Beaucoup de choses sont encore à confirmer pour moi mais tout cela se tient à ce jour.
Y'a des façons de faire faire des liens rapidement en hypnose. Donc, disons, une dépression, un seul mot pour décrire ce que l'on ressent une lettre à la fois. Ce mot veut dire quelque chose d'associé à un trauma, le patient régresse et on s'assure qu'il est au premier moment ou ce mot a pris forme et on régresse encore plus avant pour le vérifier.
Si ce mot n'a pas de résonnance avant, on revient ou ce mot a pris sa résonnance traumatique. Le patient revit son traumatisme, on le rassure qu'il n'est pas seul cette fois-ci mais on le laisse décrire. Déjà, le fait d'exprimer la chose l'évacue. Mais on recadre aussi l'événement et on fait participer le patient adulte à ce recadrage. Il faut aller chercher l'enfant ou il est resté bloqué et l'inclure en soi, adulte.
En hypnose comme en psychanalyse, je dirais qu'il faut toujours que l'adute finisse par aimer l'enfant. Mais en hypnose, on a accès à l'inconscient; à l'enfant en soi.
Pour le résistant, ben y'a les technique pour ça. Sinon on ne peut pas faire boire un âne qui ne veut pas s'approcher de la source.