solanges
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Après la question est de savoir s'il y a quelque chose à switcher ou pas ? Pourquoi vouloir être dans un autre état d'être que celui dans lequel on est ?L'idée est plutot d'avoir une gestion des évenements vécus en direct pour de suite switcher.
Justement, Switcher dès que l'on peut pour ne pas rester dans un mal être une journéeAprès la question est de savoir s'il y a quelque chose à switcher ou pas ? Pourquoi vouloir être dans un autre état d'être que celui dans lequel on est ?
Oui c'est vraiment ça qui serait intéressant.Justement, Switcher dès que l'on peut pour ne pas rester dans un mal être une journée
Ce n'est certainement pas un problème seul à régler. L'approche de GB ne demande même pas de chercher à résoudre quoi que ce soit, juste ne rien faire et le reste suit... Tu veux trouver plus simple ?Il me semble qu'elle va vouloir résoudre le problème auquel elle est confrontée.
Va t'elle penser à relativiser ou le prendre avec plus de détachement ?
Savoir ce qui est important d'être traité au mieux de ses capacités ?
Je lance le débat sur ce sujet, justement, parce que la réponse n'est pas forcément évidente.. et je ne l'ai pas vraiment non plus. Je lance la réflexion du coup.Oui c'est vraiment ça qui serait intéressant.
Il n'en parle pas malheureusement.
Et si par rapport à ce mal être, ce serait juste de le laisser ?Justement, Switcher dès que l'on peut pour ne pas rester dans un mal être une journée
Je pense qu'il faut switcher bien avant la fatigue jumb, là on est déjà dans les conséquencesJe prends un autre exemple : je suis fatiguée.
oh mince, car on peut être vite fatiguéJe pense qu'il faut switcher bien avant la fatigue jumb, là on est déjà dans les conséquences
Exacte, le laisser faire juste l'affaire l'affaire de quelques minutes surtout pas plus sans quoi c'est que l'on ne laisse pas faire est rien ne se règleEt si par rapport à ce mal être, ce serait juste de le laisser ?
Exacte, juste l'affaire de quelques secondes ou minutes si tu veux en sortir vraiment. C'est vérifiable de suite...J'ai l'impression que si on accepte de rester dans le mal être, on en sort...
J'aimerai bien vérifierExacte, juste l'affaire de quelques secondes ou minutes si tu veux en sortir vraiment. C'est vérifiable de suite...
Commence par une situationJ'ai trouvé un exemple, avaler un smecta
Je te conseil de ne pas perdre temps à savoir si sa marche ou pas, ça marche et tu peux le vérifier dans l'instant. 5 mn c'est trop, c'est que tu contrôles donc oui il peut y avoir un apaisement mais pas forcément une régulation définitive... C'est vraiment l'affaire d'une ou deux minutes max...En me détachant completement du truc, en faisant réellement autre chose, bon il faut bien 5 minutes, effectivement ça passe.
Bah je déteste ce produit, rien que d'y penser, je retrouve les sensations qui y sont rattachées (sans essayer). par association ça a fait penser à l'efferalgan, qui fait un effet assez similaire. Pour d'autres trucs désagréables, c'est pareil, l'association d'idées marche bien. Ensuite si tu t'occupes d'autre chose, l'effet disparait, juste parce que t'es occupé.Comment par une situation
ah bon ?Je te conseil de ne pas perdre temps à savoir si sa marche ou pas, ça marche et tu peux le vérifier dans l'instant. 5 mn c'est trop, c'est que tu contrôles donc oui il peut y avoir un apaisement mais pas forcément une régulation définitive... C'est vraiment l'affaire d'une ou deux minutes max..
Il y une émotion caché dans toute addictions, le problème est qu'elle n'est plus traitable au moment où on prend la clope, c'est trop tard...Le truc par exemple prenons une personne qui veut arreter de fumer et qui tousse tous les jours.
Il a la sensation agréable, il l'a vit et la laisse vivre.
"ça fait pensé à si ou ça" tu es dans la pensée et non dans le sensoriel...Bah je déteste ce produit, rien que d'y penser, je retrouve les sensations qui y sont rattachées (sans essayer). par association ça a fait penser à l'efferalgan, qui fait un effet assez similaire.