Hum... ça ne répond pas à ma question
En fait, je voulais savoir comment on se fabriquait et on se représentait ce concept.
Je développe : Etant enfant, on n'intellectualise pas encore, et donc, tout passe par des émotions, comme le disait Leo Lavoie.
Pour le fait de se brûler, de voir maman pleurer, etc, je comprend bien que l'on puisse y associer des émotions (je pense même que ce sont des ancrages).
Pour la notion de bien et de mal, il faudrait dabord créer le sentiment de fierté et de culpabilité, et ensuite y associer tout ce qui est "bien" et tout ce qui est "mal". Là interviennent les croyances et les origines culturelles, on est daccord. Mais si les sentiments de joie et de tristesse existent déjà à la naissance, la culpabilité et la fierté semblent être "fabriqués" plus tard non? Il me semble que ce sont des sentiments qui demandent une stratégie plus complexes afin d'être ressentis.
Je reformule donc la question au regard de la réponse qui a été apportée :
Comment sont fabriqués les sentiments de culpabilité? Biensur ma question porte sur la stratégie de mise en place d'un ancrage de culpabilité sur un acte.