiance en soi que dans sa perspective « mystique », c'est à dire irrationnelle et fortement teintée d'émotion.

Sommes-nous d’accord cette fois-ci et avons-nous fait le tour de la question ?

non, pas du tout.

pour bien comprendre ce qu'est avoir confiance en soi ou pas, il est important d'observer ce que les gens ressentent.

je vais commencer par un exemple tirés des patients que j'ai reçus, puis théoriser:

tout a commencé un jour avec une patiente qui venait me voir car elle n'en pouvait plus. j'étais jeune, pas assez encore de distance, trop d'empathie, du coup, quand je la regardais, les larmes pointaient aux yeux et c'était douloureux de la regarder, avant même qu'elle ne parle :!:
elle venait pour un problème de perte de confiance en soi. on discute, elle avait toujours eu confiance en elle sauf que depuis 3 mois, elle a perdu son père, son fiancé juste avant le mariage, son beau-père qui s'est suicidé suite au DC....
on a juste fait le traitement des deuils et elle a retrouvé sa confiance en soi....

cela m'a donné l'idée d'utiliser un indicateur pour la confiance en soi et j'ai observé, qu'en général, le manque de confiance en soi est causé par :
- l'ensemble des ressentis négatifs vis à vis du passé et du présent et spécialement les échecs ayant donné naissance à des croyances négatives quant à ses capacités;
- les dévalorisations causées par d'autres + l'auto-dévalorisation;
- l'impression que le manque de confiance en soi fait partie de soi;

tout cela était indépendamment des réussites éventuelles obtenues.

du coup, une fois que tout cela a pris suffisamment de la distance, la personne a confiance en soi. et elle va bien aussi.

donc par définition, quelqu'un qui va bien, a confiance en lui, indépendamment des réussites qu'il a pu obtenir.

j'interprète alors la confiance en soi comme un réservoir de ressources utilisables, mobilisables.
et quand on ne va pas bien, une partie des ressources est alors utilisée pour faire abstraction des choses négatives....

exception : il arrive que des personnes ont des réussites exceptionnelles, une croyance forte et positive s'est alors construite. leur niveau de cfs sera plus élevé mais ils perdront aussi en cfs avec la dégradation de leur état. d'autres ont une mauvaise perception de leurs ressources mais ils sont plutôt rares.

ce n'est donc pas de la foi religieuse... mais juste émotionnelle.

mp pour remarque perso à suivre.


Valikor
 
surderien

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Mais, dans le cas présent, objectivement, tout ce que je peux dire, c’est que je neutralise cette émotion par une inspiration suivie d’une cognition.

Si on peut développer une théorie sur son comportement alors on n'est plus soumis à son comportement. ( Bayes)

si on sait développer une stratégie sur son comportement alors on n'est plus soumis à son comportement....


On est alors en situation de supervision, émotionnelle, cognitive, multi panoramique...

Aprés comment çà marche çà n'a pas d'importance car on voit comment on est dans le panorama ...

et si on est un visuel, çà aide encore à voir plus loin dans le futur...

8)
 
Leo Lavoie

Leo Lavoie

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Si je pénètre bien le fond de votre pensée, dans votre conception, la confiance ne reposerait pas sur la connaissance que nous avons de nos capacités ou de notre savoir mais sur quelque chose d’autre et c’est ce que vous avez appelé un « ressenti ». Un ressenti de confiance, donc. Mais je serais curieux d’apprendre ce qui pourrait bien donner naissance à ce « ressenti de confiance » si ce n’est justement la prise en compte de nos compétences et de nos capacités.

Mais, en fait, je n’entrevois qu’une seule possibilité : la confiance telle que vous la concevez serait finalement très proche de la foi religieuse. Et alors que je vous faisais la description d’une confiance fondée en raison sur des faits avérés (donc neutre), de votre côté, vous ne considérez cette confiance en soi que dans sa perspective « mystique », c'est à dire irrationnelle et fortement teintée d'émotion.

Sommes-nous d’accord cette fois-ci et avons-nous fait le tour de la question ?

non, pas du tout.

pour bien comprendre ce qu'est avoir confiance en soi ou pas, il est important d'observer ce que les gens ressentent.

je vais commencer par un exemple tirés des patients que j'ai reçus, puis théoriser:

tout a commencé un jour avec une patiente qui venait me voir car elle n'en pouvait plus. j'étais jeune, pas assez encore de distance, trop d'empathie, du coup, quand je la regardais, les larmes pointaient aux yeux et c'était douloureux de la regarder, avant même qu'elle ne parle :!:
elle venait pour un problème de perte de confiance en soi. on discute, elle avait toujours eu confiance en elle sauf que depuis 3 mois, elle a perdu son père, son fiancé juste avant le mariage, son beau-père qui s'est suicidé suite au DC....
on a juste fait le traitement des deuils et elle a retrouvé sa confiance en soi....

cela m'a donné l'idée d'utiliser un indicateur pour la confiance en soi et j'ai observé, qu'en général, le manque de confiance en soi est causé par :
- l'ensemble des ressentis négatifs vis à vis du passé et du présent et spécialement les échecs ayant donné naissance à des croyances négatives quant à ses capacités;
- les dévalorisations causées par d'autres + l'auto-dévalorisation;
- l'impression que le manque de confiance en soi fait partie de soi;

tout cela était indépendamment des réussites éventuelles obtenues.

du coup, une fois que tout cela a pris suffisamment de la distance, la personne a confiance en soi. et elle va bien aussi.

donc par définition, quelqu'un qui va bien, a confiance en lui, indépendamment des réussites qu'il a pu obtenir.

j'interprète alors la confiance en soi comme un réservoir de ressources utilisables, mobilisables.
et quand on ne va pas bien, une partie des ressources est alors utilisée pour faire abstraction des choses négatives....

exception : il arrive que des personnes ont des réussites exceptionnelles, une croyance forte et positive s'est alors construite. leur niveau de cfs sera plus élevé mais ils perdront aussi en cfs avec la dégradation de leur état. d'autres ont une mauvaise perception de leurs ressources mais ils sont plutôt rares.

ce n'est donc pas de la foi religieuse... mais juste émotionnelle.

mp pour remarque perso à suivre.


Valikor

La confiance en soi n'est pas un acquis. Elle est innée comme l'amour de soi. C'est l'environnement de l'enfance qui lui colle des croyances qui la rendent conditionnelle à ce que l'on fait et ce que l'on réussit et nos connaissances. Mais elle reste là, intacte dans l'inconscient. Il s'agit de la retrouver et de travailler avec ce concept là, il est totalement inconditionel.
 
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Métaphore

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Leo Lavoie à dit:
La confiance en soi n'est pas un acquis. Elle est innée comme l'amour de soi. C'est l'environnement de l'enfance qui lui colle des croyances qui la rendent conditionnelle à ce que l'on fait et ce que l'on réussit et nos connaissances. Mais elle reste là, intacte dans l'inconscient. Il s'agit de la retrouver et de travailler avec ce concept là, il est totalement inconditionel.

Et si la mère n'a pas désirée son enfant, vit mal sa grossesse, et n'a pas d'affection maternelle auprès de l'enfant... sans compter que le père peut être absent voire même inexistant, ... (des cas comme ça, il y en a à la pelle)...

Considérez vous quand même que la confiance en soi est innée ? je me demande où l'individu va la chercher dans l'inconscient ?...
 
valikor

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elle est innée puis diminuée par les émotions/sensations/ressentis négatifs...
 
Leo Lavoie

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Métaphore à dit:
Leo Lavoie à dit:
La confiance en soi n'est pas un acquis. Elle est innée comme l'amour de soi. C'est l'environnement de l'enfance qui lui colle des croyances qui la rendent conditionnelle à ce que l'on fait et ce que l'on réussit et nos connaissances. Mais elle reste là, intacte dans l'inconscient. Il s'agit de la retrouver et de travailler avec ce concept là, il est totalement inconditionel.

Et si la mère n'a pas désirée son enfant, vit mal sa grossesse, et n'a pas d'affection maternelle auprès de l'enfant... sans compter que le père peut être absent voire même inexistant, ... (des cas comme ça, il y en a à la pelle)...

Considérez vous quand même que la confiance en soi est innée ? je me demande où l'individu va la chercher dans l'inconscient ?...

La réponse est oui quand même. Elle peut être plus fragile et c'est là qu'entre en jeu la résilience innée.

Et l'individu va la chercher dans ses instincts de base tout simplement. L'enfant qui crie pour avoir le sein le fait par "amour" pour lui-même et considération de soi. Un enfant qui vient au monde sans estime et amour de soi ne survivra pas. L'estime et l'amour de soi sont essentielles pour les premières phases cruciales de développement.

Cet amour de soi est brut mais il est et demeure là. Et c'est cela qu'il faut retrouver en soi.
 
Leo Lavoie

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valikor à dit:
elle est innée puis diminuée par les émotions/sensations/ressentis négatifs...

Voilà...mais je préfère dire qu'elle est embourbée et empêtrée de faussetés acquises. Tellement que l'on pourrait croire que c'est un acquis que l'on a jamais eu la chance d'avoir. :wink:
 
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Métaphore

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Leo Lavoie à dit:
Métaphore à dit:
Leo Lavoie à dit:
La confiance en soi n'est pas un acquis. Elle est innée comme l'amour de soi. C'est l'environnement de l'enfance qui lui colle des croyances qui la rendent conditionnelle à ce que l'on fait et ce que l'on réussit et nos connaissances. Mais elle reste là, intacte dans l'inconscient. Il s'agit de la retrouver et de travailler avec ce concept là, il est totalement inconditionel.

Et si la mère n'a pas désirée son enfant, vit mal sa grossesse, et n'a pas d'affection maternelle auprès de l'enfant... sans compter que le père peut être absent voire même inexistant, ... (des cas comme ça, il y en a à la pelle)...

Considérez vous quand même que la confiance en soi est innée ? je me demande où l'individu va la chercher dans l'inconscient ?...

La réponse est oui quand même. Elle peut être plus fragile et c'est là qu'entre en jeu la résilience innée.

Et l'individu va la chercher dans ses instincts de base tout simplement. L'enfant qui crie pour avoir le sein le fait par "amour" pour lui-même et considération de soi. Un enfant qui vient au monde sans estime et amour de soi ne survivra pas. L'estime et l'amour de soi sont essentielles pour les premières phases cruciales de développement.

Cet amour de soi est brut mais il est et demeure là. Et c'est cela qu'il faut retrouver en soi.

Oui je comprends bien quand vous parlez de résilience innée, néanmoins on peut voir qu'il y a quand même un sacré boulot en thérapie hypnotique pour ce type de personne...

Et quand vous dites : L'estime et l'amour de soi sont essentielles pour les premières phases cruciales de développement.

Je suis d'accord, mais dans le cas présenté, je dirais qu'il s'agit plus d'un instinct de survie... et c'est là que s'installe les SPI (Schémas Précoces Inadaptés)... alors arrivé à l'âge adulte, et bien il y a une bonne couche de mécanismes de défense...
 
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Molaco

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Tout n'est que faussetés acquises d'après moi.
Après des faussetés sont plus "productives" que d'autres
 
corfinas

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valikor à dit:
... quand on ne va pas bien, une partie des ressources est alors utilisée pour faire abstraction des choses négatives....

Yep, tout à fait d'accord, ça rejoint pour moi les boucles de distraction/frustration du schéma du fctionnement du cerveau de Paul.

Comme un ordinateur qui rame, une partie du processeur gère des trucs en arrière plan et il reste peu de ressource pour faire ce que l'on veut faire, tout est plus lent. Ben alors faut défragmenter ... faire le ménage.
 
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Métaphore

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corfinas à dit:
valikor à dit:
... quand on ne va pas bien, une partie des ressources est alors utilisée pour faire abstraction des choses négatives....

Quand on ne va pas bien est une notion bien large, comme les choses négatives, moi je parle d'un individu en souffrance profonde comme l'exemple cité dans mon post précédent...

Yep, tout à fait d'accord, ça rejoint pour moi les boucles de distraction/frustration du schéma du fctionnement du cerveau de Paul.

Comme un ordinateur qui rame, une partie du processeur gère des trucs en arrière plan et il reste peu de ressource pour faire ce que l'on veut faire, tout est plus lent. Ben alors faut défragmenter ... faire le ménage.


Comparer une machine à un individu en souffrance, c'est curieux quand même... et cela n'a rien à voir avec une boucle de distraction/frustration du schéma ... :shock:
 
Leo Lavoie

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corfinas à dit:
valikor à dit:
... quand on ne va pas bien, une partie des ressources est alors utilisée pour faire abstraction des choses négatives....

Yep, tout à fait d'accord, ça rejoint pour moi les boucles de distraction/frustration du schéma du fctionnement du cerveau de Paul.

Comme un ordinateur qui rame, une partie du processeur gère des trucs en arrière plan et il reste peu de ressource pour faire ce que l'on veut faire, tout est plus lent. Ben alors faut défragmenter ... faire le ménage.

Oui, j'en suis. Et, en effet, y'a là une boucle. Le cerveau de l'humain tente des mécanismes qui ne fonctionneront pas et qui créeront un équilibre fort relatif. L'humain dans sa forme d'animal intelligent seule, n'est pas fait pour sa propre société.
 
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Métaphore

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Léo ce qui m'intéresserait ce n'est pas la décomposition que vous en êtes, mais comment arrivez vous à remettre un individu sur pied en prenant l'exemple cité ci-dessus ?

Et d'ailleurs je ne partage pas du tout cette formulation : une boucle de distraction/frustration du schéma, dans le cas précité... :roll:
 
Leo Lavoie

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Métaphore à dit:
Leo Lavoie à dit:
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Leo Lavoie à dit:
La confiance en soi n'est pas un acquis. Elle est innée comme l'amour de soi. C'est l'environnement de l'enfance qui lui colle des croyances qui la rendent conditionnelle à ce que l'on fait et ce que l'on réussit et nos connaissances. Mais elle reste là, intacte dans l'inconscient. Il s'agit de la retrouver et de travailler avec ce concept là, il est totalement inconditionel.

Et si la mère n'a pas désirée son enfant, vit mal sa grossesse, et n'a pas d'affection maternelle auprès de l'enfant... sans compter que le père peut être absent voire même inexistant, ... (des cas comme ça, il y en a à la pelle)...

Considérez vous quand même que la confiance en soi est innée ? je me demande où l'individu va la chercher dans l'inconscient ?...

La réponse est oui quand même. Elle peut être plus fragile et c'est là qu'entre en jeu la résilience innée.

Et l'individu va la chercher dans ses instincts de base tout simplement. L'enfant qui crie pour avoir le sein le fait par "amour" pour lui-même et considération de soi. Un enfant qui vient au monde sans estime et amour de soi ne survivra pas. L'estime et l'amour de soi sont essentielles pour les premières phases cruciales de développement.

Cet amour de soi est brut mais il est et demeure là. Et c'est cela qu'il faut retrouver en soi.

Oui je comprends bien quand vous parlez de résilience innée, néanmoins on peut voir qu'il y a quand même un sacré boulot en thérapie hypnotique pour ce type de personne...

Et quand vous dites : L'estime et l'amour de soi sont essentielles pour les premières phases cruciales de développement.

Je suis d'accord, mais dans le cas présenté, je dirais qu'il s'agit plus d'un instinct de survie... et c'est là que s'installe les SPI (Schémas Précoces Inadaptés)... alors arrivé à l'âge adulte, et bien il y a une bonne couche de mécanismes de défense...

Je ne connaissais pas ce terme qui me fait un peu sourire... SPI donc... ok. Ben oui, y'a des schémas qui s'installent et, ils sont inadaptés et précoces. Pour les mécanismes de défenses ben voilà... L'hypnose est là pour voir au travers, à moins qu'ils ne soient trop graves et deviennent étanches à tout.
 
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